WHAOU, mais quelle CLAQUE, quel CHEF-D’ŒUVRE, je ne m'en suis toujours pas remis, Sergio Leone tu resteras à jamais un très grand et un puissent génie du septième art. Après sa fameuse trilogie du dollars, et son fameux Il était une fois dans l'ouest qui marque le début de cette grand trilogie Amérique, il nous présente le deuxième volet de cette deuxième trilogie, un volet possédant tant de puissance, de virtuose, de perfection, d’excellence, de bon sentiment mélangé qui sont mélangé à une dureté sans précédent et qui nous fait tomber sous son charme de cet immense chef-d'oeuvre qui sera précédé en 1984 du très grand Il était une fois en Amérique. Il était une fois la révolution n'est pas seulement un immense chef-d'oeuvre cinématographique mais aussi un chef-d'oeuvre musicale grâce au compositeur de génie: Ennio Morricone, composant comme toujours les thèmes musicaux des films du très honorable Sergio, cette bande sonore est composé avec une telle finesse et une telle précision que, comme à chaque fois avec se compositeur, elle nous émerveille. La mise en scène et le scénario sont réalisé avec perfection comme à chaque fois avec le grand Leone qui a cette fois tenté de jouer sur nos sentiments, de faire un film purement engagé tout en gardent la virilité habituel de ces westerns, enfin western... que dis-je, cette fois notre italien, même si le conteste y est se détache progressivement du western, en effet le film commence comme une comédie aux allures ironiques (ou du moins pour rester de le contexte, comme un très bon western Zapata du genre Companeros, Quien Sabe ? ou Tepepa) et qui progressivement se transforme en tragédie engagée, chose peu probable dans le Western spaghetti, métamorphose qui marque en effet la disparition du western Italien (le film date de 1971, c'est à cette époque que le genre commençait à s'épuiser) . Bref un chef-d'oeuvre intemporel comme on en voit pas si souvent malheureusement, je vous le conseille vivement car si vous avez raté ce film avant votre mort c'est vôtre vie que vous avez rater, c'est donc comme vous l'avez compris une imminente merveille et sur ce, comme le dis si bien James Coburn dans son rôle de Sean Mallory "duck you sucker !" car je vous préviens, la claque va faire mal !