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    Si seulement je pouvais hiberner
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    christophe D10
    christophe D10

    18 abonnés 651 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2024
    Même si certes ce n’est pas mauvais, au contraire des critiques ultra positives, je n’ai pas vraiment accroché a ce film qui m’a plutôt ennuyé.
    philippephilou
    philippephilou

    3 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 octobre 2024
    Très beau film sur la difficulté de la vie d’un adolescent brillant en Mongolie.
    Très beau film sur la réalité de la vie à Ulanbator.
    Stephan B.
    Stephan B.

    1 abonné 51 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2024
    Un film qui trace un horizon à travers les rêves, ambitions et désillusion d'un adolescent (et sa famille) dans un bidonville de Mongolie. Rien de plombant mais un ton juste et l'espoir, enfin, au bout... A voir!
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2024
    "If Only I Could Hibernate" est un film mongol, mais son histoire est universelle. On suit Ulzii, un adolescent surdoué, qui est tiraillé entre l'avenir qui s'offre à lui et les difficultés du présent. Il vient d'un milieu très pauvre avec une mère alcoolique envers laquelle il se montre odieux, mais il n'hésite pas à assumer une sorte de figure parentale et des responsabilités familiales pour le bien-être de ses frères et sœur. Un drame sur le passage à l'âge adulte classique sur le papier, mais raconté avec une grande authenticité. De plus, le fait que l'histoire se situe en Mongolie est un vrai plus, car cela permet d'évoquer la situation du pays avec les conditions rudes de l'hiver et une partie de la jeunesse sans véritable perspective d'avenir. Ulzii n'est pas toujours le plus aimable, mais je l'ai trouvé très attachant. Un garçon très fier, mature et généreux qui refuse d'être vu comme un mendiant et qui est prêt à risquer son avenir pour subvenir aux besoins de sa famille. Au final, ce premier long-métrage de Zoljargal Purevdash est un beau drame familial sur les sacrifices, l'importance de l'éducation, la transmission et l'entraide qui est dépaysant et porté par des acteurs naturels.
    Ciné-13
    Ciné-13

    124 abonnés 1 084 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2024
    Univers bienveillant qui dégage de l'empathie pour cet ado, charge de famille dans cette yourte non chauffée en plein hiver en Mongolie. Une fratrie d'un autre père, une mère illettrée alcoolique qui les abandonne, pas d'argent pour se nourrir, se soigner et se chauffer : la charge est effectivement lourde pour notre héros. Heureusement il y a ce professeur de physique, et ce couple de voisins charitable!
    Mais que tout ceci est triste et engourdi!
    SPVV
    SPVV

    26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mai 2024
    Un film magnifique. Très beau, très bien filmé, dépaysant sur une réalité à l’autre bout du monde. J’ai beaucoup aimé.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 386 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2024
    Tout droit sorti de Mongolie, "Si seulement je pouvais hiberner" suit le quotidien ardu d'un adolescent résidant dans un quartier défavorisé. Le film illustre son engagement sans faille à assurer les besoins essentiels de sa famille tout en se préparant pour un concours de sciences afin d'obtenir une bourse d'études. Le jeune comédien Battsooj Uurtsaikh captive l'attention du public par son interprétation empreinte de positivisme, malgré les défis complexes auxquels son personnage est confronté. Présenté à Cannes en 2023, ce premier film séduit par sa capacité à susciter l'empathie.
    Marie D.
    Marie D.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2024
    J’ai beaucoup aimé. On découvre une autre face de la vie des Mongols sans le folklore réservé aux touristes. La fin est pleine d’espoir car il en faut.
    drogo
    drogo

    1 abonné 73 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2024
    La pauvreté est un des états universels indépendants du pays et se la culture. Tout en subtilité sans essayer de tirer les larmes du spectateurs un film à voir
    Iskoo 1205
    Iskoo 1205

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2024
    en étant moi même mongole,j'ai beaucoup aimée,ce fil reflètent la partie pauvre de oulan-bator
    et ce film fais réfléchir,moi qui habite en France de la chance que nous avons.
    Patrick PIERROT
    Patrick PIERROT

    11 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2024
    Ce film nous emmène en voyage au pays de la misère. Il se trouve que l’histoire se déroule en Mongolie, mais cela pourrait être partout ailleurs dans le monde. En effet, comme partout, la richesse est là, juste à côté, mais elle n’est pas équitablement partagée. Et nos jeunes héros ne sont pas nés de parents qui la possède. Les auteurs du film vont donc s’attacher à faire se dérouler sous nos yeux toutes les difficultés que l’on doit surmonter lorsque, aussi intellectuellement brillant que l’on soit, on veut mener une vie semblable à celle qui s’offre aux individus de l’autre milieu quand on n’en fait pas partie. C’est filmé, mis en scène, interprété avec une extrême finesse. Un film à voir sans modération !
    Sylvamir
    Sylvamir

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2024
    Loin de la Mongolie pour touristes, ce film relate la vie d'une famille dans les "ghettos" d'Oulan Bator, la capitale. Quelle force, quel courage et quelle résilience chez ces trois enfants dont l'aîné se bat au quotidien pour sauver sa famille, Face à une mère désespérée qui a sombré dans l'alcoolisme, l'aîné lutte au quotidien, aidé dans la mesure de leurs moyens par sa sœur et son frère. Son intelligence, son don pour la physique, l'aide d'un professeur tenace et d'un couple de vieillards vont sortir cette famille bouleversante de la misère. Ce n'est pas un conte de" fées" mais la réalité d'un pays dont les habitants quittent leur mode de vie ancestrale, attirés par les promesses vite déçues de la ville.
    Quelques plans de très beaux paysages opposés à la pollution effrayante de la capitale où les pauvres chauffent leur yourte avec les moyens du bord. A voir absolument.
    Guillaume L.
    Guillaume L.

    22 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2024
    Ulzii, adolescent mongol tente de pallier l’absence d’un père et la défaillance d’une mère pour permettre à ses frères et soeurs de survivre, tout en rêvant d’un futur en phase avec ses facultés.
    Coup de coeur pour cette fiction qui nous emporte entre la ville et la campagne mongoles, au travers du combat quotidien de ce jeune personnage très incarné qui fait tout pour apporter le minimum vital à sa fratrie. Un jeune réalisateur, une première sélection officielle pour un film mongol, des images sublimes et une histoire sociale dépeignant avec force la condition de ces enfants livrés à eux-mêmes.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    135 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2024
    Dans la banlieue d’Oulan-Bator, les ruraux ont quitté leur campagne pour venir chercher une vie meilleure en ville. Ils y trouvent surtout la misère, la précarité et l’isolement dans des bidonvilles. Hallucinant toutes ces yourtes autour de la ville ; c’est le Rio mongole, elles sont le dernier témoignage culturel de ce peuple nomades ; les yacks en moins. Et c’est une donnée hyper importante, pas de bouses pour se chauffer ; les yacks produisent du lait et des bouses ; sans yack, se chauffer et manger coute cher. Ce film nous montre bien toute l’absurdité de l’exode rural. Le seul point positif serait l’éducation et l’ascension sociale que permettrait la scolarisation des jeunes. Mais quand ton souci est la survie dans un pays au climat hivernal hostile ; même les enfants à haut potentiels peuvent ne pas saisir cette opportunité. Ce film, au travers de l’histoire d’un ado doué pour les sciences qui doit aussi participer à la survie de sa famille, nous raconte ce difficile conflit intérieur chez ces néo citadins à la marge de la société. On comprend très vite le titre du film ; s’ils pouvaient hiberner quelques mois, çà résoudrait leur problème de nourriture et de chauffage.
    La Mongolie fait beaucoup moins rêver vu sous l’angle du désastre de l’exode rural ; on est loin des paysages magiques des grandes plaines désertiques vu dans « Le chien jaune de Mongolie ».
    Très académique et au scénario bien sage ; la jeune réalisatrice déroule son film sans surprise ; il a le mérite de montrer la standardisation de notre monde jusque dans la misère.
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    Kiki Etu
    Kiki Etu

    2 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2024
    Il y a des films, comme ça, peut-être imparfaits, mais auxquels nous n’avons aucune envie de chercher des poux dans la tête. Comme celui-ci. Un premier long-métrage en plus !

    Le film est à la fois un récit d’initiation, l’apprentissage de l’adolescent Ulzi. Et un tableau social, qui nous dévoile une Mongolie d’aujourd’hui, sans ses steppes. Celle où essaiment, autour de sa capitale Oulan-Bator, de nouvelles banlieues peuplées de familles en exode, qui ont renoncé au nomadisme. Celle aussi où on donne la priorité à l’éducation des jeunes.

    Ulzi fait face à un double défi. Il doit prendre en charge son frère et sa sœur, après le départ de leur mère illettrée et souvent alcoolisée depuis la mort de son époux, qui est repartie vivre à la campagne pour trouver du travail. Cela signifie, pour lui et sa fratrie, se démener pour survivre, trouver jour après jour de quoi chauffer le yourte et se nourrir.

    Mais Ulzi doit aussi se préparer pour un concours national de physique, très prisé en Mongolie, qui lui permettrait de décrocher une bourse d’études universitaires.

    Contrairement au titre du film, « Si seulement je pouvais hiberner », phrase prononcée par son petit frère, Ulzi et ses cadets ne renoncent jamais. On ne dévoilera rien des petites combines délinquantes d’Ulzi ni de ses rencontres salvatrices qui apaiseront sa colère envers sa maman et le remettront sur les rails de l'école.

    Ce film m’a passionné par sa narration et l’équilibre que la réalisatrice mongole, Zoljargal Purevdash, a dessiné entre portrait intimiste et fresque sociale. Il m’a profondément touché par son humanisme et sa justesse, la fragilité autant que l’énergie et le courage de ses personnages, le jeu sans jeu des acteurs, la beauté des plans à leur hauteur ou en légère contre-plongée. Sa leçon de vie. Sans misérabilisme. Avec de la joie même. Et en prime, du rap mongol et des shots de vodka...

    On écoutera-lira avec intérêt l’interview de Zoljargal sur RFI. Elle nous parle des multiples enjeux de l’éducation en Mongolie, en particulier pour les garçons, bien moins scolarisés et instruits que les filles. L’éducation comme seule voie sûre pour échapper au « cycle de la pauvreté ».
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