Ce deuxième volet est plus rythmé que le premier, les gags s’enchaînent sans temps mort, à part peut-être à la fin, à partir du moment où Cruchot retrouve sa fille. Un classique !
Tellement débile et jouissif comme le reste des gendarmes. Qui dit New York, dit vannes sur les langues et coutumes étrangères. Et c'est bien partit. Le plus gros reste quand même le coup de la glace. Toute ma vie je m'en souviendrai. N'importe quoi! Je t'adore Louis!
J'aime les films avec Louis De Funès et ce deuxiéme volet des gendarmes de Saint-Tropez n'y fait pas exeption ! De Funés y est comme a son habitude hilarant , de retour avec ses mimiques et ses déguisements improbables , pour le plus grand bonheur des fans de l'acteur ( dont moi ) . Michel Galabru est également de retour dans le role de l'adjudant , un personnage assez comique dans les passages qu'il partage avec Cruchot . L'histoire est , tout comme les acteurs , trés drole , cela nous montre bien la réaction des petits français face aux grans pays qu'est l'amérique . Evidemment , le film contient au moins une course poursuite , que je trouve toujours aussi excellente . Les effets spéciaux ( dans les voitures , quand Cruchot descend de l'immeuble ) sont assez mal fait mais c'est pardonnable vu la date a laquelle est sorti le film ! Juste un petit reproche , je trouve qu'a un moment , le film faisait un peu trop patriotique français notamment le moment ou les gendarmes chantent " vous n'aurez pas l'alsace ni la lorraine" . Ca me dérange surtout que je ne suis français donc je ne peux pas les suivre dans leur coté patriotique ! Mais le film en lui-méme est une bonne comédie , je le placerais en troisiéme ou quatriéme sur ma liste de mes volets préférés des gendarmes !
Une suite plutôt réussie, contenant quelques gags passables, malgré une bonne dose de n'importe quoi, comme souvent dans les comédies de l'époque. De Funès et sa joyeuse bande s'embarquent dans des situations grotesques dont on peut s'amuser. Mais déjà dans cette suite apparaissent les signes d'essouflement de la série.
Louis De Funès avec les mêmes acteurs qui sont de très bons acteurs du cinéma français dans les années 60 finit par nous lasser avec dans ce film la répétition de ses gags, on ne rit pas beaucoup, il y a heureusement quelques scènes qui sauvent un peu le film comme la scène avec les jeunes de New York qui lui volent sa viande. Louis De Funès en gendarme ne trouve pas de nouvelles idées au fure et à mesure du film pour donner du piment au film qui n'a pas de très bons dialogues. Ce n'est pas un bon film, la saga des gendarmes se rapprochent du film navet ce qui est dommage. Pas de scénario très palpitant, manque de rebondissements, on s'ennuie. Je le déconseille.
Un des meilleurs de la saga... Le cadre de New York y est pour quelque chose ! C'était une idée sensationnelle. Louis de Funès toujours aussi hilarant ! A voir !
Purée ce film est génius!! Louis De Funès est et restera le meilleur acteur. A n'en pas douter. Expressions du visage, mimiques visuelles, diction parfaite (cet acteur a une voix unique et même quand il marmonne, on comprend ce qu'il dit), jamais vulgaire ni malsain contrairement à certains humoristes. Le son dans ses films est toujours excellent de même que la présence de scènes incroyablement culte. Ce film est MON film. Je l'ai regardé des centaines de fois et chaque année je suis obligé de le regarder tellement c'est un sommet de l'humour. Il y a tellement de passages savoureux que je préfère ne rien dévoiler pour vous laisser le plaisir de les découvrir. Pour une fois, ça change de l'univers de Saint Tropez pour nous envoyer dans ce beau New York des années 60. Une belle carte postale "filmée" de la part de Jean Girault. Vivement conseillé pour passer un agréable moment de cinéma.
Une suite ratée ou même le talent de De Funès ne suffit pas à combler le vide abyssal du scenario. Exceptée une ou deux scènes marrantes (le cours d’anglais, la séance d’hypnose...) le film oscille entre le lourdingue et le ridicule. On s'ennuie ferme pendant 1H30. Un film à réserver exclusivement aux inconditionnels de Cruchot.