Il aurais mieux fallu rester sur le 1, je trouve le 2 moins convainquant et moins ambitieux. On voit qu’il on fait une suite pour satisfaire les téléspectateurs rapidement. Dommage
Kerry James disait dans une interview sur clique TV que le second volet était meilleur que le précédent. J’ai d’abord pensé à un coup de pub voyant que celui-ci était moins bien noté que le précédent. J’ai décidé de regarder les deux à la suite et en effet je trouve le second beaucoup mieux que le premier qui était pas déjà mal. Peut être que le premier film voulait montrer une bonne image de la banlieue ou du moins une image nuancée et représentative de la vie en banlieue (avec ses bons et mauvais côtés) ainsi que porteur d’un message de positivité tandis que le second se veut plus dur plus violent et dévoile une facette d’avantage sombre mais tout aussi réaliste de la vie en banlieue.
Relater la sauvagerie et la violence des banlieues a déjà été fait 1000 fois. Ce film n'apporte malheureusement rien de plus que les précédents. Le petit avocat a vraiment du mal avec son texte. C'est dommage que les seuls moments censés inspirer la jeunesse sonnent horriblement faux. « La folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent » est d'Albert Einstein. Il aurait tout de même fallu citer la source de l'une des rares phrases intelligentes du film.
"Banlieusards 2", film de banlieue dramatique français réalisé par Kery James et Leïla Sy, sorti en 2023. Deuxième long-métrage des coréalisateurs associés et suite de leur premier film "Banlieusards" de 2019, qui était plutôt bon. Nous retrouvons les personnages interprétés par le rappeur Kery James, Jammeh Diangana ou Bakary Diombera. Un film bien réalisé, violent et tragique, sur la difficulté de sortir des "affaires" qui agitent les banlieues, de sortir des conditionnements de son milieu, ici l'univers de la cité du Bois-l'Abbé dans le Val-de-Marne. Une suite un peu 'forcée", le premier film n'étant pas construit pour appeler obligatoirement une suite.
Le duo Kery James, & Leïla Sy, auteur réalisateur du premier épisode reviennent avec un nouvel opus avec la même fougue. On est au coeur d'une banlieue gangrénée par la violence et par le trafic de drogues. Les trois frères aux destins opposés tentent de survivre dans ce monde cruel à leur manière. ça manque un peu de liant parfois mais ça se regarde bien.
Kery james revient avec Banlieusard 2, il avait réussi le premier opus diffusé sur la plate-forme Netflix , ce second opus est un peu plus intimiste , il ose envoyer des messages que l’on a pas l’habitude d’entendre sur grand écran, sa ligne de conduite est respectée et on va pas s’en plaindre!
Une note pour une note.. ha m..rde ça suffit pas il faut mettre 100 caractères pour mettre une note. Laissez moi la liberté de faire ce que je veux et pouvoir donner mon avis par les étoiles sans avoir a en parler. D'ailleurs les étoiles un soir d'été dégagé c'est magnifique non ? Magnifique comme Gatsby du même adjectif un très bon film aussi.. bref ça doit suffir, bon films a vous
Kerry James nous revient donc sur Netflix pour offrir une suite à son premier film “Banlieusard” qui avait été un succès. On se retrouve dans la continuité des événement du premier. L’immersion est donc très rapide. Au-delà d’être un film de quartier, Banlieusard 2 conserve cet aspect conscient qui incite à la réflexion. Cela le différencie des autres films dans le genre.
De nouveau nous accompagnons les frères Traoré dans leur évolution au sein d’un quartier sensible de la banlieue parisienne. Revoir ces personnages auxquels on s'était attachés est un vrai plaisir. Le côté rebelle de Noumouké ne cesse de s’accentuer. Il suit les pas de son grand frère Demba. Ce dernier est d’ailleurs sur la voie de la rédemption après avoir frôlé la mort. Finalement, il n’y a que le troisième Soulaymaan qui ne se détourne pas du droit chemin. En revanche, la dynamique est trop proche du premier pour apporter une réelle nouveauté.
La première partie du film est donc consacrée au personnage et la continuité de leur cheminement. Même si nous sommes sur des bases connus, cela reste très prenant. Il faut dire que Bakary Diombera, Jammeh Diangana et Kery James vivent pleinement leurs personnages. On regrette toutefois qu’à la différence du premier, les rôles secondaires sont ici beaucoup moins efficace. Il y a certes Slimane Dazi et Foued Nabba mais leur présence n’est pas autant marquée.
C’est le départ en Afrique qui est le tournant du film. A partir de ce moment-là, les choses commencent à coincer. La dynamique de Banlieusard 2 s’effondre totalement tellement le changement de cap est radicale. Alors que plusieurs intrigues ne sont pas résolues, il va falloir attendre que cet interlude passe pour reprendre le film sur un bon rythme. En soit, cette partie sur les terres des ancêtres des Traoré n’est pas mauvaise, au contraire, mais elle s’intègre trop mal au reste. C'est d'autant plus frustrant que la dernière partie est très réussie. Comme pour le premier, on ressent une intensité. Ils reviennent en France pour conclure les différentes trames qui avaient été ouvertes. Cependant, au vu du peu de temps qu’il reste, cela se fait dans la précipitation.
Moins tranchant et impactant que le précédent volet, c'est dommage. Le scénario tourne un peu autour de la même thématique. Ça aurait été bien de se renouveler. J'imagine qu'un troisième volet est prévu. Il faudra innover un peu plus.
Le second opus suivant les frères Traore en banlieue parisienne reprend là où s’était achevé le premier épisode. Demba, blessé, Souleymaan au début de sa carrière d’avocat et Noumouké sur la mauvaise pente. Toujours mêlés aux rivalités de quartiers, Noumouké va entraîner ses frères avec lui. Le film suit trop le schéma narratif du premier épisode et ne parvient pas à se renouveler malgré la présence de personnages attachants.