Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Marc Taton (Belgique)
34 abonnés
677 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 19 décembre 2024
Un classique qui a certainement inspiré des films comme Jurassic Park ou encore Terminator...Une très bonne réalisation, même si il faut bien l'avouer, le film a un peu vieillit surtout du côté des effets spéciaux, mais bon il date tout de même de 1974. Yul Brynner dans un rôle de cow boy robot glacial, rien que ça vaut le détour, le film ne comporte aucun temps mort et on ne se surprend pas à regarder sa montre, pas de longueurs inutiles et une histoire captivante . A noter qu'une série télévisée dérivée à vu le jour en 2016.
Pas mal pour l'année 1973. Idée intéressante de mélanger haute technologie, plongée dans le passé via de multiples robots mélangeant réalité virtuelle et réalité vraie. C'est très inventif et loufoque à souhait.
Mondwest (ou Westworld) est un film réalisé et scénarisé par le romancier à succès Michael Crichton à qui on doit Jurassic Park, Congo, La Variété d'Andromède, Dent de dinosaure,...
Ce petit film est juste une petite pépite sur l'histoire et le décor. Crichton était en avance sur son temps car c'est le 1er film à intégrer la CGI, il faudra attendre 11 ans avant que son idée se fasse voler par James Cameron pour son Terminator.
Malgré cette idée géniale à qui je donne les 4 étoiles, le film possède plus de défauts que de qualités. On ne va pas se mentir, Crichton à la caméra ça ne marche pas. Par contre je trouve qu'il se ratrappe dans les 20 dernières minutes lors de cette spoiler: longue et courte course poursuite. auquel j'ai ressenti un stress grâce à cette ambiance, spoiler: sans parole, une musique non marquante mais qui fonctionne, les bruits, un Yul Brynner parfait comme antagoniste. . N'empêche que le scénario reste léger, les personnages n'évoluent pas, les dialogues sont faibles.
Comme dans Jurassic Park, Crichton critique les dangers de la création humaine via la technologie uniquement pour la cause du "divertissement"
40 ans avant la série qu'il a inspiré, le film de Michael Chrichton peine à convaincre. Notamment en raison d'un jeu d'acteurs médiocre (à l'exception de Yul Brunner) et d'une défaillance des robots qui tombe comme un cheveu sur la soupe. Il est toutefois amusant de constater que Chrichton avait imaginé Terminator (Yul Brunner) et Predator (la vue du robot) des années avant leurs films respectifs.
En 1973, l’écrivain Michael Crichton réalise son premier long-métrage. Grâce à un scénario inventif pour l’époque, ce film mélange les thèmes du western et de la science-fiction dans une vision dystopique de notre société. Au sein d’un parc d’attractions recréant des univers anciens, les robots d’apparence humaine se détraquent et viennent perturber les fantasmes des visiteurs. Certes, le manque de rythme et la mise en scène laborieuse empêchent de consacrer ce film au rang d’un chef-d’œuvre. Néanmoins, il dégage un parfum novateur et troublant à l’image de Yul Brynner, dans un rôle précurseur de Terminator aussi taiseux qu’Arnold Schwarzenegger. Bref, une œuvre étonnante dont la trame scénaristique inspirera la série télévisée « Westworld ».
Alors que vaut ce film qui a inspiré la série Westworld ? Eh bien c'est vraiment bien, bien qu'un peu "tchip" parfois. On a pas la prise de tête de la série (je n'en suis pas le plus grand fan) et pourtant la grande part des thématiques sont là. Le scénario original est évidemment le gros point fort du film, mais niveau tension on est pas en reste non plus avec cette poursuite finale qui rappelle Terminator, Yul Brynner étant à 100% crédible et même flippant. De bout en bout, une vraie réussite sous estimée !
l'idée est très originale. on peut le ressentir moins à notre époque parce que tant a été fait depuis. mais le film se tient encore. yul est impressionnant. le 1er terminator
Un des classiques du cinéma d'anticipation des 70's. Même si l'ensemble est un poil kitsch et que le propos n'est pas très profond, le postulat de base est bien amené. Les androïdes de parc d'attraction pètent un câble et soudain rien ne va plus pour les touristes !. D'ailleurs, Yul Brinner en robot armé de sa vue subjective pixellisée fout les boules et la partie course poursuite est la plus réussie du métrage. Alors oui, évidemment, James Cameron a du visionner "Mondwest" avec intérêt quand on voit la fin et la perspective de ce rétro futur déjà angoissant.
La première parti du film est géniale . On se retrouve dans une simulation de 3 époques différente où l'on peut faire ce que l'on souhaite sans que ça n'est d'importance . Braquer la banque , tuer le shérif , faire une baston générale dans un salon ou encore se battre à l'épée tout est possible .Et franchement c'est super bien réalisé et n'y prend gout assez rapidement. spoiler: Mais après quelque soucis des robots qui peuplent les différents monde , ils deviennent incontrôlable et la fiction rattrape la réalité et la mort est bien réelle. La seconde partie est un peu décevante comparé à la première mais j'ai bien apprécié !
Merci à Arte d'avoir diffusé ce film de M. Crichton. J'avais découvert Westworld au travers la série, série que j'avais apprécié mais moyennement. J'avais envie de voir le film original et je pensais qu'il y a avait un livre au départ sachant que Crichton est avant tout un écrivain mais apparemment non. Le film souffre de son âge il faut le dire. Il aurait mérité aussi un meilleur scénario. Les choses vont un peu vite. Un suspens ménagé, afin de créer une ambiance, aurait été mieux.
« Mondwest » fait partie de ces films que j’ai vu quand j’étais jeune et qui m’ont marqué. Les revoir trente ou quarante après m’oblige, néanmoins, à penser que certains ont plutôt mal vieilli. J’avoue que j’aurais aimé être dans la tête de Michael Crichton pour me délecter de son imagination débridée. Romancier très intéressant, on ne peut pas dire que c’est un génie de la réalisation. Dommage, car le thème de « l’Intelligence Artificielle » est totalement ignoré dans ce film qui manque de souffle et d’ambition. On a l’impression que le réalisateur s’amuse à regarder ses acteurs qui, hormis Yul Brynner, ne brillent pas par leur présence. Je pense que la force du film réside ce personnage de cow-boy-robot-tueur, impassible, vide d’émotion et fixé vers son objectif. Le choix de Yul Brynner est génial. Pour creuser le sujet, il faut voir les deux premières saisons de la série TV « Westworld » qui développe avec brio les thèmes à peine effleurés par Michael Crichton : la soumission des machines à l’homme (violence gratuite, négation des droits, asservissement sexuel…). Chez Crichton, c’est visiblement un « virus » (mais on n’en sait pas plus) qui corrompt les robots, pas la prise de conscience de leur propre existence.
Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
Film de science fiction de 1973 d’une modernité et originalité incroyables. Bien meilleur que bon nombre de films de SF actuels !! Des robots ont été créés sous forme humaine pour les plaisirs des hommes et femmes venus se diverter dans le parc d’attractions à l’époque de leur choix. Mais un beau jour les robots se rebellent et la situation vire au cauchemar. Le scenario est grandiose, la reconstitution au sein du parc est superbe. Quant aux robots, Yul Brynner en tête, ils prennent progressivement le pouvoir et deviennent terrifiants.
Ce film a marqué mon adolescence. J'étais un peu craintif en le revoyant l'autre soir, quasi 40 ans après sa première vision. Peut-être qu'un jeune d'aujourd'hui trouverait ça ringard et lent. Moi, j'ai retrouvé mes sensations de la première fois, liées en particulier à une idée de départ très forte. Je n'avais sans doute pas saisi à l'époque tout ce que le film dénonçait.
Quand un monde sophistiqué, créé pour le loisir immersif de touristes fortunés, se dérègle, plus rien ne va et ceux qui étaient là pour se distraire, connaissent l'angoisse. En cinquante ans, si les effets spéciaux ont beaucoup progressé, l'idée à la base du film reste pertinente et le suspense bien présent.