AlloCiné
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Votre avis sur Scream VI ?
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95 critiques
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Encore beaucoup dans l'absurdité mais beaucoup mieux que le 5. Je soulève également que Matt Bettinelli-Olpin réussi dans ce sixième volet à s'approprier la franchise. Des scènes d'angoisses et de courses poursuites réellement bien pensé et très soignée sur la mise en scène avec en plus un duo d'actrices qui font clairement le taff. Cette fois-ci, moins drôle, moins calme, et beaucoup plus efficace et angoissant! Un dénouement vraiment bien où l'effet de surprise fonctionne absolument, tout le monde était choqué dans la salle lol.
On ne va pas se le cacher, et il faut commencer par l'admettre avant de passer à l'essentiel, le scénario est rempli d'invraisemblances. Pourtant on a un réel plaisir à voir le film, on frissonne à souhait, les meurtres retrouvent de la sauvagerie. La scène d'ouverture et la scène du métro sont particulièrement réussies. Les fausses pistes ne manquent pas, la tension est palpable. Le côté méta et les mises en abyme ne sont pas négligés. Sans doute pas un chef-d'œuvre mais une vraie réussite qui relance la franchise.
En tant que deuxième dans le remake de la saga d’origine, Scream 6 prends naturellement place à New York où les survivants font des études.
Idem pour le fait d’avoir trouvé un ancien cinéma, reconverti en véritable théâtre à l’image de l’épisode 2.
Je trouve toujours génial de ne pas savoir qui est le tueur, et par quels moyens il va s’y prendre, entraînant le groupe de personnage dans une course folle, sanglante et référencée.
Le film est toujours un aussi bon thriller tendu de bout en bout, ne relâchant la pression, que pour des moments de tendresse, et d’amitié entre les protagonistes.
Le casting est toujours aussi bien trouvé : deux acteurs secondaires de toujours que son le charismatique Henry Czerny, en psy dépassé par les évènements, et l’inspecteur de police joué par le solide Dermot Mulroney, qui accompagne nos héros dans cette tourmente.
Le prologue se permet de faire venir la ravissante blonde Samara Weaving, actrice familière des réalisateurs, pour une introduction moderne, habile, avec un petit twist dans la séquence suivante, où le chasseur devient la proie du « véritable » tueur masqué.
J’ai adoré retrouver le casting d’origine : Melissa Barrera est toujours aussi charismatique, sensuelle, forte et torturée par son passé.
On retrouve l’adorable Jenna Ortega, capable par des petits gestes, des moues, clin d’œil, de retranscrire l’humanité de son personnage, et sa « soif » de normalité.
Je trouve toujours génial le rôle de Mindy (Jasmin Savoy Brown), qui incarne d’un certain point de vue la voix des auteurs du film, ce type de personnage fabuleux, mais qui ne semble rien à voir à faire ici. Elle symbolise le respect qu’on les auteurs du film pour leur public.
Et pour finir, le sympathique Chad, archétype de l’ami sincère et attentionné, sorte de meilleur pote ou frère d’adoption, joué à merveille par l’excellent Mason Gooding.
Le film est un divertissement soigné, bienveillant avec le spectateur, loin d’une violence gratuite jetée à la figure du public, qui se joue toujours des codes du genre pour mieux leur rendre hommage.
Idem pour le fait d’avoir trouvé un ancien cinéma, reconverti en véritable théâtre à l’image de l’épisode 2.
Je trouve toujours génial de ne pas savoir qui est le tueur, et par quels moyens il va s’y prendre, entraînant le groupe de personnage dans une course folle, sanglante et référencée.
Le film est toujours un aussi bon thriller tendu de bout en bout, ne relâchant la pression, que pour des moments de tendresse, et d’amitié entre les protagonistes.
Le casting est toujours aussi bien trouvé : deux acteurs secondaires de toujours que son le charismatique Henry Czerny, en psy dépassé par les évènements, et l’inspecteur de police joué par le solide Dermot Mulroney, qui accompagne nos héros dans cette tourmente.
Le prologue se permet de faire venir la ravissante blonde Samara Weaving, actrice familière des réalisateurs, pour une introduction moderne, habile, avec un petit twist dans la séquence suivante, où le chasseur devient la proie du « véritable » tueur masqué.
J’ai adoré retrouver le casting d’origine : Melissa Barrera est toujours aussi charismatique, sensuelle, forte et torturée par son passé.
On retrouve l’adorable Jenna Ortega, capable par des petits gestes, des moues, clin d’œil, de retranscrire l’humanité de son personnage, et sa « soif » de normalité.
Je trouve toujours génial le rôle de Mindy (Jasmin Savoy Brown), qui incarne d’un certain point de vue la voix des auteurs du film, ce type de personnage fabuleux, mais qui ne semble rien à voir à faire ici. Elle symbolise le respect qu’on les auteurs du film pour leur public.
Et pour finir, le sympathique Chad, archétype de l’ami sincère et attentionné, sorte de meilleur pote ou frère d’adoption, joué à merveille par l’excellent Mason Gooding.
Le film est un divertissement soigné, bienveillant avec le spectateur, loin d’une violence gratuite jetée à la figure du public, qui se joue toujours des codes du genre pour mieux leur rendre hommage.
Scream 1, reste pour moi le meilleur de la saga. Du 2 au 4éme film, on était vraiment sur la vie de sydney prescott, qui était des suite plutot pas mal. Le 5éme film avait été légerement différent, tout en gardant un socle des quatres premier, ceux qui donner un brin de norstalgie plutot intéressante, mes pas vraiment de renouveau. Quand je suis aller voir le 6éme, je mettais dit ça va être bien mes sans plus. Mes je suis obligé de le dire, j'ai été agréablement surpris. Déja les scéne de meurtre sur plus sanglant et plus longue. De l'action, du suspence et du gore, mes je dirais associer a une histoire qui tient bien la route. Des acteurs de l'ancienne génération, sont la mes beaucoup plus discret, laissant la place a la nouvelle avec brio. J'ai toujours étais présent quand un scream et de retour, et je tiens a applaudir les réalisateur. J'éspere retrouver un scream suivant, tout en espérant qu'il ne gache pas le travail fourni dans celui la. De ceux fait, je lui met un 5/5 bien mériter.
Frédéric M.
Meme mécanique : un tueur, des meurtres, un whodunit qui maintient un bon niveau de suspense avec quelques fausses pistes. Un jeu cohérent d'acteurs. Mais est il nécessaire d'étirer autant cette franchise ? Les meurtres redeviennent gores et graphiques. A voir, mais s'oubliera vite
Une tuerie, Wes Craven serait fière de ce qu'est devenu sa franchise 🔪 rien ne vaut le premier mais on peut le classer 2 ème 👌
Trop cheap, trop gros , du sous sous sous scream premier du nom.... il es vraiment temps d'arrêter toute cette mascarade .
Après un 5ème épisode très très moyen (tout juste sauvé par un milieu de film vraiment sympa) on se retrouve ici avec un 6ème opus meilleur que le précèdent et globalement sympathique malgré de gros défauts.
Direction New York avec les survivants du dernier épisode pour ce Scream VI bien rythmé sur 2 heures et pas avare en mises à mort (souvent bien brutale ).
Le long métrage à aussi quelques bonnes idées et scènes telle que sa scène d'intro vraiment bien foutue et qui je pense est la meilleure depuis le 1er Scream ou une scène dans le metro bien pensée. Les 4 personnages du 5ème opus se révèle aussi globalement plus intéressant, surtout Sam.
Maintenant coté défaut c'est vraiment dommage que la ville New York soit aussi mal exploitée car excepté 2-3 scènes on se contente d'appartement ou de cinéma abandonné. Pareil pour son scénario le film est assez décevant ,autant le retour de Courteney Cox est plutôt réussi autant celui de Hayden Panettiere est plutôt raté avec un personnage de Kirby pas très intéressant. Le coté méta du film est raté et montre que la saga n'a vraiment plus rien à raconter excepter de faire revenir Ghostface pour une partie de massacre sans surprise.
Et la fin est bien foireuse avec probablement la pire révélation et les pires tueurs de la saga (même si perso je trouve qu'ils sont pas facile à trouver ).
En bref un épisode rythmé et généreux en meurtres mais qui n'a pas grand chose à raconter.
Direction New York avec les survivants du dernier épisode pour ce Scream VI bien rythmé sur 2 heures et pas avare en mises à mort (souvent bien brutale ).
Le long métrage à aussi quelques bonnes idées et scènes telle que sa scène d'intro vraiment bien foutue et qui je pense est la meilleure depuis le 1er Scream ou une scène dans le metro bien pensée. Les 4 personnages du 5ème opus se révèle aussi globalement plus intéressant, surtout Sam.
Maintenant coté défaut c'est vraiment dommage que la ville New York soit aussi mal exploitée car excepté 2-3 scènes on se contente d'appartement ou de cinéma abandonné. Pareil pour son scénario le film est assez décevant ,autant le retour de Courteney Cox est plutôt réussi autant celui de Hayden Panettiere est plutôt raté avec un personnage de Kirby pas très intéressant. Le coté méta du film est raté et montre que la saga n'a vraiment plus rien à raconter excepter de faire revenir Ghostface pour une partie de massacre sans surprise.
Et la fin est bien foireuse avec probablement la pire révélation et les pires tueurs de la saga (même si perso je trouve qu'ils sont pas facile à trouver ).
En bref un épisode rythmé et généreux en meurtres mais qui n'a pas grand chose à raconter.
Après un requel assez peu convaincant, ce nouveau scream avait de quoi inquiéter. Or le film surprend dès sa scène d'ouverture qui rappelle les meilleures de celles des films de Wes Craven. Le film, s'il ne fait rien du décor de la ville de New York, on retiendra cependant une scène plutôt réussie dans le métro, se montre cependant assez habile quand il s'agit de mettre en scène des crimes sanglants. Bien qu'on ne soit pas au niveau du récent terrifier 2, ce nouveau scream est un slasher violent et efficace qui reprend toute la mythologie de la saga jusqu'à un final qui s'il n'est au final pas si surprenant que ça fonctionne assez bien. Alors certes le côté méta est désormais total artificiel et le film, dans sa dernière partie, plagie scream 2 de manière presque éhontée, mais le film est rythmé et plaisant à regarder, ce que n'était pas le précédent. Il semble que la franchise soit désormais lancée autour des sœurs Carpenter, pas sûr que cela fonctionne bien longtemps mais ce nouvel opus, malgré ses défauts, est assez incarné et fonctionne bien. La mode des slasher est-elle relancée? A suivre.
Une suite user j'jusqu'à la corde qui malheureusement ne maitrise absolument pas ce qu'elle entreprend ni ne comprends réellement le slasher adaptés . Encore un film qui fait le buzz pour rien en somme .
Un vrai scream encore plus sanglant ! Je ne m'attendais pas du tout à la fin une pépite ! Encore une fois sur l'affiche on a des indices !!
Toujours aussi efficace pour ma part. Le film va là où il peut encore aller et je dois avouer qu'au bout de 6 films la franchise arrive encore à raconter et dénoncer certaines choses. Je retiens les nouveaux décors, le rythme plutôt soutenu et un casting plutôt convaincant et attachant. Scream 6 est un peu ce qu'était Scream 2 : on reprend le pari de faire une suite directe au précédent avec de la surenchère. Toujours plus ! L'acte final tient la route, sans être aussi pertinents que dans les précédents. L'intro quant à elle est plutôt surprenante. Scream 6 essaie des choses nouvelles mais sans vraiment assumer s'écarter des originaux. En bref scream 5 et 6 restent scolaires, hesitant à prendre des risques et sans jamais vriament oser quelque chose de neuf au risque de nous décevoir . Peut être que le 7 va venir chambouler tout ça ! Et après pitié ... rendez nous Marco beltrami à la BO, Brian Tyler ça devient d'un ennui ... sa BO est invisible tout au long du film. Elle se calque tout bêtement sur le 5.
Je suis triste, j'ai pas osé dire à tout le monde que j'ai étais déçue :-'( (grosse fan de la saga Scream)
Mindy ce prends 1 coup de couteau dans le ventre et à la fin elle revient vers l'ambulance "en forme" ?
Non c'était trop pour moi... Et la scène première m'a rendu folle, en 2023 qui vas dans une ruelle sombre pour rejoindre un inconnu?
Et encore une fois nous avons pas deux tueurs, mais trois, un seul suffisait !
Non c'est trop pour moi.
Mindy ce prends 1 coup de couteau dans le ventre et à la fin elle revient vers l'ambulance "en forme" ?
Non c'était trop pour moi... Et la scène première m'a rendu folle, en 2023 qui vas dans une ruelle sombre pour rejoindre un inconnu?
Et encore une fois nous avons pas deux tueurs, mais trois, un seul suffisait !
Non c'est trop pour moi.
Inconditionnel de Scream depuis 1998, j'attendais ce film avec impatience depuis la confirmation d'un Scream 6 en 2022... non pas sans une certaine appréhension toutefois, au vu de la qualité plus que discutable de Scream 2022...
Mais là où je voyais Scream 2022 comme un film tiraillé entre le film hommage/ reboot/ suite, d'où son positionnement compliqué l'empêchant d'être réellement innovant, je me suis dit que passé ce film charnière, j'allais peut-être être agréablement surpris par ce 6ème opus, malgré l'absence de Neve Campbell au casting...
Quelle ne fut pas ma déception...
Je ne pensais pas pouvoir m'ennuyer devant un film Scream, et pourtant... ces 2h me sont parues très longues.
Parmi les points négatifs (entre autres) :
- Le nouveau casting. Bien que le jeu de Mélissa Barrera semble s'être un peu amélioré depuis le volet précédent, je trouve ce casting peu attachant et certains personnages meme agaçants. Jenna Ortega en tête, au jeu pauvre, qui fait du Jenna Ortega/ Mercredi, à savoir l'adolescente pseudo rebelle qui ne sourit pas, pas vraiment sympa et toujours révoltée pour un oui ou pour un non. Mindy: personnage assez lourd dans son discours meta constant
- Le discours meta. Redondant durant tout le film et assez grossier, comme pour bien justifier au spectateur que l'on est bien passé à une nouvelle ère et appuyer la légitimité de ce nouveau casting
- La relation entre les deux soeurs: comme dans Scream 2022, des scènes bavardes, larmoyantes et ennuyeuses
- Les clins d'oeil/ copiés collés: la scène de la gifle avec Sam/ Tara et Gale copiée-collée de Scream 1 et 2 est ridicule, car Sidney/ Gale et Gale/ Sam/ Tara n'ont pas du toute la même relation
- La non inclusion des anciens personnages (Gale, Kirby) dans l'histoire. Comme dans Scream 2022, ces deux personnages semblent être là uniquement pour figurer sur l'affiche et attirer les fans de la première heure.
- Le gore: les meurtres sont effectivement plus violents. Est-ce pour palier la manque de consistance du scénario?
En résumé, un opus vraiment dispensable, (au même titre que Scream 2022), qui oriente la saga vers une franchise qui enchainent des suites sans saveur et sans les personnages originaux à un rythme effréné tant que cela rapporte au box office, à la manière des Halloween, Nightmare on Elm Sreet ou Vendredi 13.
Dommage.
Mais là où je voyais Scream 2022 comme un film tiraillé entre le film hommage/ reboot/ suite, d'où son positionnement compliqué l'empêchant d'être réellement innovant, je me suis dit que passé ce film charnière, j'allais peut-être être agréablement surpris par ce 6ème opus, malgré l'absence de Neve Campbell au casting...
Quelle ne fut pas ma déception...
Je ne pensais pas pouvoir m'ennuyer devant un film Scream, et pourtant... ces 2h me sont parues très longues.
Parmi les points négatifs (entre autres) :
- Le nouveau casting. Bien que le jeu de Mélissa Barrera semble s'être un peu amélioré depuis le volet précédent, je trouve ce casting peu attachant et certains personnages meme agaçants. Jenna Ortega en tête, au jeu pauvre, qui fait du Jenna Ortega/ Mercredi, à savoir l'adolescente pseudo rebelle qui ne sourit pas, pas vraiment sympa et toujours révoltée pour un oui ou pour un non. Mindy: personnage assez lourd dans son discours meta constant
- Le discours meta. Redondant durant tout le film et assez grossier, comme pour bien justifier au spectateur que l'on est bien passé à une nouvelle ère et appuyer la légitimité de ce nouveau casting
- La relation entre les deux soeurs: comme dans Scream 2022, des scènes bavardes, larmoyantes et ennuyeuses
- Les clins d'oeil/ copiés collés: la scène de la gifle avec Sam/ Tara et Gale copiée-collée de Scream 1 et 2 est ridicule, car Sidney/ Gale et Gale/ Sam/ Tara n'ont pas du toute la même relation
- La non inclusion des anciens personnages (Gale, Kirby) dans l'histoire. Comme dans Scream 2022, ces deux personnages semblent être là uniquement pour figurer sur l'affiche et attirer les fans de la première heure.
- Le gore: les meurtres sont effectivement plus violents. Est-ce pour palier la manque de consistance du scénario?
En résumé, un opus vraiment dispensable, (au même titre que Scream 2022), qui oriente la saga vers une franchise qui enchainent des suites sans saveur et sans les personnages originaux à un rythme effréné tant que cela rapporte au box office, à la manière des Halloween, Nightmare on Elm Sreet ou Vendredi 13.
Dommage.
On est bien loin du jeu macabre promis par ce concept, pourtant prometteur, d'un Ghostface à la Grosse Pomme tant cette dernière n'est pour moi pas assez bien utilisée. Les mises en scènes innovantes se font plutôt rares, laissant place à du déjà vu de la franchise. C'est peut-être là le plus grand défaut du film. On oublie assez vite qu'on est New York pour se plonger de nouveau dans des espaces exiguës, facile donc de retomber dans les travers du genre.
Pourtant les quelques scènes qui usent de ce nouvel environnement sont vraiment intéressantes. Ghostface à New York et son action peuvent être très vite lu comme un reflet de la peur d'un tel monde. New York n'est pas sain, la ville est bourrée de danger, surtout pour nos jeunes protagonistes Tara et Sam (images modernes de femmes dans un tel milieu). Car oui, le film est violent, peut-être le plus violent de sa saga, mais entre deux eaux, entre censure et volonté d'aller plus loin.
L'arc narratif de ces dernières est d'ailleurs très intéressant, peut être la chose la mieux réussie de ce film. On se plait à suivre l'évolution de ces deux sœurs, confrontées à leurs démons. Le duo est d'ailleurs bien porté par leurs actrices, qui donnent un peu de pep's à ce film qui avait bien besoin de les voir un peu briller.
Malgré tout, le film peine à convaincre. La scène d'introduction détruit sa propre idée en l'espace de quelques minutes (et oui tout le monde n'aime pas le twist de cette scène...) et je ne parlerai pas des tous derniers plans du film, ma salle entière a rigolé par l'absurdité qu'il nous présentait. Et entre ces deux moments, le film oscille: entre coup de tension et essai vain de nous faire peur, entre passage à vide et scène tirant à relonge. Scream devient alors un train fantôme, sympathique certes, je n'ai pas passé un mauvais moment. Mais ce manège nous montre bien le triste futur de la franchise. A chaque coup de couteau, la lame s'émousse et le sujet devient de moins en moins consistant, s'enferme dans sa critique. Scream devient inlassablement le spectre de son propre genre.
Pourtant les quelques scènes qui usent de ce nouvel environnement sont vraiment intéressantes. Ghostface à New York et son action peuvent être très vite lu comme un reflet de la peur d'un tel monde. New York n'est pas sain, la ville est bourrée de danger, surtout pour nos jeunes protagonistes Tara et Sam (images modernes de femmes dans un tel milieu). Car oui, le film est violent, peut-être le plus violent de sa saga, mais entre deux eaux, entre censure et volonté d'aller plus loin.
L'arc narratif de ces dernières est d'ailleurs très intéressant, peut être la chose la mieux réussie de ce film. On se plait à suivre l'évolution de ces deux sœurs, confrontées à leurs démons. Le duo est d'ailleurs bien porté par leurs actrices, qui donnent un peu de pep's à ce film qui avait bien besoin de les voir un peu briller.
Malgré tout, le film peine à convaincre. La scène d'introduction détruit sa propre idée en l'espace de quelques minutes (et oui tout le monde n'aime pas le twist de cette scène...) et je ne parlerai pas des tous derniers plans du film, ma salle entière a rigolé par l'absurdité qu'il nous présentait. Et entre ces deux moments, le film oscille: entre coup de tension et essai vain de nous faire peur, entre passage à vide et scène tirant à relonge. Scream devient alors un train fantôme, sympathique certes, je n'ai pas passé un mauvais moment. Mais ce manège nous montre bien le triste futur de la franchise. A chaque coup de couteau, la lame s'émousse et le sujet devient de moins en moins consistant, s'enferme dans sa critique. Scream devient inlassablement le spectre de son propre genre.
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