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Loovy DENIS
26 critiques
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3,0
Publiée le 14 avril 2024
une comédie dramatique captivante qui explore les thèmes de la dépendance et de la rédemption. Le film offre des performances remarquables de la part de ses acteurs principaux, qui parviennent à transmettre toute la complexité émotionnelle de leurs personnages. L'intrigue bien construite et les rebondissements inattendus maintiennent l'intérêt du spectateur jusqu'à la fin. Cependant, certaines scènes pourraient être plus approfondies pour donner plus de profondeur à l'histoire.
Je trouve ce film vraiment pas mal du tout, j'ai bien ris et je trouve le duo Sandler-Nicholson vraiment pas mal, il est cinglé et l'autre aussi donc ca tombe bien. Bon film j'ai mis la note de 7 sur 10
Toujours un plaisir de revoir ce film léger et croquant où l'on se met facilement à la place de ce pauvre David. Jack Nicholson est excellent dans son rôle de psy un peu fou et c'est à se tordre de rire. A voir et à revoir sans modération.
4 517 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 29 octobre 2021
Lorsque Jack Nicholson est à son meilleur c'est-à-dire lorsqu'il accepte de tenir des rôles avilissants. Il est alors à la hauteur des plus grands acteurs américains contemporains. Mais lorsqu'il est dirigé par un réalisateur qui n'a pas beaucoup de calibre il dépasse les bornes devient insupportable et tombe alors dans ses traits les plus détestables. Peut-être que le réalisateur Peter Segal espérait que son jeu excessif sauverait son film de la médiocrité absolue mais c’était une grosse erreur. Le jeu exagéré de Nicholson laisse à désirer et déséquilibre même le film. Son partenaire principal Adam Sandler a beaucoup de mal à faire valoir son rôle et ce Self Control est le premier revers de sa carrière. C'est un film américain bâclé pas drôle qui passe en revue tout ce qui est méprisable dans la comédie américaine contemporaine mais Nicholson n'est pas totalement responsable de ce fiasco. C'est juste qu'il ne peut rien faire avec un scénario aussi abyssal ou plutôt il fait des choses qu'on n'attend pas de lui...
J'adore Adam Sandler et Jack Nicholson mais là c'est de l'humour qui tombe à plat, aucun gag ne m'a fait rire ni même sourire. Une comédie qui ne casse pas des briques, qui ne vaut pas le coup d'oeil.
tres bon film remplie d humour et de rebondissements quand on parle de la carrière de Nicholson peut évoque se film est pourtant il est genial le duo avec Adam sendler et parfait et la fin est une pépite du cinéma on ne si attends vraiment pas se film a vraiment un humour bien a lui (se film me fait beaucoup penser a vol au dessus d un nis de coucou car pendant tout le film on suit Adam sendler qui est diagnostiqué fou mais que personne n aide a l aider ) bref se film est vraiment genial 4.5/5
Le film commence bien avec son humour très décalé. Mais plus on avance dans le film et plus on tombe dans une comédie romantique banale et ennuyante. Dommage il y avait du potentiel mais il a été mal exploité.
Self Control s’inscrit dans une veine comique assez pauvre en matière de cinéma où toute l’intrigue tourne autour d’un petit canevas fermé sur lui-même – ici la colère et les difficultés de sa gestion – qui semble légitimer un épanchement burlesque dépourvu de sens et fonctionnant par sketchs intercalés. La mise en place du récit avait néanmoins de quoi intriguer : une séquence fort drôle dans un avion avec un Jack Nicholson tout droit sorti des Sorcières d’Eastwick – de même son irruption dans la salle d’audience rappelle-t-elle en partie la présentation du personnage qu’il interprétait pour George Miller, endormi dans une salle de concert avant de susciter gêne et fascination dans l’assemblée – dont la puissance de jeu va decrescendo jusqu’à sombrer dans une somme de mimiques inexpressives, caricatures de lui-même. Face à Nicholson, Adam Sandler ne fait preuve d’aucun véritable charisme, et sa bonhomie initiale tend rapidement à agacer. Une autre bonne séquence, plus loin dans le long-métrage, réunit les deux protagonistes dans un véhicule où le chant de comédies musicales sert de levier thérapique improbable. Réalisateur du futur Max la Menace, Peter Segal peine à circonscrire sa vision comique, si bien qu’il accumule, qu’il entasse les pochades invraisemblables qui vont toujours plus loin dans le délire, au risque de paraître grotesques et artificielles. Quelques rires, donc, pour un film trop peu rigoureux et dont la surcharge dramatique affaiblit la puissance comique.
Une comédie déjantée, tout du moins dans sa première partie, bien emmenée par les excellents Adam Sandler et Jack Nicholson. Le pitch est bon, Nicholson s’en donne à cœur joie dans les délires et les situations hilarantes se multiplient…pour notre plus grand plaisir. Malheureusement, la suite du film est plus convenue et vire trop rapidement vers le sentimentalisme basique et prévisible. Dommage, faire le pari de maintenir le décalage et l’humour plus noir aurait certainement fait davantage mouche que de revenir vers du plus convenu.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Film complètement absurde et dont Jack Nicholson cabotine au point de nous faire oublier les rôles majestueux qu'il a tenu par le passé (pour Adam Sandler, on est habitués, mais Nicholson en guignol qui chante des airs guillerets et fait des têtes caricaturales, on en a mal au cœur). Le démarrage du film est laborieux, puis une fois les péripéties lancées le film pourra vous tirer un ou deux sourires, mais perdus dans une flopée d'idioties sans intérêt : les chansons dignes de "La Mélodie du bonheur" qui arrivent sans aucune raison, les moines bouddhistes dont on tire le "string", les gags "j'ai eu des relations (plus vulgaire dans le film) avec ta sœur"... Toutes ces situations s'enchaînent sans qu'on en ai envie de rire, plutôt désabusés que l'on est, surtout lorsqu'on se coltine les grimaces simiesques du grand Nicholson durant deux heures... Sandler est aux abonnés absents, sa présence fantomatique se remarque à peine, sauf lors du final qui est clairement raté avec sa farandole chantée dans la joie et la bonne humeur qui nous font plutôt penser à une film de famille lors d'une kermesse... Lourdingue, absurde, avec des grimaces simiesques, des chansons type "La Mélodie du bonheur"... A éviter pour les amateurs de Nicholson.
Dave (Sandler) est un looser introverti et peu sur de lui dont la relation avec sa conjointe bat de l'aile. Après une "crise" grotesque, il est pénalement tenu de suivre une thérapie de gestion de la colère avec un psychiatre (Nicholson) un peu envahissant et aux méthodes peu orthodoxes. Alors effectivement, le potentiel comique du film repose presque exclusivement sur l'irrésistible Nicholson. Sandler lui, se contente de faire du Sandler. Il est loin le temps des A Cœur Ouvert et Punch Drunk Love... Qu'importe, Self Control est souvent drôle, c'était probablement son ambition première. Quant a la niaiserie ambiante, à l'absence de prise de risque artistique et à la morale du film, on fermera les yeux bien volontier.