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Julien D
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2,0
Publiée le 31 août 2012
La suite du symbole de la suprématie militaire américaine sur la vilaine armée soviétique prend place au cœur du conflit afghan. La recette du précédent opus, faisant de répéter les scènes d’action explosives, est resservie et on reste encore bien loin de la subtilité pamphletique et psychologique du premier film pour rester une vulgaire propagande patriotique. Mais cette fois la mise en scène permet une meilleure lisibilité des combats, toutes armes confondues, tandis que le scénario tente de travailler sur le paradoxe entre l’humanité et l’invincibilité de son héros. Quand à Stallone, il ne fait plus le moindre effort et donc largement mériter son razzie du pire acteur.
L'épisode le plus nul de la saga qui se passe cette fois-ci en Afghanistan où John Rambo doit délivrer le colonel Trautman toujours interprété par Richard Crenna. De l'action mais rien d'autres. Assez ennuyant et un film inutile à la saga car on aurait pu s'en passait. Moins bien que les deux précédents car celui-ci est vraiment un ratage. Bof!
Voilà l'épisode le plus médiocre de la saga. Bon bah, désolé de dire ça mais ce film est chiant. Pour résumer le film c'est très simple: scénario bateau, film testostéroné à bloc, gros bras invincible, scènes de guerre interminables et jeu d'acteur assez faible. Rien à voir avec le premier, je suis déçu quand même malgré les beaux décors du film. Le deuxième film est pareil, inutile et vraiment décalé l'option de second ou troisième degré ne passe pas. Un poil moins bon que le second qui était déjà un ratage.
Très bon film d'action, les gens qui n'ont pas aimé et critique pourquoi cherchent ils a voir un film de ce genre, alors qu'ils savent déjà à l'avance qu'ils vont vomir dessus avec leurs commentaires à deux balles....
Aussi peu intellectuel que Rambo II mais un film d'action très efficace. Stallone a la peche quoique son personnage affirme être rouillé aussi bien que son complice et supérieur hierarchique. Et pourtant ils s'en sortent toujours. Beaucoup d'explosions. First Blood est tout de même le meilleur.
Troisième épisode, troisième réalisateur : Peter MacDonnald remplace George Pan Cosmatos. En témoin de son époque, John Rambo se voit embarqué en Afghanistan, à la rescousse des rebelles contre les méchants soviétiques. Comme toujours, le personnage qu'on connaît le plus est Rambo, et il est encore plus fermé qu'avant. Comme Scharzenegger, Stallone joue une machine, mais une machine bien capricieuse et toujours prête aux excès de zèle. Les autres personnages ne sont que des figurants qui parlent, même si cette fois-ci on accorde plus d'importance au colonel Trautman. Avec Rambo III, on est définitivement convaincu que le rôle éponyme n'est qu'un prétexte pour faire un film d'actions regorgeant d'effusions de sang, d'exhibition de muscles et d'explosions bruyantes. Car on n'a plus rien à dire, cette saga étant avant tout commercial, et le nom de Rambo se vendant très bien. Dommage car encore une fois, le principe du début de la saga était intéressant, mais les auteurs trop velléitaires pour poursuivre dans cette voie.
John Rambo décide de quitter le temple Thaïlandais dans lequel il a retrouvé la paix intérieur pour aller délivrer le colonel prisonnier en Afghanistan. Au risque de choquer, je dirais que Rambo III est le film de la saga que je prends le plus de plaisir à revoir. Certes, 90% des situations ne sont pas crédible mais les scènes d’actions sont vraiment divertissantes et surtout, le film possède l’humour irrésistible qui manquait tant au deuxième opus. Rambo III, regorge de répliques drôlissimes et cultes (le premier « dans ton cul » de l’histoire à ma connaissance) qui en font un nanar de très haut niveau. Et puis, voir un film américain rendre hommage au peuple Afghan ça n’a pas de prix!
Du niveau du précèdent toujours pas aussi bien que le premier mais le film reste un bon divertissement avec sa dose d’hémoglobine et d'action à la Stallone.
Les suites s'accumulent mais ce qui faisait de "Rambo", le premier film, un bon film se perd. Les invraisemblances sont de plus en plus grandes, elles atteignent même le ridicule. Il faut donc cesser de chercher la moindre réflexion, la moindre critique dans ce troisième opus. Il s'inscrit plus facilement dans le domaine du film d'action moyen stéréotypé servant de propagande pour un gouvernement américain en pleine guerre froide. Dommage lorsqu'on pense au premier opus.
je mets juste la moyenne pour le rythme et pour le côté risible des invraisemblances. La fin du film quand le colonel demande à Rambo ce qu'ils doivent faire et que ce dernier lui répond "on fonce dans le tas!" alors qu'ils ont pratiquement une division blindée en face d'eux est tout simplement énorme en LOL ou autre MDR
Après un super premier épisode, très émouvant, un deuxième épisode vraiment nanardisant mais toujours sympathique d'idiotie et d'envie de plaire au public, Rambo revenait en 1988 pour la troisième fois.
Et là, l'heure n'est plus à l'excellent film, ni même au nanar sympa et marrant, mais au navet pur et simple. Plus long, beaucoup plus violent (battu par le 4e selon le Guiness World Record Book) et avec le moins d'acteurs possible, ce film est un vrai navet d'un ennui mortel, avec un manichéisme insupportable de bêtise et aux effets de réalisation ridicules. Sylvester Stallone et Richard Crenna assurent, Marc De Jonge cabotine sans talent, Spiros Focas est réduit à un rôle d'indigène et Kurtwood Smith fait un petit caméo. Peter MacDonald réalise le film sans talent, sans rythme et avec des artifices pourris digne d'un mauvais Albert Pyun (c'est dire...), alors qu'il réalisera avec rythme et sans artifices le très bon Mo'money plus tard. Peut-être Russell Mulcahy aurait fait un meilleur boulot, en attendant, on se retrouve avec une daube longue mais sincère, trop surement.
Le dernier message du film est drôle à son insu, dédicaçant le film "au brave peuple d'Afghanistan", nous rappelant le moment où Richard Crenna annonce à Marc De Jonge que les USA ne feraient jamais la même erreur que les Russes, qu'ils n'attaqueraient pas l'Afghanistan. Assez grinçant après coup, non?