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traversay1
3 554 abonnés
4 847 critiques
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3,0
Publiée le 24 octobre 2023
Pas la peine de se voiler les yeux : Comme un prince utilise un certain nombre d'ingrédients susceptibles de le faire entrer dans la catégorie très prisée des comédies populaires françaises à succès. Encore faut-il que tous les éléments se complètent parfaitement et intelligemment, en essayant d'éviter toute démagogie et en s'appuyant sur un scénario bétonné. Malgré une entame pataude, le film de Ali Marhyar réussit à cocher toutes les cases avec un certain panache. Ahmed Sylla et l'immédiate sympathie qu'il suscite, une camarade de jeu formidable (Mallory Wanecque), révélée par Les Pires, des scènes émouvantes autour de la transmission, des punchlines à foison, un petit brin de romance, des situations parfois hilarantes et une maîtrise du comique de répétition : il y a de quoi satisfaire un large public, y compris celui qui déteste avoir honte d'avoir ri, ce qui n'est pas le cas ici. Ah oui, n'oublions pas la cerise sur le château, l'écrin de Chambord, personnage à part entière du film, parfois même de manière gentiment irrévérencieuse. Pas de quoi faire se retourner François 1er dans sa tombe, dans un film très bon esprit qui amuse agréablement le temps de la projection, sans avoir la prétention de s'imprégner dans les mémoires.
Une Excellente comedie 😃👍servie par un casting exceptionnel 🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟l'histoire est captivante, et c'est l'occasion de voir le château de Chambord au cinéma😃👍 Mention spécial à Jonathan Lambert toujours excellent et drolisime, Merci pour ce super FILM 🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟
Un boxeur prometteur voit son rêve brisé suite à une blessure survenue bêtement en boite de nuit. Condamné à du Travail d'Intérêt Général (TIG) afin d'éviter la prison, le voilà propulsé au château de Chambord pour y faire du jardinage. C'est alors qu'il va croiser la route de Melissa, une gamine de 14 ans au caractère bien trempé et ayant des facilités à utiliser ses poings pour se défendre dans ce monde hostile... Moui bon, on va dire que ce n'est finalement pas si mal, même si je n'ai pas trouvé le choix d'Ahmed Sylla hyper judicieux dans la peau d'un futur Rocky olympique ! Par contre, la jeune actrice Mallory Wanecque dégage une vraie énergie puissante et sincère la rendant totalement crédible et touchante dans son rôle. L'histoire est globalement sympathique, mais proposée dans une forme d'un classicisme presque navrant, tant tout est cousu de fil blanc ! Allez, je suis bon prince, cette comédie nous fait passer un moment léger et assez agréable, c'est déjà très appréciable ! Site CINEMADOURG.free.fr
Une comédie a l'image de l'acteur principal. Sympathique mais gentillet. Ceci dit , ca ne fait pas de mal un peu de légèreté , les second roles sont bien et le divertissement est honnête.
Excellent ! Ahmed Sylla montre encore une fois qu’il sait faire d’autres choses que de la comédie. Je l’aimais déjà sur scène et dans ses films précédents mais celui-ci m’a vraiment épaté.
J’ai beaucoup aimé l’histoire de ce boxeur déchu qui doit repartir de zéro. Comme quoi tout ne tient qu’à un fil.
Mallory Wanecque (sœurs de prénom !) est époustouflante pour son jeune âge.
Les personnages secondaires sont tous à leur place. J’ai beaucoup aimé le discours du papa sur la résilience après un échec.
Très beau film, drôle, triste parfois, pas vulgaire, et plutôt profond quand on prend le temps d’y réfléchir.
Les premières exigences qu’on est en droit d’avoir concernant une comédie « populaire », c’est que le film soit distrayant et que la vulgarité soit, sinon totalement absente, du moins présente le moins possible. Comme un prince remplit ces 2 conditions, même si le côté distrayant trouve parfois sa place au prix d’un certain nombre d’invraisemblances, que ce soit sur le monde de la boxe ou concernant les rapports entre Souleyman et Eddy. Mais il y a mieux : force est de reconnaître que, malgré son inexpérience dans la réalisation, Ali Marhyar fait preuve tout du long d’un très bon et très appréciable sens du rythme, avec des scènes qui sont toujours coupées au bon moment. Au côté de Ahmed Sylla, l’interprète de Souleyman, qui, manifestement, a beaucoup travaillé le côté physique du job, on retrouve avec plaisir Mallory Wanecque que l’on avait découverte et beaucoup appréciée il y a un peu plus d’un an dans Les pires et qu’on n’avait pas revue depuis. Elle aussi a effectué un gros travail physique afin d’être crédible dans son rôle de boxeuse en devenir et elle confirme son grand talent de comédienne. Julia Piaton fait le job dans le rôle d’Eddy et Jonathan Lambert apporte sa touche de folie dans le rôle de Bertrand, le conteur du château. Film qui ne révolutionne pas l’histoire du cinéma mais qu’on peut sans rougir qualifier de « sympatoche », Comme un prince arrive même à se montrer émouvant dans ce qu’il montre des rapports entre Souleyman et son père. critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-express-comme-un-prince/
Je m'attendais à une comédie sentimentale franchouillarde super balisée… Et oui: c'est balisé: on a tous les codes. Mais c'est pas franchouillard du tout ! Un poil british même, et c'est beaucoup mieux: l'humour est délicat, sensible, pas asséné à coup de punchlines à deux balles. Je me suis fait choper: j'ai ri et j'ai même eu une petite humidité au coin de l'œil à la fin!! Les seconds rôles pour les Jonathan (Cohen et Lambert) sont délicieusement absurdes et soignés. Et alors la môme Mallory Wanecque qui m'avait déjà impressionné dans "les pires", est juste incroyable. Un petit côté Sara Forestier il y a 20 ans! Ali Marhyar s'en tire carrément bien pour un premier film où il est évident qu'il a voulu "tout mettre". Mais on sent qu'il est lui-même comédien, qu'il a de l'exigence, et qu'il ne cède pas à la facilité: il respecte son public, et c'est rare dans ce genre de film. Ahmed Sylla qui joue d'habitude comme un "stand upper", est enfin convaincant comme "vrai comédien". C'est ça la bonne nouvelle. Pour tous ceux qui l'aiment bien, ne ratez pas le film. Et pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est le moment d'en profiter.
Je n'attendais pas forcément ce film mais j'ai été surpris par sa qualité. J'ai beaucoup aimé. Les acteurs sont excellents surtout Mallory Wanecque qui est incarne parfaitement son personnage, les décors sont magnifiques, le scénario et les dialogues sont très bien écrits et la musique est superbe. Aucune longueur, aucun temps mort. Un film tendre avec beaucoup d'humour. Bref, un très bon film, une belle surprise que je vous conseillerais d'aller voir !!! Il vaut trop le coup !!!
Une dramédie qui repose sur l'immense capital sympathie d'Ahmed Sylla et de somptueux décors. Une histoire touchante, parsemée de personnages secondaires attachants comme le père du héros et la jeune fille dont il devient le mentor. On passe un très bon moment même si ce n'est pas un film inoubliable.
Le premier film d'Ali Marhyar bénéficie de la participation de ses collègues de la série Candice Renoir, avec Cécile Bois et Raphaël Lenglet faisant des apparitions notables. Le réalisateur aborde avec finesse le thème du rêve et de l'accomplissement, explorant la vie de jeunes qui voient leur passion pour le sport remise en question après un imprévu.
Le film va au-delà de la passion sportive pour illustrer la manière dont la vie est liée à la capacité de résilience face à l'effondrement des rêves. Certains ne sont pas destinés à être des champions, mais à découvrir et guider les talents de demain, comme le père qui a tout sacrifié pour l'avenir sportif de son fils.
La distribution, notamment Ahmed Sylla, est saluée, bien que l'acteur reste souvent confiné à des rôles stéréotypés. Cependant, le film échappe à la réduction en explorant une histoire de chute et de renaissance d'un sportif, mettant en lumière le besoin de surmonter les stéréotypes.
Le récit évoque brièvement le passé du protagoniste, se concentrant davantage sur la chute d'un athlète et sa renaissance, soulignant l'importance de faire le deuil d'une carrière pour se reconstruire. "Comme un prince" célèbre le renouveau personnel et l'accomplissement, en mettant en lumière la possibilité de changement et d'intérêt pour l'histoire du pays, incarnée par la révélation du film, Mallory Wanecque.
Scénario plat, situations gênantes, aucune imagination, cadrages de mauvaise sitcom, ce film est un naufrage total, Quant à Sylla, il est une nouvelle fois un bien pitoyable porte-drapeau de la diversité qu'on nous impose. Revoyez plutôt Million dollar baby ou Un fauteuil pour deux !
« Comme un prince » est une comédie dramatique française de qualité, possédant tous les ingrédients d’un bon film populaire. Finement écrit et efficacement interprété, l’énergie est là, et la promesse est belle. La réalisation d’Ali MARHYAR ne recule devant aucun excès verbal ou comportemental, mais sans jamais tomber dans le pathos.
Une comédie tendre, sympathique et agréable. Le scénario est prévisible au possible mais le film se laisse regarder sans problème. C'est finalement une bonne surprise