Christopher Lee ne sait il jouer que des méchants? donc la il est jeune et deja méchant(mais avec classe).son "mini" bras droit est très fourbe,il me rapelle le nain dans james west.Vraiment ce bond brille par le talent de ce couple!!
Quelques scènes ridicules, des James Bond girl anecdotique au mieux, empotée au pire, des acteurs qui surjouent (Herve Villechaize, Clifton James), un scénar pas fameux... Cet épisode fait incontestablement partie du bas du panier de la saga. Reste la présence de Christopher Lee qui sauve le film (rien que ça) et qui ravive notre intérêt à chacune de ses apparitions.
On peut adorer la série et apprécié l'interpretation de Roger Moore, il faut tout de même rester honnete. Ce film n'est pas une grande reussite, il n'atteint certes pas les abyss des diamants sont eternels, mais il a bien du mal à decoller. Bien sur christopher lee est tres bon, il y a quelques bonnes scenes d'action, mais la recette avec Roger Moore n'a pas encore était trouvée. Ce sera chose faite au prochain opus avec le génialissime "l'espion qui m'aimait"
Deuxième Bond avec Roger Moore, L'Homme au pistolet d'or fait baisser d'un cran la qualité amorcée avec Vivre et laisser mourir, qui ancrait clairement le nouvel acteur et son personnage dans les années 70. Toujours réalisé par Guy Hamilton, ce neuvième opus nous entraîne dans une aventure en mi-teinte, inégale, où 007 va en premier lieu devoir débusquer puis affronter celui qui le traque : un tueur professionnel nommé Scaramanga. Assassin hors pair signant ses méfaits d'une balle en or, ce nouveau Némésis s'avère être un adversaire de taille à la fois cruel et charismatique, comme une sorte d'alter ego maléfique de l'agent britannique. C'est l'immense Christopher Lee qui incarne donc cet ennemi mémorable qui va s'amuser avec 007 tout au long du film, l'emmenant dans son petit jeu afin de savourer plus délectablement sa mort. L'intrigue de ce deuxième film avec Moore commence brillamment bien, changeant la donne quant aux habituelles histoires de méchants mégalomanes : l'agent secret doit sauver sa peau et va pour cela prendre les devants. Moore campe un 007 moins blagueur, plus froid, n'hésitant pas comme son illustre prédécesseur écossais à mettre des baffes aux dames si nécessaire tout en abusant de moyens de persuasions plus érotiques. Malheureusement, arrivée à la seconde partie du métrage, l'histoire retombe dans l'énième sauvetage du monde, Scaramanga devenant ce sempiternel mégalomane soucieux de gouverner le monde grâce à un engin capable de capter l'énergie solaire. Nous sombrons ainsi dans le classicisme pur et dur de la série, oubliant une première partie certes moins rocambolesque mais plus originale. De plus, l'humour alors discret dans cette dernière se fait plus présent, à notre dam, notamment lorsque ce bon vieux Moore se lâche dans une école de karaté ou lorsqu'il revoit une vieille connaissance vue dans l'épisode précédent : le shérif américain Pepper (toujours campé par Clifton James) dont l'improbable présence à l'autre bout du monde et les blagues lourdingues empêchent le long-métrage d'être un minimum sérieux, rejoignant ainsi la suite de ce scénario virant à l'abracadabrantesque. La mise en scène un peu paresseuse d'Hamilton est à peine rehaussée par quelques bons moments d'action (la séquence de karaté, la course-poursuite en hors-bords sur les canaux de Bangkok). Mention passable donc pour ce neuvième film qui s'annonçait pourtant aussi différent que foncièrement exaltant.
James Bond est pris pour cible par un redoutable tueur à gages. Le mystérieux Scaramanga souhaite l’éliminer mais l’agent 007 est bien décidé à ne pas se laisser abattre aussi facilement…
A peine un an après la sortie de Vivre et laisser mourir (1973), Guy Hamilton retrouve pour la seconde fois Roger Moore dans une nouvelle aventure qui nous entraîne de Beyrouth à Hong Kong jusqu'en Thaïlande. Réalisé dans la précipitation, le film n’a pas grand-chose d’original à nous offrir, entre un méchant à trois tétons (bizarre, mais bon après tout, on a bien eu une femme à 3 seins dans Total Recall - 1990) qui s’amuse avec ses statues de cire et ses jeux de miroirs et Tric-Trac son acolyte de petite taille (et son insupportable doublage VF qui nous rappelle la voix gouailleuse entendu dans Le sexe qui parle - 1975).
L'Homme au pistolet d'or (1974) alterne bizarrement film d’espionnage et comédie parodique (après la séquence des hors-bords dans le bayou dans le précédent opus, le réalisateur réitère la même chose dans les canaux de Bangkok, avec toujours l’insupportable Sheriff Pepper). On a même droit à une improbable cascade (en spirale) effectuée en voiture sur fond de bruitage cartonnesque, c’est du grand n’importe quoi.
Une suite paresseuse et plombée par un humour lourdingue, reste la présence de Christopher Lee et du français Hervé Villechaize qui permettent de passer un agréable moment en leur compagnie.
On retrouve ici un James Bond dans un style assez classique, sans grandes nouveautés par rapport aux autres épisodes, un film très moyen, sans grand suspens.
Un "James Bond" correct car avec un vrai scénario encore tiré des romans de Ian Flemming et avec à la fois de l'action et de l'humour, contrairement aux plus récents qui ne sont plus qu'une suite de poursuites rocambolesques et qu'une collection de gadgets ridicules. Tous les acteurs sont excellents dont Roger Moore qui est un James Bond à la fois plein de fougue et d'humour.
Un très bon James bond. Le style de Roger Moore y est pour quelque chose, mais le méchant interprété par Christopher Lee manque de charisme. Les deux James Bond Girls sont magnifiques et la musique est une des meilleures de la saga. Roger Moore n'a pas le talent de Sean Connery, mais il suis sans conteste la lignée des grands James Bond. À noter, la présence du français Hervé Villechaize, dans le rôle du nain Trick-Track ; ainsi que le retour du sheriff Pepper.