Nouvelle collaboration, la troisième, entre Jean Girault et Louis de Funès. Il s'agit du deuxième film de la saga des Gendarmes. Devant le succès de "Le Gendarme de Saint-Tropez", les auteurs du film ont imaginé une suite mais qui se situera à l'extérieur de Saint-Tropez : un congrès international de la Gendarmerie à New-York. Le film raconte essentiellement les péripéties de du maréchal des logis-chef Cruchot et de sa fille Nicole, jouée par Geneviève Grad, qui arrive de manière clandestine à New-York. On passe un bon moment, surtout la fin avec notamment la scène de la malle et du taxi new-yorkais lors du retour à Saint-Tropez. On y trouve bien évidemment de nombreux gags grâce au talent de Louis de Funès, une apparition de la religieuse et un pastiche de la comédie musicale "West Side Story". Bien dans l'ensemble, c'est à partir du troisième film que la qualité du scénario décline.
Ce deuxième volet de la saga offre un meilleur rythme que le premier, De Funès y déploie aussi plus d'énergie. Les situations drôles et les gags sont nombreux, pas toujours très fins, mais souvent plaisants, quelques scènes valent le détour. Au final on passe un bon moment en se divertissant sans trop réfléchir avec un brin de nostalgie.
Dès qu'on parle de Louis De Funès, inévitablement on pense direct au Gendarme, son rôle le plus légendaire. Une comédie française de l'époque comme on les aime, où la brigade se rend à New-York pour un congrès sur la gendarmerie dans le monde. A voir absolument !
« le gendarme à New-York », après le franc succès du « gendarme de saint Tropez » une suite était évidente… du grand Louis de Funès comme toujours ! Un film toujours aussi humoristique que le précédent et un binôme De Funès Galabru toujours à son summum !!
« Le Gendarme à New York » est une suite qui peine à égaler son prédécesseur (« Le Gendarme de Saint-Tropez »). Louis de Funès et Michel Galabru sont toujours aussi drôles, mais l'intrigue principale manque de consistance et arrive tardivement. Le film a quelques bons moments, mais il semble que les acteurs ne soient pas totalement convaincus par le scénario. Malgré quelques gags divertissants, l'ensemble est moins captivant et manque de l'énergie du premier film. La découverte de New York par les gendarmes français offre quelques scènes amusantes, mais le film souffre de longueurs et de quelques scènes inutiles. Bien que les dialogues aient leur charme, le film ne parvient pas à maintenir l'intérêt de bout en bout. C'est une suite correcte, mais qui ne présente pas un grand intérêt au-delà de quelques scènes comiques et du duo Funès-Galabru. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Après le succès populaire des premières aventures des gendarmes de Saint-Tropez, Jean Girault, sans doute atteint par la folie des grandeurs (pas celle de Gérard Oury, hélas pour lui...) transporte son affligeante brigade à un congrès de gendarmes à New York. Dépaysement garanti. Mais, peu transcendé par les lieux, Girault reste fidèle à sa médiocrité, à son comique grotesque et à sa mise en scène rudimentaire. Les auteurs du film délivrent quelques cartes postales de la ville mais leur pauvre scénario, loin d'en exploiter la singularité et spécificité, se complait dans une franchouillardise qui, elle, n'a rien d'exotique. Comme dans le premier épisode de la série, la fille du chef Cruchot,spoiler: embarquée clandestinement, est à l'origine des péripéties newyorkaises dans lesquelles est entrainé son père. Louis de Funès, dont la célébrité du rôle n'empêche pas qu'il a été passablement dirigé par Girault, fait son numéro, entouré de ses faire-valoir benêts, une composition qui tourne à vide tant l'environnement est stupide, approximatif, bâclé. Chacun s'offre ici un beau voyage et un nanar de luxe.
Un deuxième épisode trés réussi. On suit la joyeuse troupe de gendarmes à New-York où ils représentent la France pour un congrès international de gendarmerie. La fille de Cruchot (De Funès) décide de les accompagner en douce. Cela va évidemment donner lieu à de nombreux gags et situations drôles. La traversée en bateau vers New-York est déjà l'occasion de bien rigoler. Une vraie bonne comédie familiale qui ne vieillit pas.
Bonne suite que ces aventures de Cruchot à New York même si on est un chouïa en dessous du premier et du 3ème. Il reste néanmoins de très bons gags: le taxi, chez les Italiens, à l'hôtel à New York, quand De Funès demande à l'américaine : 《Do you speak english?》• Le clin d'oeil à West side story est très réussi également.
Très mauvaise suite déjà le film est super répétitif et tourne en rond les acteurs deviennent très mauvais au fil du temps on s'ennuie à en mourir le seul point positif du film c la première partie qui est très bonne surtout quand les Gendarmes apprennent l'anglais et [ Spoiler] quand ils répondent tout et n'importe quoi à leur arrivée [ fin du Spoiler] mais sinon c tout car ce film est à la limite du navet !
Une fois n'est pas coutume, cet opus commence par le défilé sur le port de Saint-Tropez. Et d'emblée la fine équipe se voit envoyée en représentation a New York avec un premier gag au bout de 30 secondes. Aller à New York depuis Saint-Tropez en 1965, ça se méritait ! Car, avion, train, paquebot. Il fallait être patient ! Certes moins bon que le premier de la série, ce deuxième épisode apporte son lot de rires provoqués par un enchainement quasi ininterrompu de gags dont un cours d'anglais par un Cruchot (excellentissime Louis de Funès) tour à tour autoritaire, supérieur et obséquieux : "My tailor is rich. Qui a soufflé ? Ah c'est vous mon adjudant." Débarquant dans un hôtel de jeunes filles, provoquant les hurlements des locataires : "Je cherche ma fille, I am the father !" Au milieu de ce charivari, une scène qui semble être un hommage à West Side Story, Cruchot courant après une entrecôte entre les danseurs d'une bande et des policiers. Les différences culturelles, le niveau d'anglais lamentable des Français, le gigantisme de la grosse pomme, dans une époque sans technologie ou presque, sont à revoir sans modération.
Notre équipe de gendarmes part à un.congres à New York. Ça reste drôle même si c est moins bien que le premier. De Funes porte le film pour notre plus grand plaisir
un deuxième volet d'une saga qui nous embarque à New-York, avec un vrai choc culturel pour notre délégation française. peut être le plus réussi, avec de nombreux gags et situations hilarantes. à noter, une scène en guise de clin d'oeil à la comédie musicale West Side Story.
S'il n'est pas aussi réussi que le premier volet, "Le Gendarme à New York" n'en est pas moins une très bonne suite grâce à la magie de l'immense talent comique du génial De Funès qui enchaine les scènes cultes à mourir de rire (la leçon d'anglais, le match de base ball, l'ouverture du congrès, les déguisements en chinois ou en policeman américain..). La troupe qui l'accompagne de Michel Galabru (la fameuse scène de l'entrecôte) en passant par Jean Lefebvre (les séjours à l'hosto) ou le duo Grosso-Modo font part d'une bonne humeur communicative. Par ailleurs le New York des sixties est toujours très plaisant à voir à l'écran. Un joli clin d'oeil également à "West side Story" avec la séquence de l'entrecôte volé. Malgré un scénario un peu en roue libre et une mise en scène classique, le film de Jean Girault reste une comédie qui se regarde avec plaisir, bien rythmé et qui détend comme il faut.