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Votre avis sur Harry Potter et l'Ordre du Phénix ?
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"Harry Potter et l'Ordre du Phénix", cinquième opus de la saga, revient avec une histoire et des personnages en pleine évolution, ce qui constitue l'un de ses points forts. Noté 3,5 sur 5, ce volet réussit à maintenir l'intérêt grâce à une mise en scène soignée et une réalisation qui continue de capturer l'essence magique de cet univers.
L'évolution des personnages prend une tournure significative, avec Harry et ses amis confrontés à des dilemmes plus adultes et à la montée des tensions alors que l'influence de Voldemort s'accroît. Le film parvient à explorer ces dynamiques avec une certaine profondeur, rendant les protagonistes plus complexes et attachants.
Cependant, "L'Ordre du Phénix" manque d'enjeux qui lui sont propres, se positionnant davantage comme un épisode de transition entre le retour de Voldemort dans le volet précédent et la guerre ouverte à venir. Cette absence d'un conflit central unique laisse une impression de vide, comme si le film se contentait de mettre en place les pièces pour l'avenir plutôt que de raconter une histoire pleinement autonome.
Malgré ces réserves, le film demeure une étape essentielle dans la construction de la saga, amenant des changements importants qui enrichissent le récit global. Pour les fans de Harry Potter, c'est un passage inévitable qui prépare le terrain pour la suite des événements.
L'évolution des personnages prend une tournure significative, avec Harry et ses amis confrontés à des dilemmes plus adultes et à la montée des tensions alors que l'influence de Voldemort s'accroît. Le film parvient à explorer ces dynamiques avec une certaine profondeur, rendant les protagonistes plus complexes et attachants.
Cependant, "L'Ordre du Phénix" manque d'enjeux qui lui sont propres, se positionnant davantage comme un épisode de transition entre le retour de Voldemort dans le volet précédent et la guerre ouverte à venir. Cette absence d'un conflit central unique laisse une impression de vide, comme si le film se contentait de mettre en place les pièces pour l'avenir plutôt que de raconter une histoire pleinement autonome.
Malgré ces réserves, le film demeure une étape essentielle dans la construction de la saga, amenant des changements importants qui enrichissent le récit global. Pour les fans de Harry Potter, c'est un passage inévitable qui prépare le terrain pour la suite des événements.
Harry Potter et l’Ordre du Phénix, cinquième volet de la saga, plonge dans une obscurité politique et psychologique nouvelle. Tandis que Voldemort, figure d’un mal absolu, renaît de ses cendres, le monde des sorciers, paralysé par le déni et la complaisance, refuse de croire au retour de l’ennemi honni. Ce climat d’aveuglement collectif pèse sur Poudlard, transformant l’école en un théâtre de tensions, où l’apprentissage cède la place à la résistance.
Pour la première fois, un nouveau regard méconnu s’impose derrière la caméra : David Yates prend les rênes de l’univers magique. Son approche délaisse l'exactitude des lignes de Rowling, au prix d’un rythme frénétique, parfois au bord de l’essoufflement. Chaque scène semble courir après la suivante, comme si le film craignait de s’attarder, d’approfondir et de ne pas conclure dans un délai imparti. Ce choix, contestable, confère toutefois une énergie brute au récit, à l’image de l’injustice et de la révolte.
La prophétie centrale, défaut majeur de cet adaptation, selon laquelle "l’un ne peut survivre tant que l’autre vit" ne fait qu’expliciter l’inéluctable, ce que Harry et Voldemort savent déjà : leur destin est lié dans une lutte à mort.
Certes, l’adaptation prend des libertés discutables et effleure parfois les thématiques qu’elle tente d’aborder. Mais la découverte de la force dans l’amitié, et l’affirmation que la lumière peut naître, même dans l’ombre la plus dense, confère toute la sympathie pour cet univers et ce film.
En ce sens, L’Ordre du Phénix est une réussite imparfaite, où l’on pressent déjà l’ombre du duel final qui se dessine à l’horizon.
Pour la première fois, un nouveau regard méconnu s’impose derrière la caméra : David Yates prend les rênes de l’univers magique. Son approche délaisse l'exactitude des lignes de Rowling, au prix d’un rythme frénétique, parfois au bord de l’essoufflement. Chaque scène semble courir après la suivante, comme si le film craignait de s’attarder, d’approfondir et de ne pas conclure dans un délai imparti. Ce choix, contestable, confère toutefois une énergie brute au récit, à l’image de l’injustice et de la révolte.
La prophétie centrale, défaut majeur de cet adaptation, selon laquelle "l’un ne peut survivre tant que l’autre vit" ne fait qu’expliciter l’inéluctable, ce que Harry et Voldemort savent déjà : leur destin est lié dans une lutte à mort.
Certes, l’adaptation prend des libertés discutables et effleure parfois les thématiques qu’elle tente d’aborder. Mais la découverte de la force dans l’amitié, et l’affirmation que la lumière peut naître, même dans l’ombre la plus dense, confère toute la sympathie pour cet univers et ce film.
En ce sens, L’Ordre du Phénix est une réussite imparfaite, où l’on pressent déjà l’ombre du duel final qui se dessine à l’horizon.
Le cinquième opus marque un tournant politique et psychologique dans l'histoire. L'opposition entre Harry et Dolores Ombrage est fascinante et le développement du personnage de Harry est particulièrement bien mené. Néanmoins, l'absence de certaines sous-intrigues importantes du livre se fait sentir, rendant le film parfois expéditif. La bataille finale au Département des Mystères est visuellement forte, mais trop brève
Quand on regarde ce film, on a l'impression qu'il ne s'y pas passe pas grand chose. Ce dont on n'est pas habitué avec cette saga, pleine de sous intrigues et de mystères. Autre chose : la magie a disparu. Le fantastique a disparu. Dans le style, on se rapproche de "Twilight" ou "The mortal instrument", c'est à dire quelque chose de contemporain et terre-a-terre teinté de fantastique. C'est donc avec ce cinquième opus le début du technicien-styliste David Yates dans la saga Harry Potter. Commencé comme ça on pourrait penser que ma critique va être mauvaise. Et bah en fait non. Parce que cet Ordre du Phenix est quand meme un bon film. Elegament, David Yates prend le temps de developper une atmosphère et s'attarde sur la psychologie tourmenté d'Harry Potter. Ce dernier se sent isolé, seul contre tous. Cette approche plus psychologique est intéressante, dommage que cela manque d'émotions. Ce film offre aussi une approche politique ce qui là aussi est nouveau. Le ministère de la magie est corrompu, il y'a de la propagande. Dolores Ombrage représente bien cet ordre nouveau basé sur la répression. Les scènes de combat finales manquent peut-être d'intensité et de fougue comparé à ce qu'on a déjà pu voir dans la saga, mais c'est propre (c'est du David Yates quoi). En conclusion, je dirais que c'est encore un bon film pour ce qui est de cette saga, mais cette fois avec une vraie rupture de ton.
Dans mon top 3 des opus de la saga ! C'est très réussi ! Il y a tout : humour, personnage culte, émotion, action. Tout est bien dosé en fait, le début par exemple avec DuDley c'est très réussie et sombre. La suite du film reste dans cette couleur. Le personnage de Luna est super bien jouée par l'actrice, les élèves sont vraiment maîtres de leur destin et c'est ce que j'aime dans cet opus. L'histoire de la prophétie est un peu brouillone je trouve mais allez ça passe quand même. Harry gagne vraiment en charisme. La musique aussi est superbe et le combat finale mortel ! Bref ce film est excellent. Merci David YATES.
Je trouve que ce film est la plus grosse déception de la saga, l’histoire du livre de Rowling avait tellement plus de potentiel que le produit final, beaucoup de choses oubliées
J'ai essayé de re-regarder ce film, 15 ans après l'avoir vu une première fois.
Dès le début, je sais pourquoi je n'ai d'emblée pas aimé les films Harry Potter.
Daniel Radcliffe est le pire acteur au monde. A partir de là, on ne peut rien faire de bon.
Avec le scénario bâclé, des scènes expédiées ou inutiles ou trop longues, surjouées, peu d'humour.
Il aurait de toutes façons été impossible de nous faire ressentir la menace, le climat sombre du 5, avec un acteur principal pareil.
Bref, à ne pas voir, c'est beaucoup plus joli à lire.
Dès le début, je sais pourquoi je n'ai d'emblée pas aimé les films Harry Potter.
Daniel Radcliffe est le pire acteur au monde. A partir de là, on ne peut rien faire de bon.
Avec le scénario bâclé, des scènes expédiées ou inutiles ou trop longues, surjouées, peu d'humour.
Il aurait de toutes façons été impossible de nous faire ressentir la menace, le climat sombre du 5, avec un acteur principal pareil.
Bref, à ne pas voir, c'est beaucoup plus joli à lire.
Contrairement aux premiers opus, on ressent une vraie continuité dans celui-ci avec les autres : les événements du 4 ont un vrai impact non seulement sur les événements, mais surtout sur Harry. Étant donné que je n’ai plus relu le livre, je critique le film en tant que tel et non en tant qu’adaptation. Ce film a un côté très politique dans le sens où le Ministère est l’antagoniste principal et qui est bonne première étape que nos héros doivent affronter avant le Seigneur des Ténèbres. De plus, ça me semble tellement réaliste car ce genre de situation (le gouvernement refusant de reconnaître la vérité par peur) peut se produire en vrai.
Comme dit plus haut, Harry connaît des sentences suite à la fin de "la Coupe de Feu" : il doit faire face à de nouvelles peurs et se voit la responsabilité de modèle à suivre par ses amis. Son alchimie avec Ron et Hermione est d’ailleurs très bien représenter et on sent leurs complicités (surtout entre Ron et Hermione). Quant à Ombrage, elle a beau être le personnage le plus détestable de la saga, mais elle bénéficie d’une certaine richesse : elle s’avère être une tortionnaire qui se cache derrière ce côté vieille bourgeoise anglaise. Et puis, on peut saluer la performance d’Imelda Staunton qui a rendu Ombrage le plus détestable possible 😅. Quant aux nouveaux, je retiens surtout Luna Lovegood qui a été entièrement présentée par sa folie et la performance de son actrice. Même Sirius Black est tellement mis en valeur ainsi que sa famille, spoiler: avant de mourir
. De manière générale, les personnages ont gagné en maturité contrairement à la dernière fois où ils n’étaient que des ados paumés et ont reçu plus de développement.
David Yates aura beau réalisé les derniers volets de la saga (même "les Animaux fantastiques"), il a su apporter fluidité dans les moments d’action ou d’aventure et jongle bien entre la noirceur et la lumière. Bien qu’il ne pose pas sa propre patte à l’édifice, il fait sentir la tension dans les moments de cauchemar et la tristesse dans les moments moins réjouissants. Il nous montre aussi de nouveaux environnements dans des décors bien imaginés et réussit à nous faire voyager. La bande-originale est pour moi la meilleure de la saga, Nicholas Hooper a composé des morceaux bien adaptés dans les moments aventureux, festives, d’action et en général. On a même droit à des combats de baguettes magiques bien orchestrés et très agréables à regarder.
"L’Ordre du Phénix" est de loin mon second volet préféré de la saga et un de mes films préférés, mais si jamais je lis le livre a nouveau ça risque de ne plus être le cas. En tout cas, il est génial et on ne s’ennuie pas devant car il se passe constamment quelque chose. Le casting s’est très bien investi, les effets spéciaux sont toujours top et les décors sont immersifs. Censé clairement le genre de film correspondant au « calme avant la tempête ». C’est aussi le genre de film qui crache sur la politique et ses méthodes intrusives au sein d’une école, un schéma malheureusement vrai. J’ai un peu de mal à comprendre pourquoi certains le considèrent comme le moins bon de la saga.
Comme dit plus haut, Harry connaît des sentences suite à la fin de "la Coupe de Feu" : il doit faire face à de nouvelles peurs et se voit la responsabilité de modèle à suivre par ses amis. Son alchimie avec Ron et Hermione est d’ailleurs très bien représenter et on sent leurs complicités (surtout entre Ron et Hermione). Quant à Ombrage, elle a beau être le personnage le plus détestable de la saga, mais elle bénéficie d’une certaine richesse : elle s’avère être une tortionnaire qui se cache derrière ce côté vieille bourgeoise anglaise. Et puis, on peut saluer la performance d’Imelda Staunton qui a rendu Ombrage le plus détestable possible 😅. Quant aux nouveaux, je retiens surtout Luna Lovegood qui a été entièrement présentée par sa folie et la performance de son actrice. Même Sirius Black est tellement mis en valeur ainsi que sa famille, spoiler: avant de mourir
. De manière générale, les personnages ont gagné en maturité contrairement à la dernière fois où ils n’étaient que des ados paumés et ont reçu plus de développement.
David Yates aura beau réalisé les derniers volets de la saga (même "les Animaux fantastiques"), il a su apporter fluidité dans les moments d’action ou d’aventure et jongle bien entre la noirceur et la lumière. Bien qu’il ne pose pas sa propre patte à l’édifice, il fait sentir la tension dans les moments de cauchemar et la tristesse dans les moments moins réjouissants. Il nous montre aussi de nouveaux environnements dans des décors bien imaginés et réussit à nous faire voyager. La bande-originale est pour moi la meilleure de la saga, Nicholas Hooper a composé des morceaux bien adaptés dans les moments aventureux, festives, d’action et en général. On a même droit à des combats de baguettes magiques bien orchestrés et très agréables à regarder.
"L’Ordre du Phénix" est de loin mon second volet préféré de la saga et un de mes films préférés, mais si jamais je lis le livre a nouveau ça risque de ne plus être le cas. En tout cas, il est génial et on ne s’ennuie pas devant car il se passe constamment quelque chose. Le casting s’est très bien investi, les effets spéciaux sont toujours top et les décors sont immersifs. Censé clairement le genre de film correspondant au « calme avant la tempête ». C’est aussi le genre de film qui crache sur la politique et ses méthodes intrusives au sein d’une école, un schéma malheureusement vrai. J’ai un peu de mal à comprendre pourquoi certains le considèrent comme le moins bon de la saga.
On sent bien qu'il s agit d un épisode de transition mais une nouvelle fois on rentre sans problème dans le récit. Les personnages secondaires font le spectacle et les enfants grandissent et les responsabilités aussi . Du bon divertissement.
Dans ce film on ressent de plus en plus le message apporté celui d'acceptation des autres et aussi on voit l'accomplissement des plans de l'ennemi principal.
On continue le marathon avec le cinquième opus de l’univers, réalisé par David Yates, le dernier réalisateur qui sera aux commandes des quatre derniers films. L’Ordre du Phoenix est le plus gros livre de la saga avec les Reliques de la Mort donc la barre était bien sûr très très haute pour réussir à tout aborder et mettre en scène les propos de ce tome au cinéma. Je trouve que David Yates a réussi ce pari, je dirai même que c’est un des livres les mieux adaptés de l’univers, l’écriture est brillante et le propos principal est majoritairement raconté, c’est une réussite ! Le tout a été condensé en 2h10, et aucune scène n’est à jeté, c’est bluffant.
Daniel Radcliffe est excellent, extrêmement bien mis en valeur et remarquable.
La profondeur de son personnage fait partie de la force de l’œuvre, le questionnement sur la véritable identité d’Harry, de qu’il est vraiment a été maitrisé sur énormément de points, on sent notre personnages tiraillé par tout ce qu’il a vécu jusqu’à présent, le manque de confiance en soi et le besoin d’avoir l’amour d’une famille, bravo.
L’univers prend une tournure vraiment dramatique et sérieuse, prise de maturité pour nos personnages.
La réalisation est impeccable et la partie au ministère est juste excellente dans sa tension et sa mise en scène, le combat Dumbledore - Voldemort est le meilleur de la saga, il est impressionnant et amené brillamment.
On peut reprocher au film d’être court tellement on a envie d’en savoir plus sur des détails mais à la fois tout y est pour la compréhension de l’œuvre, toutes les scènes ont leur place, David Yates a réussi à reprendre le flambeau et j’ai hâte de continuer.
Je tiens à dire que le dialogue entre Sirius et Harry dans la maison des Black m’a énormément touché et paraît tellement sincère à l’écran, d’où la force d’interprétation de Gary Oldman et Daniel Radcliffe dans cet opus.
La partie politique rentre en action dans l’univers et c’est super bien maitrisé, Imelda Staunton est le cast parfait pour incarner Dolorès Ombrage, un personnage très marquant dans le livre, qu’elle a réussi à interpréter comme il le fallait, on la déteste autant pour notre plus grand plaisir, signe d’une performance remportée haut la main.
Énormément de qualités pour cet opus, qui me paraît meilleur à chaque visionnage, il est sous coté et possède sûrement une des trames narratives la plus intéressante.
Étant une grande fan d'Harry Potter, je ne me lasses pas de le regarder ! Le film est bien conçu, les acteurs/trices sont merveilleux/ses!
spoiler:
J'avoue être très émotive et j'ai pleurée quand Sirius est mort
Très bon film, l’histoire suit encore les livres et l’ambiance commence à être très présente.
Harry Potter et l'Ordre du Phénix est une belle critique du monde politique et médiatique face à un danger présent qu'une minorité dénonce. Pour pinailler, dommage que David Yates n'a pas repris le design des détraqueurs du magnifique Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban et l'apparition de Sirius Black dans la cheminée du Harry Potter et la Coupe de feu. Effets beaucoup plus stylés que ceux choisir ici :o)
J'ai beaucoup aimé mais été assez déçu. C'est le premier Harry Potter où je ne mets pas 5/5. Dolores Ombrage dst un personnage détestable et gâche le film, il n'aurait pas dû ajouter ce personnage. Les films font moins rêver.... ça reste quand même un très bon film
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