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    Metropolis
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    82 critiques spectateurs

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    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2024
    Le film est avant tout une adaptation du manga éponyme (1949 et réédité en 1979) du prolifique mangaka japonais Ozamu TEZUKA (1928-1989) qui avait été marqué et influencé par le film éponyme (1927) de Fritz Lang (1890-1976) et dont il s’inspire en prenant des libertés. Le film brille avant tout par sa qualité graphique dans la représentation de la cité futuriste Metropolis, aux nombreux gratte-ciel et dominée par la très haute tour Ziggourat (en référence à la tour de Babel, ziggourat de 7 étages dédiée au dieu Mardouk). Metropolis, présidée par l’autocrate Boon mais dont l’éminence grise est le Duc Rouge (qui a perdu sa fille Tima et a adopté un orphelin, Rock, devenu chef de la sécurité) est peuplée d’humains et de robots humanoïdes, avec différents niveaux (-1 = habitat des robots, -2 = centrales énergétiques et -3 = systèmes d’épuration). On y retrouve aussi l’ambiance de « Blade Runner » (1982) de Ridley Scott, adapté lui-même du livre « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques » (1968) de Philip K. Dick (1928-1982) où les robots, appelés réplicants, sont traqués, à San Francisco, en 1992, par des « Blade runners ». La qualité des images est renforcée par la bande musicale, allant du charleston, au début (en référence probablement aux années 1920 où est sorti le film de Fritz Lang) à la chanson « I can’t stop loving you » (1963), de Don Gibson (1928-2003) et interprétée par Ray Charles (1930-2004), totalement décalée par rapport aux images ( spoiler: destruction et effondrement de la ziggourat
    ).
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    141 abonnés 3 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    Le spectaculaire urbain futuriste de cette animation japonaise de 2001 en fait un film peu banal sur lequel se greffent des idées et sonorités qui rappelle les années 1920/30 pour le film de Fritz Lang du même nom de 1927. Il y a une forme de réflexion sur le contact et les rapports avec ces robots ou androïdes respectant la loi de ne faire aucun mal aux humains mais cela reste limité compliqué par des intrigues manichéistes en parallèle. Des moments plus poétiques mais un peu vite emportés dans des courses poursuites et des caricatures. C'est juste un peu mieux que moyen car il y a un univers construit avec des originalités même si peu ou pas abouties.
    John
    John

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2023
    L'un des meilleurs films de Rintaro (réalisateur des films Galaxy Express).
    Un film certes long qui reprend l'oeuvre Fritz Lang (vieille de 1927) au style d'animation manga, mais qui s'inspire premièrement du Metropolis (1949) de Osamu Tezuka. Je peux comprendre que ça ne plaise pas à tout le monde malheuresement ! N'ayant vu ni l'un, ni l'autre, ma critique fait totalement objection à leur égard et n'en n'est pas biaisée.
    Mis à part ça, j'ai trouvé les déssins sublimes et très colorés. Un mixe d'images 3D et de dessins traditionnel qui rendent assez bien pour l'époque (early 2000s), avec un mecha design formidable. Travail du studio Madhouse. Au scénario nous avons Katsuhiro Otomo, plus particulièrement connu pour avoir réalisé le chef d'oeuvre Akira. Nous retrouvons à travers l'histoire un peu le même sentiment d'insurrection, de conflits pour la prise du pouvoir et les conséquences auxquelles tout cela nous mène. Un film pleins d'émotions, de perspectives, de subcultures et d'originalité qui a su captiver toute mon attention quand j'étais gamin. Et même si les années ont passé, ce film d'animation reste bien unique en son genre !
    Jimsurf360
    Jimsurf360

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2022
    Le graphisme et la curiosité de part la renommé du titre m'ont fait aller au bout....LENT, j'attends encore l'introduction du scenario..... c'est dommage.
    Clem Mp
    Clem Mp

    45 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2021
    Metropolis réunit un casting 5 étoiles : Osamu Tezuka (papa d'Astroboy) , Katsuhiro Ōtomo (Akira) et Rintaro. On s'attend quand même à un truc des plus mémorables. Pourtant, en dépit d'une réalisation somptueuse, ce long-métrage pèche pas mal…

    L'esthétique de Metropolis constitue sa principale force : il innove. Très probablement inspiré du Metropolis américain, les personnages font cartoon sur les bords (bien qu'on ressente clairement le trait de Tezuka) et la bande son se teinte de sonorités anglophones. Mention spéciale pour la scène de destruction finale juste splendide.

    Metropolis se fait aussi OVNI sur la scène de l'animation japonaise en incluant bon nombre d'éléments en 3D dans ses décors. Avant que les puristes ne crient au scandale, ils restent minoritaires et passent toujours crème encore aujourd'hui.

    Dans le fond, il partait aussi avec des bonnes idées. Même-si la question de la robotique a été déclinée à tort et à travers, Metropolis pouvait tirer son épingle du jeu. Malheureusement, ses personnages ne sont absolument pas exploités. Dommage, la gamine robot devant monter sur le trône amenait à beaucoup de questionnements très intéressants. Idem côté intrigue, elle se déroule d'une platesse mémorable et sans aucune surprise

    On retiendra de Metropolis, tout au plus, quelques plans mémorables et beaucoup de déception. Comme si, les réalisateurs, par volonté de nous pondre un truc grandiose, en avait oublié d'insuffler une essence à leur long-métrage. Parce que le rendu final manque fâcheusement de consistance… Et c'est d'autant plus rageant qu'entre Tezuka, Otomo et Rintaro, on se doute bien que les gugus avaient le potentiel de nous pondre un truc du futur.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    694 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2019
    Une pépite inédite de l'animation qui offre une relecture intelligente du mythe de Fritz Lang. Metropolis trouve sa quintessence dans un final renversant.


    https://www.facebook.com/la7emecritique/
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 septembre 2018
    La ville de « Metropolis » est clairement le personnage central de cette merveilleuse histoire. L’ambiance du film est sombre, ainsi que le propos : tout commence avec une enquête sur le trafic d’organes. Cela contraste fortement avec le style graphique, qui me fait penser à la série Astroboy. Très particuliers, mais vraiment réussis, les personnages ont une morphologie unique. Je trouve beaucoup de qualités à ce film, mais je dois dire que je l’ai visionné en deux fois, car je me suis un peu ennuyé au milieu. On a le sentiment de savoir ou l’intrigue va nous mener, et on subit quelques longueurs, alors même qu’on assiste à des scènes d’actions ou de poursuite. C’est la première fois d’ailleurs que je m’ennuie durant des scènes d’actions. Étrange ! Le film est pourtant plein de surprise, très inspirée, c’est un petit bijou d’animation, mais qui atteint très rapidement ses limites. Malgré la grande panoplie visuelle de Métropolis, on a plutôt le sentiment d'un huit clos, dont j'ai du mal à me justifier. La musique est géniale. La fin est superbe et mérite, malgré ses quelques défauts, une très bonne note. Je vous conseille de regarder ce film pour son originalité.
    Apanage
    Apanage

    2 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2018
    Une adaptation animé du manga Metropolis de Osamu Tezuka (1949), qui lui-même s’était inspiré librement du film éponyme réalisé en 1927.
    A ce sujet, Osamu Tezuka avait largement revisité et renouvelée ce classique du cinéma.
    Ce film d’animation s’adresse à tous, il n’infantilise pas les jeunes personnages et répond aux attentes du spectateur adulte. Le scénario est intelligent, les décors sont grandioses et le choix des musiques est pertinent.
    Avant de payer pour le voir, il est conseillé de regarder préalablement une bande annonce pour vérifier si le style de dessin vous convient, car il est intentionnellement désuet. En effet, le character-design est fidèle au trait d’Osamu Tezuka. Cela peut déplaire selon les goûts mais le réalisateur a décidé d’être respectueux du manga original.
    Cependant, on nous offre une réalisation de grand style dans le choix des plan et mouvement de camera. spoiler: Avant la partie finale, nous assistons à une excellente scène de 2 tirs simultanés.

    La technique d’animation est très fluide, le trait est d’une grande finition. La colorimétrie des personnages est en accord avec les décors dans lesquels ils se fondent. Des effets spéciaux modernes sont judicieusement insérés, sans que cela ne contraste avec les graphismes. Dans ce film animé, la 2D et de la 3D sont en harmonie. Les images de synthèse s’intègrent à l’animation classique sans donner l’impression de corps étranger.
    Dans la forme, on nous livre des plan majestueux sur un urbanisme très densifié et foisonnant, visuellement extrapolé à partir des buildings américains des années 1920.
    Si le style architectural est ancien, on ne doute pas du caractère futuriste de cette cité aux proportions titanesques. Du point de vue d’un regard contemporain, le steam punk semble cohabiter avec la science-fiction dans cette œuvre. (L’explication plausible étant qu’il s’agit d’une science-fiction esquissé en 1949 dans le manga)
    Il est probable qu’un regard critique sur la modernité perce derrière ce tableau général, cet urbanisme semblant être un facteur de déshumanisation.
    Sur le fond cette œuvre conjugue inspiration mythique, problématique sociale et thème de science-fiction. Le récit se situe à Metropolis, une sorte mégalopole peuplée d’hommes et de robots. Cette citée est segmentée dans le sens verticale : des gratte-ciels en surface et des paliers souterrains constituant le soubassement de la ville.
    A la surface, l’occupation est majoritairement humaine, la présence des robots étant réduite au minimum nécessaire. Les humains modestes sont présents dans le premier souterrain.

    Nous observons une ségrégation géographique des robots qui sont répartie en surface et dans les trois paliers souterrains de métropolis en fonction de leur statut, leurs compétences et attributions. Ce qui peut symboliser la stratification d’une société.
    Dans la plus basse strate, les machines effectuent des travaux dans un environnement que les humains ne peuvent supporter longtemps.
    La cheville ouvrière de la ville est donc constituée par les robots, qui peuvent être comparés aux esclaves de l’antiquité.
    Le film aborde la problématique du remplacement progressif de l’homme par la machine et l’intelligence artificielle. A cet effet, on nous montre la présence au premier sous-sol d’humains inoccupés vivant de distribution alimentaire gratuite.
    On peut comparer cette situation à des sociétés antiques tel l’empire romain, dans lequel les « travailleurs » sont des esclaves tandis que les citoyens (libres) romains démunis subsistent au moyen de l’annone. Il y a une référence évidente à la tour de Babel : le richissime Duke Red fait édifier la zigourat, un immeuble constituant le point culminant de la cité, doté d’une technologie militaire à vocation impérialiste.
    Pendant le déroulement du film, l’intrigue joue sur les interrelations des politiques, de l’armée, des milices politiques, de l’opinion publique, des rebelles et des robots.
    Le récit développe des protagonistes correctement travaillés. Par exemple, l’antagoniste de cette histoire, le dénommé Duke Red, est doté d’une personnalité complexe. Au départ, ses motivations et intentions sont ambivalentes. D’une part, il finance et manœuvre les Maldiouk, un parti haineux envers les robots. D’autre part, il projette de placer l’androïde Tima au cœur de la Ziggourat. Tima est un robot fabriqué à l’image de la fille décédée de Duke Red. Les caractéristiques de cet être artificiel dépassent les autres robots. Elle est placée au cœur de cette histoire dont elle constitue un des enjeux.
    A l’issue d’un récit bien articulé et aéré, le film nous montre un dénouement spectaculaire et chargé de symboliques.
    Glouyie
    Glouyie

    15 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2018
    Metropolis 2001 est un film aux graphismes absolument exceptionnels avec une histoire sympathique sans être trop originale mais il manque un peu d'émotions et de rythme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 mars 2017
    l univers de Tezuka est une pure merveille, d'un étourdissant espoir en l Amour malgré une violence intrinsèque en chaque individu
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2017
    Avec d'aussi prestigieux noms accolés au film, on ne pouvait attendre qu'une réussite, et en effet, ce manga rétro avec sa bande-son jazzy séduit par sa simplicité malgré le nombre d'enjeux exposés. Dans un festival de rebondissements, un grand spectacle mêlant politique, drame, émotion et humour, pour deux heures de plaisir.
    7eme critique
    7eme critique

    534 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    L'heure de la révolution a sonné dans la ville qui fait cohabiter humains et robots !
    "Metropolis" nous fait davantage part de sa beauté artistique que narratrice. On apprécie le thème et l'ambiance, on reste légèrement réfractaire à la structure de son scénario. Le film ne marque pas comme il le devrait, son énorme potentiel ne sera pas suffisamment exploité.
    zhurricane
    zhurricane

    82 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2015
    Il y a de belles images, mais à part ça, rien du tout. Un film inutilement compliqué, pour un ennui abyssal.
    Benjamin A
    Benjamin A

    713 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juin 2015
    C'est à Metropolis, une mégalopole futuriste où humains et robots cohabitent, qu'un inspecteur japonais, accompagnée par son jeune neveu, vient enquêter sur les activités louches d'un savant...

    Finalement on est assez loin d'un remake animé du Metropolis de Fritz Lang, ce à quoi je m'attendais, et, l'auteur ne s'étant inspiré que d'une photo du chef d'oeuvre du cinéaste allemand lorsqu'il a créé le manga en 1949, on y retrouve uniquement le même univers et l'idée de base de la femme-robot. Rintarō prend d'abord le temps de bien mettre en place cet univers avec de hauts gratte-ciel à perte de vue, un rôle primodiale de la technologie et une répartition des classes bien définies, avec des robots servant d'esclaves pour les hommes et faisant le dur labeur. Un univers sublimé par la qualité des dessins, que ce soit sur les personnages, notamment les inoubliables yeux verts du robot, ou la ville de Metropolis, et la fluidité de l'animation, réservant quelques séquences de toutes beautés et inoubliables.

    Mais la force de Metropolis, c'est de dresser le portrait de personnages consistants et intéressants, à commencer par le mystérieux et mégalo méchant, cachant ses projets pour mieux diriger la ville dans l'ombre et souhaitant créer un robot prenant les traits de sa fille disparue et capable de dominer les humains. Personnage dont les apparitions sont d'abord limitées et Rintarō laisse régulièrement planer le mystère sur ses intentions et l'explication de ses actes. Mais c'est sa création, ce robot fascinant qui, contrairement aux intentions qui lui étaient d'abord destinées, va découvrir la vie via le neveu d'un détective et ressentir des émotions, tout comme nous. Les autres personnages, tels que Rock, le fils adoptif et jaloux du Duc ou l'enquêteur, apportent eux aussi de la richesse au récit et aux liens que vont tisser les protagonistes entre eux. Tant dans les personnages, que les dialogues ou l'avancement de l'histoire, Metropolis dévoile une belle qualité d'écriture, évitant tout manichéisme et sachant aborder divers thèmes sans nuire à l'intrigue et aux protagonistes.

    Là où Rintarō se montre aussi brillant, c'est dans sa mise en scène et l'atmosphère qu'il met en place. D'abord ambigu et intriguant, le mystère est de plus en plus fort et vient se mêler à la fascination, que ce soit pour certains personnages mais aussi ce monde, très bien exploité, et qui fait froid dans le dos. Toujours en donnant de l'importance au côté thriller, il bascule aussi dans des réflexions sur le rapport entre l'humain et la robotique mais aussi dans quelques moments lyriques et poétiques magnifiques ainsi que dans le drame où la puissance émotionnelle et tragique est présente, que ce soit à travers un androïde capable de ressentir des sentiments ou même d'un père marqué par la disparition de sa fille, négligeant par la même occasion son fils adoptif. L'ambiance bascule parfois dans la folie, à l'image de toute la dernière partie, et c'est totalement prenant, le tout est en plus rythmé par une partition jazz ou parfois une bande-originale inquiétante à souhait. Rintarō n'en oublie pas non plus la tension et le côté palpitant de cette aventure, sachant prendre son temps lorsqu'il le faut et retranscrire toute la nervosité ou le côté désespéré des enjeux.

    Quelle claque ! Et ce à tous les niveaux, que ce soit dans l'écriture, l'animation ou la mise en scène. Rintarō met en place l'univers du Metropolis de Lang pour livrer une histoire aussi fascinante que touchante, poétique et intelligente. Brillant.
    Extremagic
    Extremagic

    68 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2015
    Alors si de prime abord j'ai été subjuguer par le film grâce à son visuel décapant et qui me touche particulièrement : steam-punk/cyber-punk avec des ambiances très oniriques, les musiques jazzy bref ça en jette quoi ! Je dois admettre que le scénario est bien en-deçà et fait vraiment défaut au film, c'est simple, trop simple mais surtout les personnages sont quasi inexistants, alors que la chara-design est soigné et me ferait tomber même pour des personnages perdu dans le foule qu'on ne verrait qu'un plan, la personnalité des protagonistes est ou caricaturale ou d'une platitude frôlant l'inexistence. Bon après j'ai pas vu le Métropolis de Lang (bon sang le mec à la bourre !) mais je pense qu'il y a plein d'analogies à faire. Ensuite je suis assez déçu par la mise en scène parce que si les personnages sont creux, il y a une absence de gros-plan qui ne permet aucune pseudo-identification, on a beaucoup de plans larges (alors très beau pour la plupart) en plongée qui plus est... Et c'est un peu mollasson, enfin sauf dans quelques scènes d'action parce que quand ça pète, ça pète ! Et là il y a des trouvailles intéressantes, l'animation est bien exploité, le support est justifié dans certaines scènes. Après je suis que moyennement convaincu pour le final qui est très beau mais le décalage avec la musique (ce n'est pas la seule scène) laisse à désirer, c'est peut-être trop à coté de la plaque en vue de l'univers qu'impose le film mais ça reste très beau. Voilà c'est un chouia décevant, visuellement c'est magnifique ça reste un bon film. Et puis maintenant je sais d'où viennent les principales idées visuelles et scénaristiques de Bioshock (lolilol).
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