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bsalvert
412 abonnés
3 582 critiques
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2,0
Publiée le 5 novembre 2024
ce film pourrait être une histoire d'amour mais non il a été décidé que ce serait un film avec Roberto Begnini qui occupe tout l'espace tout le temps et ça lasse.
Un tantinet burlesques, un tantinet romantique, bien vivant et rythmé, un brin de poèsie, un p'tit côté one man show. Bref on ne s'embête pas, on n'est pas transporté non plus. Un bon film pou run bon moment.
on passe un super moment à regarder ce film ! il n'ya pas à réfléchir mais juste se laisser prendre par l'histoire et l'humour magnifique de Benigni !!
Poussif malgré l’énergie déployée par Roberto Begnini : on est fatigué pour lui ! Simpliste et commercial avec une pointe d’émotion à la fin. A noter une longue séquence pendant la guerre en Irak.
J'ai beaucoup aimé le film "le tigre et la neige". C'est beau, poétique, ce film. On voit bien que Roberto benigni dénonce avec humour l'absurdité de la guerre en Irak et ses conséquences, en particulier, le manque cruel des équipements médicaux dans les hôpitaux irakiens. Il joue le rôle d'un poète amoureux d'une jeune femme qui part en Irak pour la sauver et l'aider à sortir du coma ... par ses propres moyens.. Roberto Benigni fait rire avec sa propre naieveté et ses maladresses. Il me fait penser à Charlie Chaplin, surtout pendant la scène où le poète Benigni entre dans un terrain miné, croyant s'etre débarrassé des marchands irakiens après avoir volé leurs chaussures. Hélas, il finira par se rendre compte qu'il est entré dans un terrain miné...Bonjour la galère pour lui. Décidement, on dirait une sorte de charlot italien... La romance entre le poète et la patiente en état du coma, est drole et belle. Il y a quelques similitudes entre le film "Les lumières de la ville " de Chaplin et ce film "Le tigre et la neige" dans la scène où la jeune femme qui est sortie du coma mais qui ne savait pas le nom du sauveur, se rend compte que C'est bien le poète qui l'a sauvé grace au collier. Dans "les lumières de la ville" , la jeune femme se rend compte que c'est charlo, le sauveur grâce au toucher de la main. Magnifique. A voir, ce film. Si vous avez beaucoup aimé le film "la vie est belle" vous ne serez pas du tout dçus par ce film! Bravo Roberto Benigni !
Le personnage fantasque d'Attilio Bon, tout d'abord il y a Roberto Benigni, alors à partir de là... Fidèle à lui-même, nous retrouvons un personnage épris d'amour, jusqu'à la folie ; et c'est une joie de le retrouver ainsi. Certes il pourrait sembler qu'il manque une case à ce pauvre homme, à la poursuite d'un amour impossible – ou disparu. Mais c'est surtout un honneur de suivre ce personnage qui est emprunt d'optimisme et de naïveté lorsqu'il tente le tout pour le tout pour sauver son amour – et sa raison de vivre. Grand poète dans l'âme – et dans la profession – Attilio donne de l'importance à ce qui l'est et nous montre que peu de choses sont impossibles.
Un film à la compréhension complexe La compréhension de l'histoire n'est pas aisée tant Attilio est un rêveur, ce qui ne l'empêche pas d'être touchante. Roberto Benigni est tout bonnement superbe, tandis que Jean Reno nous dévoile un personnage bien plus terre à terre et sombre malgré son soutien et son attachement pour son ami.
À la fois beaucoup et trop peu nous est dévoilé à la fin ; dénotant indéniablement un personnage principal bien plus fort et bien moins idiot que l'on pourrait penser de nombreuses fois au court du film. Un bon moment !
Poétique, (très) naïf et assez bon enfant, on suit les aventures de Roberto Benigni (également réalisateur) au travers de plusieurs pays pour retrouver sa dulcinée... Mais voilà, au-delà d'une certaine ouverture d'esprit candide, le film a parfois du mal à être crédible et à ne pas agacer les spectateurs adultes pointilleux. La faute à ces scènes de rêve (toujours les mêmes ! On en peux plus à la troisième fois que l'on voit la même séquence quasi-identiquement !) qui arrivent à l'improviste, sont très niaises (le kangourou qui est la femme...) et ressemblent de loin à quelques scènes (en raté) de l'excellent La Vie est belle (du même réalisateur). On a même parfois l'impression de déranger dans les roucoulades de ce couple qui l'est également "en vrai", et Jean Reno qui nous dispense des leçons de philosophie musulmane n'arrange rien au tableau (malgré un énorme effort pour apprendre l'italien ! Chapeau bas à l'acteur sur ce point !). Les gags restent pour les enfants, sauf que dans ce cas on ne comprend pas bien la scène dure qui présente la pendaison-suicide de spoiler: l'ami Jean Reno ... On ne sait pas alors à qui s'adresse ce film, et on préfèrera le voir par curiosité plus que par plaisir. Une déclaration poétique et onirique qui contente un peu plus son acteur/réalisateur que ses spectateurs...
Beau et poétique sont les deux adjectifs qualificatifs qui caractérisent le mieux ce film. Vraiment l'amour et le romantisme sont transcendés, magnifiés dans ce film. Une sorte de « Eternal Sunshine of the Spotless Mind » (2004) en plus abouti. Cet homme qui brave les obstacles aussi grands et insurmontables soient-ils, par amour, est admirable : il ne s'avoue jamais vaincu et trouve des solutions inédites à tous les problèmes. Certaines scènes sont ainsi inoubliables. Il y a plusieurs sortes d'humour dans cette comédie : du comique gestuel ou de répétition type Charlie Chaplin ou Laurel et Hardy, à du comique plus récent basé sur les dialogues, utilisant en cela l'incompréhension générée par les différentes langues parlées par les personnages (arabe, italien et anglais). Bien après la projection de « Le Tigre et la Neige », on reste sous le charme des personnages campés par Roberto Benigni et Nicoletta Braschi et sous le charme du film dans son ensemble. Moins réussi néanmoins que « La Vie est Belle » (La Vita è Bella, 1998), le chef d'oeuvre de Roberto Benigni, dont il reprend pourtant la même construction scénaristique : une première période du film en Italie, une deuxième période à l"étranger (en Allemagne pour « La Vie est Belle », en Irak pour « Le Tigre et la Neige »). La comparaison entre les deux films s"arrête là car « Le Tigre et la Neige » souffre de quelques baisses de rythme absentes de la réalisation de « La Vie est Belle ».
Une bonne démonstration très énergétique à l'italienne, une comédie survoltée au service d'un romantisme très louable. Le scénario est d'autant plus étonnant qu'on connait la situation irakienne à l'époque, et pourtant le thème de la guerre n'est pas plus dérangeant que ça dans l'histoire. Ce qui est le plus gênant, finalement, c'est le débit de paroles de Benigni, dont la candeur nous sied un moment mais finit par lasser.
Le film va à 100 à l'heure grâce au jeu de Roberto Benigni, inépuisable ! J'aime bien le ridicule des rêves du personnage principal qui se voit en pleine cérémonie de mariage avec la femme de ses rêves et arrive chaussures aux pieds en sous-vêtements (Comme sur la jaquette). Son rêve évolue à mesure qu'il s'en approche dans la réalité. C'est relativement drôle malgré le tragique des événements. Il s'en sort bien en poète amoureux. C'est un beau film qui ne laisse pas de repos dans ses dialogues qui sentent l'improvisation, donnant au tout un grand réalisme. La musique est superbe et les idées de certaines scènes sont excellentes et typiques du réalisateur ! Celle de l'appartement et l'achat du chariot pour une bouteille d'oxygène. Un très bon film. J'ai adoré la scène avec les américains qui m'a fait mourir de rire !
Le jeu d'acteur de Roberto Benigni est toujours aussi génial dans ce superbe film, qui raconte une belle histoire d'amour avec beaucoup de poésie et d'humour sans sombrer dans des clichés cuculs. Nous y passons du rire aux larmes avec facilité tout en étant maintenus en haleine jusqu'à la fin.
La confirmation est toujours ce qu'il y a de plus difficile... Si Roberto Benigni avait ému et donné le sourire au monde entier avec "La vie est belle",il n'en est pas de même avec "le tigre et la neige"(2004). La formule est quasiment la même:un protagoniste lambda se découvre un courage insensé en temps de guerre,le tout sur une poésie omniprésente. Le problème,c'est que Benigni a perdu tout son naturel. On sent qu'il force à tirer les larmes,et aussi que son narcissisme pèse sur toute cette oeuvre,qui s'intéresse finalement très peu à la Guerre en Irak. Il s'agit plus d'une ode à la femme de sa vie:Nicoletta Braschi. Sympathique,mais coupé du monde réel,et des plus opportunistes.
Un film poétique à souhait, qui sur bien des points fait penser à "la vie est belle" (sans pour autant atteindre le même niveau). Un Roberto Benigni devant et derrière la caméra, qui comme à son habitude déborde d'énergie (cette fois probablement un peu trop). Une jolie histoire toute naïve... Dans le bons sens du terme.