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    Maria
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    Adrien89
    Adrien89

    14 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2024
    Film intéressant sur une actrice et un tournage qui a fait grand bruit. Le film est bien construit.
    Nicolas N.
    Nicolas N.

    30 abonnés 759 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 octobre 2024
    Maria (2024), réalisé par Jessica Palud, explore les épreuves de l’actrice Maria Schneider, magnifiquement interprétée par Anamaria Vartolomei. Le film dépeint les pressions et les abus auxquels Schneider a été confrontée durant sa carrière, notamment sur le tournage controversé du Dernier Tango à Paris. Vartolomei incarne avec justesse la fragilité et la résilience de Schneider, captivant le spectateur avec une performance nuancée. Malgré une réalisation parfois un peu académique, l’émotion est au rendez-vous, soutenue par une ambiance mélancolique qui reflète bien l’époque. Cependant, certains aspects de la vie de Schneider auraient pu être approfondis. Note : 3/5.
    cinéphile1004
    cinéphile1004

    5 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2024
    Une grande réussite ! Et une actrice extraordinaire ! Je recommande vivement .
    Excellent moment.
    Bravo
    Cadreum
    Cadreum

    3 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2024
    Film où la caméra se fait témoin des blessures indélébiles laissées sur Maria Schneider, marquée à jamais par une scène imposée, qui, sous couvert d'art, expose la face sombre d'une industrie où le pouvoir masculin écrase le consentement, transformant le corps de l'actrice en objet, en marchandise.

    Au-delà du traumatisme, il y a l'enjeu de la réappropriation : comment reconquérir une image, une carrière, un corps quand tout a été confisqué, instrumentalisé pour satisfaire une vision masculine de désir ?

    Mais tout n'atteint pas cette intensité brûlante. Le film manque parfois de ce vertige, de cette rage contenue qui aurait pu faire trembler. J'aurai aimé que le traitement de la presse, de l'opinion publique, soit davantage confronté, que les non-dits se fassent cri, laissant l'enfer se révéler dans toute sa cruauté.

    Et pourtant, Maria tient ses promesses.
    Redzing
    Redzing

    1 130 abonnés 4 481 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2024
    Le destin tragique de Maria Schneider, dont la vie et la carrière furent brisées par le tournage de "Ultimo Tango a Parigi" de Bernardo Bertolucci. Avec sa fameuse scène de viol improvisée, qui marqua l'actrice au fer rouge.
    Un bon sujet, a fortiori dans les années post-#metoo où la place des femmes (en particulier au cinéma) est constamment questionnée. Et où la culture du viol est largement pointée du doigt. D'autant plus que Jessica Palud a eu l'occasion de côtoyer sur deux projets distincts Bernardo Bertolucci et Maria Schneider, avant leurs décès respectifs !
    Néanmoins la réalisatrice ne semble pas vraiment savoir quoi en faire. Certes, je ne peux que saluer la prestation des acteurs. Matt Dillon parvient à camper un très convaincant Marlon Brando. Anamaria Vartolomei, outre sa ressemblance avec Maria Schneider, prouve une fois de plus qu'elle est une actrice talentueuse à suivre. L'effort de reconstitution est là aussi, dont le tournage de "Ultimo Tango a Parigi".
    Malheureusement le reste m'a paru trop fade. La mise en scène demeure académique. Le montage enchaîne les ellipses avec un cohérence relative. A part le coeur du film (la reconstitution de l'envers du décors du film de Bertolucci), relativement prenant, "Maria" semble être un assemblage de morceaux. Et s'il rend une forme d'hommage à Maria Schneider, il n'est pas assez cohérent et fort, surtout au vu de son sujet.
    Ciné-13
    Ciné-13

    119 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2024
    Quand on n’est pas averti, l’incarnation de Marlon BRANDO par Matt DILLON surprend. Je n’ai réalisé cela qu’à partir de la scène scandaleuse qui faisait rire Coluche dans un fameux sketch (« ça rentre partout »). VARTOLOMEI, tour à tour nymphette, puis starlette, puis déchue, est impressionnante. La photographie n’est pas belle et la mise en scène minimale. L’intérêt du film est de ravivé nos souvenirs et de connaître les conséquences dramatiques pour cette actrice. On l’a apostrophée dans la rue : « passe-moi le beurre ! ». Elle a même été condamnée en Italie pour obscénité la pauvre ! Et sa carrière se poursuivra dans des rôles de séries Z (exemple : film de vampires). Encore une belle apparition de la jeune BRUNNQUELL (vue récemment dans le film "Une affaire de principe" en tant que assistante de José Bové incarné par LANNERS).
    Epilogue : spoiler: « BERTOLUCCI, je ne connais pas cet homme » !
    defleppard
    defleppard

    383 abonnés 3 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    Maria. Biopic de l 'actrice Maria Schneider. L' actrice jouant le rôle est presque un clone de Charlotte Gainsbourg, même voix même mimiques. Trois étoiles.
    Isabelle K.
    Isabelle K.

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Maria, drame-histoire de Jessica Palud

    Je n’avais déjà pas aimé le livre Vanessa Schneider « Tu t’appelais Maria Schneider » (Grasset, 2018), dont a été adapté le film, que je n’ai pas davantage apprécié.

    Ni roman, ni biopic, comment qualifier l’un et l’autre sinon par le prisme des produits qu’ils représentent, des industries littéraire et cinématographique : un livre et un film.

    Vanessa Schneider l’écrit elle-même, en prenant appui sur une chanson de Patti Smith, extraite de son album Banga :

    « C’était après le Tango, après le scandale, après la désintégration intime de tes espoirs de bonheur. ‘Je t’ai connue, nous étions jeunes, je t’ai connue, nous étions jeunes’, fredonne Patti Smith de façon lancinante. Tu es pour elle « une étoile tremblante, douce et sans pudeur (…) ». Je ne t’ai jamais entendue parler de Patti Smith, son nom n’a jamais été évoqué dans la famille. Peut-être avais-tu préféré garder cette rencontre pour toi, peut-être t’avait-elle moins marquée que la chanteuse à la voix caverneuse. Cela fait partie des mystères que tu auras emportés. »

    Voilà pourquoi je n’ai pas aimé le livre. Quarante-six ans après les faits, de sa cousine mystérieuse de 17 ans plus âgée, Vanessa Schneider n’avait rien d’autre à livrer aux lecteurs que des moments d’intimité familiaux anecdotiques qui auraient dû le rester. Ou à quel point ses parents ont fait preuve de générosité désintéressée quand il s’est agi de recueillir Maria dans leur deux-pièces du 7ème arrondissement de Paris, sa mère ne voulant plus d’elle. Maria étant devenue l’enjeu d’une vengeance entre une femme bafouée et un père lâche et opportuniste. Ou la reconstitution par les mots de La Scène polémique et de ses conséquences tragiques, qui ont conduit Maria Schneider tout droit à sa mort.

    Le film Maria poursuit cette dynamique. À quarante minutes de la fin, il s’est passé une heure pendant laquelle Maria miaule face à Marlon Brando en gorille ou en chien. J’exagère. Bien sûr qu’il s’est passé quelque chose : La Scène choc avec la motte de beurre, et un gros plan interminable sur les larmes de Maria.

    Ce film m’a autant gênée que le livre à l’époque. À vrai dire, il m’a carrément déconcertée. Je n’ai pas compris son intention, surtout aujourd’hui, 7 ans après l’émergence du mouvement #Metoo en France. Le livre, qui date de 2018, était publié à une date déjà limite. Que le film ait été distribué me semble une erreur.

    « Vous souvenez-vous de l’homélie de Saul Bellow sur l’éthique et la morale (l’éthique, c’est l’argent, la morale, c’est le sexe) ? Dans une société civilisée, un bon jour, la morale et l’éthique font partie de la même entité, l’intégrité. » J’ai eu envie de reproduire ici les mots de Martin Amis (Inside Story) parce que je n’ai pas mieux à exprimer, sur la société vers laquelle, je l'espère, on tend, même si ça prend du temps.

    Pour tout dire, j’ai quitté la séance, ce qui ne m’arrive jamais. J’ai eu cette impression amère et « malaisante » (la première fois que j’emploie ce terme que je n’aime pas mais qui, en l’occurrence, traduit « trop bien » mon sentiment, dans son époque) qu’on trahissait encore une fois Maria Schneider, et je n’ai pas eu envie de cautionner cela (même si, je suis restée tout de même une heure).

    Depuis les 70’, il y a eu le tournage du Dernier Tango à Paris, puis la sortie du Dernier Tango à Paris, le livre Tu t’appelais Maria Schneider et à présent le film Maria qui n’est qu’un gros plan sur la reconstitution par l’image d’un viol.

    Ni Matt Dillon (sur qui j’ai tant fantasmé en Rusty James), ni Anamaria Vartolomei ni aucun des acteurs ne m’ont touchée, je ne les ai pas sentis présents. Comme si Maria elle-même faisait obstacle. J’admets cependant la ressemblance assez déroutante entre Dillon et Brando. Deux nuances : Marie Gillain (la mère de Maria) est effroyablement convaincante. Stanislas Merhar (l'agent) a les deux lignes les plus percutantes du scénario (acteur que je ne vois pas assez souvent sur les écrans, je le regrette).

    J’ai eu honte d’être allée voir ce film aujourd’hui.

    Quelques temps auparavant, j’avais vu « Sois belle et tais-toi » (documentaire de Delphine Seyrig - 1981). Comme pour compenser. J’en propose ici l’extrait consacré à Maria Schneider. Un extrait qui rappelle le discours de Judith Godrèche aux César et et qui déjà évoquait le film de Rivette. Céline et Julie vont en bateau (1974) : "Il était que, cette fois, ça ne se passera pas comme ça, pas comme les autres fois."
    FaRem
    FaRem

    8 709 abonnés 9 565 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    « Ce n'est qu'un film. » Ni remords ni excuses, une phrase prononcée à un moment où cette jeune actrice inexpérimentée s'est sentie seule et surtout trahie par deux grands du cinéma en qui elle avait confiance. Avec "Maria", Jessica Palud revient sur l'histoire de Maria Schneider, dont la vie et la carrière ont été lourdement impactées par son rôle dans "Ultimo tango a Parigi". La réalisatrice de "Revenir" dresse le portrait d'une femme envoûtante de force et de fragilité qui a été jetée en pâture, humiliée et moquée pour quelque chose qu'elle n'avait pas décidé. Une critique d'une industrie qui utilise, exploite, broie et jette les acteurs en général, mais surtout les femmes dans ce cas précis. Malgré la violence évoquée, "Maria" est respectueux et sobre sans pour autant éluder la violence de ce qu'elle a vécu, la difficile poursuite de sa carrière ou sa terrible descente aux enfers. Un film important et fort porté par la formidable Anamaria Vartolomei.
    Michel C.
    Michel C.

    274 abonnés 1 469 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2024
    Biopic de Maria Schneider réalisé par Jessica Palud assez délicate et choquante, pour la reprise de la scène d'anthologie du "Dernier tango à Paris" de Bertolucci. spoiler: Certes, la scène remonte à 52 ans, et nous ne sommes pas certains que cela ne se produise pas encore utilisant des entorses à des scénarios validés, et/ou surfant sur la timidité ou jeunesse d'acteurs, pour organiser et filmer de tels actes répréhensibles et répugnants. Quel regard violent d'un demi siècle arrière, pénible et insoutenable de faits relayés dans cet art que nous apprécions tellement ! On comprend aisément que Maria en sortira détruite, une vie foutue, se laissant séduire par l'alcool et la drogue. ( Elle disparait à 58 ans d'un cancer ).Ce biopic montre qu'elle a essayé de dire "stop" à ces pratiques, dès lors que sortant du cadre du scénario écrit, mais le mal était fait. Un accord avait du avoir lieu entre Bertolucci Marlon Brando, pour cette fameuse scène, annoncée comme devant être "secouée" mais aucunement humiliée
    . A noter la formidable prestation de Anamaria Vartolomei, talentueuse ( vue dans Monte Cristo il y a peu ) ainsi que celle de sa maman interprétée par Marie Gillain. Moins remarqués les rôles masculins : Yvan Attal pour son papa Daniel Gelin et encore moins pour Matt Dillon en Marlon Brando. Ce drame n'a rien de passionnant, sinon qu'il rend un hommage vibrant à cette actrice qui a tout fait pour ne pas être "prisonnière" de cette scène entachant sa carrière.....!!**
    Malt
    Malt

    5 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    Pourquoi faire rejouer à Anna Maria Vartolomei cette scène qui a brisé la vie de Maria Schneider? Pourquoi recommencer aujourd'hui? Cela met vraiment mal à l'aise... Quel intérêt si ce n'est de tenter de remettre le scandale au goût du jour, très médiocrement. Je ne suis pas sûre que Maria Schneider aurait apprécié. Ce n'est pas lui rendre hommage. C'est dommage car ce film aurait pu être excellent. Anna Maria Vartolomei est une actrice extraordinaire.
    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    29 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2024
    Bonjour tout le monde,

    Maria Schneider est une grande artiste blessée ,mentalement, lors du film " Le dernier tango à Paris" .

    Jessica Palud filme magnifiquement cette évocation dense et authentique et elle nous fait réfléchir sur la condition féminine au cours de certains tournages de film..........

    Heureusement, le mouvement #MeToo existe et les manières de tourner sur certains films évoluent favorablement.

    Le patriarcat est encore là mais il se dissout , peu à peu ,et il convient de se féliciter de cela et partout naturellement.

    Jessica Palud sait mettre en valeur les affres et les agressions mentales subies, ici, dans son film, par le personnage de Maria.

    Que pensez - vous de cela ?

    Bien à vous.

    Gérard Michel
    AZZZO
    AZZZO

    304 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2024
    Maria est un brûlot politique totalement réussi. Il vient prolonger la tempête féministe dans le milieu du cinéma lancée il y a quelques semaines par les révélations de Judith Godrèche.
    Si l'histoire de la malheureuse Maria Schneider est connue de beaucoup, elle est souvent prise à la légère, voire même racontée avec un sourire, comme on raconte avec amusement Gainsbourg a faisant chanter "Les sucettes à l'anis" à la naïve France Gall. L'humiliation est oubliée.
    La force du film de Jessica Palud, ce sont les images. C'est de montrer, à l'écran, la violence de la scène, la violence du choix de Bertolucci... et les conséquences : l'humiliation qui n'est jamais racontée, la difficulté à vivre ensuite et la vie brisée.
    Ana-Maria Vartolomei est formidable dans un rôle pourtant exigent et délicat. Un film à voir absolument.
    Claude WOLFS
    Claude WOLFS

    47 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juillet 2024
    Le film "Maria" de Jessica Palud se propose d'explorer la vie de l'actrice Maria Schneider, mais échoue lamentablement à rendre justice à cette figure complexe du cinéma. Plutôt que de plonger dans la profondeur de son personnage et de sa vie personnelle, le film ne fait qu'effleurer la surface, laissant le spectateur frustré et insatisfait.
    L'une des principales faiblesses du film réside dans son incapacité à aborder en profondeur les rôles clés de Bernardo Bertolucci et de Marlon Brando dans la vie de Schneider. "Le Dernier Tango à Paris" est mentionné, mais la complexité de la relation entre Schneider et ces deux figures dominantes n'est jamais véritablement explorée. Le film échoue à montrer comment Bertolucci et Brando ont abusé cinématographiquement de la jeunesse et de l'innocence de Schneider sous prétexte de créer une œuvre authentique. Cette exploitation a conduit Maria à la dépression et à la drogue, un aspect crucial de son histoire qui aurait mérité une exploration beaucoup plus approfondie.

    À une époque où la prise de conscience des abus de pouvoir, notamment sexuels et pervers, de certains cinéastes sur les actrices est en plein essor, "Maria" n'apporte rien à ce combat. Le film reste étrangement muet sur ces questions pourtant essentielles, manquant l'opportunité de contribuer de manière significative à cette discussion nécessaire.
    De plus, le film ne s'attarde pas sur des aspects cruciaux de la vie de Schneider, tels que l'abandon par sa mère et sa carrière post-Bertolucci. Sa performance dans "Profession Reporter" est un exemple brillant de son talent, mais "Maria" omet de mettre en lumière cette période de sa carrière, se concentrant plutôt sur des détails superficiels qui n'ajoutent rien à la compréhension de son personnage.
    En fin de compte, "Maria" est un ratage complet. Ce film manque cruellement de profondeur et de substance, échouant à rendre hommage à la complexité et à la résilience de Maria Schneider. Pour un sujet aussi riche et poignant, ce traitement superficiel et insatisfaisant est une véritable déception.
    Mathieu Killian
    Mathieu Killian

    13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2024
    Biopic de Maria Schneider, fille naturelle de Daniel GELIN, mais qu'elle ne connaitra que plus tard dans sa vie. Elle rêve de cinéma et ne manque pas l'occasion d'accepter un grand rôle d'un grand réalisateur avec Marlon Brando. Mais confrontée à un milieu très machistes, elle sera victime d'une scène très controversée , non prévue dans le scénario initiale, mais imposée dans les derniers instants. C'est pourtant elle qui va le plus subir des critiques de cette scène sulfureuse. Viens alors l'enfer des mauvaises fréquentations la drogue . Un bon film, mais on peut regretter qu'il ne traite qu'une partie de sa vie, mais explique, pourquoi elle se fera plus rare et exigeante dans la suite de sa carrière . Maria Schneider doit être un symbole d'une femme dans un monde immonde et qu'il et bien que de nos jours, les femmes s'affirment et ne se taisent plus
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