Le Pressentiment
Note moyenne
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101 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 2 septembre 2007
Beau petit film français qui se regarde avec plaisir mais qui s'oublie tout aussi vite...
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 16 octobre 2006
Ce premier pressentiment de J-P Daroussin nous laisse un petit peu (beaucoup) sur notre faim ses qualités et ses défauts se compensent à peu près ce qui en fait donc un film moyen. Le fait que le pouls du film soit lent n’est pas en soi un souci, le seul ennui c’est que par moments on frôle l’arrêt cardiaque ce qui a tendance à laisser s’installer un léger ennui et surtout une impression de faux rythme désagréable. Jean Pierre Daroussin joue admirablement bien c’est net, il domine son sujet, sa philosophie de vie est très louable et bien interprétée. Cependant on regrette que les seconds rôles, tous sans exception, soient aussi anecdotiques, leur présence est à peine utile et aucun ne retient réellement l’attention… un peu dommage pour un film peut-être trop centré sur son personnage principal. Enfin le sujet, intense, est relativement bien traité avec une critique à la fois de la bourgeoisie et de la méchanceté en tant que qualité la mieux partagée entre chacun , de tout milieu qu’il soit, on ne regrettera finalement qu’une chose mais qui pèse beaucoup, le manque d’immersion du spectateur qui reste à sa place tout au long du film sans vouloir y pénétrer.

12/20
Mortos
Mortos

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3,5
Publiée le 31 octobre 2012
Belle fable sociale avec ce doux et délicat décalage propre à Darroussin. Nous apportant du recul sur les évènements !...
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 9 octobre 2006
Et un Jean-Pierre Daroussin de plus pour les fans de l'acteur. Pas un film truculent mais subtilement attachant. Un peu caricatural sur le forme (et comique pour ça) mais subtil sur le fond de ses personnages. Le détour onirique permet d'ailleurs un brouillage qui colle bien à la complexité trop simplifiée dans les fictions courantes. Il n'y a pas l'ombre d'une arme à feu ni de poursuite de voitures, le gars il roule sur un vélo. Est-ce pour cela que certains s'y ennuient, semble-t-il ? Alors souhaitons que cet essai réflexif outre qu'il séduira les inconditionnels de Jean-Pierre Daroussuin puisse connaître une petite carrière hors frontières puisqu'il est très Frenchie, très villages parisiens tout en offrant une belle réflexion sur l'avidité vénéneuse de se comporter comme un immortel.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 9 octobre 2006
J'aime beaucoup l'acteur JP DARROUSSIN, le réalisateur m'a tout d'abord intrigué, puis ennuyé, et finalement agacé avec ce film lent, fade, qui ne dégage rien,. . . . désolé ! ! ! !
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 17 octobre 2006
J'ai tout simplement adoré ce film,adoré Darroussin qui campe ce personnage avec son efficacité habituelle et ce rôle lui va si bien...
La lenteur de ce film est pour moi un atout dans ce monde de l'urgence et un réel repos.Prendre son temps de regarder,voir et comprendre.
La ville est très présente et d'un quartier à l'autre,j'ai ressenti un amour pour Paris dans le cheminement de Darroussin/Bénesteau à travers les rues.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 9 octobre 2006
Bon film, bon acteur, le scénario n'est pas la clé essentiel ici, plutot le jeu d'acteur et les sentiments de simplicité qui se degagent. un homme humble dans un monde sans pitié!
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 3 novembre 2006
Un film volontairement modeste dans son ton, dans sa réalisation et dans son jeu. C'est reposant, à l'opposé des films du box office. Daroussin fait autant passer les sentiments derrière la caméra que devant. La distance est toujours juste.

Un film qui fait du bien.
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 25 avril 2013
Il faut du temps pour entrer dans le premier film de Jean-Pierre Darroussin, Le Pressentiment. Faute d’un univers visuel vraiment cohérent et personnel, le film nous laisse sur la touche une bonne heure durant. La première moitié du film voit Charles Benesteau, un ancien avocat couper peu à peu les liens avec son milieu d’origine ( principalement la bourgeoisie intellectuelle et d’affaires), mu non par la haine sociale mais plutôt par volonté de commencer une nouvelle vie, à l’écart de ce qu’il avait connu jusque là. A son corps plus ou moins défendant, il se trouve entraîné dans des péripéties qui voient un mari jaloux battre sa femme comme plâtre et la fille de celle-ci (transportée inconsciente à l’hôpital), laissée à sa garde. Les relations entre Charles, sa fille adoptive et une gouvernante de fortune (Valérie Stroh qu’on désespérait de revoir à l’écran, nous qui l’avions tant aimé dans Baptême et Promenades d’été) nous importent guère. Les personnages semblent désincarnés, comme extérieurs à leur propre vie. Et puis, dans son dernier tiers, le film bascule. La petite musique des romans d’ Emmanuel Bove se fait enfin entendre. Il ne s’agit plus d’un homme qui fuit le monde mais au contraire du héros « bovien », simplement en quête d’un peu d’empathie auprès de ses condisciples humains mais ne trouvant sur sa route que calcul, cupidité et inlassable mesquinerie. Chez Bove, la petitesse ne connaît pas de frontières sociales. Les beaux quartiers comme les arrondissements populaires sont contaminés par cette lèpre. Dans le film y échappent uniquement Eugénie, une petite bonne sans papier (concession au politiquement correct ?) et la mère de Sabrina. Chacun ou presque semble se comporter comme si la faucheuse allait délaisser son ouvrage. A l'égal du narrateur de Mes amis, le premier roman de Bove que je vous incite à lire dare-dare, Charles Benesteau est celui qui agit comme révélateur de cette pitoyable condition humaine : « Un homme comme moi, qui ne travaille pas, qui ne veut pas travailler, sera toujours détesté. J’étais, dans cette maison d’ouvrier, le fou, qu’au fond, tous auraient voulu être. J’étais celui qui se privait, de viande, de cinéma, de laine pour être libre. J’étais celui qui, sans le vouloir, rappelait chaque jour aux gens leur condition misérable ».
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 14 octobre 2006
Un film poignant, qui déboussole et fait réfléchir. Il reprend de grands thèmes philosophiques : la connaissance de soi-même et l'existentialisme. Le film respire une douce ironie. Calme, lucide et déphasé, Darroussin est plus que jamais dans son rôle naturel, il réalise là un premier film à son image. Cependant, ce long métrage n'est pas une partie de détente, on trouve parfois le temps un peu trop long, les personnages un peu trop stéréotypés, les répliques un peu trop téléphonées, le scénario un peu trop niais et le fond du film un peu trop pessimiste...
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 9 octobre 2006
THE NAVET ! PIRE, LA BOTTE ENTIERE
Bien évidemment, la plupart des critiques vont trouver cela "génialissime" ... parce que "chiantissime" !
Jean-Pierre Darroussin est un excellent acteur, que j'aime personnellement beaucoup ; c'est pourquoi je lui conseille de continuer à développer ses qualités d'acteur, en évitant soigneusement la réalisation.
L'idée de départ n'est pas mauvaise, mais sa traduction est d'une fadeur et d'une lenteur désespérantes ... à tel point que je suis sorti de la salle avant la fin ... ce qui ne m'était pas arrivé depuis une bonne décennie !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 10 octobre 2006
Pendant réaliste à "amélie Poulain".
Amelie poulain énervait les critiques par son côté conte de fée dans un paris populaire idéalisé.Le personnage de Darroussin souhaiterait lui aussi faire le "bien" seulement Paris et ses habitants ne sont pas aussi caricaturaux. Sujet assez austère mais réussi.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 10 octobre 2006
Un rythme laborieux, des personnages peu attachants, une histoire sans grand intérêt et peu réaliste, un scénario pas très bien construit ; bref, un film ennuyeux.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 1 mai 2007
Posez-vous la question: si vous étiez immortel, deviendriez-vous plus génereux ou - beaucoup plus égoïste ? Pas si simple de répondre pour tout le monde... Ce film est un "héritier" de ceux de Guédiguian, qui montrent les gens tels qu'ils sont, bons et mauvais, aussi contradictoires et complexes que dans la réalité (si l'on ne regarde pas qu'avec les yeux). - Seulement deux étoiles parce que ça n'est pas si nouveau... A voir aprés Guédiguian: ça parait plus lucide et moins manichéen (mais je crois qu'on se trompe souvent sur le propos de Guédiguian).
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 21 octobre 2006
J.P Darroussin nous montre un belle exemple de fraternité. En incarnant un personnage fort et sensible qui n'attend pas forcément un retour à se qu'il donne.
Le pressentiment est un film plaisant qui peut nous faire réfléchir sur le rôle que l'on peut jouer dans un quartier. :)
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