Derniers Avis : Scream VI - Page 20

Adieu Sidney Prescott ! Neve Campbell ayant refusé de participer au projet, Scream VI est l’occasion de confirmer la volonté de renouveler la franchise en confirmant le changement de génération enclenché dans le volet précédent. La séquence d’ouverture donne l’impression de vouloir partir dans une nouvelle direction mais Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin reviennent rapidement vers le schéma classique du slasher. On trouve ainsi de bons moments de suspense spoiler: (la séquence de l’échelle ou celle du métro)
mais on pourra regretter la réduction d’importance de l’humour et de la réflexion sur les codes du cinéma (aspects qui étaient pourtant ce qui distinguait la saga du reste du genre à la base) et une fin trop longue. Nous restons ainsi dans un slasher très classique mais qui reste agréable car plutôt bien fait. Les amateurs du genre ne cherchant pas obligatoirement de grandes œuvres devront donc plutôt passer un moment agréable mais nous sommes loin de l'originalité du premier film. On peut juste espérer que les volets suivants qui semblent inévitables (et dont on peut penser qu’ils présenteront l’évolution vers le mal d’un des personnages principaux) chercheront à renouveler un peu plus le genre comme le laissait penser le début de ce sixième volet.

un scénario imaginatif et on retrouve les bases. on sens tout de même un essoufflement. Allez-y pour une dose de sang

Super film du slasher comme j’en voulais venant de la part de ghostface j’espère que le 7éme sera encore plus profond j’ai hâte

J’ai vraiment beaucoup aimer ce scream toute en restant sur l’histoire de base puis raconter quelque chose de nouveau à la fois,pour relancer une nouvelle franchise énerver comme celui là se serait au top

Alors déjà , quand j'ai vu que c'était le VI ...Je me suis dit , " peut être qu'on m'a fait disparaitre quelques années, ou criogenisé" non mais sérieux, il ya encore des gens qui vont voir ce type de film. Il ya eu Scream et que des parodies du premier. Celui là , j'ai aimé quand Jason se bat contre l'homme masqué....heu non c'est mon cerveau qui se mélange. Vraiment sérieux il y en a qui sont allé voir ce truc au ciné . Bon je vais faire un effort et de nouveau regarder avec intérêt "scary movie VI" . ...Heu décidément je mélange tout, quoi que.... NUL

Je suis obliger de m’être un avis car étonnamment j’ai vraiment adorer celui ci il est aussi bien que le premier meme si ce premier reste un grand classique il fait partie des meilleurs scream ! Ça relève bien le niveau du précédent et bien meilleur que le 2, 3,4 également. Très surpris et la scène finale est incroyable. Des acteurs au top même si le 3,5 est une assez bonne note il en vaut au moins 4/5 minimum.

Je ne regrette pas d'avoir redonné une chance à la sage, le 5ème m'avait déçu mais celui-ci a clairement relevé le niveau ON VALIDE FORT!!!!!!

super film enfin un ghostface mieux rythmer hâte de voir le prochain d'ici peut film avoir!!!!!!!!!!

Le film précédent n'était pas fou mais ce dernier n'est vraiment pas terrible. 
Malgré une scène d'ouverture assez réussie et fun, cette suite ne se renouvelle pas vraiment.  Il y a bien quelques scènes de meurtres assez sympas et on cherche comme toujours à savoir qui est le nouveau tueur, mais le rythme est assez inégal avec beaucoup trop de "blabla" inutile. 
Et le meilleur pour fin reste sa dernière partie invraisemblable accumulant tous les clichés lassants et navrants des films d'horreur ( comme exemple le gars qui se prend je ne sais combien de coups de couteau mais qui est toujours vivant...) C'est ridicule et on n'y croit pas une seule seconde, une déception.

http://cinephile-critique.over-blog.com

Ce film suit une narration logique dans la continuité des autres, mais rien ne va ! Nous avons juste rigolé en voyant le film tellement il est mal élaboré, les personnages doivent prendre une cinquantaine de coups pour enfin mourir, un personnage avec un pistolet va se battre au corps à corps, etc...
Je vous conseille ce film si vous souhaitez rire sinon je vous le déconseille fortement !
Sûrement le pire film que j'ai pu voir.

Avec l'objectif de moquer le principe très en vogue du "requel" (la suite-reboot chargée de relancer une franchise à succès) tout en ramenant les proies préférées de Ghostface afin de passer le flambeau à une nouvelle génération de victimes, "Scream" (2022) tombait certes parfois dans les travers opportunistes du type de long-métrage qu'il entendait dénoncer mais trouvait néanmoins un bon terrain de jeu avec ces codes du "legacy sequel" inédits pour la saga et, surtout, arrivait à en tirer un slasher sympathique, parvenant même à titiller la fibre nostalgique des amoureux de "Scream" par sa réactualisation en forme d'hommage aux fondamentaux mis en place par le tandem Wes Craven/Kevin Williamson.

Toutefois, l'annonce très rapide d'une autre suite en chantier pour l'année suivante posait déjà un problème essentiel: après avoir pris comme tête de turc le modèle du requel, et ainsi poser quelques interrogations pertinentes sur les attentes du public vis-à-vis de l'évolution récente du cinéma d'horreur (avec l'affirmation de la mouvance "elevated horror" notamment), quel format un "Scream 6" allait-il bien pouvoir tourner en dérision vu qu'il n'y en a pour ainsi dire plus eu d'autre majeur après ce dernier ? Eh bien, la réponse de ce sixième opus à cette problématique sera tout bonnement la notion de franchise en elle-même, ce qui, soyons honnêtes, voudra tout et ne rien dire dans le cas présent, mettant au même degré le concept encore balbutiant de suite de requel (avec des échos évidemment plus que prononcés à "Scream 2") et celui d'un opus de franchise horrifique à rallonge n'ayant plus d'autre argument scénaristique que d'envoyer son tueur hors de son cadre habituel afin de redonner un peu de fraîcheur à ses meurtres (comme Jason Voorhees à l'époque, Ghostface s'offre une virée new-yorkaise... mais, après les décors déjà extérieurs à Woodsboro des deuxième et troisième opus, peut-on vraiment parler d'une innovation ?) pour un résultat où finalement, comme le dit personnage héritier du cinéphile Randy, "Tout peut arriver !", une caractéristique similaire à tous les derniers films "Scream" où plus aucune règle n'a cours en somme... Bref, sans cible bien établie ou spécifique sur laquelle lancer ses flèches satiriques, "Scream 6" se présente d'emblée comme l'épisode ayant le moins de choses consistantes à offrir sur ce point. Et ce ne sera hélas pas sa seule faiblesse...

Incapable de tirer parti de ses quelques prises de risque en termes d'intrigue ou de se défaire d'un passé bien plus glorieux qu'il répète jusqu'à l'emmener vers le risible, "Scream 6" ne va en effet jamais réussir à se défaire de son statut de film "de trop", ne proposant aucun cap à suivre pour justifier une quelconque plus-value décisive à la saga dans son ensemble.
Du côté des éléments qui voudraient détonner des ressorts habituels, la séquence d'ouverture est un des parfaits symptômes de ce qui conduit à leurs échecs : vraiment étonnante un premier temps par le contrepied qu'elle choisit en déjouant nos attentes autour des habitudes de Ghostface (bon, si l'on oublie la bêtise assez folle du personnage féminin, même le tueur la remarque !), l'effet se dégonfle telle une baudruche dans sa deuxième partie qui peine à apporter quoi que ce soit de neuf ou viable derrière sinon un assassin que l'on comprend plus violent dans une introduction qui restera in fine comme la plus oubliable de toute la saga. Autre exemple du côté de ces regards perpétuels vers le passé: le retour de Kirby, victime emblématique du quatrième film, mais qui connaît un level-up de statut laissant absolument hilare par l'incrédulité qu'il provoque (et rien n'est fait pour le rendre crédible, RIEN, jusque dans des accessoires dignes d'une boutique de farces & attrapes). Hormis se retrouver à faire un concours de pommettes méchamment figées avec Courteney Cox le temps de quelques scènes, la pauvre Hayden Panettiere passera donc d'une figure aimée des fans à celle susceptible de livrer des moments de réel malaise à chacune de ses apparitions !

Tout n'est évidemment pas à jeter dans ce sixième opus mais chaque possible qualité que l'on y décèle se retrouve étouffée par un défaut qui prend invariablement le dessus.
Le groupe de jeunes héros survivants du cinquième se révèle un peu plus attachant qu'auparavant, quelques séquences de face-à-face avec le tueur font mouche (celle avec Gale, du métro), Ghostface se montre effectivement très brutal dans ce paysage new-yorkais, l'idée d'un "sanctuaire" est en soi plutôt amusante... Mais tout cela est sans cesse désamorcé par des idées qui en annihilent quasi-instantanément la sympathie. Ainsi, les atermoiements inintéressants de Sam avec l'ombre de jeunesse numérique de son père, une romance futile, la capacité de survie des protagonistes poussée dans des retranchements grotesques (les "Scream" n'ont jamais fait dans la dentelle sur cet aspect mais là... à croire que tout le monde peut danser la carioca après une dizaine de coups de couteau) ou de piètres tentatives de critiques sur les réseaux sociaux prendront le pas sur tout ce qui avait une chance de tirer vers le haut ce sixième film.

Toutefois, là où "Scream 6" connaît son plus grand échec est incontestablement dans le suspense incontournable qu'il voudrait conserver autour de l'identité de son tueur (ou de ses tueurs). Quelques pistes moins habiles que d'autres ont bien sûr pu parfois trahir l'identité de certains assassins de la saga (surtout dans les derniers films) mais, de ce point de vue, ce sixième opus est tout simplement raté, faisant appel à des ficelles si grossières que l'essentiel de son pot-aux-roses est devinable dès sa première demi-heure pour un cerveau un tant soit peu en état de marche... Oui, vous avez bien lu, DÈS SA PREMIÈRE DEMI-HEURE, rarement un "Scream" ne se sera montré aussi maladroit pour entretenir le mystère autour de ce qui fait une majeure partie de la renommée de la franchise. Et même le peu de choses resté dans l'ombre ne changera pas la donne, surtout en ce qui concerne la question des motivations de son (ses) assassin(s), à la bien trop artificielles par les réminiscences qu'elles voudraient provoquer et bien trop fragiles quant aux bases sur lesquelles elles se construisent pour espérer marquer un minimum. L'acte final le plus désespérément vide et prévisible de la saga pour résumer...

Avec une héroïne de plus en plus emportée par ses démons et une allusion à peine voilée à un possible énième retour, le contenu de "Scream 7" (et a priori dernier opus de cette trilogie des années 2020) semble s'écrire tout seul mais, après ce sixième qui avait si peu de choses à offrir, on ne voit pas trop comment ce futur film pourrait inverser la tendance d'une franchise désormais empêtrée dans les souvenirs de sa gloire qu'elle se contente de décliner sans en retrouver le génie.

le film est incroyable, j'ai pu le voir en 4DX donc c'était encore mieux. L'épouvante était présente et le sursaut encore plus. Les acteurs jouent bien. Je recommande fortement. Un pur chef-d'œuvre cinématographique.

Un film extrêmement prévisible, à défaut d'avoir fait un remake d'un des anciens films de la franchise. Du sang et du gore dans l'excès.

Après Woodsboro, le campus de Windsor et les studios de cinéma, Ghostface n’a semble-t-il pas dit son dernier mot et c’est à Big Apple qu’il va élimer la lame de son couteau…

En rapportant plus de 5 fois sa mise de départ, il était évident que la Paramount n’allait pas attendre à nouveau une décennie (comme ce fut le cas avec le précédent) pour ressusciter Ghostface. Cette énième suite mercantile a été réalisée dans la précipitation puisqu’elle sort tout juste 14 mois (!) après le dernier volet. Autant vous dire que tout le brainstorming autour de l’intrigue et des personnages a été torché à la va-vite.

Niveau dépaysement, on aurait pu imaginer que les réalisateurs joueraient avec la folie des grandeurs de New York mais il n’en sera rien, de Big Apple on ne verra rien si ce n’est une ruelle sombre, une pauvre superette, ainsi qu’une séquence dans le métro (cette dernière est un grotesque cliché, personnellement ces scènes dans le métro où les néons clignotent, je trouve ça ridicule). Matt Bettinelli-Olpin & Tyler Gillett, déjà responsables du précédent opus, semblent se complaire dans la fainéantise, avec une scène d’introduction tellement prévisible que l’on aurait dû se douter que le reste du film serait du même acabit. Totalement dénué de la moindre tension, même les mises à mort sont ch!antes à mourir. Ça tourne en rond, la franchise fait le minimum syndical et le pire dans tout ça, c’est que ça marche, à en voir son résultat au box-office (les spectateurs ne seraient donc pas regardant sur la qualité ?).

Scream VI (2023) est tellement balisé que l’on en arrive à le regarder d’un œil (sous-entendu que j’étais à deux doigts de somnoler). Il ne suffit pas de délocaliser l’intrigue pour apporter un vent de fraicheur, il faut aussi y injecter des idées un tant soit peu originales. Sérieux, si c’est pour nous ch!er ce genre de daube, je préfère me replonger dans les années 90 et revoir la trilogie originelle tout en faisant mon vieux boomer réac « c’était mieux avant ».

● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●

"Scream VI" est un BON FILM dans l'ensemble, DIVERTISSANT et EFFICACE. On s'éloigne de la recette original et ce n'est pas une mauvaise chose. C'est même plutôt une belle surprise.
Un SCÉNARIO INTÉRESSANT et un SUSPENS PESANT.

Attention : film bien SANGLANT !!!