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Votre avis sur La vie est un long fleuve tranquille ?
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Rien compris a ce film, il faudrait que je le revoie, car je n'arrive vraiment pas a comprendre pourquoi il est si mythique. Je le trouve long et vieillis, certes, des moments sont assez marrants...
Bon film permettant de voir les différences de classes social en France le tout à travers une histoire amusante et des personnages touchant.
Je pense que le film a mal vieilli car on me l'avait vendu comme un chef d'oeuvre mais à la fin du film je me suis dis : BOF. C'est drôle quelques fois mais c'est tout
L'une des comèdies les plus incisives et drôles du cinèma français! Le pays entier a fait un triomphe à "La vie est un long fleuve tranquille" (1987) avec 4 Cèsar dont celui du meilleur film et du meilleur scènario! Etienne Chatiliez a inventè un texte comique qui a ceci de parfaitement nouveau qu'il pique dans l'air du temps des rèpliques phares, des intonations contagieuses, immèdiatement identifiables et parfois repris en choeur joyeusement (« Jèsus reviens »). Et la France entière de rire à cette fable mordante sur la famille Le Quesnoy et la famille Groseille! Avec un casting parfait de Andrè Wilms à Hèlène Vincent (cèsarisèe) en passant par Patrick Bouchitey en curè de choc et du jeune Benoît Magimel alias Momo qui trouvait là son premier rôle au cinèma! Bref, un film vraiment dècapant qui a contaminè le langage des français depuis sa sortie, s'appropriant les « Lundi c'est ravioli » et autres phrases cultes! A voir et à revoir sans modèration...
Certaines scènes et dialogues sont cultes, les acteurs jouent bien, mais il y a des lenteurs surtout vers la fin et sa tire en longueur.
Comme tous les films idéologiques, c’est très mauvais. Le film (suivant l’agenda politique de la gauche bobo depuis les années 60) n’a qu’un seul but : stigmatiser et humilier les deux classes sociales qui fondaient la France de l’époque, à savoir la classe bourgeoise catholique et la classe populaire prolétaire. Il ridiculise la première et rend méprisable la deuxième, et ce par des personnages et un jeu d’acteurs caricaturaux et très mauvais. Ce n’est ni drôle, ni intelligent, ni charismatique. Les scènes parfois n’ont aucun sens, une partie du scénario non plus, puisqu’ils ne répondent pas à une dynamique interne du récit, mais à un agenda idéologique. Les récompenses données à un film aussi mauvais démontrent à quel point sa valeur étaient avant tout politique au service de l’idéologie dominante.
J'ai adoré, film culte, répliques cultes, une comédie sympa à voir en famille. Je ne peux recommander.
Les familles Le Quesnoy et Groseille n'auraient jamais du se rencontrer. Mais elles apprennent que douze ans plus tôt, conséquence d'une embrouille sentimentale entre une infirmière et un accoucheur, leurs nouveaux-nés ont été échangés.
Etienne Chatiliez réalise une satire de moeurs aussi subtile que vacharde. Par le biais du jeune Momo (Benoît Magimel, eh oui), réintégrant la famille Le Quesnoy contre rétribution des Groseille, le réalisateur met en parallèle les existences contrastées des uns, représentation caustique de la bourgeoisie catho, et des autres, façon de Thénardier de banlieue. Le ton est corrosif et c'est dans les portraits plus que dans le scénario -où l'on suit désormais la tentative d'adaptation du "sauvageon" Momo dans sa nouvelle famille de bourgeois insipides- que la comédie est la plus habile.
Au mode de vie châtié des Le Quesnoy (mère au foyer, père cadre supérieur), entre catéchisme, argenterie et habits du dimanche, répond celui, populaire et vulgaire, des Groseille. Ma préférence de spectateur va aux premiers, peut-être parce qu'ils ont été moins souvent et moins bien dessinés au cinéma (à l'époque), tandis que les Groseille ont été, d'une certaine manière, consacrés par les Deschiens. André Wilms et Hélène Vincent, dans le rôle des parents Le Quesnoy, sont excellents. Aidés par des dialogues savoureux, ils sont remarquables dans l'expression des valeurs de leur classe, à peine caricaturée, autant que dans le désarroi, voire l'abattement, où les plonge l'intrusion des populeux Groseille.
Etienne Chatiliez réalise une satire de moeurs aussi subtile que vacharde. Par le biais du jeune Momo (Benoît Magimel, eh oui), réintégrant la famille Le Quesnoy contre rétribution des Groseille, le réalisateur met en parallèle les existences contrastées des uns, représentation caustique de la bourgeoisie catho, et des autres, façon de Thénardier de banlieue. Le ton est corrosif et c'est dans les portraits plus que dans le scénario -où l'on suit désormais la tentative d'adaptation du "sauvageon" Momo dans sa nouvelle famille de bourgeois insipides- que la comédie est la plus habile.
Au mode de vie châtié des Le Quesnoy (mère au foyer, père cadre supérieur), entre catéchisme, argenterie et habits du dimanche, répond celui, populaire et vulgaire, des Groseille. Ma préférence de spectateur va aux premiers, peut-être parce qu'ils ont été moins souvent et moins bien dessinés au cinéma (à l'époque), tandis que les Groseille ont été, d'une certaine manière, consacrés par les Deschiens. André Wilms et Hélène Vincent, dans le rôle des parents Le Quesnoy, sont excellents. Aidés par des dialogues savoureux, ils sont remarquables dans l'expression des valeurs de leur classe, à peine caricaturée, autant que dans le désarroi, voire l'abattement, où les plonge l'intrusion des populeux Groseille.
Excellente comédie mordante et acerbe sur les beaufs et les cathos du nord de la France. Le casting, pourtant inconnu à l'époque, est impeccable et les dialogues font mouche. Plusieurs scènes rentrées dans les annales de la comédie française (c'est lundi c'est ravioli, marie-therese arrêtez de jurer ! Oh la salope .....), en font un film culte. Reste un petit bémol, la fin qui en fait n'en ai pas une...
Un film divertissant, bien joué et au scénario prenant, certaines scènes et situations sont très drôles, dont le fameux
spoiler:
"La sal*pe!"
. Cependant on n'est pas passionné par l'histoire pour autant, le dernier quart d'heure est fouillis et la fin est brutale et mal amenée.
. Cependant on n'est pas passionné par l'histoire pour autant, le dernier quart d'heure est fouillis et la fin est brutale et mal amenée.
L'idée première du scénario est excellente et un excellente base pour une très bonne comédie ! Pour autant le scénario global est assez pauvre. La comédie est plutôt pas mal pour l'époque. Côté réalisation, je trouve ça un peu léger. Magimel est déjà le meilleur comédien du film à 14 ans.
13/20.
13/20.
"Oh put... les enc... ils nous ont refilé le fils du directeur de l'EDF!" Tout est dit dans la phrase de cette chère Mme Groseille. Choc des cultures, choc des langages. Une comédie menée tambour battant avec des répliques inoubliables, des acteurs prodigieux. Une réussite pour Étienne Chatiliez qui réussit son passage du petit au grand écran.
Ces fameuses comédies de mœurs propre à notre cinéma, qui parfois font des films oubliables, mais parfois, comme dans le cas de "La vie est un long fleuve tranquille", ces classiques aux personnages, dialogues et scènes cultes, le tout enrobé dans un humour intemporel.
Un véritable classique français !
Ce film vieillit terriblement bien, avec une histoire une morale incroyable !
J’adore !
Ce film vieillit terriblement bien, avec une histoire une morale incroyable !
J’adore !
Un chef d'œuvre absolu du cinéma français ! filme culte quoi !
mais pourquoi ? parce que ce film est vraiment resté dans notre mémoire collective et on le cite périodiquement à nos enfants majeurs, un rien jaloux, parce qu'il n'y a aucun équivalent depuis 30 ans pour réaliser cette analyse sociologique si fine et hilarante de notre société.
A voir et à revoir aussi pour sa chanson : "Jésus revient parmi les siens" et ses citations cultes dont la fameuse "la S******," d'ontologie spoiler: (répété 6 fois)
que je suis très bonne à imiter, quand je suis outrée par l'attitude de quelqu'une :;-))
mais pourquoi ? parce que ce film est vraiment resté dans notre mémoire collective et on le cite périodiquement à nos enfants majeurs, un rien jaloux, parce qu'il n'y a aucun équivalent depuis 30 ans pour réaliser cette analyse sociologique si fine et hilarante de notre société.
A voir et à revoir aussi pour sa chanson : "Jésus revient parmi les siens" et ses citations cultes dont la fameuse "la S******," d'ontologie spoiler: (répété 6 fois)
que je suis très bonne à imiter, quand je suis outrée par l'attitude de quelqu'une :;-))
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