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NomdeZeus
94 abonnés
1 044 critiques
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4,0
Publiée le 29 mai 2012
Sans aucun doute l’épisode le plus abouti de la saga. À la fois le plus sombre, le plus profond et le plus drôle (l’arrivée tonitruante de Joe Pesci au casting n’y est sans doute pas pour rien). Le duo Riggs/Murtaugh fonctionne à plein régime et les scènes cultes s’enchainent (l’arbre à capotes, la bombe dans les toilettes…). Un film d’action comme on les aime!
J'apprécie cette suite presque autant que le premier. Toujours aussi nerveux avec quelques séquences fortes, le film n'en délaisse pas moins les instants d'humour et de second degré.
Ce film, second opus de la saga, confirme que ce tandem du buddy movie "Black-blanc" et "Vieux-jeune" est ce qu'il se fait de mieux... Après le premier volet voila le second aussi bon voir meilleur que le premier. Le duo de choc s'adjoint un uluberlu en la personne de Joey Pesci qui apporte un plus comique évident et relance la machine avant qu'elle se soit essoufler.
Un Classique!!! La bonne humeur entre acteurs transpire a l'ecran dans la série arme fatale. Le Top dans le style Comedie Action et ca marche toujours dans cette épisode. .A voir et a revoir!!!
De L'Arme Fatale 2, on retiendra la relative efficacité du duo Gibson/Glover et la BO d'Eric Clapton qui évoque insidieusement une innocente légèreté signifiant que ce film n'est pas à prendre au sérieux.
Cette suite est tout aussi enthousiasmante que le précédent opus, réservant son lot d'action et d'humour. Le duo Gibson-Glover fonctionne toujours aussi bien, les relations des deux personnages s'épaississant même. Et comme le scénario est réussi, et les scènes d'action efficaces, que demander de plus ?
Une suite réussi pour cette fois-ci une enquête de trafic de drogue en provenance d’Afrique du Sud. Le film démarre fort avec une course poursuite, avec aussi la scène excellente dans les toilettes avec la bombe et dans cette épisode Martin rencontre l'homme qui a tué sa femme. Le duo Mel Gibson et Danny Glover est toujours aussi efficace. Joe Pesci fait son apparition dans le rôle de Léo. Joss Ackland et Derrick O'Connor assurent bien dans leurs rôles de méchants. Un bon divertissement.
La fin des années 1980 pourrait être considérée comme l’apogée du buddy movie old school, avant que d'autres réalisateurs reprennent le genre au cours des années 1990 (Michael Bay, Brett Ratner...). Une des forces de ces films est la possibilité d’offrir aux spectateurs des suites (" 48 Heures ", " Bad Boys ", " Rush Hour ") qui misent sur le concept « bigger and louder ». De 1988 à 1991, beacoup de ces films sortiront au cinéma. Tout cela nous amène à " L’Arme Fatale 2 ", qui se distingue sensiblement du premier volet en apportant plus d’humour et de comique de situation grâce à l’arrivée d’un personnnage: Leo Getz. De plus il possède toujours ce côté noir: le film se termine comme une vengeance. Warner Bros, très satisfaite du succès critique mais surtout public (près de 100 Millions $) du premier opus, demandera aux producteurs une suite. Richard Donner n’était pas très chaud pour réaliser cette suite : « Bien que je n’ai jamais été contre une suite à " L'Arme Fatale ", je voulais au début juste produire cette suite avec Joel Silver. Nous nous sommes de plus en plus impliqués sur la préparation du film, et nous avions un excellent script de Jeffrey Boam. Je me suis de plus en plus attachés à ces personnages, aux acteurs et même à l’équipe que je ne voulais personne d’autre pour le réaliser. » Côté scénario, justement, il y aura quelques changements. Shane Black est crédité pour l’histoire mais pas pour le script. L’une des raisons étant que Riggs devait mourir à la fin de ce film (la Warner souhaitait faire des suites). Le scénariste regrettera ce changement et ne participera pas aux autres volets. Quoiqu’il en soit le réal/ producteur et Joel Silver feront appel à la même équipe pour ce second volet. Côté casting, on a le droit aussi à du lourd, surtout pour les acteurs incarnant les diplomates sud-africains : trois acteurs d’origines britanniques et irlandaises, Joss Ackland (le redoudable Arjen Rudd), Derrick O’ Connor (Peter Vorstdet) et Patsy Kensit (très jolie Rika Van Der Hass). Côté flics, on retrouve Steve Kahan dans le même rôle du Capitaine ainsi que Marie Ellen Trainor pour la psy. Mais c’est surtout dans les seconds rôles qu’on a e droit aux réjouissances: Jenette Goldstein (Shapiro) qui joua Vasquez dans" Aliens, Le Retour " (merci IMDB, je l’ai pas reconnu) et la mère de John dans " Terminator 2 " ; Dean Norris (Cavanaugh) génial dans " Total Recall "; Grand L. Bush (Collins) et Nestor Serrano (Esteban) présent en tant que policier Sanchez dans " Bad Boys ".
Tout aussi rythmé et pêchu, L'Arme Fatale 2 est encore plus drôle que son grand frère, qu'il surpasse de peu. Les 23 ans passés ont une fois de plus laissé des traces, mais la fusion d'une intrigue cette fois un peu plus intense et d'un duo décidément très sympa fait à nouveau mouche. Un film d'action vraiment plaisant.
Pas de grosse révolution pour ce deuxième volet. Richard Donner mise toujours sur l'action et sur un humour percutant, le tandem Mel Gibson, Danny Glover marche vraiment très bien et le scenario de ce deuxième épisode et un peut plus approfondie et mieux ficelés. Certaine scènes sont irrésistible comme la scènes des toilettes l'apparition de Leo Getz (Joe Pesci) apporte beaucoup d'humour et de fraicheur.
Encore mieux que le 1er, l'arrivé de Joe Pesci qui apporte une grande dose d'humour (en plus de celle de Mel et Danny) y est pour quelque chose, et qui n'empietre pas sur l'action toujours autant présente.
"L'arme fatale 2" s'impose comme digne et plus qu'honorable successeur du premier opus. Multipliant les gags, les scénes musclées, les courses poursuite, le tout en introduisant de nouveaux personnages charismatiques, la saga opére un virage exemplaire dans la lignée des buddy movie. Le tandem le plus décalé et improbable du cinéma refait équipe pour la seconde fois, pour notre plus grand plaisir. Mel Gibson est définitivement habité par son rôle qui, malgré le second degré et le cynism qu'il dévoile, demande souvent des tonalités émouvantes. Quant à Danny Glover, il fait office de bras droit complémentaire efficace et tenace, toujours là pour appuyer son acolyte et permettant à son coéquipier de trouver le point d'équilibre qui le maintien dans le droit chemin. Musicalement, c'est parfaitement adapté au film. Concernant la mise en scéne de Richard Donner, même s'il ne fait pas de ravages par rapport au premier, il s'en tire avec les éloges vu qu'il parvient à filmer l'intégralité de ses plans sans jamais laisser percevoir d'imperfection brouillonne. Joe Pesci est attachant et inspiré, et nul doute que son arrivée au casting marqua les prémices d'une nouvelle équipe pour les épisodes suivants. Quoiqu'il en soit, là où le premier renversait litteralement le cinéma en proposant une relecture light de l'action pimentée d'humour et parcemée de flingues, le second parvient à garder le niveau sans regresser et se suit avec joie. On en redemande toujours plus, et en cela, peu de sagas peuvent se vanter de présenter des suites aussi solides que l'est celle-ci. Ambitieux et ultra divertissant, 'L'arme fatale 2" constitue une transition excellente qu'on ne se lasse aucunement de revoir, même vingt ans plus tard. Aprés tout, Richard Donner s'est renouvellé comme peu en auraient eu la capacité, on ne peut que se rejouir du résultat.