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    Orgueil et préjugés
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    4,0
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    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 083 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2019
    Orgueil et Préjugés est un film impressionnant, dans le sens où, adaptation d'un roman culte de la littérature classique anglaise, il parvient à mêler réinterprétation et personnalité visuelle intense, film d'auteur et divertissement pour enfants/ados/adultes. Un film pour tous les âges, modèle de romance, qui ne s'embarrasse pas des stéréotypes et codes scénaristiques habituels du genre, se plaçant déjà comme une pépite du genre, si ce n'est du cinéma historique en général.

    Dès le départ, on se rend compte de la qualité de la reconstitution : actrices et acteurs, fidèles à l'époque, présentent un travail d'étude des moeurs de l'époque suffisamment approfondi pour qu'on s'y sente rien que par leurs mimiques et leur accent. Ils arborent des costumes tout aussi réussis, réalistes et riches en couleurs différentes, aidant son réalisateur, Joe Wright, a composer l'aspect pictural de ses plans.

    Et si l'écriture est de grande qualité (les rapports entre les personnages, l'intrigue, la magnifique rhétorique des personnages, tout est très travaillé), on retiendra surtout sa mise en scène extrêmement soignée et d'une imagination débordante. Réalisant là son premier long-métrage, Joe Wright marque un grand coup et surprend son monde, avançant au public qu'il fait partie de cette nouvelle génération de petits virtuoses en herbe, promus à un grand avenir mais qui se cherchent longuement dans leur carrière.

    Dès ce premier film, Wright nous amène donc des plans d'une grande ambition; outre l'évidente personnalité de sa colorimétrie et ses nombreux plans dignes de tableaux (le travail sur les couchers de soleil, les intérieurs et les grandes plaines est fantastique), c'est surtout pour sa représentation des mouvements de foule qu'Orgueil et Préjugés fascine autant qu'il divertit, le point culminant de cette gestion du monde se trouvant dans la sublime scène du bal, digne des plus grands auteurs, au plan séquence incroyablement bien tourné, qui gère admirablement bien les actions des personnages et figurants, terminant de poser son cadre réaliste.

    Dès ce premier film, Wright nous amène donc des plans d'une grande ambition; outre l'évidente personnalité de sa colorimétrie et ses nombreux plans dignes de tableaux (le travail sur les couchers de soleil, les intérieurs et les grandes plaines est fantastique), c'est surtout pour sa représentation des mouvements de foule qu'Orgueil et Préjugés fascine autant qu'il divertit, le point culminant de cette gestion du monde se trouvant dans la sublime scène du bal, digne des plus grands auteurs, au plan séquence incroyablement bien tourné, qui gère admirablement bien les actions des personnages et figurants, terminant de poser son cadre réaliste avec une grande précision.

    Ses plans sont tout aussi esthétiques qu'ambitieux : si la recherche sur les couleurs attestera d'une grande harmonie dans le choix de la colorimétrie, le degré de vie des réceptions, défilés et autres moments cérémonieux épousera presque le réalisme chirurgical des meilleurs romans de satire sociale, entraînant ses personnages et son spectateur dans une peinture soignée des moeurs de l'époque, avec le mépris et la distinction forcée des nobles et bourgeois de l'époque.

    Au milieu de cela, Keira Knightley qui tente de se sortir de cette famille vendue au désir de devenir riche, tenue avec classe par un Doneld Sutherland touchante et très juste. Elle évolue avec ce même charme qu'elle a depuis ses débuts au cinéma, se rapprochant souvent de sa performance dans le Pirates des caraïbres de Verbinsky, tout en incarnant l'opposé de Darcy, rendu avec sobriété par un Matthew Mcfadyen au charisme inexistant, personnalité de brun ténébreux mollasson presque taillée pour son rôle.

    D'une rare beauté visuelle, Orgueil et Préjugés nous présente une histoire d'amour peu commune, entièrement basée sur la fierté et les faux-semblants, tout en accumulant des personnages à la psychologie suffisamment profonde et travaillée pour approfondir les rapports qu'entretiennent nos deux héros, objet du désir de l'autre et du spectateur, qui ne prie plus que pour une chose, les voir enfin ensemble.

    Un film charmeur, plaisant, beau et émouvant, visuellement magnifique et très intéressant dans sa manière de narrer l'histoire, qui aurait sûrement gagné à prendre quelqu'un d'autre pour interpréter Darcy; n'ayant pas lu l'oeuvre d'origine, il m'est impossible d'attester de sa fidélité au personnage originel, mais il manque, à n'en pas douter, de présence pour embrasser l'importance du rôle qui lui est assené. On est proche du grand film, comme l'atteste cette incroyable scène de marche autour de Darcy, où Knightley et Kelly Rilley marchent en se jaugeant autant qu'elles se jugent. A voir, une romance de référence.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Changement de tonalité qui se veut beaucoup plus dramatique dans ce premier remake anglais de Pride and Prejudice.
    Le personnage d'Elisabeth (Keira Knightley) est mis en avant et les autres protagonistes sont en grande partie effacés, ce qui donne un peu une impression d'apathie tout au long du récit.
    Ce dernier se veut aussi plus emphatique, et c'est là que le bât blesse car par moment il en devient grotesque, notamment dans la direction photographique.
    Cette nouvelle version aurait été plus attrayante en étant réalisée plus sobrement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 décembre 2014
    Une histoire plutôt fade qui m'a peu ému, dans une ambiance aristo. Je n'ai pas accroché.
    De belles musiques, néanmoins.
    guifed
    guifed

    65 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2014
    A la fois respectueux de l'esprit du siècle et ouvert sur le monde contemporain, Orgueil et Préjugés est un film maîtrisé de bout en bout. Très cohérent, rejetant le superflu, Joe Wright ne perd pas sa ligne directrice: montrer à quel point l'amour transgresse les codes sociaux, et dépeindre la décadence de la société féodale britannique à l'aube du XXème siècle. Noblesse et bourgeoisie sonnnent de plus en plus creux, les nouvelles générations (ici incarnées par les Jane, Sarah, Lydie, ou les deux jeunes comtes fous amoureux) le montrent. Les scènes de bals d'époque ou de soirées mondaines apparaissent feutrées, presqu'anachroniques. Surtout quand elles sont suivies de plans rapprochés sur les visages des jeunes amoureux, quand les sentiments enivrent la caméra. La mère, qui ne pense qu'au prestige social que pourrait lui apporter les alliances de ses filles, ou encore la comtesse, terrible dans son mépris et dans son arrogance, sont dépassées par ces moeurs nouvelles qui vont complètement à l'encontre des valeurs dont elles sont porteuses. Seul le père fait un peu figure d'avant-gardiste dans sa génération.
    Mention spéciale à Keira Knightley et Matthew MacFayden pour leur interprétation très juste. Joe Wright réussit à construire une histoire et une personnalité et chacun de ses personnages. Ou du moins réussit-il à les transposer du livre au film.
    C'est peut-être la seule limite qu'on pourrait trouver au film. Comme à toutes les adaptations de romans par ailleurs, surtout des romans classiques. Le cinéma, quoique très présent, ne parvient jamais à surmonter la dimension romanesque.
    Il n'en reste pas moins un film abouti, fort, et brillament écrit et adapté.
    Stephenballade
    Stephenballade

    400 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    Oui je sais que je suis un peu sévère avec cette notation envers ce film pourtant largement apprécié. Commençons d’abord par les points positifs. Tout d’abord la tenue de haute volée des dialogues : la langue de Shakespeare (pour la V.O.) et celle de Molière (pour la V.F.) est ici portée à son firmament, avec un vocabulaire comportant bon nombre de mots désuets, et des tournures de phrases plus guère utilisés. Force est donc de constater l’énorme contraste entre le langage utilisé aujourd’hui et celui d’antan, là où 2 lignes étaient nécessaires pour dire la même chose en 3 ou 4 mots de nos jours. Nous pouvons alors mesurer toute la poésie des mots et de leur association, ainsi que le sens qu’ils pouvaient prendre. A l’époque, nul n’était besoin de se mettre dans une rage noire pour exprimer son plus vif mécontentement, le poids des mots suffisait amplement. Autre point positif, le titre : il offre les deux fils rouges que le scénario, inspiré du roman éponyme de Jane Austen, s’efforcera de développer. Le fait que le scénario soit assez convenu peut être regrettable, mais il paraît difficile d’être créatif quand la base est une œuvre littéraire. On découvre d’entrée que les parents veulent proposer leur progéniture au mariage. Le dévolu se jette d’abord sur l’aînée de la fratrie, mais rien ne va se passer simplement. C’est ainsi que l’héroïne va donc rencontrer un personnage au caractère fort, tout du moins doté d’un orgueil qu’elle jugera insoutenable, et de préjugés insupportables. Le problème est que sur ces sentiments, elle lui ressemble comme deux gouttes d’eau… Il en résultera quelques joutes verbales délicieuses. Autre point positif, les décors et les costumes : ils nous offrent un bel outil pour nous plonger au cœur du XVIIIème siècle. Ainsi vêtus, les interprètes trouvent le ton juste jusque dans le langage corporel et les regards, offrant ainsi un nouveau point positif au film. Ma mention spéciale ira à la fois à Brenda Blethyn parfaite en femme agaçante à souhait qui veut caser sa descendance selon des critères autres que sentimentaux, et à Donald Sutherland dont son personnage ne veut rien d’autre que le bien de ses 5 filles autant que possible. Pour cela, ce dernier est prêt à aller à l’encontre des us et coutumes, mais pas de façon officielle car cela serait un parjure au "bon" fonctionnement de la vie sociale de l’époque. Dernier point positif, la très belle scène finale : on devine que le réalisateur avait hâte d’y arriver parce que… qu’est-ce qu’elle est bien filmée ! Une scène unique en son genre et qui offre une belle photographie, un cliché digne de carte de correspondance que bon nombre d’adolescent(e)s dotés de tels sentiments rêvent d’envoyer à l’élu(e) de leur cœur. Malheureusement, et c’est là que vont commencer les points négatifs, le happy end final est attendu depuis longtemps. On nous fait languir, on traite de l’orgueil, du préjugé, mais aussi d’une foule de sentiments plus ou moins liés, ce qui amène pas mal de longueurs, heureusement assez bien contrecarrées par la très bonne prestation des interprètes et une très bonne mise en scène. Il faut dire que ce genre de film ne laisse guère la place à de l’action, et nul besoin de connaître le roman éponyme pour en arriver à cette conclusion. Pour autant il ressort quand même que cette adaptation serait de qualité inférieure à celle qui avait été faite 10 ans plus tôt par Simon Langton avec le concours de Colin Firth et de Jennifer Ehle dans les rôles principaux. Le fait est que cette édition pour le grand écran semble souffrir de la comparaison avec la production pour le petit écran. Je ne connais ni cette mini-série britannique de 6 épisodes de 50mn chacun, ni le roman, mais je suis sorti de ce film édition 2005 avec un sentiment partagé, balançant entre ravissement et frustration. Quand je suis convaincu, je le sais. Mais pas ici, peut-être est-ce dû, entre autres, à une erreur de taille : quand le père descend de l’étage alors que le jour est tombé, équipé seulement d’une bougie qu’il porte fébrilement, la lumière ne vient pas de la bougie mais bel et bien d’un halo de lumière bien visible émanant d’un spot clairement dirigé sur le sommet de son crâne. Impensable pour un film de cet acabit. Alors non, je ne suis pas convaincu, et je suis dans l’incapacité de dire précisément pourquoi, mais voilà ce qui explique ma note. En conclusion, je dirai que c’est un film à voir une fois, ne serait-ce que pour ses qualités immersives apportées par les dialogues, les costumes, les décors, le jeu d’acteur, et la mise en scène. Une fois, mais pas plus, sauf pour les inconditionnels des romances joliment contées.
    fandecaoch
    fandecaoch

    1 045 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2014
    Orgueil et préjugés : Une comédie romantique à l’eau de rose certes mais intelligente et brillante par de nombreux points. Déjà le plus marquant, sa réalisation qui est juste magnifique. L’ambiance d’époque est retranscrite à merveille avec les décors, les costumes qui sont très immersifs. Et la mise en scène est de toute beauté car elle nous présente de superbe paysage, couché de soleil…. non vraiment, c’est un régale pour les yeux avec le final, l’aube que l’on a en plein face : juste extra. Ensuite, la bo est tout aussi bonne et bien choisit, encore un bon point pour rentré dans l’ambiance. Ensuite, le scénario est convaincant car sa reste crédible, un peu nian nian des fois certes mais les personnages sont attachants et souvent amusants a suivent. Et l’histoire d’amour est belle avec une pointe de valeur dans tout ça. Et ça représente très bien l’époque avec le mariage des pauvres titrés avec des riches… Et que dire du casting 3 étoiles : Keira Knightley, Matthew MacFadyen, Rosamund Pike… et en plus ils jouent bien donc que demander de mieux. Donc voila, il faut aimée les histories d’amour à l’eau de rose mais si vous aimée, vous allez adorer ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 novembre 2014
    J'ai bien aimé, je le regarderai qu'une fois mais ce fut un très bon film.
    Keira Knightley, en jeune adulte en tant qu'actrice et personnage, est brillante et très attachante. Elle porte le film et c'est réussi !
    A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    C'est le film qui m'a donné envie de lire Jaune austen. L'adaptation du livre est pour moi très convaincante. Les personnages sont fidèles à ceux dépeint par Miss Austen. Keira et matthew sont très crédibles en tant que LIzzie et Mark. Chaque fois que je le regarde je suis dedans du début à la fin. Les décors sont très jolis, la bo aussi!!. Évidemment faut aimer le genre romantique pour apprécier la toile . bien sûr ça change des conneries de film où une fois qu'il est question d'amour tout le monde est à poil. Ce film est loin d'être une daube, tout en finesse, élégance et répliques cassantes ^^
    Iris I.
    Iris I.

    6 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 août 2014
    J'ai été très généreuse en mettant une étoile, mais pour avoir lu le livre de Jane Austen et surtout pour avoir vu la mini série de 1995 qui est un des chefs d’œuvre du petit écran, cette version est tout simplement nulle. D'ailleurs après avoir atteint le summum avec la mini série de 1995 où justement tous les personnages sont à leur place, font penser même dans leurs physiques très XIXème siècle à des tableaux qui s'animent, où l'on a même pris mots pour mots les dialogues de l'écrivain, pourquoi avoir refait une ennième version, forcément de moindre qualité qui n'apporte rien. Même la musique aussi jolie soit-elle est aux antipodes de l'histoire. Les filles entre elles se ressemblent trop. Aucune différence. Lizzy a l'air aussi écervelée que Kitty et Lydia. Monsieur Darcy est beaucoup plus timide que hautain. Monsieur Collins pffffffff n'a pas cette déférence et cette servilité exagérée envers Lady Catherine de Burg, les parents Bennet sont quelconques. Monsieur Bennet n'a pas cet humour et ses petites saillies notamment à l'encontre de son épouse que dans l'autre série. Bref, ce film est aux antipodes de l'univers Austenien. On serait plutôt vu les images dans un univers plus soeurs Bronté, mais de bas étage. Le coup de Darcy et Lizzy se rejoignant au coucher du soleil, bonjour le cliché. La première déclaration de Darcy dans la pluie manque de cette solennité et de ce côté dramatique que l'on ressent en lisant le roman. C'est léger du genre je t'aime, à ben non je ne t'aime pas et ne t'aimerai jamais, mais on ne sent aucune profondeur. Whikham qui joue un rôle très important dans l'intrigue est effacé. Certaines scènes ne sont même pas approfondies comme la fameuse lettre où l'on apprend d'avantage sur Darcy.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 août 2014
    Une romance au noyau tendre recouvert de glaçons qui fondent au fur et à mesure dans notre cœur pour le recouvrir de cette tendresse magistrale !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 juin 2014
    Je ne suis pas fermé au fresque romanesque et je dois dire que je n'avais aucun préjugé sur ce film avant de le voir.
    Orgueils et préjugés se révèle assez rapidement, être une œuvre sans âme ni passion dans son histoire d'amour, celle ci peux aussi être qualifié d'histoire d’amour fantôme. Mc Fayden fait "un prince pas tout a fait charmant" des plus fade.
    J'ai eu beaucoup de mal à être captivé par la trame du film, l'ennui guettant a chaque instants avec force.
    La photographie et les costumes sont réussi tout de même ce qui aurait été hypocrite de ma part de ne pas le souligner.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 juin 2014
    Malgré le peu de rebondissements, j'ai passé un très bon moment à regarder Orgueil et Préjugés. Le scénario est frai et agréable. Néanmoins, ceux qui ne sont pas adeptes des films à l'eau de rose risquent de s'ennuyer fortement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Un film extrêmement bien joué. Et les dialogues sont parfaits. Les acteurs sont dans la pudeur, la retenue. Toutes les émotions passent par le regard.
    Une histoire d’amour d’époque dénuée de noirceur et où les liens entre les personnages principaux sont forts et sincères. Il n’y a aucun mort et aucune réelle tristesse.
    En somme, un film qui fait du bien et qui ravira les yeux et le cœur des êtres romantiques.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 mai 2014
    Mouais... je ne suis pas très convaincue. Peut être que mon avis mitigé tient aussi du fait que je ne peux pas m'empêcher de comparer ce film avec la version de 1995 avec Colin Firth et Jennifer Ehle. Keira Knightley et Matthew MacFayden paraissent très très fades à côté et beaucoup moins proches des personnages du roman. Darcy semblait bien plus fier et Elisabeth bien plus déterminée et intelligente dans la version de 1995. Matthew MacFayden nous joue un Darcy triste, mou du genou et effacé qui n'a rien de séduisant et Keira Knightley une Elisabeth capricieuse, limite enfantine. Je ne leur trouve d'ailleurs pas beaucoup d'alchimie. Sans compter que le film a dû tout condenser en deux heures, laissant énormément de choses de côté. J'ai eu l'impression aussi que beaucoup de choses avaient été exagérées dans le film, ça fait un peu du pré-mâché moderne, assez indigeste. Après, on a vu des adaptations de livre bien pires, celle-ci tente de rester assez fidèle à l'oeuvre d'origine et peut réussir à divertir si on oublie ses (nombreux) défauts. Quelques jolies scènes et jolies paysages.
    Mais tant qu'à regarder une adaptation d'Orgueil et préjugés, regardez celle de 1995, vous ne serez pas déçus !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mai 2014
    Tres joli histoire d'amour, j'avais lu le livre que j'appreciais beaucoup
    tres joliment filmé, on se laisse emporter par le contexte
    bon jeux d'acteur
    je revisionne ce film occasionnellement et c'est toujours un plaisir
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