Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Ti Nou
496 abonnés
3 495 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 31 juillet 2010
Pas du tout motivé pour rattraper le mauvais "Vivre et laisser mourir", Guy Hamilton réalise paresseusement cet épisode et rate toutes les scènes d'action. Heureusement Roger Moore s'installe peu à peu dans le rôle et son adversaire (Christopher Lee) est des plus charismatiques.
Tout juste un an après "Live and let Die" , Roger Moore reprend le role de 007 dans "The man with the golden gun". Cet opus injustement dénigré fait pourtant partie de mes préférés. L’atout principal du film est bien sur Chrisopher Lee, excellent dans le role du terrifiant "Scaramanga". Ensuite, Roger Moore, quarante-six ans, est encore assez jeune pour briller dans les scènes de bagarres, ce qui ne sera pas forcement le cas lors des épisodes suivants. Notons ensuite une partition très réussie de John Barry, avec une excellente musique de générique. Un mot sur le scénario enfin, qui à le mérite d’être original et très bien rythmé. On ne voit donc pas le temps passer, d’autant plus que ce Bond est l’un des rares à durer un brin moins de deux heures. On regrettera cependant la réapparition inutile voire ridicule du shérif J.W Pepper, déjà vu dans le précédent opus de la saga, « Live & let die ». Malgré ce détail, "The man with the golden gun" mérite d’être vu et revu !
Avec ce 9e film (qui est sans doute le plus drôle de la série), Roger Moore impose définitivement son style (et son humour tout en finesse et en petites répliques). Mais surtout, on retrouve enfin un méchant digne de ce nom : le tueur Scaramanga (joué par le monstre de charisme Christopher Lee) qui incarne une sorte de double maléfique de 007 et abat ses victimes à l’aide de son incroyable pistolet d’or. Ce personnage ainsi que son repaire (lui permettant de se livrer à des duels à mort) et l’incroyable cascade de la voiture qui part en vrille valent largement les 3 étoiles. Certes, on pourra reprocher au scénario d’être un peu basique (et tout le monde semble connaître l’agent pas secret du tout 007 !) mais les 2nds rôles sont très réussis (le nain Tric-Trac, l’agent nunuche mais marrante Bonne-nuit, le sergent Pepper…) tout comme les dialogues. Un bon moment qui prouve une fois de plus que la réussite d’un film repose souvent sur la qualité de son méchant !
Petit James Bond que cet opus, Roger Moore n'arrivant décidément pas à s'imposer comme il le faut dans ce rôle! A travers un scénario des plus maigre, James recherchant un tueur, qui veut également le tuer, on tourne vite en rond et en longueur dans cet épisode. Reste cependant quelques scènes légendaires malgré tout (comme quoi, dans un un film moyen...) comme celle du parcours de tir avec l'effigie de Bond, le nain majordome et le fameux pistolet d'or démontable... Une partie du film se passant à nouveau au moyen orient, je constate qu'à mon goût ce lieu ne réussi pas du tout à notre héros après le très moyen "On ne vit que 2 fois!" Un Bond de plus donc mais pas le plus inoubliable!
Christopher Lee toujours efficace dans son rôle de tueur à gage face à un Roger Moore faisant pâle figure aux côtés de ses compaires James Bondiens, The Man With The Golden Gun reste un bon petit episode de notre agent préféré.
Ce Bond, bien que très efficace et bien foutu, il ne reste pas moins quelque peu ennuyant. Le rythme est assez mou et certaines sequences action sont parfois mal montées. À part tout cela Roger Moore est toujours aussi bon et Christopher Lee impeccable avec des décors ingénieux sortant de l'ordinaire. P.S: L'intro du film (chose qui reste la plus spectaculaire du film) est là bien navrante, sans y faire l'apparition de notre Bond adoré succédé d'une chanson déségréable à écouter. C'est bien dommage.
L'Homme au pistolet d'or aurait certainement pu être le meilleur James Bond compte tenu de l'enjeu élevé du film puisque James Bond affronte enfin un ennemi à sa mesure (sans avoir besoin d'une armée derrière comme les autres méchants) en la personne du redoutable tueur Scaramanga, très bien interprété par un Christopher Lee dans ses bons jours. De plus, le bras droit de celui-ci, le nain Nick-Nack est particulièrement sournois et méchant, ce qui en fait un autre redoutable adversaire pour Bond. Qui plus est, les décors du film sont sublimes et le repaire secret de Scaramanga à la fin du film est vraiment un lieu impressionnant. L'humour est plus que jamais présent avec un Roger Moore décidément très à l'aise dans son rôle et dans son style. Les James Bond girls sont ravissantes et ne manquent pas d'humour notamment la jolie "Bonne Nuit". Enfin, pour l'humour, le shériff Pepper fait son grand retour et autant il était chiant dans "Vivre et laisser mourir", autant il me fait bien marrer (Nom de bougre!) dans ce 9ième James Bond. Sans compter que les scènes d'action sont particulièrement convaincantes avec une poursuite en voiture très ryhmée notamment. Enfin, l'idée du pistolet d'or est géniale, cela permet de donner tout de suite plus de grandeur au tueur et de le démarquer des autres, tellement que James Bond à un peu l'air ridicule à côté avec son Walter PPK et que Lee vole un peu la vedette à Moore. Jusque-là, tableau idyllique pour le film seulement comme ça se passe en Asie, on a droit aux catastrophiques scènes de karaté ultra-caricaturales et aux asiatiques qui passent vraiment pour des imbéciles (c'était moins le cas dans "On ne vit que deux fois", là c'est vraiment flagrant). De plus, l'intrigue traîne beaucoup en longueur et on s'ennuie un peu en attendant désespéremment cet incroyable duel que l'on nous promet entre James Bond et ce redoutable tueur au pistolet d'or. Sauf qu'au final, le duel est décevant, dommage. Un assez bon James Bond, moyen plus.
Un bond version moore tout à fait acceptable, avec un christopher lee des grands soirs. C'est une des dernières adaptations de fleming (donc en un sens un des derniers vrais james bond). Mais la tentation commerciale commence à se faire sentir. Ca reste l'un des meilleurs roger moore.
Après un "On ne vit que deux fois" assez efficace, Roger Moore revient dans le rôle de James Bond avec "L'homme au pistolet d'or". Ce nouvel opus se détache de manière notable des précedents: en effet ici, l'intrigue et l'histoire d'amour se font plutôt discrets au profit de l'action (quelques scènes impressionnantes dont une poursuite en voiture très efficace). Mais l'interêt principal de cette aventure réside en la présence de Scaramanga (magnifiquement interpreté par Christopher Lee), qui peut en quelque sorte être interpreté comme le nemesis, l'opposé parfait de l'agent James Bond sur tout les points: en effet tout oppose les deux hommes mais ils vont être amené malgré tout à se rencontrer et à se défier, amènant le film à son paroxysme, tant la scène est attendu par le spectateur (on peut amplement la prévoir dès le début du film). Et même s'il est vrai que,de ce fait, l'intrigue apparaît quelque peu banale et bancale (étant donné que la fin du film est connue à l'avance), cela n'empêche pas de profiter d'un spectacle grandiose, que ce soit au niveau des effets spéciaux (la magnifique cascade en voiture notamment) ou des décors (tout simplement sublîmes). En résumé, un James Bond honnête qui parvient une fois encore à renouveller la série!
Peut-être le meilleur James Bond de l’époque. Beaucoup d’effets spéciaux. Une très belle photographie. Une histoire originale. Une musique majestueuse.