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Votre avis sur L'Homme au pistolet d'or ?
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L'homme au pistolet d'or est un classique des James Bond car il place l' espion du MI6 en tant que proie, ce qui est encore inédit à l'heure actuelle. Toute proie à son chasseur et celui-ci n'est autre que Scaramanga incarné par le grand Christopher Lee toujours aussi froid et cynique, bref parfait pour le rôle.
Passé ce duel, la trame est nettement plus nébuleuse et argue une nouvelle source d'énergie révolutionnaire et blablabla. Rien d'interessant enfin plutot de consistant...
Ensuite, pour ceux qui connaissent la construction propre à la série, rien de particulier, c'est du vu et revu hormis une cascade vraiment magnifique brouillée et ringardisée par un bruitage à la mords-moi-le-noeud. Scandaleux.
Somme toute, un James Bond avec peu d'action, peu de tension mais toujours aussi divertissant. Hamilton avait fait bien mieux....
Passé ce duel, la trame est nettement plus nébuleuse et argue une nouvelle source d'énergie révolutionnaire et blablabla. Rien d'interessant enfin plutot de consistant...
Ensuite, pour ceux qui connaissent la construction propre à la série, rien de particulier, c'est du vu et revu hormis une cascade vraiment magnifique brouillée et ringardisée par un bruitage à la mords-moi-le-noeud. Scandaleux.
Somme toute, un James Bond avec peu d'action, peu de tension mais toujours aussi divertissant. Hamilton avait fait bien mieux....
Film génial , plein d'actions , plein de rebondissements , plaisant pour passer une bonne soirée !
Épisode de Bond spécial, d'abord par la rivalité entre Scaramanga et 007, qui sort de l'ordinaire. Ensuite par la relation entre l'agent et la James Bond girl de service, plus complexe qu'à l'accoutumée même si la fin ne change pas, bien évidemment. Et pour finir, l'interprétation de Christopher Lee, éblouissante. Le charisme des 2 personnages fait des étincelles, et donne cette touche particulière qui fait que cet épisode ressort plus que les autres. Dans le fond, le scénario ne réserve pas de grandes surprises, mais est plus soigné que certains épisodes. Un film dans la moyenne haute de la saga.
un james bond atypique, pas le meilleur roger moore, mais l'île de Scarramanga vaut le détour !!!
The Man With the Golden Gun introduit l'un des objets emblématiques de la saga, mais reste relativement en cran en-dessous des opus précédents. Moore est bon et a définitivement pris la place de Sean Connery, et la présence de Christopher Lee est agréable. Malheureusement, le scénario est assez faible, la James Bond girl est un peu nunuche et les scènes d'action sont parfois étrangement filmées, confuses ou trop longues. Bref, pas inoubliable. Plus que 13!
Un des épisodes les moins mouvementés de la série, mais qui est réussi. Avec un bon duel entre Roger Moore qui joue ici pour la deuxième fois James Bond face à Christopher Lee qui incarne avec classe le rôle du méchant Scaramanga. Avec des jolies James Bond Girls, Britt Ekland et Maud Adams, sans oublier le petit français Hervé Villechaize qui joue le rôle de Nick Nack. Un bon divertissement.
Un James Bond mou, avec un scénario trop simple et des acteurs pas excellents. Donc à éviter.. (Le meilleur reste Goldfinger).
Deuxième opus de la saga "James Bond" avec Roger Moore dans le rôle de 007, ce film s'éloigne du schéma classique de la série puisque James Bond ne doit pas accomplir une mission mais affronter un tueur à gages incarné par le non-moins célèbre Christopher Lee. Le réalisateur installe cette intrigue de manière drôle et efficace, l'humour est souvent présent mais l'action également plus que dans "Vivre et laisser mourir". Comme d'habitude, l'agent secret voyage beaucoup mais c'est bien la première fois qu'il doit se battre autant à mains nues, notamment la scène où l'agent doit affronter des karatékas est très spectaculaire. Le scénario est riche, solide, dense, compact, plus que d'habitude et malgré son originalité, on suit avec intérêt les aventures de 007 et des filles qui l'accompagnent dans sa quête. Au menu de cet opus: bagarres multiples, course-poursuites, humour, trahisons, suspense et un duel final d'anthologie. Il faut rappeler que ce long-métrage a été tourné en pleine crise énergétique, voilà pourquoi une partie du film aussi mince soit-elle concerne un objet et une installation capables de produire de l'électricité uniquement par l'apport de l'énergie solaire. On sent que ce film possède un budget conséquent, le succès du précédent fait que les effets spéciaux sont bien mieux réussis parce qu'ils sont davantage financés ainsi on voit des lieux magnifiques et des technologies de pointe. A noter que l'acteur qui joue le serviteur de Christopher Lee est impayable, il ne peut nous empêcher de rire à chacune de ses apparitions et il faut préciser qu'il interprête un rôle majeur. Pourquoi le tueur à gages possède-t-il un pistolet d'or et des balles du même métal? Tout simplement parce que ces pièces sont uniques fabriquées par un commerçant sans scrupules prêt à accepter un bon paquet d'argent. Christopher Lee incarne sans doute le méchant le plus classe de la série et son sourire machiavélique, son regard perçant impressionnent toujours. Au final, Guy Hamilton réalise et signe un excellent divertissement, maîtrisé et rythmé.
Roger Moore est un très bon 007. des incohérences comme tous les james bons. et alors
Christopher Lee campe un personnage très charismatique dans un James Bond moyennement passionnant qui respecte le cahier des charges du genre sans originalité.
Un bond dans la lignée du précédent, dépaysant, on laisse de côté la guerre froide pour une mission annexe. Certe, cela est plaisant mais le scénario est vite limité à une sorte d'enquête policière sans queue ni tête, on en sort avec un duel utopique, comment peut-on imaginer que les 2 ennemis se sert la main ? Inimaginable, mais le temps passe vite et on se retrouve avec un film regardable sans prétention.
Rendez-nous Sean Connery! Un male bien brutal et classe quand il faut, des méchants vraiment durs accompagnés de tueurs impitoyables, des scénarios grandioses, un espion qui sauve l'occident civilisé, des filles perverses mais finalement soumises au sex-appeal du héros, des gadgets improbables et coûteux, une Moneypenny soupirante... Un film de James Bond ne peut être que classiquement réac, et en aucun cas atiédi par le politically correct. Sinon, ça donne ce genre de film : un Bond-éponge-humide, timide, refoulé et maladroit, dont les mots tombent à plat, qui dépense l'argent du contribuable à sauver sa propre peau, sans aucune dimension épique ni politique. Echec donc, mais hélas caractéristique de notre époque.
L'Homme au pistolet d'or est un film James Bond un peu décevant. Il n’arrive pas au même niveau que les autres. La mise en scène de Guy Hamilton est irréprochable et les acteurs comme Roger Moore, Christopher Lee ou encore Britt Ekland sont corrects dans leurs interprétations. Mais je n'ai pas accroché à l’histoire et le scénario ne m’a pas paru toujours bien ficelé, c’est dommage.
Mieux que le précèdent, surtout grâce à la présence de Christopher Lee dans le rôle de Scaramanga et à son serviteur de petite taille. Deux moments drôles, involontairement cela dit, d'abord Roger Moore affrontant des experts en arts martiaux à la vitesse d'un escargot sous Valium, ce qui fait une fois de plus regretter Sean Connery. Ensuite lorsque Scaramanga oblige le personnage joué par Britt Ekland (au demerant très agréable à regarder) à paraitre en bikini pour s'assurer qu'elle ne porte pas d'arme, James Bond étant, lui, presque en pull roulé.
Certainement le Bond le plus contreversée avec l'humour qui prend le dessus sur l'action. On retrouve aussi le shériff Pepper (déja apparu dans le précédant Bond "Vivre et laisser mourir") qui me rappel un autre flic tout aussi rondouillard : Le chef Wiggum des Simpson ! Christopher Lee est impeccable en grand méchant et son bras-droit nain est sympatique.
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