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    Si seulement je pouvais hiberner
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    Chanblo
    Chanblo

    23 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2024
    Dans un pays hard un jeune va se battre pour réaliser ses rêves !
    Ce peuple n'exprime pas ses sentiments d'une manière très spontanée , on est en Mongolie et comme les paysages froids le peuple est à son 8mage
    Mais ce jeune homme fait preuve de beaucoup de courage .....
    Marie-Christine Julien
    Marie-Christine Julien

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2024
    L'hiver, en banlieue de la capitale de Mongolie, une belle yourte temoin d'une prospérité passée , la mère veuve survit avec ses 4 enfants dans le froid. Très beau, confrontation avec la ville moderne, absurdité des services sociaux qui apportent un filtre à gaz électrique alors qu'ils n'ont plus ni courant ni charbon pour se chauffer.
    PASCAL C
    PASCAL C

    8 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2024
    un film au sujet plutôt banal, dans un pays qui lui ne l'est pas. Cependant peu de différence entre ils aspirations de ces jeunes mongols et ceux d'ici.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2024
    Ulzii vit dans un quartier populaire avec sa mère et ses frères et sœurs. Il va à l’école et souhaite faire des études malgré l’injonction de sa mère à travailler. Lorsque cette dernière doit s’absenter, c’est donc lui qui doit prendre le relais, tout en continuant à étudiant pour obtenir une bourse. C’est très beau, les images sont magnifiques.
    monCinemajm07
    monCinemajm07

    1 abonné 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2024
    Bel hommage à cet enfant de mère veuve et alcoolique, brillant élève, obligé de s'occuper de son frère et sœur cadette, seul à la ville quand da mère reste dans la cabane familiale en campagne avec le plus jeune fils.Tirallé par la volonté de s'en sortir en gagnant un concours de physique permettant une bourse puis une scolarité dans les grandes écoles étrangères.Difficld'etre bonne quand on manque de tout.
    C'est une très bonne analyse, l'etudiant joue naturellement et très bien comme tous les personnages
    Léo Peteytas
    Léo Peteytas

    12 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2024
    La Mongolie n'est pas particulièrement réputée pour être un pays de cinéma. Grand état de quelques 1,5 millions de kilomètres carrés pour 3 millions d'habitants, c'est un pays enclavé entre la Russie et la Chine qui est principalement (pour ne pas dire quasi-exclusivement) connu pour son histoire riche ; avec, notamment, la constitution du plus grand empire de tous les temps (Exception faite de l'Empire Britannique) sous Gengis Khan et ses successeurs. Bien. Mais passé le récit historique, que sait-on au fond de ce pays steppique, composé d'une population historiquement nomade ? Pas grand chose. Et c'est pour cette raison que le film de Zoljargal Purevdash est d'un grand intérêt. L'histoire d'Ulzii n'est pas seulement celle d'un miséreux qui doit s'occuper de son frère et de sa sœur ; c'est celle d'un enfant qui cherche à s'en sortir, avec l'espoir de pouvoir un jour aider sa famille. Probablement le destin de beaucoup d'enfants mongoles, dans un pays ou une grande partie de la population vit sous le seuil de pauvreté. Ainsi, c'est en saisissant cette misère humaine sous ses traits les plus marquants (Privations, mendicité, l'orgueil ou la fierté c'est selon, qui pousse à s'isoler des autres, à ne pas demander d'aide pour rester "fort" ou, surtout en fait, pour ne pas paraître faible) que la réalisatrice parvient à émouvoir. spoiler: J'ai, personnellement, été très touché par la scène ou la mère rentre dans la Yourte en état d'ébriété. La réaction des enfants est criante de vérité : La chaleur qui se dégageait de leurs rires un instant auparavant, s'estompe immédiatement pour ne plus laisser place qu'à un climat de tristesse.
    Le grand "réalisme" qui se dégage effectivement de l'ensemble de l'œuvre, que ce soit dans le caractère ou les agissements des personnages, est la marque du caractère universel de l'histoire qui est racontée.

    De façon plus générale, Si seulement je pouvais hiberner donne un certain regard sur la Mongolie contemporaine. Riche en ressources, le pays compte sur la croissance du secteur primaire de l'extraction minière pour assurer son développement. S'il n'entre pas dans le propos de Zoljargal Purevdash d'en montrer les effets autrement que par la brève vision d'immeubles en construction, elle n'oublie pas pour autant de rappeler que la Mongolie est un pays en plein développement, aux besoins gigantesques. Comment comprendre, autrement, le concours de physique auquel Ulzii participe ? Passant furtivement, le discours d'ouverture du concours semble confirmer cette idée.
    Outre les paysages, outre la musique, cette misère qui s'étend aux pieds de la partie la plus privilégiée de la population mongole fournit à la réalisatrice l'occasion de jouer des contrastes d'Oulan-Bator. L'histoire d'Ulzii et de ses frères et sœurs se situe surtout en marge du centre de la capitale, dans ces quartiers de yourtes ou s'entassent des milliers de gens venus chercher une meilleure vie dans cette capitale polluée. Ainsi, quand les immeubles communistes apparaissent, on saisit immédiatement un peu du cœur de ce pays. Car du cœur, ce pays en a, c'est un certitude. Et là est l'une des dernières grandes qualités du film : Il nous partage un peu de sa chaleur. Humaine, j'entends. Entre deux plans du monde glacé qui s'étend au dehors, il ne cesse de nous réchauffer avec le professeur d'Ulzii, qui fait de son mieux pour accompagner son élève, ou encore les bienveillants voisins de la famille.

    Alors, évidemment, Si seulement je pouvais hiberner est surtout l'histoire d'un gamin tiraillé entre le souhait d'aider son frère et sa sœur sans faire de vagues, et l'envie de s'en sortir. Mais c'est aussi une vision sans concessions de la Mongolie, qui invite à se plonger plus profondément dans le cinéma mongole, en commençant peut-être par l'œuvre de Byambasuren Davaa. C'est, en somme, un film poignant qui ne peut laisser indifférent.
    Anne-Laure P.
    Anne-Laure P.

    31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    Un joli film touchant porté par des acteurs justes. Pas de misérabilisme. Le parcours ardu d'un jeune garçon intelligent , courageux et fier qui subvient aux besoins de sa famille. Il résiste aux épreuves et s'empêche de demander de l'aide.
    Sylvie F.
    Sylvie F.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    C’est un film touchant avec des images magnifiques. Le personnage central a une pudeur remarquable, il se veut fort, il ne veut pas avouer sa pauvreté et son impuissance et ses larmes ne sortent que devant le vieil homme qui peut l’aider après la mort de son chien. C’est remarquable !
    Sylvain Lamotte
    Sylvain Lamotte

    7 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2024
    La langue mongole est incroyablement surprenante á écouter...
    Un touchant récit au sein d'un pays aux conditions météorologiques presqu'hostiles...
    On revient aux essentiels : se battre pour vivre, pour se réchauffer..
    En tout cas ce film a très bien su trouver la chaleur pour réchauffer nos petits cœurs...

    (Un beau conte sur la réussite scolaire au passage, n'allez pas couper du bois illégalement les enfants....travaillez à l'école !!!)
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 769 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2024
    Voilà un bon conseil pour voyager sans dépenser de CO2.
    Nous avons hiberné une après-midi à Oulan bator avec plaisir. La photographie de la capitale parait grise et imparfaite, mais en fait la ville est très polluée par le chauffage à charbon comme le Londres des années 50! Les personnages sont attachants, mais qu'il est difficile de leur arracher un sourire. Un premier film , dans le genre néoréalisme italien (le voleur de bicyclette) mâtiné de Ken Loach (hilarante visite des services sociaux, apparemment avec les mêmes travers quelque soient les pays....).
    La fin est convenue, et on en sent que les moyens sont certainement limités, mais les personnages sont tellement sincères, en particulier le tête à tête du jeune lycéen avec son vieux voisin dégage une solidarité bien rare dans nos sociétés dites développées.
    Cinéma -janvier 2024
    BLS Moviedebrief
    BLS Moviedebrief

    16 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    ZOLA EN MONGOLIE !

    Une belle histoire d’un garçon brillant aux belles valeurs challengées par sa situation. Voler pour la survie de sa famille ou préparer le concours national et choisir l’avenir? beaucoup de jolis moments et on se dit qu'on n'a pas à se plaindre...

    Mon débrief sur ma chaîne YouTube "BLS Moviedebrief"
    https://www.youtube.com/watch?v=RuUTqtkjp3g&t=3s
    Miami_Chorize
    Miami_Chorize

    9 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    C'est une fiction à caractère documentaire. Elle nous fait découvrir la vie d'habitants modestes de la périphérie d'Oulan-Bator, en particulier une famille composée de la mère et de ses quatre enfants, dont un en bas âge. Le père est décédé et la mère parvient de moins en moins à joindre les deux bouts, malgré les contributions occasionnelles du fils aîné.

    Celui-ci est face à un dilemme : soit il se lance franchement dans la vie active (pour subvenir aux besoins de ses frères et sœur), soit il met l'accent sur ses études, qui peuvent lui ouvrir de belles perspectives, puisqu'il est très doué en sciences.

    La réalisation est soignée, avec de beaux plans paysagers (en extérieur) et une habile utilisation de l'espace, à l'intérieur des yourtes.

    La tension dramatique est un peu trop appuyée à mon goût, mais l'on passe un bon moment, à la fois instructif et divertissant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Ulzii est un brillant élève que son professeur de physique encourage à se présenter aux Olympiades scientifiques. S’il l’emporte, il pourra décrocher une bourse pour une meilleure école et, qui sait, pour une université à l’étranger. Mais Ulzii est d’un milieu modeste. Sa famille a quitté la campagne pour s’installer en périphérie de la ville, dans une yourte que, depuis la mort de son père, sa mère, qui a sombré dans l’alcoolisme, peine à chauffer. Face à cette mère démissionnaire, c’est à Ulzii qu’incombe la responsabilité de trouver l’argent pour nourrir ses trois cadets.

    La Mongolie et ses steppes intimidantes battues par un vent glacial n’ont fait qu’une entrée récente sur la scène cinématographique mondiale. Je me souviens de mon étonnement et de mon émerveillement en 2004 à la sortie de "L’Histoire du chameau qui pleure". Et puis il y a eu "Le Chien jaune de Mongolie" en 2006. "Le Mariage de Tuya" en 2007, filmé par un réalisateur chinois, avait été tourné en Mongolie intérieure, côté chinois. Ce même réalisateur, Wang Quan’an, a franchi en 2020 la frontière pour s’affranchir de la censure chinoise, et réalisé en Mongolie "La Femme des steppes, le Flic et l’Œuf".

    "Si seulement je pouvais hiberner" (dans son titre original "Баавгай болохсон", "Baavgai Bolohson", signifiant littéralement « Si seulement j’étais un ours ») inaugure un sous-genre dans le cinéma mongol dont les quelques précédents reproduisaient, au risque de la répétition, le même schéma : l’histoire d’une famille nucléaire vivant sous sa yourte, au cœur de la plaine déserte, soudainement percutée par l’irruption de la modernité – le cinéma de Pema Tseden ("Tharlo, le berger tibétain" en 2018, "Jinpa, un conte tibétain" en 2020, "Balloon" en 2021) en constituant le pendant tibétain. Ici, la famille nucléaire campagnarde a migré en ville. Une ville filmée en mode documentaire dans un brouillard givrant dont l’opacité trouve sa cause dans la pollution qui y règne. La famille de Ulzii vit misérablement à sa périphérie, sur un terrain où elle a posé sa yourte, comme si son installation précaire n’avait pas vocation à durer. Sa pauvreté contraste avec les immeubles du centre-ville où la tante d’Ulzii, qui, elle, a fait des études et un beau mariage, est désormais installée.

    "Si seulement je pouvais hiberner" pâtit de la naïveté de son scénario écrit d’avance. Il suit une ligne prévisible : celle du parcours dickensien en diable d’un adolescent méritant qui devra trancher quelques dilemmes douloureux (sécher ses cours au risque de compromettre ses chances de succès au concours pour gagner l’argent nécessaire à soigner son frère poitrinaire) avant de voir ses sacrifices récompensés. Pour autant, on se laissera attendrir par ce gamin sympathique – qui a connu, dans son enfance, les mêmes conditions de vie que le personnage qu’il incarne – et par ce feel-good movie dépaysant, présenté à Cannes le printemps dernier dans la section Un certain regard.
    Maëlle Lebois
    Maëlle Lebois

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Un magnifique film d'une belle prouesse qui ne laisse pas indemne quand on ressort. La musique est magnifique et les acteurs extras. A aller voir sans hésitation pour vous emplir d'espoir !
    Protovic II
    Protovic II

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 janvier 2024
    Une émouvante odyssée à travers les défis d'Ulzii, un adolescent mongol déterminé à briser les barrières sociales pour sa famille. Un récit poignant, porté par des performances touchantes et des paysages captivants.
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