Mon compte
    Les Chaussons rouges
    Note moyenne
    4,3
    939 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Chaussons rouges ?

    72 critiques spectateurs

    5
    26 critiques
    4
    22 critiques
    3
    12 critiques
    2
    4 critiques
    1
    5 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    ygor parizel
    ygor parizel

    239 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2012
    Une première partie qui plonge le spectateur dans le monde dur du ballet (l'art en général). La seconde est plus intéressante et commence avec le ballet (Les Chaussons rouges) la succession des plans est splendide et voyage entre réalité et imaginaire, au niveau de la danse c'est impressionnant. La fin est plus mélodramatique, pas mal de scènes brillantes mais aussi des passages moins prenants.
    belo28
    belo28

    68 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mars 2011
    Que dire de ce chef d'oeuvre? Parler des plans et des idées de mises en scène nous prendrait une vie entière, vu que chaque plan renferme une idée de mise en scène! Rien n'est gratuit, tout est pensé! Et ce ballet, ce fabuleux ballet qui sert d'interlude à ce merveilleux film où l'horreur du monde du spectacle se comprend dans la beauté du spectacle même! Un technicolor renversant une maitrise du cadre et du langage cinématographique a couper le souffle! Bref, un grand un très grand chef d'oeuvre du cinéma!!
    totoro35
    totoro35

    102 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2011
    Une oeuvre flamboyante et baroque, superbement mise en scène par le duo Powell / Pressburger, relecture fantasmagorique d'Andersen, comptant également une des séquences les plus mémorables du septième art.
    oneosh89000
    oneosh89000

    38 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2011
    "The Red Shoes" est bien plus qu'un simple chef d'oeuvre. C''est un monument. Avec un aspect technique et visuel hallucinant, gràce à la Technivision qui donne un esthétisme au film jamais vu, chaque image est un régal pour la pupille, vraiment impressionnant pour un film de 1948 , merci la restauration. Pour ce qui est du film en lui même , que dire, mais que dire devant une telle maîtrise cinématographique? Le cinéma est totalement dépassé , nous sommes spectateurs d'un véritable ballet où nous pouvons rester béa devant une scène de dix sept minutes de danses MA-GIS-TRALES autour d'une danseuse professionnelle, Moira Shearer. Les trucages visuels sont étonnamment au rendez vous , et dimensionnent cette fameuse scène où les spectateurs sont remplacés par de déferlantes vagues. En plus d'être un magnifique film au dramatisme montant, ce long métrage est le plus beau film sur l'Art de la danse, il est sûr et certain que rien ne l'égalera. Réflexion sur l'alliage des sentiments et de la réussite, les producteurs à l'époque avaient prédit un échec retentissant, il sera tout le contraire remportant même deux oscars. Anton Walbrook ne joue pas mais EST Lermontov, inspiré d'un directeur russe, chef de ballet au coeur noir, renforce le film d'un pessismisme logique. Il est indéniable que ce monument du septième art est un indispensable. Inoubliable.
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2011
    Œuvre passionnante, les Chaussons Rouges est un film parfait niveau technique (Technicolor, mise en scène.. ) accompagnée par une superbe musique (Swan Lake...). Un peu long, et à plutôt mal vieilli dans le traitement de l'histoire. Une fin terrible, un très bon film qui à inspiré beaucoup de chef d'œuvres contemporains.
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2011
    Je n'ai pas été spécialement captivé par le sujet du film. Pas que c'était inintéressant, mais ça ne m'a pas plus que ça emballé, enfin disons que c'est surtout l'aspect technique qui m'a intéressé.
    En effet, au niveau de la mise en scène et de la photographie j'ai trouvé ça très réussi. Il faut le reconnaître, c'est très bien filmé et visuellement parlant c'est très gratifiant. Certaines scènes sont remarquables. Je pense que si j'avais plus accroché au scénario j'aurais pu mettre une note encore supérieure car techniquement c'est quand même vraiment très réussi.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2011
    Une jeune danseuse, Victoria Page, s’arrange pour rencontrer à la faveur d’une réception le célèbre chorégraphe et directeur de ballet Boris Lermontov. Tout d’abord agacé de se sentir approché par une jeune ambitieuse, Lermontov ne tarde pas à interroger la jeune femme : « Pourquoi voulez-vous danser ? » Et cette dernière de répondre du tac au tac : « Pourquoi voulez-vous vivre ? » Emblématiques de ce qui serait un archétype du personnage powellien, ces deux répliques, mentionnées d’ailleurs par Martin Scorsese lors de la présentation du film à Cannes, résument à elles seules les principaux enjeux des Chaussons rouges. Peut-on vivre et créer ? Comment choisir entre deux axes de vies qui semblent devoir s’exclure tragiquement ? Peut-on échapper aux conséquences d’un destin que l’on s’est parfois choisi . Initiateur et metteur en scène sur leurs différents projets (Pressburger s’étant surtout chargé du travail d’écriture), Powell n’aura cessé, tout au long de sa carrière de dessiner des personnages tiraillés entre deux possibles antinomiques : la vie ou la mort, Dieu ou la vie charnelle ou encore l’ambition et l’amour. Héroïne powellienne par excellence, la jeune Victoria Page, qu’incarne avec une fougue lumineuse la danseuse Moira Shearer, se trouve rapidement prise dans un dilemme impossible : tombée amoureuse du brillant compositeur du corps de ballet, harcelée par Lermontov qui la rappelle sans cesse à la nécessité de se consacrer entièrement à son art, la jeune femme gagnera en célébrité sans pour autant trouver la demi-mesure qui pourrait la sauver.
    Au cœur du film et comme pour figurer structurellement la déchirure du personnage, un inoubliable ballet de dix-sept minutes vient offrir un écho fantasmatique au récit général, aux rêves et aux terreurs de l’héroïne. Victoria Page danse alors l’histoire du conte d’Andersen « Les Souliers rouges » : une jeune femme trouve une paire de souliers qui lui plaisent infiniment, elle les enfile et se met à danser, heureuse et légère, jusqu’au bout de la nuit. Puis, exténuée, la jeune femme tente de s’arrêter ; mais les chaussons ne sont pas fatigués, et ils continuent de danser, interminablement...
    Film référence de Scorcese, De Palma ou Coppola ; je ne l’ai regardé simplement pour repérer les influences qui ont trouvé ces 3 grands pour en faire un de leur film phare. De Palma s’en est fortement inspiré dans son « Phantom of paradise » ; Coppola a construit son « Tetro » comme ce film ; Scorcese se dit hanter par la puissance du technicolor de ce film qu’il essaie de reproduire dans ses films.
    A voir pour la leçon d’histoire du cinéma… car le film a plus de 60 ans et a un peu vieilli…
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2011
    Il y a des films comme ça, qui sont uniques en leur genre et sont une expérience unique de cinéma intense et bouleversante. "Les chaussons rouges" fait partie de ce genre de film (rare mais précieux). La mise en scène et le Technicolor sont superbes, atteignant un niveau bluffant dans la scène centrale du ballet. Si l'interprétation est excellente, c'est Anton Walbrook qui sort du lot en composant un directeur de ballet tyrannique mais profondément humain. Un chef-d'œuvre unique vraiment bouleversant.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2010
    Voyant ce film si vanté pour la 1ère fois, je suis déçu. .Niaiserie de péripéties dignes du muet, mais filmées en 1947, acteurs médiocres, les hommes surtout, côté gominé de tout ça, ballet seulement pas mal quand on pense à ceux de Minelli (un américain à Paris! par exemple), musique très quelconque. Mais le conflit très littéraire entre l'Art exclusif et l'Amour, voilà de l'eau au moulin des critiques et des gens qui pensent...
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 058 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 décembre 2010
    Il y a des films comme ça qui ne se limite pas au cinéma, qui explore l'art, les contes, la danse, la musique, pour proposer quelque chose d'unique au cinéma, mais même plus qu'unique au cinéma, quelque chose qui ne peut exister qu'au cinéma. Si l'histoire est "classique", un conte en somme (mais faut voir le traitement de l'histoire, c'est pas du n'importe quoi), mais c'est tellement bien foutu, tellement bien mis en scène, tellement inventif, tellement peu académique, qu'on tombe sous le charme et qu'on ne peut plus s'en relever.
    Si le clou du spectacle est la scène de bal, ça n'est clairement pas le seul intérêt du film, on a sans doute l'un des meilleurs personnages de cinéma, le méchant le plus humain, ce qui le rend plus horrible encore.
    Le seul défaut du film c'est que l'apogée du film est au milieu, et que le film ne peut plus atteindre un tel niveau, d'ailleurs rien ne peut plus atteindre un tel niveau, cette scène de bal est absolument somptueuse, d'une magnificence jamais atteinte, d'une beauté pure et gracieuse, tout en étant effrayante…
    Peut-être le film le plus beau de tous les temps, le plus audacieux, le plus intéressant…
    TCovert
    TCovert

    78 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2010
    Les Chaussons Rouges est un film des metteurs en scène Michael Powell et Emeric Pressburger racontant l’histoire d’une danseuse et des choix difficiles qu’elle a à affronter. Le film propose ainsi une jolie réflexion sur le métier de l’artiste et les sacrifices qu’il doit faire pour mieux accomplir son art. Le trio d’acteur principal est très bon, certains seconds rôles un peu moins, mais globalement le film est merveilleusement interprété. La mise en scène est superbe et se déploie pleinement dans la fameuse scène du ballet, très réussie. Le problème de ce film est qu’il aborde quand même principalement le sujet de la danse et de surcroit la danse classique ce qui aura pour effet d’en faire fuir plus d’un, moi-même n’accrochant pas tout le temps. Un film rare tout de même, qui mérite le détour au moins une fois.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 septembre 2010
    chef d'oeuvre complet : le scenario, la photo, les jeux d'acteurs, les décors, les acteurs .
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    205 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Tres beau film de Michael Powell et Emeric Pressburger, joliment interprété et rythmé par de la belle musique, "Les Chaussons Rouges" est malheureusement trop lent. Il faut reconnaitre que la réalisation est magistrale, c'est filmé a la perfection, c'est tres plaisant, avec en plus de ca, un Technicolor magnifique, mais certaines scènes (comme lcelle du ballet "Les Chaussons Rouges", qui est tres intéressantes, mais affreusement longue) trainent beaucoup trop. Ca n'en est pas moins une oeuvre passionnante et passionnée, avec des acteurs et une mise en scene brillante !
    Maqroll
    Maqroll

    157 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 juin 2010
    Un film de danse incroyablement surfait (on le présente parfois comme le chef-d’œuvre de Michael Powell), emphatique, hystérique, aux limites de l’insupportable. Je ne suis même pas sûr que les amateurs de danse puissent apprécier ce fourbi tant le scénario présente des faiblesses criantes, étonnantes de la part du duo Powell – Pressburger. L’interprétation est au diapason de la mise en scène : les acteurs surjouent (et pour certains cabotinent) comme les réalisateurs en font trop avec leur recherche apprêtée sur des couleurs qui n’ont plus rien de naturel et sont très loin de pouvoir symboliser la vie. La fin est invraisemblable et surtout si mal racontée qu’elle en devient ridicule. Une étoile pour le travail accompli (comme on disait à l’école 1/20 pour l’encre !)
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 mai 2010
    Vicki Page, Julian Crasner et la danse (dont la représentation physique est Boris Lermontov) : voila le triangle amoureux particulier que mettent en scène Michael Powell et Emeric Pressburger dans ce film illustrant le conte d' Andersen. Si un prix de mise en scène devait être décerné à un film, il est certain que The Red Shoes serait un très bon candidat qui n'aurait pas à rougir d'être ce qu'il est. Plus qu'un mélodrame, les réalisateurs et scénaristes ont réussi à donner une dimension quasi philosophique à ce film, véritable réflexion sur l'art et surtout sur la relation entre l'être et l'art. La vision que donne le film n'est certes pas très optimiste puisque, pour ne pas avoir à choisir, l'héroïne préfère se donner la mort (ce qui était tout à fait prévisible), ce qui tend à confirmer les dires de Boris Lermontov : il n'est pas possible de concilier vie de couple, et "vie" artistique. Beaucoup de choses seraient opposables à cette appréhension : par exemple, que la vie amoureuse peut favoriser un véritable développement artistique, comme c'est le cas entre Vicki Page et Julian Crasner, l'une étant la muse de l'autre... Film sur l'amour, film sur l'art, film sur l'amour de l'art.
    Le film alterne séquences "classiques" et ballet. Ces dernières ne sont pas filmées d'une manière simpliste. J'entends par là que les réalisateurs ne font pas le choix de poser la caméra en un point et attendre que la partition se termine. Au contraire, il y a une véritable mise en scène, riche et complexe. Ainsi, ces passages dansés nous plonges dans un univers onirique, véritable représentation visuel du ressenti de Vicki.
    Le film, malgré la mort convenu de l'héroïne, se termine sur une note intéressante : the show must go on, affirmant ainsi une certaine supériorité, ou au moins primauté, de l'art.
    Je n'ai qu'une reproche vis-à-vis de ce film. Certaines séquences, notamment celle de la représentation des chaussons rouges, tirent un peu en longueur, cassant un peu le rythme du film.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top