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La magie est de retour !
Deux ans après avoir « spoiler: abattu Air America
» à Los Angeles, Martin Riggs et Roger Murtaugh s'attaquent à un autre gang fasciste : spoiler: les suprémacistes blancs sud-africains ; des Nazis narcotrafiquants qui se cachent derrière leur immunité diplomatique
.
Dans ce deuxième épisode, Martin découvre un spoiler: nouvel intérêt amoureux incarné par la douce et adorable Patsy Kensit. Et Joes Pesci est introfuit en tant que Leo Getz, un acolyte comique de génie
.
Une suite qui est un spoiler: grand film antifasciste et antiraciste, et un des meilleurs de 1989 (une riche année cinématographique)
.
4.8/5
Deux ans après avoir « spoiler: abattu Air America
» à Los Angeles, Martin Riggs et Roger Murtaugh s'attaquent à un autre gang fasciste : spoiler: les suprémacistes blancs sud-africains ; des Nazis narcotrafiquants qui se cachent derrière leur immunité diplomatique
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Dans ce deuxième épisode, Martin découvre un spoiler: nouvel intérêt amoureux incarné par la douce et adorable Patsy Kensit. Et Joes Pesci est introfuit en tant que Leo Getz, un acolyte comique de génie
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Une suite qui est un spoiler: grand film antifasciste et antiraciste, et un des meilleurs de 1989 (une riche année cinématographique)
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4.8/5
L'Arme fatale 2 – Riggs, Murtaugh, et Pesci en mode "Die Hard" sur l'apartheid
Si vous pensiez que L'Arme fatale premier du nom était déjà une tuerie, L'Arme fatale 2 débarque comme un missile sol-air. Mel Gibson est toujours aussi barré qu'un Joker sous stéroïdes, et Danny Glover balance des "I’m too old for this shit" comme un daron qui découvre TikTok. Le duo explose tout, littéralement et figurativement.
Joe Pesci entre dans la danse et transforme le duo en trio infernal. Son personnage, Leo Getz, est un condensé de mauvaise foi et de punchlines à te faire pleurer de rire. Pesci, c’est le genre de mec qui peut t’expliquer comment contourner la loi fiscale tout en déclenchant une baston dans un fast-food.
Rien que l’idée de faire des Afrikaners le grand méchant, c’est du génie. Ces types-là ont une immunité diplomatique, mais Riggs et Murtaugh s’en foutent royalement. Si L’Arme fatale 2 avait un slogan, ce serait : "Pas de paperasse, juste des mandales." Ces méchants-là, c’est comme des boss de fin de niveau, sauf qu’ils finissent tous dans un tas de fumée et de débris.
Richard Donner enchaîne les scènes d’action comme un DJ qui passe tes tracks préférés en soirée. Des courses-poursuites dans les rues de Los Angeles, des explosions à la pelle, et un climax final où tu te dis : "C’est quoi le budget pyrotechnique de ces mecs ?!" C’est du spectacle, du vrai, avec cette dose d'humour qui transforme chaque scène en grand moment.
La BO, c’est du lourd. Elle tape directement dans ton cerveau nostalgique avec des riffs qui te donnent envie de ressortir ta vieille guitare électrique. Chaque morceau accompagne parfaitement l’action, rendant chaque scène encore plus jouissive.
L’Arme fatale 2, c’est tout ce que tu attends d’un film d’action des 80’s : de l’humour, des explosions, et des dialogues à encadrer. Riggs, Murtaugh, et Leo Getz, c’est le trio que tu ne savais pas que tu voulais, mais dont tu ne peux plus te passer. Un classique absolu, à mater encore et encore, bière à la main.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Si vous pensiez que L'Arme fatale premier du nom était déjà une tuerie, L'Arme fatale 2 débarque comme un missile sol-air. Mel Gibson est toujours aussi barré qu'un Joker sous stéroïdes, et Danny Glover balance des "I’m too old for this shit" comme un daron qui découvre TikTok. Le duo explose tout, littéralement et figurativement.
Joe Pesci entre dans la danse et transforme le duo en trio infernal. Son personnage, Leo Getz, est un condensé de mauvaise foi et de punchlines à te faire pleurer de rire. Pesci, c’est le genre de mec qui peut t’expliquer comment contourner la loi fiscale tout en déclenchant une baston dans un fast-food.
Rien que l’idée de faire des Afrikaners le grand méchant, c’est du génie. Ces types-là ont une immunité diplomatique, mais Riggs et Murtaugh s’en foutent royalement. Si L’Arme fatale 2 avait un slogan, ce serait : "Pas de paperasse, juste des mandales." Ces méchants-là, c’est comme des boss de fin de niveau, sauf qu’ils finissent tous dans un tas de fumée et de débris.
Richard Donner enchaîne les scènes d’action comme un DJ qui passe tes tracks préférés en soirée. Des courses-poursuites dans les rues de Los Angeles, des explosions à la pelle, et un climax final où tu te dis : "C’est quoi le budget pyrotechnique de ces mecs ?!" C’est du spectacle, du vrai, avec cette dose d'humour qui transforme chaque scène en grand moment.
La BO, c’est du lourd. Elle tape directement dans ton cerveau nostalgique avec des riffs qui te donnent envie de ressortir ta vieille guitare électrique. Chaque morceau accompagne parfaitement l’action, rendant chaque scène encore plus jouissive.
L’Arme fatale 2, c’est tout ce que tu attends d’un film d’action des 80’s : de l’humour, des explosions, et des dialogues à encadrer. Riggs, Murtaugh, et Leo Getz, c’est le trio que tu ne savais pas que tu voulais, mais dont tu ne peux plus te passer. Un classique absolu, à mater encore et encore, bière à la main.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
L’addition de Joe Pesci bonifie le duo Danny Glover/Mel Gibson dans un film policier qui alterne humour et drame.
Ça commence sur les chapeaux de roues par une poursuite automobile infernale et ça continue au même rythme jusqu'à la fin. De l'action comme dans Mission Impossible avec de l'humour et de l'amitié en plus.
Un film pas mal.
Je ne vais pas cacher que j'ai mieux aimé ce volet que le premier! L'action est beaucoup plus présente et je dois dire que ça rend le film beaucoup plus plaisant!
Après, il rencontre quand même les mêmes problèmes à savoir le scénario trop maigre, les personnages pas assez mis en évidence...
Le film se concerne plus à nous mettre des explosions et des fusillades dans les yeux que de faire une histoire un peu plus poussée.
À voir pour ses scènes d'action.
Je ne vais pas cacher que j'ai mieux aimé ce volet que le premier! L'action est beaucoup plus présente et je dois dire que ça rend le film beaucoup plus plaisant!
Après, il rencontre quand même les mêmes problèmes à savoir le scénario trop maigre, les personnages pas assez mis en évidence...
Le film se concerne plus à nous mettre des explosions et des fusillades dans les yeux que de faire une histoire un peu plus poussée.
À voir pour ses scènes d'action.
Une excellente suite à l'Arme Fatale avec Mel Gibson et Danny Glover dans leur tandem buddy movie. Joe Pesci apparait dans ce second volet.
Deuxième opus aussi bon que le premier et franchement ça fait du bien de revoir ce film. Une recette qui fonctionne.
soniadidierkmurgia
Après le succès phénoménal et somme toute inattendu de “L’Arme Fatale” en 1987 (rapportant 105 millions de $ soit huit fois son budget), la Warner entend très vite remettre le couvert, Mel Gibson étant alors au zénith de sa popularité. Tout ce qu’il touche se transforme en or et il faut vite en profiter avant que le soufflet ne retombe. On reprend donc la même équipe avec notamment Shane Black qui a crée les deux personnages de Martin Riggs (Mel Gibson) et de Roger Murtaugh (Danny Glover). Le scénario écrit par Black avec Warren Murphy ne convient pas du tout au producteur Joe Silver qui le trouve manquant de fantaisie et qui surtout en proposant la mort de Riggs met fin à ce qui s’annonce comme une juteuse saga. Impensable ! C’est donc Jeffrey Boam déjà intervenant en qualité de Script Doctor sur le premier épisode qui se charge de remettre les choses en ordre. Le personnage du comptable véreux joué par Joe Pesci destiné à accentuer l’aspect comique du film est largement développé pour ancrer cet “Arme fatale 2” dans l’esprit bon enfant voulu par Silver. Mais surtout le caractère volcanique et chien fou du flic névrosé joué par Mel Gibson est poussé à son paroxysme. De quoi affoler la gente féminine qui n’est pas insensible au charme du beau Mel. Le résultat ne se fait pas attendre. “L’Arme Fatale 2” rapporte deux fois plus d’argent que son prédécesseur. Cet opportunisme à tout crin qui caractérisait Joe Silver ne permet malheureusement pas à cet opus tout comme aux trois épisodes de voyager sans dommage à travers les trois décennies qui se sont écoulées depuis sa sortie sur les écrans. Les défauts du film pourtant largement détectables à l’époque sautent désormais aux yeux. L’intrigue plutôt classique pour le genre passe bien sûr au second plan et n’est pas le problème essentiel. C’est plutôt le cabotinage éhonté des sirs Gibson, Pesci et Glover qui est aujourd’hui insupportable. La palme revenant bien sûr à Mel Gibson en totale roue libre qui heureusement a pu montrer son talent dans d’autres films. Dans le genre du ”buddy movie”, on recommandera plutôt les sagas “Flic de Beverly Hills” ou “48 heures” mais surtout “Midnight Run” de Martin Brest avec Robert De Niro et Charles Grondin qui est un must.
Une suite tout aussi géniale que le premier film. L’Arme Fatale 2 signe le retour d’un des meilleurs duos de l’histoire du cinéma pour nous refaire passer un moment génial. Le duo Riggs-Murtaugh est toujours aussi hilarant, et l’arrivée de Léo Getz, incarné par le formidable Joe Pesci, apporte une touche supplémentaire d’humour qui fonctionne à merveille. Vu le niveau du premier film, il paraissait impossible de faire aussi bien, et pourtant le pari est réussi. L’Arme Fatale 2 est aussi mémorable et génial que le premier, et il est tout simplement impossible de ne pas aimer ce film.
Meilleure suite de cette saga, je ne sais pas si je préfère ce deuxième volet au premier. La saga devient à partir de ce film des comédies d'actions notamment grâce à un nouveau personnage joué par Joe Pesci. Mais ce film arrive à trouver le parfait juste milieu entre la comédie, l'action et le drame. Le film choisi de revenir sur le passé de Martin.
Le duo Danny Glover/Mel Gibson fonctionne toujours aussi bien. Comme le précédent, c'est un film culte !
Le duo Danny Glover/Mel Gibson fonctionne toujours aussi bien. Comme le précédent, c'est un film culte !
L'Arme Fatale 2 sans doute bien meilleur que son prédécesseurs plus de comédie, moins de scènes d'actions mais toujours aussi impressionnant , un duo qui reste totalement mythique et de très bon méchant. L'Arme fatale 2 est un pure divertissement on y passe par beaucoup d'émotions la joie, la colère il y a des scènes où on rigole comme il y a beaucoup de scènes touchante [ SPOILER] La scène dans les toilettes où Roger est pour lui tout près de quitter ce monde et les 2 personnages s'avoue leur grande amitié [ fin du Spoiler] . Il y a aussi le personnage de Léo qui est vraiment excellent et qui rajoute la dose de comédie qu'il manquait au film .
Meme si cela sent quelques peu le réchauffé, ce volet reste assez distrayant dans son ensemble. Pour les amateurs du style et de l'action en veux tu en voila.
Très bonne suite. Toujours de bons dialogues, de bonnes situations et de l’humour. Glover et Gibson toujours au top, Joe Pesci très bon aussi. Quelques sacrés souvenir : la maison sur pilotis, kafir, la pub de sa fille pour les capotes, les chiottes piégés, etc … etc … Largement aussi bon que le premier (même si ce numéro 2 faibli aussi sur la fin : moins d’humour et que de l’action).
Nettement meilleur que le premier opus, on retrouve ici le duo Riggs (Mel Gibson) et Murtaugh (Danny Glover). L'action est menée tambour battant et de manière délirante par Riggs, totalement imprévisible. Le tournage n'a pas dû être de tout repos pour l'acteur, même dans sa caravane avec Patsy Kensit : "comme on dit au baseball, batte en l'air !" (Et ce 5 fois de suite !). La critique de l'apartheid donne au film un caractère politique. Cependant malgré toute l'énergie dépensée, tout ça semble bien émoussé 34 ans après la sortie du film. Comme quoi un carton en 1989 ne garantit pas un succès plusieurs décennies plus tard. À (re)voir pour les fans de la saga et pour entendre quelque notes d'Eric Clapton.
Second opus parfaitement dans la lignée du premier, le binôme de policiers font des dégâts, de l action et de l humour, un style imité rarement dépassé
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