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    Les Chaussons rouges
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    69 critiques spectateurs

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    Xavier VIRELY
    Xavier VIRELY

    2 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mai 2024
    Si le ballet vous plaît, jetez-vous sur ce film qui en comporte de très belles scènes.

    L'ensemble jouit d'une belle photographie et semble plutôt moderne dans son approche.
    Albert
    Albert

    4 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 avril 2024
    il y a le charme de l'époque, de belles couleurs et de jolis moments mais c'est globament très long et le film a mal vieilli.
    Roger T.
    Roger T.

    148 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2023
    2 oscars, classé parmi les 10 meilleurs films de tous les temps par la presse française...waw! Mais j'ai dû m'y reprendre à 4 fois pour arriver au bout de ce drame romantico-musical.
    Oui, il y a cette séquence de 20 minutes de ballet qui est bien troussée, oui pour l'époque ça pouvait sembler novateur (style musical, style de ballet) et puis il y a un scénario homéopathique, certains acteurs qui surjouent à fond, une imagerie de la côte d'azur sortie tout droit d'un catalogue de vacances des années 50, des bons sentiments, une fin heureuse.
    Bref un film à réserver aux amateurs de chromos vintage et aux insomniaques (très efficace)
    Charlotte28
    Charlotte28

    98 abonnés 1 783 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2023
    Une plongée lucidement amère, cruelle dans le quotidien d'une troupe de ballet dont les sacrifices, l'engagement, la passion créent néanmoins pour le public et les artistes mêmes des moments fascinants, suspendus. A travers le conte des souliers rouges ou la musique emblématique du Lac des Cygnes s'incarne la douloureuse réalité d'une danseuse étoile, vouée à consacrer son corps mais aussi son âme à son talent, quitte à en mourir... Porté par une enivrante musique, des acteurs impliqués et une mise en scène fluide, ce drame de la passion s'abstient de tout moralisme, illustrant la folie ou le génie dans l'immodération ou l'intransigeance. De la violence d'un dilemme indécidable...
    Dora M.
    Dora M.

    50 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2022
    Vicky (Moira Shearer) et Julian (Marius Goring) sont engagés dans la troupe de ballet du renommé Lermontov (Anton Walbrook), respectivement en tant que danseuse et compositeur. Lermontov est très exigeant. Il décide de monter le ballet “Les chaussons rouges” avec Vicky comme danseuse principale.
    Pour l’époque, j’ai trouvé très réussi l’esthétisme des effets spéciaux, ils sont très bien faits, la façon de filmer est moderne. Les scènes de ballet sont magnifiques, en particulier le déroulement des “Chaussons rouges”. Les personnages sont approfondis. Seul petit regret : le scénario ne présente pas énormément de bouleversements / surprises.
    stans007
    stans007

    18 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 septembre 2021
    Une superbe variation autour du conte d’Andersen avec une mise en scène particulièrement inventive : un imprésario caractériel décrète l’incompatibilité de l’Art et de l’Amour, surtout quand il s’agit de la danseuse qu’il convoite (?). Cela donne un spectacle de danse d’anthologie, avec des plans et des effets spéciaux sublimes, des virées à Londres, Paris et Monte-Carlo, et un scénario qui s’intensifie crescendo jusqu’au drame final. Seuls points faibles : le film met du temps à démarrer, avec un humour parfois benêt.
    La mise en scène est d’avant-garde, sauf la scène à l’hôtel où les amoureux dorment dans des lits séparés : un film actuel estimerait indispensable de donner des détails précis sur la façon dont ils s’accouplent.
    Yalfy
    Yalfy

    1 abonné 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2021
    Un formidable mélo sur la danse classique qui a influencé Black Swan.des images magnifiques.La Côte d' azur des années 40.Inspiré d' Andersen, des acteurs excellents, un drame de l' ambition et de la jalousie
    Redzing
    Redzing

    964 abonnés 4 320 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 décembre 2020
    "The Red Shoes" évoque l'histoire d'une troupe de ballet qui adapte le conte éponyme d'Andersen, et se centre sur trois protagonistes : une talentueuse danseuse qui a un gros potentiel, un jeune compositeur plein d'assurance et d'énergie, et le producteur qui les prendra sous ses ailes, quitte à tenter de les contrôler. L'histoire de ces chaussures rouges, consumant l'énergie de celui qui les porte pour danser, trouvera alors un écho dans la vie de ces personnages... Ce qui frappe avec ce film, comme avec beaucoup d’œuvres de Powell & Pressburger, c'est sa saisissante modernité, et sa grande inventivité. Très jolies couleurs, découpage dynamique à souhait, plans très inspirés dont plusieurs scènes vraiment marquantes : le film est sublime. Le "clou" étant bien sûr cette séquence centrale, qui commence comme un ballet classique, pour s'orienter vers une scène dantesque qui mêle des techniques d'opéra et de cinéma (dont plusieurs trucages très originaux pour l'époque), et qui donne son sens au film. Celui-ci aborde en effet les thèmes de la manipulation, du pouvoir, mais surtout de la dualité des artistes, pris en étau entre une volonté d'éprouver des sentiments comme quiconque, et une ambition de brûler par leur art. Des sujets traités avec finesse par un scénario qui propose lui aussi certains choix étonnants (des histoires d'amour abordées en non-dits et en ellipses !). Enfin, Anton Walbrook et Marius Goring sont convaincants dans leurs rôles respectifs de producteur froid et contrôleur, et d'auteur enflammé. Mais c'est surtout Moira Shearer qui tient la vedette. Elle-même danseuse professionnelle, elle convient à merveille pour son premier rôle au cinéma, en incarnant cette danseuse dont l'innocence est l'énergie seront menacés par un cruel dilemme. "The Red Shoes" est donc une belle réussite, et un classique du cinéma britannique.
    Nico Razon
    Nico Razon

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2020
    Ce film, chef d'œuvre absolu, fait partie de mon top 5. Le ballet central est sublime. Certains de mes amis ont eu du mal à admettre que l'actrice principale est aussi la danseuse : mais si, pourtant !
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    234 abonnés 1 602 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mai 2020
    Le scénario s'inspire à la fois du conte éponyme d'Andersen et de l'histoire de Diaghilev, fondateur des Ballets russes, célèbre imprésario, qui a notamment participé à l'ascension de Nijinski avec lequel il entretenait une relation trouble. Ce scénario est constitué de subtils entrelacs entre l'histoire première, celle de la ballerine, du compositeur et de leur mentor, et l'histoire des Chaussons rouges, le ballet qui se crée sous nos yeux, la fiction dans la fiction. Entrelacs qui se concrétisent au niveau de la réalisation en une expansion de l'espace scénique, en une transcendance de la scène par le cinéma, pour basculer, le temps d'un ballet magistral, dans une pure fantasmagorie, puis filer une thématique fantastique et tragique. Admirable construction dramatique et admirable réalisation, auxquelles il convient d'ajouter les autres qualités qui concourent à cette apothéose du film musical : l'interprétation (avec notamment l'élégant et méphistophélique Anton Walbrook, bien servi par un texte ciselé, et la gracieuse Moira Shearer, alors étoile montante de la danse classique), la photographie de Jack Cardiff (extraordinaire travail sur la lumière et les couleurs du Technicolor), la composition musicale de Brian Easdale, la direction artistique d'Arthur Lawson, les décors et costumes signés Hein Heckroth, le montage de Reginald Mills… Voilà qui fait de ces Chaussons rouges un spectacle d'une beauté et d'une intensité impressionnantes. C'est aussi un mélo flamboyant, ainsi qu'une belle réflexion sur l'art et la vie, avec une évocation très juste du monde de la danse classique. Bref, un film-somme, tout d'intelligence, de créativité et d'émotion. D'une noirceur magnifique sous ses couleurs chatoyantes. Et ponctué d'une idée géniale de ballet sans ballerine, de ballet avec la mort. Idée qui laisse, comme le film, un souvenir impérissable.
    Emmanuelle Verhoeven
    Emmanuelle Verhoeven

    2 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mai 2020
    chef d'œuvre, le technicolor, pour une fois, y a toute sa place. Film magnifique, la scène de la danse est absolument sublime, d'un très grande beauté !
    jean-marie r
    jean-marie r

    3 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juin 2019
    J'avais entendu monts et merveilles à propos de ce film, j'en attendais monts et merveilles. Bof ! Je trouve que c'est bien, mais que ça casse pas trois pattes à un canard. L'histoire est intéressante, mais y a pas de quoi se relever la nuit. Ce film a l'air vieillot. Pire : au risque de me faire brûler comme hérétique, je n'aime pas les couleurs, criardes et bizarres, et la mise en scène et la technique, paraît-il géniales, ne m'ont pas spécialement impressionné. Le ballet principal est toutefois costaud, même s'il n'est pas au niveau de celui d'Un Américain à Paris.
    Wagnar
    Wagnar

    67 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2018
    Michael Powell et Emeric Pressburger ont rencontré un de leurs plus grands succès avec ce film original et flamboyant auquel ils ont su insuffler un lyrisme et une splendeur visuelle qui transcendent ce que le récit peut avoir de mélodramatique. Les deux compères marient une observation réaliste d'une grande justesse (le monde du ballet a-t-il été mieux décrit au cinéma ?) à un climat onirique qui se mêle de fantastique, donnant naissance à une poésie de grande qualité. Mais on est également touché par cette tragique histoire romantique et de passion destructrice et par son importante réflexion sur l'art et les sacrifices qu'il impose. La longue partie centrale consacrée à la création du ballet est une merveille d'invention, de fantaisie et d'audace chromatique et fut très imité dans les comédies musicales hollywoodiennes à venir notamment par Minnelli. Pour son premier rôle, Moira Shearer, pleine de grâce et de fraicheur, fait merveille aussi bien en débutante mal assurée qu'en star acclamée. Un grand classique du cinéma qui conserve intact sa fraîcheur, mais en raison du fait qu'il soit un peu trop long et qu'il contienne plusieurs longueurs, je n'irais pas jusqu'à le qualifier de chef-d'oeuvre absolu. Et contrairement à ce que dit Martin Scorcese, ce n'est pas pour moi le meilleur film en Technicolor, j'estime que d'autres films méritent cette place (Autant en emporte le vent, le Magicien d'Oz, Quo Vadis, Ben-Hur…)
    selenie
    selenie

    5 577 abonnés 6 047 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juillet 2017
    Réalisateurs-scénaristes-producteurs, Emeric Pressburger et Michael Powell forment un des plus talentueux duos du cinéma ils sont notamment connus pour leurs films d'auteurs prestigieux comme "Colonel Blimp" (1943), "Le Narcisse Noir" (1947) et "Les Contes d'Hoffmann" (1951)... Cardiff est d'une importance capitale tant la beauté plastique du film est éblouissante avec un des technicolor les plus sublimes du cinéma. Saga mélomane et tragique on reste pourtant assez éloigné du conte originel de Andersen et surtout il manque le côté "fantastico-magique" du conte.
    Site : Selenie
    Estonius
    Estonius

    2 621 abonnés 5 282 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juin 2017
    Un classique ça ? Laissez-moi rire ! le scénario est aussi inintéressant que prévisible, le rythme n'existe pas (à moins de considérer l'ennui comme un rythme), la musique est quelconque, la chorégraphie n'a rien d'exceptionnelle, les acteurs vont du passable au mauvais (à l'exception d'Anton Walbrook)., certains dialogues sont consternant (voir le début dans la salle). Constamment la mise en scène est mise en avant au détriment de l'intelligence de l'action (voir la scène de l'escalier au début, merveilleusement filmée mais absurde.) Enfin quand on se veut un rigoriste de la mise en scène on ne remplace pas un melchior de champagne (18 litres donc 18 kilos) par une bouteille en papier qu'on croit sur le point de s'envoler. Alors oui par moment la mise en scène est géniale, mais elle reste au service d'une histoire fadasse dont on se contrefout. Powel réalisera trois ans plus tard "les comtes d'Hoffman", et là ce sera un chef d'œuvre, et pourquoi ? i parce qu'Offenbach c'est quand même autre chose qu'Andersen.
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