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Jeff S.
3 abonnés
151 critiques
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2,5
Publiée le 30 octobre 2024
Dommage, car tout est la. Les acteurs ( Hopkins, Norton, Seymour Hoffman, Fiennes...), l'histoire, et l'ambiance sombre. Mais la réalisation est plate et sans saveur. Tout est fade, a commencer par Norton en Will Graham. Préférez le métrage initial, Manhunter, de Michael Mann, dont ce Dragon Rouge est le remake. De très loin meilleur.
C'est la même structure que le silence des agneaux mais avec un tueur différent. Hannibal lecteur est beaucoup moins présent que dans le premier film est c'est bien dommage.
Un bon casting, mais la saison vaut plus le coup d’œil, elle est bien plus belle au niveau de son image et de sa lenteur. Ce film fait très "années 2000", avec des FX, une coiffure très moyen, et un fond musical trop présent et lourd.
Malgré une production clinquante, le film n'est pas à la hauteur de ses ambitions! Pourtant le potentiel est évident! Mais on nous livre (trop tôt!) un tueur plus pathétique qu'effrayant, interprété par un Ralph Fiennes plus cabotin que jamais, Hopkins est parfait mais trop absent, Keitel réduit à un faire-valoir... Un film vain et maladroit, incapable de cultiver son mystère. Un gâchis!
Dragon Rouge a la même structure que le Silence des Agneaux : depuis la même cellule vitrée, au fond du couloir à gauche, Hannibal guide l'enquêteur du FBI sur la piste d'un tueur en série, qui est en pleine transformation. Buffalo Bill se transformait en femme,spoiler: la petite souris en dragon.
Cette fois-ci Hannibal ne veut plus se taper Sterling, il veut tuer Graham. Mais il n'est plus qu'un personnage secondaire. Les motivations du tueur ne sont pas claires du tout, spoiler: une grand-mère castratrice est la seule explication . Pourquoi la pleine lune ? Quand même plus recommendable qu'Hannibal de Ridley Scott
Adapté du roman de de Thomas Harris, un thriller psychologique séduisant sur le papier avec un casting prestigieux, mais décevant au niveau scénario, pas aidé par une mise en scène bancale.
Le prologue fu film annonçait du très bon, avec ce cher Hannibal Lecter ( Anthony Hopkins, toujours convaincant) servant à ses hôtes des parties d'un piètre flûtiste suivi d'un duo avec le héros du film, Edward Norton, efficace et tout en sobriété qui débouche sur une scène très réussie, inattendue. Las, le film s'enlise dans un manque de rythme, et si Harvey Keitel est le bienvenu pour jouer les seconds couteaux, tout comme Ralph Fiennes en tueur psychopathe et indenichable, tous les efforts réunis par l'acting, la mise en scène soignée et cohérente, quelques rebondissements pour déboucher sur un final assez original, ce " Dragon Rouge" m'a laissé, je dois l'admettre, un peu sur ma faim. C'est un bon film dans l'ensemble, et l'atout majeur, ça reste l'interprétation impeccable d'un Lecter comme on aime le détester,donnant une fois de plus l'occasion à Hopkins de nous rappeler son énorme potentiel d'acteur à contre emploi. Mieux que la suite ( Hannibal les origines du mal ) mais moins bien que la suite du Silence des Agneaux ( Hannibal de Ridley Scott ) je donne une note mitigée car un peu déçu, je mettrai ce film néanmoins dans la catégorie des bons films de série B. Bon appetit !...
Dragon Rouge n’est rien d’autre qu’un thriller télévisuel fade et sans intérêt dont les deux heures s’étirent parfois jusqu’au supplice. Où est le climat froid, la présence imposante du célèbre docteur cannibale, et les figures monstrueuses de tueurs détraqués ? Pas ici en tout cas. Dragon Rouge n’a finalement d’impressionnant que son titre.
DRAGON ROUGE n'est pas la suite du SILENCE DES AGNEAUX, mais une enquête qui précède celle de Clarisse Starling. Une belle entrée en matière, ou nous découvrons une surprenante description de la vraie nature d'Hannibal Lecteur, le cannibale. Un individu qui ne pardonne rien. ANTHONY HOPKINS est de retour, toujours aussi énigmatique et impressionnant dans le rôle du psychopathe enfermé dans une prison sous haute sécurité. Face à lui, EDWARD NORTON, agent du FBI préoccupé, essayant d'éluder une série de meurtres atroces. Deux acteurs remarquables dans cette réalisation au scénario trop convenu. Le hasard sème trop facilement des indices sur le parcoure de l'inspecteur Will Graham (EDWARD NORTON). Un enquêteur démêlant cette énigme, avec une justesse d'esprit annalistique beaucoup trop appuyée. Certes, le suspense est là et la tension est omniprésente, avec une réalisation très bien menée, mais les facilités scénaristiques sont un peut trop grossières. Un thriller très moyen, qui reste divertissant.
Le suspens insoutenable ne peut pourtant tenir à lui seul le film: Anthony Hopkins et son alter ego n'atteignent pas les sommets attendus et promis des le début. La qualité de la mise en scène est à déplorer mais le scénario tient la route, tout étant une question de focalisation: l'essence est bonne, mais le degré (puissance d'Hannibal, présence de Lounds et de Ralph fiennes à l'écran, assomage par des formules faussement choc "Hannibal le cannibale") font dire que c'est une mauvaise adaptation. Difficile de voir en quelques scènes de dilemmes intenses et de passion brûlante un bel hommage: puisqu'on peut se permettre les jeux de mots, disons que c'est plutôt dommage.
S'il aura fallu dix ans pour qu'une suite du mythique "Silence des agneaux" (1991) fût mise en chantier avec "Hannibal" de Ridley Scott (2001), "Dragon rouge" n'attendra pas un an, Dino De Laurentiis, le producteur avisé souhaitant battre le fer quand il est chaud après le franc succès du deuxième volet des aventures du docteur Lecter (352 millions de dollars de recettes mondiales). Difficile pourtant de concevoir un scénario original en si peu de temps. C'est donc le premier livre de Thomas Harris "Dragon rouge" (publié en 1981) qui sera une nouvelle fois adapté. En effet après William Friedkin évincé du projet, Michael Mann a été le premier à s'intéresser à l'œuvre de Harris, réalisant en 1986 avec "Le sixième sens" un film passé inaperçu à sa sortie mais devenu culte avec le temps. Il est donc difficile aujourd'hui de voir le film de Brett Ratner autrement que comme un remake de celui de Michael Mann. A cette aune, le travail roboratif du tâcheron Brett Ratner affiche malheureusement toute sa lourdeur. Reprenant pourtant tous les moments forts du film de Mann, "Dragon Rouge" semble prisonnier du mythe qui s'est construit autour de la personnalité d'Hannibal désormais personnifié par Anthony Hopkins, acteur certes très talentueux mais qu'il faut tenir en respect pour éviter que sa prestation ne pâtisse d'une surdose d'effets grandiloquents qui réjouissent certains mais en agacent aussi quelques autres. Mann avait retenu du livre d'Harris la souffrance psychique de l'agent du FBI Will Graham obligé de s'imprégner de la folie du tueur pour aider à sa capture via l'anticipation de ses crimes. A partir d'un casting d'acteurs de second plan très talentueux et tous parfaitement distribués (William Petersen, Dennis Farina, Brian Cox, Joan Allen, Tom Noonan) était né grâce à la musique spatiale de Michel Rubini, la photographie bleu métallique de Dante Spinotti et la méticulosité maladive de Michael Mann, un chef d'œuvre proposant un voyage envoûtant dans la psyché malmenée du détective Will Graham. Dino de Laurentiis qui avait déjà produit le film de Michael Mann est ici à la recherche d'autres choses qui s'appellent l'efficacité et la rentabilité. Pour ce faire, il faut décentrer le propos vers la personnalité d'Hannibal Lecter devenu une star. Dès lors, les pointures qui sont réunies autour d'Hopkins telles que Harvey Keitel, Ralph Fiennes, Edward Norton ou Phillip Seymour Hoffman sont malgré leur savoir-faire un peu en sur régime, dirigés par un Brett Ratner qui ne fait pas dans la nuance. Ralph Fiennes en particulier qui est à cent coudées de l'étrangeté qui se dégageait de l'interprétation du tueur Francis Dolarhyde par l'étrange Tom Noonan. Si le film a rempli honorablement son office marketing (210 millions de recettes mondiales), la démarche artistique est plus contestable. Elle a toute fois le grand mérite pour ceux qui regarderont les deux films à la suite de mesurer ce qui sépare un film né d'une vision artistique affirmée d'un autre résultant du recyclage mercantile d'une recette éprouvée.
Vraiment pas génial. Un début moyennement prometteur. Un raccord avec le premier à peine intéressant. Une histoire peu attrayante et un personnage principal faiblard. Je suis déçu, cette suite de la trilogie Hannibal n'offre que très peu d'intérêt au personnage du Dr Lecter.
Rien d'exceptionnel une réalisation banale et une intrigue bancale, Edward Norton n'est pas convaincant et Harvey Keitel inexistant, Ralph Fiennes nous rejoue Voldemort fan d'Hannibal le cannibal et Emma ...heu Emilie Watson pardon (punaise Ralphie c'est à cause de toi ça) ... ha !!!!! elle joue dans le film, elle fait quoi ???? ha !!!! le rôle d'une demoiselle esseulée et aveugle... ok.... Bon ben heureusement qu'il y a le regretté Phillip Seymour Hoffman qui assure quand même un minimum, dommage son personnage de journaliste/écrivain véreux méritait d'être plus approfondi.
Un casting prestigieux pour pas grand chose au final ! Ce troisième et dernier épisode de la trilogie Hannibal façon Hopkins, met son personnage principal en second, voire troisième plan, laissant la vedette cannibale dans l'ombre d'un "Dragon rouge". Cet épisode qui est un remake du film de Michael Mann, à savoir "Le sixième sens", se situe chronologiquement avant "Le silence des agneaux", notre bonne vieille Clarice Starling n'a donc pas encore fait son entrée en scène. "Dragon rouge" ne sera pas spécialement convaincant par son histoire, surtout pour les amateurs du personnage d'Hannibal. En effet, le sujet principal sera le personnage de Ralph Fiennes, bien moins travaillé et captivant que celui d'Hopkins. Une simple traque policière sans évènements marquants !