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    Il était une fois la révolution
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    ElAurens
    ElAurens

    82 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juin 2011
    Après la trilogie exceptionnelle du dollars et le sensationnel Il était une fois dans l'ouest, Sergio Leone s'attaque à la révolution mexicaine. Malheureusement c'est le moins bon western du cinéaste. Le début promet beaucoup, avec un petit retournement de situation efficace, des dialogues qui font mouche « à poil t'es un connard comme les autres », la musique de Morricone, la rencontre explosive entre Coburn et Steiger. Bref tout commence parfaitement et après le film baisse d'intensité et perd l'humour pour un côté plus sombre et sérieux et accumule quelques longueurs. Il faut dire qu'après avoir enchaîné deux des plus grands films de toute l'histoire du cinéma, ça relevait du miracle d'aboutir au même niveau.
    Nicothrash
    Nicothrash

    378 abonnés 3 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 septembre 2024
    Enfin, j’ai pu découvrir ce deuxième volet de la trilogie de Sergio Leone. Le constat est de suite un peu sévère car malgré de belles qualités il ne tient pour moi pas la comparaison avec les chefs d’œuvres que sont Il Était une Fois dans l’Ouest et Il Était une Fois en Amérique. On retrouve bien cet aspect western spaghetti, du moins au début, mais la mayonnaise a plus de mal à prendre, les personnages ne m’ont pas particulièrement emballé malgré une vraie évolution et des comédiens au sommet. Et puis il y a ce quelque chose de trop moderne qui gâte un peu l’affaire, qui empêche de se jeter dans l’histoire à corps perdu comme c’est cas pour les deux autres opus. En revanche l’évolution de genre est intéressante, partant presque de la comédie pour finir en véritable drame. Mais au milieu, j’ai trouvé le temps un peu long, les dialogues peu ciselés et les choix artistiques moins tranchants que d’habitude. Attention ça reste un bon western mais coincé entre deux masterclass et dont la durée est assez mal dosée. Un peu déçu, forcément …
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2020
    Pour le second volet de sa trilogie, Sergio Leone réalise un western épique, sombre et pessimiste, avec des scènes mémorables, interprété par un duo James Coburn/Rod Steiger qui fonctionne parfaitement et bercé par la sublime BO de Morricone. Pas le meilleur de la trilogie mais du lourd quand même !
    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 065 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2021
    Sans atteindre le niveau d’excellence des deux autres « il était une fois », La révolution reste un grand spectacle comme peu de film peuvent l’être, magnifié par la mise en scène de Sergio Léone. Tour à tour flamboyant, épique, bouffon, le film de Léone raconte l’histoire de deux parias, mercenaires dans un monde plus violent qu’eux. Les idéaux de révolution chez l’irlandais, ne change rien à l’affaire, les révolutions sont violentes et peu de choses changent au final, les pauvres payant au prix de sang leurs idéaux. Constat cynique mais lucide. Le film est parfois hybride et les ellipses parfois brutales rendant le discours du film peu clair, mais Léone a surtout filmé deux hommes perdus dans un monde en proie à la violence et au soulevement. Il y a toujours de d’humanité chez les personnages de Léone, même un peu enseveli, et la musique d’Ennio Morricone sait la rendre palpable. De grandes scènes ponctuent le film comme le massacre des rebelles ou l’explosion du pont. Imparfait, mais un grand film.
    kibruk
    kibruk

    150 abonnés 2 582 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 août 2024
    Sergio Leone a enchainé les grands films depuis "Pour une poignée de dollars" jusqu'à "Il était une fois en Amérique", ce qui en fait l'un des réalisateurs qualitativement les plus constant de toute l'histoire du cinéma même s'il n'est assurément pas le plus varié dans les genres abordés. Avec "Il était une fois la révolution" on est en terrain plus que connu, impression renforcée comme d'habitude par la superbe musique de Ennio Morricone, et ceux qui apprécient ses précédentes œuvres comme moi seront en terrain conquis. On retrouve tout ce qui fait les réussites de Sergio Leone : réalisation superbe, scénario génial, personnages décalés, dialogues ciselés et drôles, situations cocasses et jouissives, mais aussi moments de tension et d'émotion intenses. "Il était une fois la révolution" est surprenant par la représentation très frontale de la violence - surtout pour l'époque - avec ses séquences d'exécutions de masse, et Leone use aussi parfaitement du hors champ dans des scènes bouleversantes où toute l'émotion passe par quelques mots et des gros plans sur le visage des acteurs (le changement de ton radical de la dernière heure est d'ailleurs l'un des points forts du film). "Il était une fois la révolution" est un film intense et virevoltant, impressionnant visuellement par l'ampleur des moyens déployés, qui nous emporte de surprises en surprises pendant 2h30, mais qui est quand même ponctué d'ici et là de quelques éléments de scénario ou de montage un peu discutables, ce qui fait que je le place un peu en dessous de "Il était une fois dans l'ouest" ou "Le bon, la brute et le truand".
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mai 2021
    Sergio Léone s'éloigne peu à peu du genre qui l'a rendu célèbre avec "Il était une fois la révolution". Certes, le film début par un style western dans son premier tiers mais devient un véritable film d'histoire et de guerre par la suite. L'introduction de Mao Zédong nous prévient d'ailleurs "qu'une révolution ne peut être que sanglante". D'ailleurs, bien que le film démarre dans le burlesque et le comique , l'entrée des deux personnages principaux dans la révolution rendra l'oeuvre très sérieuse, tragique voire dramatique. Sergio Léone perd son ironie habituelle et rentre dans un film engagé, une retranscription de la révolution de Zapata en 1910 au Mexique qui fut assez atroce. John (James Coburn) ancien révolutionnaire irlandais de l'IRA devenu spécialiste en explosifs et Juan (Rod Stiegler) pilleur de diligences, sont tous deux très bons acteurs, d'une classe dingue propre aux personnages de Léone. La musique de Ennio Morricone est encore très belle voire même grandiose dans la scène où Juan retrouve toute sa famille assassinée par l'armée mexicaine. Celle-ci est faite d'un doux sifflement, elle est sublime. Une oeuvre marquante du réalisateur italien, pas assez reconnue aà mon humble avis alors qu'elle mérite amplement d'être classé à côté des monuments "Le bon, la brute et le truand" et "Il était une fois dans l'ouest".
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 janvier 2011
    pas du grand leone mais toujour meillieur que certin autre western et se film a un hummour agreable et les personnage tous haut en couleur un bon western mais leone a fait beaucoup mieux
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 janvier 2019
    Derrière son sens aigu de la dérision et du ridicule, Sergio Leone était un profond pessimiste sans guère d'illusion sur la capacité de l'homme à maitriser ses plus bas instincts, mu qu'il est par sa pulsion de mort et sa soif de pouvoir. "Il était une fois la révolution" est sans doute l'expression la plus juste du tempérament torturé de celui qui affichait extérieurement une nature joviale et gargantuesque. S'il s'était surtout évertué dans la trilogie des dollars et dans le crépusculaire "Il était une fois dans l'Ouest" à démonter la légende fondatrice du western tout en lui rendant hommage, il franchit ici un pas supplémentaire en démontant le mythe absolu que demeure la Révolution toujours prometteuse de l'avènement d'un monde meilleur. Leone n'en retient que l'aspect sanguinaire et sa quasi immédiate récupération par ceux qui y voient l'occasion d'accéder au pouvoir et de jouir de toutes les formes de corruption qu'il offre. Pour rester dans l'Ouest de son enfance, la révolution mexicaine avec en frontispice les figures mythiques de Pancho Villa et de Zapata auxquelles il ne fera jamais référence, semble le vecteur idéal. Travaillant sur d'autres projets, Leone n'envisage pas de réaliser le film qu'il ne souhaite que produire via la société (la Rafran) de son ami Claudio Mancini et de son beau-frère Fulvio Morsella. Peter Bogdanovich puis Sam Peckinpah sont pressentis pour la réalisation mais sans suite. De fil en aiguille avec la United Artists à la manœuvre, Leone sera amené à prendre place derrière la caméra. Il reprend alors le scénario avec Sergio Donati qu'il connait bien pour conformer l'histoire à son propre univers. L'équipe avec Rod Steiger (Leone souhaitait Eli Wallach mais le studio imposa Steiger qui venait de remporter un Oscar) et James Coburn (en lieu et place de Jason Robards puis de Malcom McDowell) en vedette s'embarque pour le sud de L'Espagne que Leone connait maintenant comme sa poche. Toujours fidèle une esthétique où se mêle avec bonheur le grandiose et la dérision, il ne s'embarrasse guère de vraisemblance historique, faisant cohabiter un terroriste de l'IRA en fuite (James Coburn) spécialiste des explosifs et un péon (Rod Steiger) vivant de rapines pratiquées sur les diligences serpentant les routes poussiéreuses du désert mexicain. Cette rencontre improbable présentée avec toute la rouerie dont le réalisateur et son fidèle compositeur (Ennio Morricone) savent user, permettra d'observer les deux versants du processus révolutionnaire. Le dialogue entre l'intellectuel conscient des enjeux et le paysan qui après avoir été manipulé se rend compte de la duperie dont sont victimes ceux de sa classe est la grande force du film. Le constat auquel aboutiront les deux hommes finira par se confondre, même si le chemin pour y parvenir aura été bien différent. C'est même le péon devenu héros révolutionnaire par un hasard ironique qui expliquera à celui qui est devenu son ami, la supercherie consubstantielle à la promesse qui pousse le peuple à la révolte : "Ceux qui lisent des livres vont voir ceux qui n'en lisent pas et disent : " l'heure du changement est venue". Alors les pauvres font les changements. Ceux qui lisent s'assoient autour de tables bien cirées, parlent et mangent. Mais que sont devenus les pauvres ? Ils sont morts !". A la suite de cette phrase sans retour, l'aristocrate irlandais n'a d'autres choix que de jeter le livre de Bakounine qu'il était en train de compulser. Cette phrase résume assez bien où en est rendu Leone quant à sa relation avec la politique. Il parsèmera son film d'autres références historiques comme lors de la scène du massacre de la famille de Juan Miranda (Rod Steiger) qui évoque le massacre des fosses ardéatines (Rome, le 29 mars 1944) par les nazis. Pareillement les massacres des juifs dans les fosses communes par les mêmes nazis seront reproduites quasiment à l'identique. Sans doute pour toutes ces raisons "Il était une fois la Révolution" occupait une place à part dans le cœur de Leone qui s'il était conscient d'avoir marché sur le fil du rasoir en mêlant son ton sarcastique à des évènements aussi tragiques, savait aussi avoir livré, lui si pudique, une grande part de lui-même dans ce film parfois un peu bancal. Le chef d'œuvre était à venir une grosse dizaine d'années plus tard.
    this is my movies
    this is my movies

    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2016
    Abusivement inclus dans la trilogie "Il était une fois" à cause de son titre français (radicalement différent de l'original), ce film de S. Leone est sans doute celui qui m'a le moins touché. On y retrouve pourtant tous ses thèmes fétiches ainsi qu'un sens du grandiose qui ne dépareille pas avec tous ses chefs d'oeuvre mais bon, j'étais un peu moins enthousiaste au final. Les acteurs sont pourtant très bon, la musique de Morricone est toujours un sommet, les séquences d'action sont incroyables et ce qu'il raconte est d'un pessimisme et d'une cruauté sans nom mais c'est parfois aussi un poil tiré par les cheveux. Sans doute parce que au départ Leone destinait ce film à d'autres que lui (S. Peckinpah au début puis G. Santi avant que R. Steiger, imposé par la prod quand Leone voulait absolument E. Wallach, ne se fâche tout rouge et oblige Leone à faire le film) ou bien parce qu'il nécessitera plusieurs visions de ma part, en tout cas un excellent film, avec des séquences de très, très haut niveau, un cinéma total en tout cas, majestueux et tragique. D'autres critiques sur
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2018
    C’est le titre sous lequel sorti le film en Italie, seule la France respecta le choix de Leone de le voir intitulé sous le titre « Il était une fois… » ; titre qui l’inscrit dans la trilogie de Leone à mi-chemin entre l’Ouest et l’Amérique. Le mi-chemin entre les deux autres opus pour ce film central, car il allie le côté picaresque des grands westerns spaghettis (« Le bon la brute et le truand » et « Il était une fois dans l’Ouest ») et le côté onirique et complexité du récit du suivant (« Il était une fois en Amérique »). Même s’il démarre sur les chapeaux de roue avec un humour mordant très italien des 70’s (type « Affreux sales et méchants »), il se révèle par la suite plus désenchanté. Faisant allusions aux différentes tragédies du XXème siècle (fascisme, nazisme, Shoah,…) quitte à faire fi des réalités historiques, ce film marque franchement une distance envers l’Idéal Révolutionnaire. Peut-être une raison pour laquelle le titre français ne fût pas retenu dans différents pays tant il marquait une vision catastrophique du fait révolutionnaire. Sans habillage particulier voire sans pincette, Léone dit clairement dans ce film que les masses sont manipulées par quelques intellectuels, les conduisent à la mort en nombre pour la cause et finissent par récupérer le pouvoir. Dans le film celui qui parait le moins malin, Juan, est certainement dans le vrai ; la révolution est toujours récupérée par les puissants. Il le dit clairement à la fin du film : « La révolution ? C’est quand ceux qui savent lire vont voir ceux qui savent pas lire et leur disent qu’il faut tout changer. Les pauvres bougres se mettent au boulot. Puis, le boulot fait, ceux qui savent lire se réunissent, puis parlent, puis bouffent, puis parlent, puis bouffent. Pendant ce temps-là, les pauvres, eux, ils sont morts. Et après, eh bien tout recommence comme avant ! ». Tout cela sur fond mélancolique d’une B.O. au diapason signé Ennio Morricone. Malgré ces qualités, c’est loin d’être le meilleur Sergio Leone ; ce film trouve peu son rythme et il est hyper codé. Par contre, on peut voir ce qui a pu inspirer Tarantino ici ; une parentalité assumée.
    A voir pour la leçon de chose sur le fait révolutionnaire et l’art du cadrage de Sergio Leone.
    Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
    Jahro
    Jahro

    57 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 octobre 2017
    C’est le dernier western officiel du metteur en scène. Après ça et un quasi break de treize ans, il reviendra par la pègre de New York, lui accolera les codes du genre et s’offrira pour la peine Robert De Niro. Avant l’est américain et après son far-west, donc, nous voici au Mexique à l’orée du XXe. Car si le nom d’origine se traduirait par un délicat « Planque-toi, spoiler: connard
    ! » (et c’est Wikipédia qui le dit), c’est bien le titre français qui honore le premier choix du réalisateur. Ce que ça change ? A vrai dire peu. Série ou pas, ça fait longtemps que Leone a prouvé l’étendue de son génie. Alternances de plans larges et de cadrages serrés, galerie de portraits haute en couleurs et rythme tour à tour stressant, nerveux ou contemplatif, les mélodies prodigieusement nostalgiques d’Ennio Morricone, et même une touche d’humour inattendue (à défaut d’être très légère), La révolution s’inscrit de fait parmi les chefs d’œuvre du maître. On remarquera l’apport de Juan, modèle du rustre sympathique, précurseur du buddy à movies, chicano terre à terre mais bourré d’honneur, qu’on doit à un Rod Steiger connu tant pour ses seconds rôles que ses problèmes sur les tournages. Il reste ici fidèle à sa ligne de conduite, mais cette fois c’est peut-être plus pour la bonne cause. Son alliance contre nature avec le pâle, flegmatique et un brin sournois irlandais John – rayonnant James Coburn – appuie la mise en scène tout en la renouvelant. Sergio n’en demandait pas tant ; alors nous, vous imaginez.
    bobbyfun
    bobbyfun

    43 abonnés 1 253 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2020
    Un film à vous émouvoir au plus au point tant le lyrisme et la mélancolie sont à leur paroxysme. Un classique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 août 2019
    Un western spaghetti en demi-teinte. Ce que j’ai préféré, c’est le côté buddy movie, qui occupe principalement la première heure, avec un comique très efficace porté par le personnage de Juan. La suite, entre explosions, coups de feu et flashbacks au ralenti, m’a profondément ennuyé. Même si c’est propre au genre, ce rythme très lent, qui noie les scènes les plus efficaces dans un montage fait d’ellipses à répétition, m’a souvent dérangé et il n’y a que la réalisation qui maintienne l’intérêt.
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    70 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2011
    Beaucoup ont reproché au film un rythme trop lent et de nombreuses imperfections (notamment dûs à un tournage parfois difficile). Ils n'ont pas tort mais c'est aussi là la force du film. Certes, e nombreuses scènes auraient facilement pu être abrégées pour économiser 30 minutes seulement on connaît Leone et son goût pour les scènes longues qu'elles soient violentes ou intenses. Tant pis, cela ne gâche pas le spectacle offert par le duo Steiger - Cobburn et leurs deux personnages hauts en couleurs. Mais c'est dans le dernier tiers du film que se trouve la force du film: lorsque leurs aventures prennent une allures bien plus tragiques et que des scènes éprouvantes de révolution se déroulent sur leurs yeux et les notres évidemments. A travers les péripéties de deux têtes brûlées que tout sépare, Leone nous offre un film de révolution boulversant, porté avec force par la classe de Cobburn et la composition absolument mythique de Rod Steiger dans un rôle hyper bien construit.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juillet 2010
    Encore un chef d’œuvre signé du grand Sergio Leone. Deuxième film de la trilogie il était une fois : après le premier film qui est un autre chef d’œuvre Il était une fois dans l’Ouest, cette fois si il nous plonge en pleine révolution mexicaine. C’est à la fois envoûtant, drôle, engagé, émouvant et bouleversant. La musique d’Ennio Morricone est une fois de plus culte et magnifique. Le duo James Coburn et Rod Steiger marche à merveille. Du grand cinéma, un classique.
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