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Ciné-13
125 abonnés
1 087 critiques
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4,0
Publiée le 30 octobre 2024
Une interprétation remarquable de CAMPAN, qui enrichit encore sa jeune filmographie : sensibilité, prise de conscience, sobriété (quelle magnifique scène spoiler: où il craque complètement au bord de la mer ). Le gamin mutique est intense (autre magnifique scène spoiler: où il parle sur la tombe de sa mère ). Toutes les étoiles récompensent seulement les acteurs, et non la réalisation un peu terne!
Rien ne va pour Alexandre Varda, un homme d'affaires qui enchaîne les mauvaises nouvelles, mais une rencontre va bouleverser sa vie... Adapté d'un livre que je n'ai pas lu, "L'enfant qui mesurait le monde" est un film qui fait très téléfilm dans son approche et son manque de profondeur. L'histoire, qui est cousue de fil blanc, est très clichée. Cela commence directement avec ce portrait limite grotesque de cet homme qui est capable de tout pour son travail, mais qui va bien sûr montrer du cœur par la suite. On a déjà vu ce cas de figure des milliers de fois et cette histoire n'apporte rien de nouveau. Le cadre est joli et il y a des choses intéressantes sur la prise en charge difficile d'un enfant autiste ou encore le contexte économique en Grèce, mais tout est abordé de manière superficielle. D'ailleurs, tout tourne trop autour du projet au détriment de certaines relations. Bref, un film très plat qui ne m'a pas touché.
Comédie dramatique qui mélange trois thèmes dans un paysage de carte postale de vacances en Grèce, avec un rôle principal à Bernard Campan ( Alexandre Varda ), interprétant très sérieusement ce père et grand-père, en grande réflexion intérieure. Malgré des décors lumineux paradisiaques de l'ile de Kalamaki, le scénario est lisible d'avance et nous laisse sur notre faim. J'aurais aimé que le thème de l'autisme soit davantage travaillé, alors qu'i est occulté par le thème des profits immobiliers, et de proposer plus sur le jeune Yannis ( Raphael Brottier ). Heureusement, Théofania Reppa ( Fotini Peluso ) apporte énormément de fraîcheur à une comédie très lente, qui manque de ressort et d'intensité pour convaincre, y compris pour un final très pauvre et peu original. Cela n' ôte rien à une très bonne prestation de B Campan, très touchant..... !!**
Le décor est superbe, île grecque de Kalamaki. L'idée véhiculée est bonne, le grand-père à la découverte de son petit-fils autiste suite au décès de sa fille artiste rebelle perdue de vue. C'est tout de même lumineux et ce décor naturel apporte tout son intérêt à ce film touchant. Le scénario manque de tempo et la fin est couru d'avance, dommage.
Très joli film qui prends son temps avec des plans d'exposition et de paysages qui font du bien. Le jeu des acteurs grec sont très convaincants. Un film bien produit, multi-langue, généreux...un voyage poétique :)
Belle histoire plein de bons sentiments qui peut plaire à un grand nombre de spectateurs avec un méchant qui devient gentil, des gentils qui restent gentils et des méchants qui restent méchants
Un chef d'œuvre du cinéma français comme on en a rarement vu ; les acteurs, les images, le producteur, les paysages, l’histoire Tout est absolument PARFAIT
Takis Candilis réalisé ce film porté par Bernard Campan, dans le rôle d’un père absent qui se rattrape avec son petit fils. Plein de bons sentiments, le film manque cruellement d’originalité, tant dans le scénario que dans la mise en scène…
Film gentil. Mais sans vrai plus. Une histoire à l'eau de rose. Pas facile d'y croire ! Heureusement Bernard Campan (alias Alexandre Varda) sauve la mise.