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Votre avis sur Qui veut la peau de Roger Rabbit ? ?
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Une enquête mêlant humains et personnages de cartoon, il fallait le faire. Un mélange parfaitement mis en scène avec une pléiade de personnages savoureux, un lapin gaffeur, un Bob Hoskins génial en inspecteur bougon, un juge cruel, la très sexy Jessica Rabbit et plusieurs toons familiers de la Warner et de Dysney . Un cocktail savamment orchestré entre film noir des années 40 en hommage à l’âge d’or de Hollywood et séquences cartoonesques survoltées. Bijou de créativité, véritable prouesse technique pour l’époque, ce film n’a pas pris une ride
Un excellent film atypique. L'histoire est intéressante et l'alliance entre le cinéma d'animation et le réel est parfait.
Le concept de mélanger animation et prise de vue réelle, les clins d'oeil à des films d'animation et le côté parodie sont régalant, d'autant plus que les effets spéciaux sont très réussis.
Malheureusement l'humour s'avère la plupart du temps soit nul soit lourd.
Les acteurs sont mauvais mais c'est surement fait exprès et la musique est oubliable.
Les personnages par contre son cools.
Classique surcoté, Robert Zemeckis n'a pas réussi tous ses films.
Malheureusement l'humour s'avère la plupart du temps soit nul soit lourd.
Les acteurs sont mauvais mais c'est surement fait exprès et la musique est oubliable.
Les personnages par contre son cools.
Classique surcoté, Robert Zemeckis n'a pas réussi tous ses films.
Simplement unique... aucun équivalent dans le monde du cinéma. Et ne vieillit pas ce qui est fascinant alors que les images numériques n'existaient pas à l'époque... Un bijou !
« Qui veut la peau de Roger Rabbit » est un autre classique des années 80. Malgré son âge et quelques incohérences, la nostalgie de retrouver Bugs Bunny, Daffy Duck, Donald, Mickey, et bien d'autres dans une même œuvre est une prouesse technique et scénaristique. Les performances de Bob Hoskins et Christopher Lloyd, respectivement face à des personnages imaginaires et dans le rôle du juge, sont remarquables, donnant vie à ce monde mixte avec une crédibilité étonnante. La collaboration entre Warner et Disney offre une expérience unique, malgré une animation qui a vieilli et un méchant un peu décalé par rapport à l'univers toon. L'histoire, plus complexe qu'il n'y paraît, et certaines scènes cultes comme celle de Jessica Rabbit, maintiennent le film comme un divertissement de qualité. Robert Zemeckis a su créer un spectacle visuel qui, malgré les années, conserve son charme. Ce film reste un divertissement familial incontournable, marquant par sa prouesse technique et son humour, même si certains aspects n'ont pas aussi bien vieilli. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
"Qui veut la peau de Roger Rabbit", réalisé par Robert Zemeckis et sorti en 1988, s'impose comme une œuvre cinématographique révolutionnaire, mêlant avec brio animation et prises de vue réelles. Ce film novateur ne se contente pas de repousser les limites techniques de son époque; il réinvente également la narration en intégrant des personnages de dessins animés dans un univers réaliste, créant ainsi un pont entre deux mondes habituellement distincts.
L'histoire, située dans le Los Angeles de 1947, offre une immersion dans un univers où les Toons coexistent avec les humains, générant une dynamique sociale complexe qui sert de toile de fond à une intrigue captivante. La trame narrative, centrée sur l'enquête menée par le détective privé Eddie Valiant pour blanchir Roger Rabbit, accusé de meurtre, se déploie avec intelligence, mêlant humour, suspense et émotion.
La performance de Bob Hoskins, dans le rôle d'Eddie Valiant, mérite une mention spéciale. Sa capacité à interagir de manière convaincante avec des personnages qui n'existent pas physiquement à ses côtés est remarquable et contribue grandement à l'immersion du spectateur dans l'univers du film. De même, la réalisation de Zemeckis est exemplaire, réussissant à harmoniser les séquences animées avec les prises de vue réelles de manière fluide et naturelle, un exploit technique pour l'époque.
La bande sonore, composée par Alan Silvestri, et les chansons contribuent également à l'atmosphère unique du film, oscillant entre nostalgie de l'âge d'or d'Hollywood et énergie des cartoons. Les effets visuels, bien que révolutionnaires à l'époque, ont quelque peu vieilli, mais cela n'enlève rien à la magie du film.
Néanmoins, "Qui veut la peau de Roger Rabbit" n'est pas exempt de faiblesses. Certains éléments de l'intrigue peuvent sembler prévisibles et certains gags répétitifs. De plus, malgré une prouesse technique indéniable, le film peut parfois donner l'impression que la technique prend le pas sur la narration, laissant le spectateur admiratif devant la performance technique mais moins investi émotionnellement.
En conclusion, "Qui veut la peau de Roger Rabbit" est un film pionnier qui a marqué son époque par son audace technique et narrative. Si certaines de ses composantes ont légèrement vieilli, son charme, son humour et son originalité demeurent intacts, faisant de lui une œuvre majeure du cinéma. Toutefois, quelques lacunes, principalement dans la profondeur de certains personnages et dans certains ressorts scénaristiques, empêchent le film d'atteindre la perfection.
L'histoire, située dans le Los Angeles de 1947, offre une immersion dans un univers où les Toons coexistent avec les humains, générant une dynamique sociale complexe qui sert de toile de fond à une intrigue captivante. La trame narrative, centrée sur l'enquête menée par le détective privé Eddie Valiant pour blanchir Roger Rabbit, accusé de meurtre, se déploie avec intelligence, mêlant humour, suspense et émotion.
La performance de Bob Hoskins, dans le rôle d'Eddie Valiant, mérite une mention spéciale. Sa capacité à interagir de manière convaincante avec des personnages qui n'existent pas physiquement à ses côtés est remarquable et contribue grandement à l'immersion du spectateur dans l'univers du film. De même, la réalisation de Zemeckis est exemplaire, réussissant à harmoniser les séquences animées avec les prises de vue réelles de manière fluide et naturelle, un exploit technique pour l'époque.
La bande sonore, composée par Alan Silvestri, et les chansons contribuent également à l'atmosphère unique du film, oscillant entre nostalgie de l'âge d'or d'Hollywood et énergie des cartoons. Les effets visuels, bien que révolutionnaires à l'époque, ont quelque peu vieilli, mais cela n'enlève rien à la magie du film.
Néanmoins, "Qui veut la peau de Roger Rabbit" n'est pas exempt de faiblesses. Certains éléments de l'intrigue peuvent sembler prévisibles et certains gags répétitifs. De plus, malgré une prouesse technique indéniable, le film peut parfois donner l'impression que la technique prend le pas sur la narration, laissant le spectateur admiratif devant la performance technique mais moins investi émotionnellement.
En conclusion, "Qui veut la peau de Roger Rabbit" est un film pionnier qui a marqué son époque par son audace technique et narrative. Si certaines de ses composantes ont légèrement vieilli, son charme, son humour et son originalité demeurent intacts, faisant de lui une œuvre majeure du cinéma. Toutefois, quelques lacunes, principalement dans la profondeur de certains personnages et dans certains ressorts scénaristiques, empêchent le film d'atteindre la perfection.
ah la la ce film je connaissais un paquet des répliques et chanson...Picoti Picota...on rase gratis...la trempette...Moi...Jessica...le monde des toons...etc ce fut plus qu'un réel plaisir de revoir ce film mais là encore une fois, sur grand écran cela donne ce truc en plus!!!
Bon ok j'ai dégusté à l'école avec ce film mais toujours adoré ce film et vu la femme que "j'avais" je pouvais répondre!^^
Bon ok j'ai dégusté à l'école avec ce film mais toujours adoré ce film et vu la femme que "j'avais" je pouvais répondre!^^
Cartonoonant dans tous les sens, Roger et sa bande reste une ode à l'amour du cinéma où la passion repousse les limites de la magie.
En 1988 un mélange de toons et d'acteurs assez inédit et original avec des personnages fouillés et beaucoup d'humour.
Film au rythme et à l’humour dévastateurs qui mélange génialement toons et êtres de chair. Et tous sont presque à la même cadence effrénée. C’est drôle et très, très bien monté, très, très bien réalisé. Le mixage époustouflant de l’animation et de la réalité est sidérant quand on pense que tout ça fut fait avant le règne du numérique. Bob Hoskins est parfait dans son rôle. Gros succès en son temps bien mérité et qui n’a pas pris une ride. Seuls quelques accrocs dans la fluidité montrent que tout ça ne fut pas fait par une grosse machine informatique. Génial !
Je m’attendais à ce que les effets spéciaux aient pris une sacré ride, il n’en ai rien, c’est honnête et toujours réussi. Par contre (et déjà il y a une trentaine d’année) je trouve que l’humour n’est pas terrible et l’histoire tout juste honnête. Bref, 2,5 étoiles pour ce film moyen qui vaut surtout par cette idée originale de mélanger des Toons au monde réel et l’interprétation convaincante de Bob Hoskins.
Véritable prouesse technique et artistique pour mêler acteurs et personnages de dessins animés. Avec un scénario crédible et de nombreux gags très comiques.
il était temps! 45 ans d'attente! Un petit chef d'œuvre! Qu'est-ce que je dis, un gigantesque chef d'oeuvre! pas un ride, mais c'est normal la peau de lapin ça ne vieillit pas.
Un film d'animation bien maîtrisé techniquement pour l'époque. C'est amusant de voir évoluer sur un même plan toons et acteur réel tout au long du film. Il y a beaucoup de clins d'œil aux personnages Warner bros et Disney. L'enquête est sympa, l'humour est présent et le rebondissement final créé sa surprise. Je ne l'avais jamais visionné étant enfant et c'est par curiosité que j'ai voulu le visionner à presque 40 ans. Je ne le regrette pas car ce film possède des qualités techniques intéressantes et a été mis en scène de manière intelligente. Les oscars sont mérités.
MERVEILLEUX FILM ANIMÉ ❤❤❤❤ il est de 1988 j'ai 58 ans je j'ai 58 ans je le regarde en ce moment il passe à Guilli il ne prend pas un ride c'est un chef d'œuvres
Et PAS WOKE LUI ❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Et PAS WOKE LUI ❤️❤️❤️❤️❤️❤️
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