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    Les Berkman se séparent
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    89 critiques spectateurs

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    Bela Silva94
    Bela Silva94

    10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2023
    J'ai détesté ce film dans tous les aspects, vulgarité malsain, ridicule. Pour moi ce n'est pas un film , c'est médiocre .
    Heureusement qu'il y a des spectateurs qui arrivent quand même à trouver un bon côté à tout cela. C'est peut être ça l'art.
    Hotinhere
    Hotinhere

    571 abonnés 5 003 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2023
    Autopsie d'une famille en décomposition dans le NY des années 80. Une chronique amère mais attachante et sans parti-pris, portée par un casting séduisant.
    Charlyy Phoenix
    Charlyy Phoenix

    15 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2023
    Un film assez classique sur le divorce. Et ses raisons. adultère, etc… Un couple (Bernard & Joan Berkman) et leurs deux enfants (Walt & Frank Berkman) se séparent.
    Bernard & Joan sont deux écrivains, jaloux l’un de l’autre… Lui, pense appartenir à une sorte d’élite littéraire et se montre parfois méprisant envers ceux qui ne lisent pas.
    L’écrivain baise sa blonde ! Walt (le fils ainé) fait de la guitare, il a l’embarras du choix, Lili, Sophie… Lili fait très provoc, Sophie est davantage « vrai », « profite de la vie, prend les deux » lui conseille son père…
    Dommage pour Sophie… Elle avait un charme discret mais puissant, et fidèle, et puis, Walt lui a très mal parlé… A plusieurs reprises…
    Bon, bref, la garde des enfants, tout ça, tout ça…
    Le p’tit Frank se met à picoler à moins de 10 ans et à salir de son sperme les choses qu’il veut marquer ! Beurk…. Man ! : - (
    Ca va finir par exploser !! xd
    ++
    Cha
    maxime ...
    maxime ...

    250 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 février 2023
    Etant friand des films de Noah Baumbach, Greenberg, Frances Ha, While we're Young, Mistress America, tous vu il y'a certes bien longtemps, l'occasion ce soir d'en découvrir davantage m'a semblée être une bonne idée, ce fut belle et bien le cas !

    De cette comédie sur fond d'embrouille familiale, je retiens une douce amertume, cru, vacharde, à la fois légère et dure. Baumbach let le doigt sur touts ce qui cloche lors d'un divorce et utilise son malaise pour raconter une dépression chronique de ses membres qui l'expriment, chacun à sa manière. Une citation me viens là, " - Dans une famille on a beau avoir vécu les mêmes choses, on n'a pas les mêmes souvenirs !" En quelques sortes, çà colle assez pour ce qu'il en est de The Squid and the Whale !

    On traverse l'épreuve avec un ridicule de circonstance, une grossièreté éblouissante, absolument géniale. On virevolte avec le Woody Allen style et quelques autres points communs avec un Wes Anderson, ce dernier en est un des producteurs au demeurant. Brooklyn et les aspérités artistiques, sont d'autres enthousiasmes dans la lecture de réussite, sur la question qui résonne dans l'adoption de la posture et la loose de la réalité des choses qui n'ont rien d'aussi évident une fois l'écaille du vernis visible. Oui, il y'a un pied de nez, un des plus exaltants que j'ai pu voir de ces dernières années.

    Chez les érudits, aussi, les clichés ont la dent dur. L'écriture, le chant, le tennis est vu sous le prisme, sur un constat, et la blague en deviens encore plus fun et marrante de par ce biais d'autodérision. On en ressort ému, encore plus encore. Les allégeances diverses des gosses en sont les exemples extrêmes. J'aime beaucoup, je dois dire, cette conversation pleine de cette tristesse mis sous le coude, ou sur le palier les plans se font, dans une entente voulu cordiale mais dont la souffrance de l'instant ressurgit lors d'une confidence sur le coup de téléphone au père ... Une de ses scènes infiniment émouvante, là encore !

    Laura Linney, Jeff Daniels, Jesse Eisenberg, Owen Kline ainsi que toutes les têtes passantes ont dans cette partition un boulevard pour démontrer des talents. Respectifs, tout comme dans la collégiale qui les unis. Nous avec.

    Au passage, super choix de chansons, on se laisse embarquée par cette compo musicale faisant partie prenante d'un long métrage pour qui l'art est un enjeu de style et de bon gout. Sacrée Béotien !
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    65 abonnés 975 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 février 2023
    On s’ennuie ferme dans cette histoire à la limite du documentaire, au scénario indigeste et qui veut se faire passer pour « le nouveau cinéma américain » en insistant sur des aspects immoraux sensés choquer le public. Cependant ça ne concerne (peut-être) que le public américain.
    Carole P.
    Carole P.

    5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2023
    Ce film ne reflète pas du tout les réalités d'un divorce des années 80. Je n'ai pas du tout aimé la façon dont le sujet est traité notamment par rapport aux enfants
    ferdinand75
    ferdinand75

    565 abonnés 3 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Une bonne comédie de moeurs, sur la séparation d'un couple, qui devrait être facile, mais qui se complique car les enfants , déjà ados ne sont pas très d'accord. De très bons dialogues , avec un humour subtil. On rentre dans le "drame",on y croit, on sourit souvent , et on se régale de cette situation plus naturelle que la vraie vie; les acteurs sont très bons .
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 728 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2021
    Le film se déroule dans les années 1980 à Brooklyn et traite d'un divorce entre deux scénaristes. De la façon dont la séparation se passe elle affecte tous les membres de la famille y compris leurs deux garçons. Tout le monde fait du mal à tout le monde et ils jurent tous les uns contre les autres, ils ont tous des relations sexuelles avec quelqu'un d'inapproprié. Le film fait un bon travail pour vous mettre mal à l'aise et c'est peut-être le but du film. Mais en général les films ont un but. Quel est le but de celui-ci nous dire que le divorce est difficile tout le monde sait ça. C'était une histoire prévisible et juste ennuyeuse avec une connotation grossière. Ce n'était vraiment pas un film agréable ni même un film qui fait réfléchir. Il a même réussi à me déprimer si c'est ce qu'il était censé faire...
    Cineseba
    Cineseba

    44 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2021
    Le film "les berkman se séparent" est une intéressante réflexion sur le divorce du couple et ses conséquences :le conflit, le manque de communication, la perte de repères des enfants. Ce film a un air "Woddy Allen", il a le ton original et ironique. Les décors dans le milieu des années 80 sont réussis, beaux et un peu nostalgiques. Les acteurs sont excellents et subtils. Les scènes sur le droit de garde des enfants m'ont fait penser à un film américain "Kramer contre Kramer". Le thème de l'adolescence face au divorce est très bien traité. En effet, les deux garçons en pleine periode puberté, sont déboussolés entre le père, la mère et leur entourage. Ils font des bétises ou se révoltent, sans doute pour essayer à trouver des repères ou fuir de l'angoisse ou rechercher de l'attention des parents, comme par exemple, l'aîné s'interroge sur ses sentiments envers sa petite amie; le plus jeune garçon en plein désarroi, sombre dans l'alcool et tartine son sperme à l'école. Ce qui est interessant dans le film, c'est de voir qui a raison ou qui a tort meme si on peut changer d'avis plusieurs fois. Mmmmh pas mal....
    Vincenzo M.
    Vincenzo M.

    43 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2020
    pret a plonger dans les annee 80. banco merci à Baumbach pour cette ambiance ou la thématique tourne autour du divorce. cette famille qui paraît vraie et loufoque. film simple ou les.perso sont froid et particulièrs. thématique grinçante, teinte dune cruauté glaçante. tres gros casting jeff Daniels, jesse Eisenberg, Laura LInney et le petit Owen Kline très.bon.
    Yetcha
    Yetcha

    897 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mars 2016
    Un film vraiment fantastique. Une ambiance 80's extraordinaire, on est transportés dans le temps, les acteurs donnent l'impression de former une vraie famille. Le sujet est traité de manière simple et à la fois fouillée. C'est un très beau film qui touche vraiment au fond du coeur.
    Captain fantastic
    Captain fantastic

    26 abonnés 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2015
    Film assez original sur le divorce !! On s'attend un peu à une comédie mais on se retrouve devant un drame un peu grinçant servi par de très bons acteurs avec quelques scènes savoureuses !! Malgré tout il manque un petit quelque chose pour en faire un bon film ! A voir au passage.
    Tony L'Ambassadeur
    Tony L'Ambassadeur

    35 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2015
    Comme le reflète bien les critiques, soit on aime The Squid and the whale soit on n’aime pas! Pas de mi-mesures pour ce couple atypique en pleine instance de séparation, les Berkman. Les parents oublient trop rapidement les enfants dans ces moments de déchirements profonds. Malheureusement, ces moments sont inévitables, car souvent impulsifs et marquent au fer les enfants qui sont de véritables vecteurs émotionnels. Un film intéressant bien que les personnages soient assez froids et particuliers (trop peut-être.). J’ai trouvé difficile de s’attacher ou de s’identifier aux personnages de Noah Baumbach, ce qui je pense, ne m’a pas aidé à intégrer véritablement l’histoire.
    Alexis D.
    Alexis D.

    107 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2024
    Dans la famille des cinéastes qui ont la cote, Noah Baumbach s’est fait une jolie place au soleil avec "Les Berkman se séparent", son quatrième long-métrage. Présenté à l’incontournable festival de Sundance, où il a remporté les prix de la mise en scène et du scénario, "Les Berkman se séparent" a également été montré dans de nombreux festivals (dont ceux de Toronto et de New York) et s’est même payé le luxe de figurer dans la plupart des listes des dix meilleurs films de 2005 tricotées par les innombrables guildes de critiques aux États-Unis. Cerise sur le gâteau : trois nominations aux Golden Globes et une aux Oscars, pour le scénario. Là où Wes Anderson place ses personnages et son action dans un lieu indéfini (mais identifié comme un New York un brin décalé) et une époque plus ou moins incertaine, Noah Baumbach annonce d’emblée la couleur : nous sommes à Brooklyn, en 1986, et nous allons suivre les déboires des Berkman, une famille largement aussi dysfonctionnelle que les Tenenbaum. Mais ici, le décalage est plus subtil, les personnages moins transposés que chez Wes Anderson. La loufoquerie dopée au Prozac des membres de la famille Tenenbaum ne trouve pas vraiment d’équivalent chez Baumbach : le rire y est tout aussi dépressif mais bien plus grinçant, teinté d’une cruauté glaçante dont le réalisme fait l’effet d’une drôle de gueule de bois. Sur un principe très simple et largement autobiographique, le scénario brille souvent par ses bons mots qui confèrent au film un doux parfum désuet qui ravivera des souvenirs nostalgiques à tous ceux qui ont grandi dans les années 80. Dès le début du film, Baumbach nous invite en terrain connu : Bernard et Joan Berkman spoiler: sont écrivains, vivent dans une jolie maison remplie de bouquins et sont les heureux parents de deux fils, Walt, 16 ans et Frank, 12 ans. Mais si Madame est sur le point de publier son premier roman, Monsieur rame avec ses manuscrits unanimement refusés par les éditeurs et rumine sur une carrière démarrée sur les chapeaux de roue mais éteinte prématurément. Très vite, rien ne va plus, et lorsque le couple prend la décision de se séparer, les dégâts vont toucher tous les membres de la famille
    ... Au-delà de la reconstitution parfaite de l’époque, qui dépasse le savoir-faire des costumiers, coiffeurs et décorateurs pour s’étendre à la forme, Baumbach réussit, à la manière d’une Sofia Coppola avec "Virgin Suicides", à inscrire discrètement son film dans un contexte culturel et social très marqué sans jamais tomber dans le travers du clin d’œil lourdingue. Une réussite qui impose l’idée que les personnages sont les produits de leur environnement, là où d’autres se seraient contentés de placer des comédiens dans des décors sans que l’on n’y croie jamais une seconde. Mais la force de ce film est ailleurs. Dans cette façon de dépeindre avec à la fois finesse et férocité ces lettrés dont l’immense culture et l’ouverture d’esprit n’empêchent pas l’incapacité à réussir leur vie affective et familiale. Il faut voir l’effet de leur éducation sur leurs deux enfants, parfaitement cultivés, d’une lucidité dévastatrice quant à ce qui les entoure, victimes de parents inconséquents qui négligent leur innocence. C’est en cela que Noah Baumbach sublime ce qui pourrait n’être que l’énième chronique douce-amère d’une enfance blessée. L’humour est noir, ravageur et sans concession, mais une mélancolie diffuse et une tendresse indispensable pour chaque personnage sauvent le film du jeu de massacre revanchard. Difficile de savoir ce qui appartient à l’histoire personnelle de Baumbach dans le scénario (tout juste sait-on que le réalisateur a grandi à Brooklyn et que ses parents ont aussi divorcé) mais il est évident que l’émotion qui affleure tout au long du film vient de loin. Les comédiens ne sont pas étrangers à cette réussite, particulièrement Jeff Daniels, vu autrefois chez Woody Allen ("La Rose pourpre du Caire") et ici totalement métamorphosé : dans le rôle ingrat du père frustré et aigri, il évite toute caricature pour composer un personnage très émouvant, d’une humanité devenue rare dans le cinéma américain contemporain (un créneau repris par les séries télévisées). À l’image de cette belle prestation, le film n’en finit pas de toucher par la complexité de ses nuances. Il faudra sans doute le revoir plusieurs fois pour en apprécier toute la richesse. Sinon le casting est très bon, la réalisation soignée et la mise en scène très belle. Un bon film dramatique en définitive
    CarpeDyem
    CarpeDyem

    15 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2014
    Ce portrait d'un famille qui se déchire laisse un goût amer en bouche malgré ses multiples qualités : les acteurs sont à la fois justes et touchants, entre un père tout en sous-entendus, une mère indécise et des enfants qui subissent. Le tourbillon d'émotions contraires dans lequel sont pris les adolescents bouleverse tous leurs repères, l'image de leurs parents s'écornant au fur et à mesure des différents évènements.
    Seulement, la mayonnaise a du mal à prendre totalement tant le récit souffre de certaines longueurs (malgré la courte durée du film) et de situations exagérées. Dommage car le sujet est plutôt bien abordé et évite les clichés et autres raccourcis moralisateurs si communs au genre.
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