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VOSTTL
100 abonnés
1 965 critiques
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3,0
Publiée le 19 décembre 2024
Un divertissement sympa pour lequel je vote la bienveillance. Si on accepte les James Bond de ces périodes là, pourquoi ne pas accepter ce film de guerre qui a pour seule vocation de rendre au cinéma de base ce qui est au cinéma de base : le pur divertissement. Evidemment, je me suis aussi souvent interrogé devant quelques scènes étrangement insensées. C’est un peu comme une bande dessinée, un Tintin par exemple que je relis en ce moment, il y a des coïncidences, des hasards qui arrangent bien. Peut-être en 1969, les spectateurs étaient beaucoup moins exigeants, à part les lecteurs "Les Cahiers du Cinéma" ! Le cerveau est à mettre en mode veille et se laisser porter par cette aventure où Clint Eastwood fait figure d’exécutant. Selon des sources, il aurait demandé à avoir moins de dialogue… (?!) Un film bourin par excellence et pour lequel j’ai fonctionné. Question d’humeur du moment. Ça ne se commande pas…
Un film d’espionnage, mais surtout d’actions de guerre, correct du point de vue scénario et acteurs. On ne peut pas en dire autant sur le plan technique, avec une image presque en blanc et noir tellement la pellicule et les contrejours ne sont pas maîtrisés. Quelqu’un me dira que c’est fait exprès… Moi je dis que c’est moche.
Du grand film de guerre avec une musique d'enfer, un suspens et des rebondissements haletants, des personnages secondaires charismatiques, des scènes de batailles et de poursuites au top...et un duo Eastwood / Burton qui tient toutes ses promesses. Un des films que je ne me lasse jamais de revoir
Divertissant mais irréaliste. Voilà pour résumer. Divertissant, avec un scénario bien ficelé, des acteurs haut de gamme, bref un vrai spectacle. Par contre, pour le réalisme, on repassera : les « gentils » qui ne se prennent jamais une balle, alors que les Allemands tombent comme des mouches, une chute dans l’eau glacée d’où tout le monde ressort en pleine forme, j’en passe et des meilleures. On est tout de même loin d’un film comme Les canons de Navarone, pour moi une référence. J’ai bien aimé le look inquiétant de l’officier blond de la Gestapo. Bref correct mais pas inoubliable, en plus trop long.
Beaucoup d'actions spectaculaires et de cascades dans ce film de divertissement, je n'ose pas dire de guerre, ni même d'espionnage. Sinon, il faut pas mal de crédulité pour ne pas tiquer devant un tel scénario. Il y a tellement de faits improbables que la liste serait longue et fastidieuse.
Truffé d invraisemblances , par exemple : amusez-vous à compter le nombre de paquets de dynamite que les héros sortent de leur sac, c'est pas possible, ils ont accès à un portail magique : munitions , cordes , etç ...Infinies ! La tête de Burton , toute de marbre durant ces quasi-trois heures , Eastwood et ses chargeurs magiques , l'escalade à mains nues , l' abracadabrant objectif de la mission , la grotesque scène devant l âtre de cheminée , etc ... Ad nauséam ! Un navet à gros budget. .
Impossible de faire la liste des invraisemblances qui parsèment ce film : il y en a trop, c'est un festival. Pour résumer le tout, quelle était l'idée du méchant colonel anglais d'organiser ce commando suicide ? Mystère et boules de gomme ! Reste le cinéma, et il faut reconnaître que c'est assez prenant. Super décor, action continue, surprises, bons acteurs, bien filmé. Pas de psychologie, pas d'étude de caractères, pas d'histoires sentimentales, juste des bons anglo-saxons contre des méchants allemands, qui s'entretuent joyeusement en faisant des cascades. Burton a dû forcer sur le schnaps pour tenir le coup. Clint Eastwood, l'américain de service, qui se demande en permanence ce qu'il fout là, en profite pour s'entraîner au maniement des armes. Il est déjà dans la peau d'Harry Callahan, dirty Harry, l'inspecteur Harry, qui ne se sépare jamais de son Smith et Wesson à six coups et de ses cartouches Magnum. Je me demandais si OSS 117 Dujardin au Caire s'inspirait dans son introduction de ces aigles ou de to be or not to be. En fait, des deux. Lubitsch a donné l'idée aux aigles, et les aigles à Hazanavicius. La musique de ces aigles est omniprésente et tonitruante. C'est un mélange de Casse-Noisette, de Crépuscule des Dieux, de Colonel Bogey, et de Beau Danube Bleu.
Très bon film mêlant action, guerre, infiltration et espionnage. Les connaisseurs retrouveront le décor fidèle dans l'excellent jeu vidéo FPS "Return to Castle Wolfenstein".
"Quand les aigles", film de guerre britannico-américain réalisé par Brian G. Hutton, sorti en 1968. Avec un scénario d' Alistair MacLean, qui est aussi l'auteur des "Canons de Navarone". Un film magnifiquement réalisé, avec de la guerre, mais aussi de l'action, de l'espionnage, de l'aventure, des cascades et aucun temps morts sur une durée très généreuse (2h35). Une magnifique musique de Ron Goodwin, un belle photo dans les tons hivernaux de Arthur Ibbetson. Du grand spectacle tel que savaient en faire les grosses production des années 60. Avec Richard Burton, Clint Eastwood et Patrick Wymark. Un grand classique du genre !
Pour l'époque, c'état du must avec un Clind Eastwood débutant et charmant spoiler: et bien appétissant : Pas de pot, je n'étais pas née
et si les allemands tiraient aussi mal et les anglais et américains aussi bien, la guerre aurait duré moins de 2 ans Et "il faut sauver le soldat Ryan" n'aurait jamais vu le jour, quel dommage Ah le cinéma a fait bien des progrès dans son approche réaliste de l'histoire, c'est bien...
Brian G. Hutton signe un extraordinaire film de guerre tendance boucherie. Clint Eastwood et Richard Burton passent leur temps à tuer à l'arme blanche ou à l'arme à feu des dizaines d'Allemands ou à les faire exploser le tout avec une alacrité, mais sans sourire. Il s'agit vraiment d'exécuteurs. Car il s'agit pour eux de libérer un officier retenu par les Allemands dans un château perché à la cime d'une montagne dans les Alpes. Richard Burton est moyennement crédible en membre de commando, as des armes et super sportif ! En plus il est le chef du commando (c'est lui la grande star, Clint Eastwood était encore en devenir), tueur extrêmement précis (il ne rate jamais), sportif et séducteur... Clint Eastwood, qui n'a quasiment pas de ligne de dialogue, passe son temps la mâchoire serrée avec les yeux plissés. Son personnage se demandant ce qu'il fait là, et probablement l'acteur aussi. Mais le film est jubilatoire. Pour son côté rouleau compresseur (le spectateur ne doute jamais) et la narration fonctionne, car le scénario articule plusieurs suspenses: le principal, libérer l'officier aux mains des Allemands; et les secondaires, comme qui est le traitre au sein du commando, ou comment vont-ils redescendre de là haut une fois sur place. Et surtout l'intrigue, car nous comprenons que lorsqu'ils sont dans le château à la cime de la montagne que finalement l'objectif de la mission n'était pas ce nous avions compris au départ. Ce qui donne un peu de piment et de suspense à l'histoire et relance l'intrigue. D'autres parts il est toujours étonnant de voir des Allemands parler anglais, mais bon c'était comme cela dans les années soixante, le ridicule ne tuait pas ! Dans l'ensemble le film l'emporte, car ses excès combinés à l'histoire qui change d'objectif en cours de route produisent un résultat passionnant. De plus le film possède une belle distribution d'acteurs pour incarner la Wehmacht ou la Gestapo, avec des physiques de nazis parfaits.
Je pense pouvoir dire que lorsqu'on a accepté de regarder un film dix foix dans sa vie c'est qu'il qu'il présente un intérêt. Ne nous cachons pas, c'est un film d'action et seulement un film d'action mais nom de Zeus que cette fresque est jouissive. Burton et Eastwood cassent du nazi comme personne et cette prise du nid de l'aigle est vrai réussite et un excellent film.
Très bon film de commando. Scène mythique du téléphérique. Duo Eastwood/Burton qui marche bien. Ca tire de partout, mais moins que dans les films d'action style Bourne et Taken. Les avions sont d'époque Seconde Guerre mondiale ; ce qui n'est guère étonnant pour un film de 1968 (certains pays en utilisaient encore).