Votre avis sur Godzilla Minus One ?
5,0
Publiée le 9 décembre 2023
Film le plus attendu de l'année pour moi et quel plaisir d'avoir pu le voir en salle et je suis vraiment triste pour tous ceux qui n'auront pas eu cette chance.
Quelle claque ! Que d'émotions, de personnages forts et de scènes dantesques !
Il met une raclée monumentale à presque tous les gros blockbusters américains avec leurs budgets monstrueux, quand on voit ce qui est fait ici avec l'équivalent de 15M de dollars, certains devraient en prendre de la graine.
4,5
Publiée le 25 janvier 2024
Soixante-dix ans, nom d'un Titan ! Soixante-dix ans que Godzilla a surgi des eaux sur un grand écran pour fouler la Terre de ses grandes pattes griffues et ne plus la quitter durant trente huit longs-métrages et de nombreux autres produits dérivés en tout genre !
Némésis absolue de l'industrie du BTP japonais, incarnation du retour de flammes de dame Nature sur la catastrophe que nous représentons tous vis-à-vis d'elle, parfois aussi pris en train de faire le zouave en compagnie de bien trop nombreux collègues géants chargés de l'asticoter ou prenant son passeport US pour des résultats plus ou moins heureux au-delà de son océan d'origine, le monstre du film d'Ishirō Honda traverse les décennies pour rappeler aux humains qu'ils ne sont peut-être pas une espèce aussi dominante qu'ils ne le pensent et ravage notre bonne vieille Terre devant nos yeux de spectateur fasciné par ses écailles thermonucléaires.
Alors qu'il s'apprête à enchaîner un second round avec King Kong outre-atlantique (on peut le ranger dans ses occupations de zouave que l'on citait), c'est donc au sein de son pays d'origine qu'il réapparaît une nouvelle fois via "Godzilla Minus One", feu d'artifice nippon magnifiant la longévité de l'icône reptile et devenu depuis un hit planétaire jusqu'à décrocher pour la toute première fois une nomination bien méritée aux Oscars 2024 (catégorie Meilleurs FX).

"Bien méritée" car, en revenant dans le contexte d'un Japon post-Seconde Guerre Mondiale, le film de Takashi Yamazaki retourne à la symbolique première et passionnante de Godzilla (peut-être parfois un peu trop dénaturée au fil de propositions moins inspirées): un pouvoir de destruction implacable et imprévisible frappant un pays traumatisé par le choc de la guerre et de ses conséquences dévastatrices, notamment atomiques.
En choisissant de se fixer sur un pilote kamikaze emporté dans la spirale toujours plus grande de sa culpabilité d'avoir sciemment échappé au sort dicté par ses supérieurs, "Godzilla Minus One" trouve en effet un adversaire parfait, à la hauteur de son grand reptile, habité par le déchirement terrible entre l'absurdité de cette condition suicidaire imposée qu'il n'a pas remplie (ainsi que la tragédie qu'il en pense en être le corollaire) et la possibilité de se reconstruire au travers d'une famille de survivants. Face au monstre que rien n'arrête, dont chaque apparition augmente en puissance de feu d'une façon tout bonnement époustouflante pour signifier son statut inamovible de Titan devenu subitement maître de la planète, ce soldat à l'existence broyée par le bulldozer de la guerre va devenir lui aussi un symbole: celui d'un peuple perdu devant les atrocités du champ de bataille mais qui, pour trouver un moyen de s'en sortir, va malgré tout s'opposer à ce nouveau bulldozer couvert d'écailles par sa seule volonté de ne plus revivre l'innommable, et ce non pas via le joug d'un commandement susceptible d'augmenter sa souffrance mais en tant qu'âme humaine collective, hurlant son besoin d'espoir et de jours meilleurs dans le combat démesuré l'opposant à Godzilla.

Sur la base de ce discours crucial, vibrant et emportant toutes les forces vives d'une population désespérée dans son sillage, "Godzilla Minus One" construit sa formidable lumière éclatante d'héroïsme, peut-être elle aussi kamikaze mais traversée par une abnégation qui fracasse tout sur son passage, galvanisée par les plus habiles orateurs de ses personnages humains ou bien des péripéties nous prenant invariablement à la gorge par le suspense et les émotions à fleur de peau qui s'en dégagent (la poursuite maritime, la séquence en ville, l'affrontement final,... tout est pensé pour nous laisser scotcher à notre fauteuil avec une maîtrise visuelle qui ferait exploser la tête de n'importe quel réalisateur de blockbusters US récents).
Évidemment, le film n'évite pas quelques petites longueurs dans ses temps morts, la redondance de certains points de son discours ou une accentuation quasi-théâtrale des sentiments de ses personnages mais, peu importe, tout cela est balayé d'un coup de queue de grand lézard pour laisser place à l'affrontement fabuleux de ces deux géants, l'un littéral capable de créer des champignons atomiques à la demande pour coupler le souffle au monde entier à et en dehors de l'écran (quelle scène !), l'autre constitué d'une mosaïque d'humains prêts à tout sacrifier pour ne plus avoir à revivre les plaies encore bien ouvertes de la bêtise humaine la plus carnassière.

Et, comme un habitant de Tokyo éméché au saké qui n'aurait pas vu le pied de Godzilla s'abattre un peu trop près de lui, on ressort abasourdi, terrassé par la toute-puissance de "Godzilla Minus One", aussi bien par son intelligence de propos, le souffle contagieux de ses moments épiques ou le flot d'émotions qu'il nous a fait traversé que subjugué par le retour en force de Godzilla, le vrai, le seul, l'unique, celui que l'on aime et qui continuera à traverser l'Histoire du cinéma pour encore décennies. On en prend le pari, avec de tels films, ses rugissements n'ont pas fini de retentir dans les salles obscures.
5,0
Publiée le 11 décembre 2023
Un pur chef d’œuvre! Tout est subtil, intelligent et sensible. Le lézard géant n'est finalement qu'un alibi à un film sur l'absurdité de la guerre, le reconstruction et la force de vie. Magnifique!
5,0
Publiée le 9 décembre 2023
Les américains sont ridiculisés. A tous les niveaux (coût, scénario, émotion, direction artistique). Enfin une vrai explosion nucléaire à l'écran qui nous laisse scotché à notre chaise. 15 millions... 20 fois moins que les Marveleries ou Monarchie et 1 million de fois mieux à tous les niveaux.
Une branlé. Japon 100 / USA 0.
Ajout à la demande des modos allocine :
Les maîtres d'œuvres de cette réalisation ont livré l'histoire d'une famille recomposée et meurtrie d'après guerre. Dans un Japon traditionnel et dévasté où les codes d'honneur et de respect furent en pleine évolution. Un histoire très touchante, il est vrai que les acteurs masculins jouent à la "japonaise", le sur-jeux malgré tout ne désamorce aucunement les scènes les plus poignantes émotionnellement. A côté de cette trame extrêmement bien contée. Godzilla est enfin une véritable menace à l'écran. Il est extremement dangereux, surpuissant face aux humaines et leurs technologies et malgré le peu de moyen sur les effets speciaux qui parfois se font ressentir sur les textures ou animation, Godzilla est véritablement effrayant.
En résumé ce film a petit budget dispose de deux axes de récits qui s'entremêlent, l'après guerre Japonais et sa reconstruction au travers d'une famille de survivants et un film d'action de Kaiju d'une envergure rarement atteinte dans les films américains.
Mention spéciale aux explosions nucléaires provoquées par Godzilla. J'ai adoré Oppenheimer mais au niveau de l'envergure des explosions nucleaires filmés à l'écran Nolan a trouvé son maître et il est Japonais.
4,0
Publiée le 18 janvier 2024
Un film à la hauteur de sa réputation.
Le retour du vrai Godzilla, traumatisant, flippant, effrayant. Un film maîtrisé avec son ambiance oppressante et ses scènes d'actions épiques.
Un régal.
5,0
Publiée le 13 décembre 2023
Je fais partie des chanceux ayant pu le voir en 4d, et que dire a part que c etait un grand moment dans ma vie de cinephile. Ce fut incroyable, un film taillé pour la 4d, et probablement le meilleur Godzilla.
4,0
Publiée le 21 janvier 2024
Ce 37ème long-métrage mettant en scène Godzilla possède 2 qualités essentielles : il déchire côté spectacle, et il touche avec cette histoire d'amour tout en subtilité et en non-dits.
Les effets spéciaux sont remarquables, la tension sur le final est intense, jusqu'à un dénouement brillant et héroïque !
Dommage que seule une VO ne soit proposée en salle, car ce film de SF est véritablement un très bon divertissement si vous aimez être impressionné !
Ebouriffant et émouvant à la fois, ce n'est pas si fréquent !!
Site CINEMADOURG.free.fr
5,0
Publiée le 9 décembre 2023
Meilleur godzilla sans hésiter.

L'histoire est très humaine et pour une fois dans un godzilla on en a quelque chose à faire des personnages dans un godzilla. Le film est touchant, intélligent, avec des scènes inscroyables. L'une des scènes va rester graver dans ma mémoire et fera passer tous les futurs godzillas pour des enfants de coeur.

Alors le monstre en lui même est moins bien réalisé que dans les autres godzillas réçents mais je l'ai trouvé infiniment plus impactant (notamment à cause de la scène mémorable).

Bref je mets 5 car c'est un petit bijou. J'ai doré le fait que ce soit un film japonais, ancré dans la culture et l'histoire japonaise d'après guerre.
3,5
Publiée le 8 décembre 2023
Un vrai bon opus, mais qui ne touche pas le génie de Shin Godzilla en terme de représentation horrifique/métaphorique/philosophique du Roi des monstres.

Avec Godzilla Minus One, on replace Gojira dans un cadre post-WW2, pour nourrir un film de guerre incarné et humain. C'est impressionnant pour son budget, avec de beaux moments de tension, et un climax semblant tout droit sorti de Dunkirk (excellente OST par ailleurs).

Je regrette peut-être un héros un peu monolithique (mais avec un vrai parcours), moins de destruction massive que je l'espérais (une séquence bien musclée à Ganji puis le reste du film est sur l'eau) et surtout un choix scenaristique un peu honteux lors de l'épilogue.

Mais pas de fine bouche, ça fait plaisir de voir Godzilla aussi bien respecté comparé aux daubes du Monsterverse américain.
4,0
Publiée le 11 décembre 2023
"La longévité de la saga du lézard radioactif géant gonfle encore et toujours. Qu’y a-t-il encore de fascinant pour ces films de monstre, qui mêlent intimement les codes du film catastrophe à son ADN ? Pourquoi est-ce que Godzilla, grand monument de la Toho et de la pop culture, semble immortel à l’écran ? La réponse est dans Godzilla Minus One, qui ne risque pas de décevoir les fans de kaiju eiga et de sensations fortes dans ce portrait du Japon d’après-guerre."

"Pour Takashi Yamazaki, ce Godzilla Minus One constitue un souffle libérateur, car le nombre d’œuvres embarrassantes qu’il a réalisées auparavant ne manquent pas (Space Battleship, Lupin III : The First). Tout laisse cependant croire que cette nouvelle altération du roi des monstres peut fièrement marcher dans le sillage de Shin Godzilla et il piétine sans peine les blockbusters hollywoodiens de ces dernières années, pour seulement 15 millions de dollars de budget. Qu’on ne s’y trompe pas, on peut reconnaître de nombreux défauts d’écriture chez le cinéaste, mais en aucun cas le manque flagrant de générosité époustouflante est à pointer du doigt. Ce qui est largement suffisant pour éclipser les faiblesses de ce pur objet de divertissement."

"Takashi Yamazaki remet les cartes de l’avenir dans les mains de ces citoyens et soldats survivants qui ont tout perdu, jusqu’à leur honneur. Et malgré le sacrifice et les regrets de chacun, tout ce beau monde est appelé sur le front d’une nouvelle menace inconnue, au large des côtes nippones. La guerre ne semble pas terminée et Godzilla est de retour pour un grand terrassement. [...] Yamazaki en appelle également à un mélodrame qui n’est certainement pas avare en bons sentiments, même s’il manque encore de finesse dans l’écriture des personnages pour parfaire la tragédie humaine qui se joue devant nous. Pas non plus question de rester de marbre face à un deuil national qui se rejoue l’écran, car l’étrange et la poignante complicité entre Kōichi, Noriko et un enfant a tout le potentiel de vous émouvoir le temps de belles promesses. Puis, dans un silence ou dans une impulsion musicale méticuleusement composée par Naoki Sato, l’émotion est formidablement accompagnée, jusque dans la réutilisation du thème mythique d’Akira Ifukube.

"Rares sont ceux qui ont pu se rendre dans les quelques salles combles d’IMAX et de 4DX, uniques points de chute pour accueillir Godzilla Minus One, les 7 et 8 décembre 2023. Bien qu’une grande partie de l’intrigue puisse sembler programmatique, cela n’enlève en rien les sensations exceptionnelles que peuvent générer un tel spectacle, audacieux, tonique, solidaire et inoubliable. On se laisse volontiers marcher dessus par des blockbusters aussi généreux et sincères que celui-ci. Et dans le fond, les spectateurs ne demandent que ça. Il nous tarde déjà de retrouver Godzilla au sommet de son trône, reconquis avec ferveur. Longue vie au Roi des Monstres."

Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
5,0
Publiée le 19 janvier 2024
Mon 1er film de l'année vue au cinéma : "𝗚𝗼𝗱𝘇𝗶𝗹𝗹𝗮 𝗠𝗶𝗻𝘂𝘀 𝗢𝗻𝗲" 💥

Alors là, Warner Bros peut aller ce couché avec leurs Godzilla...

Les américains sont ridiculisés maintenant !
Le film à couter que 15 millions de dollars, comme quoi pas besoin de faire des films à 250 millions pour réussir... Les japonais sont très fort !

Un scénario très malin et intelligent ! beaucoup d'émotion et ça c'est cool ! une direction artistique parfaite rien à redire.

Vous avais rêver d’une vraie explosion nucléaire à l'écran ? c'est les japonais qui l'ont fait ! Les américains pouvant vraiment prendre exemple !

Bref ce film est une grosse réussite, je le recommande vraiment, et pour cela une seule chose à faire, se rendre uniquement en salle de cinéma !

𝗠𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗲 𝗳𝗶𝗹𝗺 : 𝟱.𝟬/𝟱 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
5,0
Publiée le 23 janvier 2024
Un petit bijoux fanstatique SF, le meilleur GODZILLA depuis 70 ans. Tout les symboles forts du mythe culte de ce géant sont réunis pour nous en mettre plein les yeux (fin de la deuxième guerre mondiale, reconstruction du Japon après les deux bombes atomiques). Autant dire que l'ambiance est plus que dramatique, et la légende sort des entrailles des océans pour rappeler l'enfer sur terre. Grace à l'héroïsme d'une poignée d'homme l'aventure va être sublimement épique. Un trés grand film avec un budget des plus serré, une vrai leçon de cinéma que tout les honteux gaspilleurs du star système devraient s'inpirer. A voir impérativement sur grand écran. Une réalisation impressionnante.
4,5
Publiée le 8 décembre 2023
je venais decouvrir la 4dx et franchement une reussite pour ce type de film, en ce qui concerne le scénario vraiment une reussite, une dramaturgie ce met en place et les acteurs sont vraiment fabuleux en vost on ressent le sentiment qui règne autour de Godzilla les effets speciaux sans etre omniprésent sont justes et Godzilla est parfait comme monstre. pour moi un excellent film pour cette fin d'année.
2,5
Publiée le 17 juin 2024
Voici le nouveau Godzilla tant encensé, celui qui met a l'amende toute l'industrie cinématographique et plus particulièrement le cinéma US, eh bien...On prend exactement le même film, mais avec une production autres que Japonaise et il se ferait craché dessus de la même manière qu'un Godzilla vs Kong. En soit le film n'es pas une catastrophe, mais il n'a rien de spécialement innovant, de révolutionnaire ou de grandiose, c'est simplement un Godzilla de plus dans la pure tradition Japonaise, le scénario tient sur un timbre poste, alors que le film le tire sur une longueur exagéré, les acteurs sont caricaturaux en plus de jouer de manière très approximative et les effets visuels pour Le budget sont passable, mais de la à crier au génie, demain le cinéma Français ou US sort un film de ce calibre et l'on dira que sont des stagiaires qui se sont occupée des effets spéciaux et des décors en cartons pâtes. C'est correcte bien que trop long et pas toujours bien rythmé, mais sa s'arrête là.
4,0
Publiée le 9 décembre 2023
(en VO)
15 millions de dollars donc ?..
Godzilla par des japonais, ce n’est pas ce film de Kaijū américain présentant d’un côté "les vilains militaires" écervelés tirant sur le gros monstre en utilisant des héros sans peurs ni craintes et une puissance d’arme à volonté, sans réaliser que tout ce qu’ils y gagnent c’est des pertes humaines, et de l’autre des scientifiques un peu glands, tous sans saveur, sans attache auprès du spectateur, placés au second plan loin derrière cette compilation de une heure et demie de combats et de destructions pour un film de deux heures.
Godzilla Minus One se situe après la seconde guerre, militaires, comme civils, sont traumatisés par la guerre, par les attaques suicides, par tous ces morts dans leurs proches, par le fait d’avoir survécu, par les bombes, par les radiations, par la maladie, par la famine: par leur misère; Un peuple au bout de ses peines.
Et c’est dans ce cadre là qu’on nous présente les différents personnages du films, du kamikaze déserteur à la sans-abris ayant pris garant d’une orpheline en passant par quelqu’un vivant dans les décombres de sa maison au milieu d’un lieu rasé, et d’autres: des personnages profonds, complexes, dont le niveau d’attache auprès du spectateur est important, et avec qui la moindre perte humaine est une tragédie ET dans le film, ET pour les spectateurs.
Et seulement LÀ, Godzilla s’ajoute à l’addition.
Les humains sont épuisés, découragés, en sous-effectifs, ne possèdent presque rien avant même d’avoir à affronter le Kaijū, et c’est, dans ce contexte, qu’ils doivent le vaincre.
L’action et le spectaculaire sont au second plan, les apparitions de Godzilla sont occasionnelles; le film se concentre sur le développement des personnages en quête de reconstruction de leur vie.
En ce qui me concerne c’est un grand oui.
Et puis voir et entendre des japonais hurler « Godzilla !!! » quoi…
En revanche spoiler: la fin est ridiculeusement trop heureuse, creusant même au-delà de la fin clichée! Le gars qui a un parachute, si le film avait été occidental, ça aurait été couru d’avance, là j’ai eu des petits doutes jusqu’à ce que ce soit confirmé; mais la fille? survivant elle aussi? après tout ce que son décès avait déclenché? sérieusement?

Vivement une éventuelle suite.
Grotesque que le film ne soit projeté que deux jours en France quand on constate son succès à l’international…
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