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L'homme sans nom
155 abonnés
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3,0
Publiée le 1 novembre 2024
Ce premier Amityville part d'une belle idée que de montrer une maison en tant que vecteur principal d'épouvante pour ceux qui y entrent. La mise en scène et le récit ne vont pas assez loin cependant pour qu'elle suscite l'effroi chez le spectateur, malgré quelques bonnes séquences. La lenteur de l'intrigue est elle aussi un frein à notre attention. Les ingrédients semblaient réuni pour un important film d'horreur mais la préparation n'est pas suffisamment à la hauteur, dommage...
Bahahahaha nan allez, j’ai gâché 2h bien comme il fallait, y’a rien à sauver de l’œuvre même si le début était prometteur, je suis dégoûté, puis quelle fin complètement bidon, j’ai pas vraiment grand chose à dire sinon je vais partir loin hein!
Tiré en partie d'une histoire vraie (bien que la véracité a été plus que mise en doute des années plus tard, mais bon ce n'est pas là le sujet) Amityville la maison du diable nous plonge dans la vie de la famille Lutz qui emménage dans une maison ou s'est produit un meurtre particulièrement macabre...Le film est efficace et a beaucoup fait parler de lui lors de sa sortie (1979), il n'est pas du niveau de l'exorciste de Friedkin, mais il rempli le cahier des charges. La musique qui accompagne le film fait vraiment son effet ( nommée aux oscars et aux golden globes ). 7/10
Très bon film de Stuart Rosenberg, grâce à un bon casting dont je ne connaissais pas les deux principaux acteurs (James Brolin et Margot Kidder). James Brolin est très bon dans son rôle de père de famille sujet à la folie (on se demande pendant tout le film jusqu'où il ira). L'ambiance pesante de la maison est très réussie sans en faire trop (ce qui fait que le film a bien vieillit). La musique de Lalo Schifrin (certainement inspirée de celle de Krzysztof Komeda pour "Rosemary's baby") est également très angoissante. 4/5 pour ce film vintage.
Ce film est tiré d'une histoire vraie. L'auteur Jay Hansen et George Lutz se sont rencontrés dans un café d'Amityville (Long Island, NY) où les premières ébauches du livre ont été jetées. Le témoignage de George Lutz et celui de sa fille constituent la trame principale de cette histoire. Le film est tirée du livre. Ce film est donc une adaptation. Par conséquent, il ne peut intéresser les amateurs de films d'horreur classique friands d'artifices dégoulinant propre au genre.
Suart Rosenberg est un excellent réalisateur, alternant plans parallèles, d'ensemble et gros plans en contre plongée. Il s'intéresse à la psychologie des personnages et également à leur intimité. Il est subtil : condition ultime pour traiter d'une histoire vraie aussi singulière. Sa caméra est le prolongement de notre oeil : nous sommes subtilement aspirés dans cette histoire où le naturel côtoie le surnaturel, où la douceur côtoie l'horreur. Sa caméra accompagne les personnages dans des plans parallèles à une distance calculée où le spectateur peut s'insérer.
Il est bon de rappeler que cette histoire a fait l'objet de dizaines d'études scientifiques et médiumniques. Qu'il ne s'agit pas d'un banal scénario écrit par un obscur scénariste avide de sensations.
Sorti à peu près à la même période que "Shining", on peut voir la différence entre une œuvre majeure et un petit film de genre qui aura néanmoins marqué son époque (c'est d'ailleurs amusant de comparer les deux films et d'y trouver quelques points communs alors qu'on ne peut pas faire d'accusation de plagia). Mais voir maintenant "Amityville" ne permet pas de rendre pleinement justice à ce qu'il a été, à savoir un film fondateur d'un genre, parce qu'il a été tant copié par la suite qu'on a l'impression de l'avoir déjà vu plusieurs fois. Et comme beaucoup de films de maisons habitées par des esprits démoniaques, son principal défaut est d'en faire des tonnes jusqu'à rendre l'ensemble si improbable et limite grotesque que ça en évacue toute capacité de générer de la peur, alors que si on adhère à l'idée de l'histoire vraie ça rend la chose beaucoup plus flippante. Donc quand même un peu décevant pour un titre resté dans les références des films d'horreur des années 80.
Stuart Rosenberg s'inspire du drame d'Amityville survenu en 1974 pour nous livrer en 1980 ce film devenu culte relatant les 28 jours durant lesquels la famille Lutz tentera de prendre possession des lieux après la tragédie des De Feo. L'entrée en matière est très bonne puis passée celle-ci il ne se passe malheureusement plus grand chose jusqu'au final. C'est assez lent et surtout particulièrement long et l'atmosphère un tant soit peu angoissante met des plombes à s'installer. Heureusement le duo Brolin/Kidder fonctionne bien mais n'empêche pas de trouver le temps long. On s'attache bien plus à la psychologie des personnages ici plutôt qu'aux jumpscares et pour le coup l'évolution du père de famille est intéressante à suivre. Le final assez tendu remonte un peu le niveau mais dans l'ensemble, ça a plutôt mal vieilli et c'est beaucoup trop ennuyeux pour passionner tout du long.
Un des meilleurs films d' horreur de tout les temps , sur une maison hantée !
Le suspens intense nous tient en haleine pendant tout le film , du début à la fin .
Et en plus , il y a un peu d' émotions dramatiques . Ce film est inspiré d' une histoire vraie , libre à chacun d' y croire ou pas ( aux maisons hantées et au film ) .
Amityville, la maison de l'horreur, retrace l'enfer d'une famille de l'après d'un fait divers marquant des années 60. Bien qu'un peu emprunté, un métrage horrifique devenu un classique du genre. 1 an après Superman, c'est un plaisir renouvelé de retrouver M. Kidder.
Un classique de l'horreur ! Un film efficace même si un peu trop sage à mon goût. Je pense que le film aurait pu aller beaucoup plus loin dans l'horreur. Néanmoins les acteurs sont vraiment bons et la mise en scène est plutôt réussi. Le film monte petit à petit en tension et nous offre quand même plusieurs scènes plutôt effrayantes. L'ambiance du film est très pesante. Un film culte de l'horreur à voir une fois.
Le film de la génération de mes parents, frissonnant me racontaient t’ils. On me disait même ne pas pouvoir dormir pendant des semaines. Étant une fan de films d’épouvante j’ai voulu me faire mon propre avis. Il est le suivant ; un très bon film, l’histoire est bien retrouvée. Pour la fin des années 70 je le dirais plutôt réussis. James Brolin est génial dans ce film, l’air stoïque et le visage grave. C’est un film d’une génération passée qui n’a rien à envié à nos navets des années 2000. Je le recommande fortement
Amityville... Cette maison inspiré d'un livre (et d'une histoire vraie) fait partie des classiques quand on pense à des films d'horreur ! Le film est très surprenant et son ambiance est très glaçante ! A noté que la BO du film ,fait partie selon moi, des meilleurs musiques du cinéma d'horreur ! Un classique à ne pas rater
On ne s'attendait pas à cela, on a découvert un film qui a vraiment (mal) vieilli, et peine à se laisser regarder par un public qui ne l'a pas connu à l'époque : musique guillerette (un "lalalala" bizarrement mielleux qui nous donne plutôt l'impression de regarder La Mélodie du bonheur) qui dénote complètement avec le contenu (censé faire peur...non ?), scènes d'effroi d'une mollesse incroyable (même pour 1979... Regardez seulement la liste stupéfiante des films d'épouvante plus pêchus sortis dans la décennie...) et final qui ne propose rien (à part lire un petit texte postface). Vraiment, Amityville est pour notre part une déception, ayant vu des twist horrifiques aussi puissants qu'une brise d'air (la fenêtre qui tombe sur les doigts du gamin, le chien qui mord les mollets... Remboursez), un casting qui ne se foule visiblement pas à jouer juste (tous en surjeu, surtout le prêtre, qui nous a fait mourir de rire), une histoire très légère (il y a eu une tuerie, une famille s'installe, mais les vitres tombent sur les doigts, les abeilles pullulent, Médor aime subitement les jambes, et Papounet vire psycho... spoiler: la famille repart donc . Fin.) Ce premier Amityville ne vaut que pour le fait divers (bien plus inquiétant que le film) dont il s'inspire, mais ne procure pas un frisson, offre un casting qui joue vraiment mal, et chantonne sa mélodie guillerette au lieu d'installer une ambiance musicale lourde, ce dont il manque cruellement. Amityville, La(lalala) Maison du Bonheur.