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    Godzilla Minus One
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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 211 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2024
    D'abord sorti en décembre 2023 pendant 48h dans les salles Imax, "Godzilla Minus One" s'offre une vraie sortie en janvier 2024. Nous sommes au Japon au lendemain de la Second Guerre mondiale et monstre géant et radioactif menace de tout détruire sur son passage. Si le scénario ne vole pas haut et que les effets spéciaux ne sont pas ceux espérés, il s'y dégage malgré tout un blockbuster assez quali vis-à-vis de la concurrence américaine, notamment grâce à une photographie intimiste et un rythme bien pensé. Le tout pour un budget de seulement 15 millions de dollars (un Marvel est désormais autour de 200 millions).
    Yetcha
    Yetcha

    773 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 janvier 2024
    Quel bonheur ce Godzilla. Un hommage incroyable à Ishiro Honda. Les trains qui voelnt, les chars, la seconde guerre mondiale et le traumatisme japonais de la défaite. Le regard sur les kamikazes revenus vivants à travers le héros du film. La rigidité de la société japonaise face à un danger qui frappe aléatoirement et ne peut être contrôlé. Et comment ne pas évoquer le budget de 15 millions de dollars pour un film qui a autant de succès et va rapporter beaucoup par rapport à des blockbusters états-uniens qui, avec 10x plus de budget, ne parviennent plus à créer de vraies histoires fournies et des personnages fouillés. Un film à voir asolument.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    621 abonnés 2 716 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2024
    Déçu par Godzilla Minus One. Film volontairement rétro, si les séquences de destructions sont impressionnantes, le récit traîne en longueur, et propose des ressorts scénaristiques éculés. Un peu de mal à comprendre la hype.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    489 abonnés 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 janvier 2024
    Ça fait un drôle d'effet de découvrir ce Minus One, tourné au bercail et à l'économie pour renforcer l'icône septuagénaire alors qu'Hollywood se prépare à la dénaturer encore plus si on en juge d'après les premières images de Godzilla X Kong. Au Japon, on garde le cap et il est avant tout dirigé vers l'humain. La créature n'a jamais cessé de lui renvoyer son amour de l'atome en pleine face (le spectre d'Hiroshima et Nagasaki plane), il accule aujourd'hui la nation mais particulièrement un kamikaze déserteur qui doit accepter l'impossibilité d'une nouvelle fuite. Takashi Yamazaki n'a pourtant pas l'intention de réciter un discours va-t-en-guerre, tout à fait hors de propos vu le sujet (et le passif). Il s'agit avant tout de reconstruction et de recomposition sur plusieurs niveaux de lecture. Il prend également ses distances avec le patriotisme coupée du rationnel, qui se traduit ici par les notions d'honneur et sacrifice qui hantent Shikishima, le héros. C'est dommage qu'il ait la plume aussi lourde concernant le personnage principal et dans ce final, franchement mauvais, car Yamazaki était près d'achever un modèle pour les années à venir. Pour ce qui est du spectacle, c'est une réussite. Je tiquerai peut-être sur une poignée de plans sur la gueule de la bête, mais il s'agit d'une question de design. Sur le rendu, Minus One est un grand pas en avant par rapport à Resurgence (Shin Godzilla, 2016). L'introduction est manquée (plate, en réalité) mais la poursuite en bateau et la destruction d'une ville recèlent d'images puissantes car toujours traitées à échelle humaine. Yamazaki aurait dû pousser cette logique dans la partie intimiste, histoire d'éviter les outrances d'un mélo pas inspiré.
    lionelb30
    lionelb30

    394 abonnés 2 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 janvier 2024
    Drôle de film qui fait penser a des films des années 50-60 avec des acteurs qui surjouent et a l 'héroïsme japonais. Bonne idée de situer l'action après guerre avec un kamikaze raté. Monstre un peu kitch , film un peu long , melange de genre mais pas déplaisant au final.
    Cinévore24
    Cinévore24

    307 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2024
    Voilà une très belle surprise que j'ai eu la chance de découvrir en Dolby Atmos cette semaine et qui ne vient que confirmer tous les bons échos que j'ai pu entendre autour du film depuis sa première sortie limitée au mois de décembre dernier.

    Un blockbuster japonais à la forme maîtrisée, arrivant très bien à gérer l'aspect de gigantisme et de peur que provoque Godzilla à chacune de ses apparitions, et nous proposant quelques séquences de destruction massive plus que convaincantes et immersives (les effets dévastateurs du rayon thermique de Godzilla, bordel !), tout ça pour un budget plus de 10 fois inférieur à toutes les grosses productions américaines de ces 10-15 dernières années.

    Mais surtout un film S-F/catastrophe surprenamment émotionnel et possédant un vrai fond, une véritable histoire que le film prend le temps de développer. Car ici, ce sont bien les protagonistes humains qui sont au centre de ce nouveau «Godzilla».

    L'histoire de volontaires qui vont s'entraider et faire front commun face à ce nouveau danger colossal (métaphore des conséquences de la 2nde GM et des bombardements atomiques) qui menace, une nouvelle fois, leur existence, alors qu'ils sortent tout juste d'une guerre qui leur a coûté cher.
    Mais cette fois-ci, ils ne le feront pas pour provoquer un nouveau désastre au sein de la population (dont les blessures sont encore vives), mais pour se battre pour la vie et pour l'avenir de leur pays, et pour guérir enfin.

    Traitant du traumatisme de la guerre, de l'honneur et de la reconstruction, et finalement de la résilience, un nouveau volet qui a su renouer avec l'esprit des premiers films des années 50, tout en en modernisant le propos de manière intelligente.

    Bref, un gros spectacle à taille humaine qui m'a collé quelques frissons, et l'exemple même d'un blockbuster réussi (prenez-en de la graine les américains).
    Un film que je ne peux que vous recommander de découvrir sur grand écran. Dépêchez-vous, vous n'avez que jusqu'à mardi prochain, avant qu'il ne soit retiré des salles.
    Vanessa L
    Vanessa L

    261 abonnés 821 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2024
    Godzilla Minus One, réalisé par Takashi Yamazaki, marque un retour aux sources captivant pour le monstre emblématique du Japon. Dans un paysage dominé par des productions hollywoodiennes souvent critiquées pour leur manque d’âme, de créativité, et des personnages peu développés, le film japonais propose une approche rafraîchissante et sincère du genre des monstres géants.

    Le film s’ouvre sur une attaque spectaculaire de Godzilla sur une petite île, montrée du point de vue des habitants. Cette scène, capturée avec un plan-séquence impressionnant, réussit à équilibrer le spectacle visuel avec une connexion émotionnelle palpable. Contrairement à certaines productions américaines, qui négligent souvent l’impact humain des catastrophes monstres, le réalisateur prend soin de dépeindre de manière réaliste les conséquences dévastatrices de telles attaques.

    Godzilla Minus One suit un schéma narratif simple mais efficace, centré sur un protagoniste traumatisé cherchant à se racheter. Le film prend le temps de développer les personnages et d’explorer les répercussions émotionnelles des attaques de Godzilla. Cette approche plus lente et sérieuse permet au spectateur de s’immerger davantage dans l’histoire et de ressentir l’impact des événements sur les personnages.

    Les scènes d’action du film se démarquent par leur maîtrise technique. Le réalisateur parvient à maintenir un équilibre entre le grand spectacle visuel et une représentation réaliste des dégâts causés par Godzilla. Les effets spéciaux, bien que numériques, parviennent à évoquer une esthétique unique. Cette approche visuelle apporte une texture et un poids aux scènes d’action, contrairement à certaines productions américaines du même genre.

    C’est aussi intéressant de suivre le Japon à cette époque et quelques dialogues sont assez incroyables à entendre dans un film japonais et je trouve que cette évolution est surprenante et plaisante et montre que les japonais commencent à ouvrir les yeux sur leur politique.

    Ce film a été pour moi un réel plaisir, j’ai adoré du début à la fin et le fait qu’il y ait un scénario, que le film prenne son temps à montrer ses personnages est très plaisant. Heureusement que le deux jours où il a été diffusé a permis qu’il ressorte au cinéma sur une plus grande période, à des heures convenables et encore plus en IMAX !
    Ricco92
    Ricco92

    186 abonnés 2 097 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 février 2024
    La longévité cinématographique n’est pas obligatoirement synonyme de médiocrité. Godzilla Minus One en est le parfait exemple. En effet, ce 33ème film japonais mettant en scène le célèbre monstre de la Tōhō (le 37ème si on compte les versions hollywoodiennes) arrive à surprendre par la qualité de son récit et de ses effets spéciaux. Avec son budget d’environ une dizaine de millions de dollars, le film de Takashi Yamazaki impressionne par ses scènes d’action et de destruction car, même si elles sont plus courtes que dans la majorité des blockbusters américains, celles-ci sont plus fortes et surtout plus crédibles dans leurs actions que celles de beaucoup de films à gros budgets hollywoodiens. Mais ce qui surprend surtout, c'est qu’au final, on est moins intéressé par la présence de Godzilla que par la trame narrative touchant les personnages principaux. Reprenant la série à zéro, le cinéaste s’attache à décrire la situation du Japon de l’immédiate après-guerre (on peut même penser à certains moments au cinéma néoréaliste italien) et au sentiment des personnages (et en particulier au traumatisme de Kōichi Shikishima). Ces derniers étant particulièrement bien écrits, on se trouve donc surtout attaché à leurs évolutions et le film offre des réflexions sur la guerre et les valeurs japonaises spoiler: (le principe du kamikaze est clairement remis en cause)
    alors qu’on était à la base venu pour voir Godzilla tout détruire spoiler: (ce qu’il fait d’ailleurs dans la très impressionnante séquence où il va dans le quartier Ginza de Tokyo)
    . On est touché par l’interprétation de Ryūnosuke Kamiki, de Minami Hamabe et même, malgré son très jeune âge, de la petite Sae Nagatani et on jubile quand la musique de Naoki Satō reprend le célèbre thème écrit par Akira Ifukube pour pour l’original d’Ishirō Honda. Ainsi, ce film japonais donne clairement une leçon à beaucoup de grosses machines américaines ayant des budgets dix à vingt fois plus importants. Une réelle belle surprise !
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    167 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2024
    Godzilla de retour au pays ! Après une saga américaine convaincante bien qu'un peu aseptisé, il quitte son nouveau pote le grand singe pour revenir à ses origines japonaises. On peut dire que le choc culturel est là ! Godzilla prend des fesses et ça se ressent. Il est lent, raide, on se demande s'il n'aurait pas besoin d'un déambulateur. Ce film bénéficie d'une technologie visuelle actuelle et d'effet spéciaux convaincants, mais au service d'une mise en scène et d'une réalisation d'un autre temps. Ou peut-être qu'on n'a pas vu assez de film japonais dernièrement, mais vraiment, on a l'impression d'être devant un film des années 80. Compliqué de se mettre dedans, le début du film est fastidieux pour nous, pourtant, en s'accrochant, on finit par se prendre au jeu. Pire, on se retrouve même à trouver la bataille finale vraiment épique, grâce notamment à la musique, on en ressort convaincus et contents. Bref, un film qui partait mal, mais qui finit bien, enfin ça dépend pour qui !
    Math719
    Math719

    154 abonnés 647 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Un film d'action à la sauce japonaise, il change par rapport aux films américains et on passe un bon moment. Moins d'artifices les acteurs sont plutôt bons. Sans être un chef d'œuvre, ça se regarde très bien.
    tupper
    tupper

    120 abonnés 1 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2024
    Après des débuts un peu poussif sur le fond et déroutant sur la forme, on se laisse finalement embarquer. Le style est old school mais boosté par des moyens modernes ultra spectaculaires. Le fond, bien qu’un peu simpliste, mais les personnages finissent par être attachant et leur détermination entraînante. Le final est spectaculaire, inventif et haletant.
    Kivodulh
    Kivodulh

    34 abonnés 327 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2024
    À tous les niveaux le film se savoure. Qu'on y aille pour assister à un très bon film de monstres, ou que l'on attende du film un peu de sens et de profondeur chez les personnages, ou même encore pour le plaisir d'y voir mêlé à ça un environnement qui reproduit avec beaucoup de qualité le Japon d'après guerre et ses traumatismes post-Hirochima ...
    tout ici est de très bonne facture et de nature à combler de multiples degrés de sensibilité.
    Godzilla Minus One n'a rien à envier aux super productions américaines qui auraient fait moins bien en dépensant 10 fois plus .
    John K
    John K

    31 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2024
    Un Godzilla japonnais pour un public attaché à la culture japonaise, son histoire, son style et surtout Godzilla, historiquement parlant.
    Des scènes bluffantes, d'autres très lentes. Je regrette seulement un manque de mobile pour Godzilla dans ses actes de destruction.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    43 abonnés 510 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2024
    L'intérêt de ce Jurassik Park à la japonaise réside plus dans son contexte historique que dans ses scénes d'action, pourtant réussies.
    L'histoire se situe au lendemain de la capitulation japonaise de 1945, et l'occupation de l'Empire du Soleil Levant par les américains. Rarement évoquée au cinéma, cette période de reconstruction et de démilitarisation est malheureusement peu et mal utilisée par le réalisateur et se traduit par des scénes de mièvrerie pesantes.
    Reste donc les scénes d'action, qui réveillent le spectateur, impressionné par leur cadence et leur réalisme.
    Romain F
    Romain F

    29 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2024
    Quelle claque visuelle !
    Dans un japon qui se remet difficilement de la 2nde guerre mondiale, le monstre fait sont apparition !
    Même si le monstre est présent, l'histoire est très focalisée sur le parcours du jeune pilote qui essaye de se faire pardonner.
    Une histoire très prenante !
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