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    Love Life
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    christophe D10
    christophe D10

    16 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2024
    L’histoire de ce couple japonais en difficulté n’est pas inintéressante, mais le film est parfois inégal, et le rythme assez lent provoque parfois un certain ennui.
    Pas mal, mais les critiques sont exagérément positives.
    moket
    moket

    522 abonnés 4 319 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2024
    Avec finesse, subtilité et sobriété, ce film décrit admirablement les différentes réactions face au drame. Un scénario assez malin malgré quelques longueurs.
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    23 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2024
    Remarquable film pas facile à aborder, où la vision de l'amour est très négative, mais les personnages sont victimes de leur incapacité à aimer et jamais tournés en dérision, ils sont victimes d'une situation qui leur échappe.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 949 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2024
    Un mélodrame touchant et pudique mais manquant de rythme et d’intensité, autour du deuil et des relations familiales.
    Lacroixjean Lacroix
    Lacroixjean Lacroix

    2 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2024
    J'ai beaucoup aimé ce film pour deux raisons
    C'est une histoire d'amour, d'abandon, de deuil, de rupture bref de la vie et c'est très bien joué, avec beaucoup de pudeur, sans "racolage" sans indécence et sans vulgarisation. Et pour autant beaucoup de thèmes sont abordés.

    J'aime beaucoup le cinéma japonais pour toutes ces raisons et je recommande ce film
    zwaryszczuk felix
    zwaryszczuk felix

    5 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    Le cinéma japonais ressemble aux ikebanas, un concentré de messages.
    Ce film est un petit bijou de cinéma.
    Je me demande souvent comment les japonais vont chercher leurs idées et comment il arrivent à mettre en place un concentré d'émotions avec très peu de scènes.
    Ce film est remarquable
    romain p.
    romain p.

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2024
    Un film japonais comme on en voit des tonnes, filmés et joués de la même manière, et celui-ci en semble un archétype. Ces films prennent toujours leur temps, avancent sur un rythme très lent et jouent la carte de la profondeur sur la durée. Un peu difficile de juger pour un occidental et à l'aune de nos critères. On ne peut nier une grande délicatesse, une belle mise en scène, de nombreuses idées de scénario qui s'emboîtent parfaitement. Mais on peut aussi déplorer une certaine caricature et répétition, parfois une certaine niaiserie, en tout cas à nos yeux (restant peut-être à déciller ?). De fait, cela reste un bel objet cinématographique mais qui peine à convaincre et à sortir de la masse de ses équivalents.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 138 abonnés 5 109 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    Un évènement tragique remet en question la vie d’une femme. La chanson finale du film donne la morale qui peut être un peu naïve en vérité. Malgré le distance, je t'aimerai toujours.
    Cependant le ton du film et l'émotion que l'on ressent sont suffisants pour plaire.
    C'est touchant et beau.
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)

    13 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2023
    Je n’avais pas vu le précédent film de Koji Fukada, le dytique Suis-moi je te fuis/Fuis-moi je te suis, mais c’est un réalisateur que je trouve passionnant depuis que je l’ai découvert en 2017 avec Harmonium... tout en haut de mon top films cette année là.

    Ici, il est encore question de rapports familiaux, de non-dits, de secrets du passé qui refont surface. Comme chez Kore-Eda et d’autres cinéastes japonais, il se dégage immédiatement beaucoup d’humanité dans ce long-métrage, mais aussi beaucoup de pudeur et de retenue de la part des personnages, tous filmés avec finesse par Fukada.

    Des hommes et des femmes qu’il met en scène dans un univers très contemporain, avec cette capacité à mettre de la beauté et de la douceur là où l'on n'en trouvera pas forcément de prime abord, comme avec cet ensemble d’immeubles ou vit le couple. C’est là tout l’art de la mise en scène, à la fois discrète et subtile, d’un réalisateur qui a choisi comme thème central de son film, la difficulté à communiquer. Un beau mélodrame à la fois simple et touchant.
    https://www.hop-blog.fr/love-life-film-de-koji-fukada/
    Gilles-Henri L.
    Gilles-Henri L.

    1 abonné 50 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2023
    Très beau témoignage sur la société japonaise : les relations familiales, l’aide sociale, l’expression des sentiments, l’attitude face au deuil. Je recommande.
    Joël DI DOMIZIO
    Joël DI DOMIZIO

    13 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2023
    Malgré des critiques dithyrambiques, je ne suis pas ressorti énormément enthousiasmé par ce film de Kôji Fukada.C'est assez plombant, la narration utilisée empêche de bien s'accrocher au récit proposé.
    Lynebonnaud
    Lynebonnaud

    1 abonné 52 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2023
    Cette année « Love Life » et « La comédie humaine » de Kôji Fukada font l’ouverture et la clôture du festival Les saisons d’Hanibi ; une promesse de vivre au rythme du Japon avec 7 avant-premières exclusives pendant 7 jours à travers toute la France.
    Et quel excellent choix que ce jeune réalisateur né au début des années 80, dont le cinéma n’en finit pas d’explorer les failles de la société à travers la cellule familiale, tout en faisant un pas de côté avec la morale nippone.
    Le film s’intéresse à la vie amoureuse d’un jeune couple, Taeko et Jiro. Ils vivent en famille reconstituée avec Keita, son fils à elle, né d’une première union. Leur bonheur à tous les trois est solaire.
    Un terrible drame va surgir lors d’une fête familiale et impacter l’équilibre de leur union. Les ex conjoints respectifs réapparaissent, et chacun se retrouve désaxé, en perte de repères, étranger à sa propre vie.
    C’est cette rupture d’alchimie que le réalisateur va chercher dans l’incommunicabilité qui s’installe entre les différents êtres, tel le battement d’ailes d’un papillon. Il y a un avant, dans une première scène magnifique où le bonheur est palpable à l’écran, et un après, qui met à nue les terribles répercussions sur les deux jeunes gens.
    Kōji Fukada réalise et scénarise au cinéma depuis 20 ans. Un certain nombre de ses films ont pu sortir dans les salles françaises, « Harmonium », « L’infirmière » ou encore récemment « Suis-moi, je te fuis / Fuis-moi, je te suis ».
    Love Life est me semble-t-il le plus abouti. Son scénario est si subtil qu’il efface les mots pour faire parler les signes et les silences.
    Je n’ai pu m’empêcher de penser aux films de Ryūsuke Hamaguchi dans les procédés utilisés.
    Ils incarnent ensemble cette nouvelle génération de réalisateurs naturalistes, qui décryptent par l’image l’agitation des sentiments humains.
    La scène finale, aussi forte que la première, donne au film tout son équilibre dans la réalisation et sa cohérence dans l'histoire intime du couple.
    Elle nous transporte en un clin d’œil dans un vieux film de Nanni Moretti, récompensé de la palme d’Or à Cannes. Mais si chez le réalisateur italien, les différents protagonistes marchaient dans des directions opposées sur un même lieux, les jeunes gens chez Fukada évoluent imperceptiblement de manière différente, et c’est très beau à voir.
    VLM
    VLM

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2023
    Un beau film japonais. Intelligence et finesse. J'ai aussi bien aimé le fond que la forme. Un vrai réalisateur.
    Jipéhel
    Jipéhel

    30 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2023
    Confusion des sentiments

    Pour moi, le japonais Kôji Fukada fait partie des tout grands réalisateurs de son pays. Depuis 2010 et Hospitalité, il nous a offert pas mal de perles comme Harmonium, Au revoir l’été, ou L’infirmière. Il a un talent particulier pour créer, sans en avoir l’air, des ambiances proches du malaise. Ces 124 minutes de drame solaire – oxymore garanti -, en sont un nouvel exemple. Taeko vit avec son époux Jiro et son fils Keita en face de chez ses beaux-parents. Tandis qu'elle découvre l’existence d'une ancienne fiancée de son mari, le père biologique de Keita refait surface. C'est le début d'un cruel jeu de chaises musicales, dont personne ne sortira indemne. Douceur et cruauté, mélodrame et lumière, s’entrecroisent en permanence dans un scénario étonnant porté par un casting en état de grâce.
    C’est toute la cruauté inhérente à la nature humaine qui s’exprime ici devant la caméra discrètement virtuose de Fukada. Mais c’est aussi un portrait de la famille modeste dans le Japon d’aujourd’hui. Contrairement au cinéma traditionnel, la distance entre les personnages est ici sur un axe vertical et non horizontal. C'est pour cela que le réalisateur a choisi un décor avec deux barres d'immeubles qui se font face, où il y a la possibilité de faire aller et venir les personnages, mais aussi un rapport de distance entre le 4ème étage de l'immeuble et la cour, ainsi qu’entre les deux logements qui se font face, l’un élevé et l'autre au premier étage. Tout cela peut paraître très subtil, voire insignifiant, mais une grande partie des rapports entre les personnages repose sur cette construction spatiale. Autre idée de génie, celle d'utiliser la langue des signes pour injecter une tension supplémentaire dans le triangle amoureux. Il illustre ainsi, à sa manière, une citation de Nietzsche qui lui est chère : Est-ce que le langage nous rapproche ou nous éloigne ? Je vous le dis, ce film est d’une profondeur rare, sous ses aspects presque quotidiens, et nous propose une pépite de sensibilité et d’intelligence.
    Fumino Kimura, remarquable de bout en bout, ainsi que Tomorowo Taguchi, Tetta Shimada, Kento Nagayama, nous font ressentir avec force l’impact émotionnel émanant de ce merveilleux film. Fukada est un grand qui sait dire beaucoup avec très peu. Sa caméra est d’une totale pudeur, même quand elle nous dévoile le tréfonds de l’âme humaine, et sait entretenir un malaise diffus face aux réactions parfois imprévisibles des personnages. Une mécanique d’ultra précision d’un maître de l’autopsie des fêlures de l’âme humaine. A voir absolument.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 620 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 septembre 2023
    Décidemment, il faut que j’arrête de visionner les films du japonais Koji Fukada. Celui-ci est le 9ème de ce jeune réalisateur encensé par la critique à chaque sortie et mon 5ème ; c’est à chaque fois une déception devant des films dont je ne comprends l’engouement car je ne comprends pas le message et la finalité.
    Dans cette chronique familiale dont le cinéma nippon raffole (et moi aussi bien souvent !!!) ; au tiers du film Fukada convoque le drame. Ce dernier est le fondement de son scénario sur la famille et les liens amoureux, mais que faire avec cela tout en gardant de la finesse ? Entre atonie et construction narrative pataude, on décroche dans la seconde partie jusqu’à un twist final incompréhensible qui devrait être signifiant par rapport au sujet abordé ; mais dont a bien du mal à trouver le sens. Les thèmes s’empilent (religion, culpabilité, famille, mort, amour, solitude, mensonge,…) ; certains nous touchent, un instant ; puis s’évaporent. C’est à l’image des plans dont on finit par retenir quelques belles idées et surtout 15 premières minutes nous faisant penser que l’on va passer 2 belles heures devant ce film ; mais on finira par être indifférent par ennui.
    Kijo Fukada, je boycotte, pas qu’il soit mauvais, mais son cinéma me semble de marbre.
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