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    Crazy Bear
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    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2023
    Malgré toute la sympathie que l'on peut avoir pour la comédienne Elizabeth Banks, on ne peut pas dire que sa volonté d'accéder à un statut de réalisatrice ait été suivie des mêmes louanges qui entourent souvent ses prestations devant la caméra. Entre ses premières armes effectuées au cinéma sur "Pitch Perfect 2" et surtout le naufrage "Charlie's Angels" version 2019, rien ne pouvait vraiment susciter une adhésion extrême à une possibilité de nouveau long-métrage de sa part.
    Mais, cette fois, grand bien lui en a pris, l'actrice a frappé fort avec ce qui est sans doute un des pitchs les plus barrés de ce début d'année 2023 : un ours au museau plein de cocaïne et croquant tout ce qui passe entre ses griffes dans le but d'en sniffer plus ! L'argument est redoutable, la bande-annonce a évidemment déclenché la curiosité hilare d'Internet et des pastiches à base de requin ou de crocodile rendus euphoriques par cette même poudre ont déjà été annoncés avant même la sortie de leur modèle... Bref, alors que le fait divers derrière cette histoire se résume à un simple ours mort d'avoir dévoré une brique de cocaïne égarée en forêt par un trafiquant notoire (sa dépouille empaillée est ensuite devenue une mascotte), "Crazy Bear" a réussi à marquer les esprits de sa grosse patte avant même de montrer de quoi il était capable, il restait donc à voir si le délire allait être à la hauteur...

    Et on ne peut dire que la première partie du film nous rassure vraiment en ce sens. La promesse de cet ours fou furieux en quête de coke a beau être remplie (il sera d'ailleurs le MVP incontestable de l'ensemble), Elizabeth Banks démontre aussi une volonté d'élever le niveau derrière la caméra par rapport à ses précédents travaux, cependant, quelque chose n'est définitivement pas aussi fou que prévu dans "Crazy Bear" et la faute en revient principalement à ses humains prêts à être réduits en bouillie par le prédateur junkie ! Le casting est pourtant riche et des plus sympathiques (avec une des dernières apparitions de Ray Liotta au cinéma) mais les personnages semblent tout bonnement lâcher dans le film sur un mode "Regardez comme ils sont tous décalés, ils sont forcément drôles !!" sans autre grand effort d'écriture et surtout sans que la mayonnaise comique prenne réellement entre eux et un spectateur qui les regarde déambuler chacun de leur côté à coups d'extravagances ou de bons mots peinant à arracher un sourire. Et, s'il n'y avait pas cet ours toxicomane pour cavaler après tous ces humains aux contours pathétiques artificiellement gonflés comme dans tant d'autres films voulant vainement titiller notre zygomatiques, autant dire que "Crazy Bear" ne vaudrait pas un grand pot de miel.

    Heureusement, en parallèle d'attaques ursines de plus en plus brutales (et souvent réussies visuellement, que cela soit en termes de FX ou de violence), notamment une virée en ambulance très mouvementée, "Crazy Bear" élague de fait plusieurs de ses parasi... protagonistes secondaires et trouve enfin un équilibre plus habile entre le survival animalier en pleine forêt et la pure comédie en se resserrant sur un groupe de survivants bien plus drôles, et même un poil plus intéressants sur la durée, en termes d'interactions face à une bête qui trouve le moyen de nous surprendre en permanence par son comportement absurde. Et, on mettra au crédit de la réalisation d'Elizabeth Banks le très chouette dernier acte du film, arrivant à tutoyer avec tendresse le premier degré des films 80's de son contexte, où une forme d'innocence parvient à répondre à la violence la plus bestiale, pour une confrontation finale jouissive, dotée d'un vrai sens du spectacle à la croisée des genres.

    Pas la claque délirante espérée à cause de sa première partie étonnamment poussive, "Crazy Bear" a le mérite de vraiment monter en gamme en même temps que les doses de cocaïne aspirée par la truffe de son ours et parvient à délivrer un bon shot de fun, et même un peu plus, dans ses derniers virages. Pas sûr qu'Elizabeth Banks nous aurait cru si on lui avait dit un jour que sa meilleure réalisation concernerait un ours complètement défoncé...
    FaRem
    FaRem

    8 792 abonnés 9 636 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2023
    Si vous avez peur d'un simple ours, attendez simplement de voir ce dont est capable un ours sous l'emprise de la cocaïne. Nous sommes dans la réserve de Chattahoochee en Géorgie où un ours trouve des kilos de cocaïne tombés du ciel à la suite d'une livraison qui a mal tourné. L'histoire vraie derrière ce film est moins drôle, car l'ours est mort d'une overdose. Dans le film, le scénariste Jimmy Warden s'imagine ce qui aurait pu se passer si cette grosse bête s'était lancée dans une folie meurtrière. Réalisé par Elizabeth Banks, "Cocaine Bear" est pour moi découpé en trois parties avec tout d'abord une prometteuse, mais timide mise en place, avant trente bonnes minutes d'une folie communicative avec des scènes très amusantes et absurdes qui mènent probablement au point culminant du film à savoir cette folle course poursuite avec l'ambulance, avant une dernière partie plus axée survival qui est pour le coup très basique. Inégal donc, mais une comédie sanglante et déjantée qui fait passer un agréable moment sans prise de tête.
    Lyah
    Lyah

    385 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2023
    Une série B à l'humour noir qui s'assume et avec une bonne dose de gore. L'ours n'est pas super bien fait visuellement, mais dans l'ensemble ça se laisse regarder du moment que l'on rentre dans ce genre de délire. Un film plutôt pas mal, mais qui ne marquera pas l'histoire du cinéma.
    lmc-3
    lmc-3

    275 abonnés 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2023
    Plié de rire du début jusqu'à la fin.

    Film que j'attendais le plus de ce début d'année, Cocaine Bear c'est ce genre de films où soit tu es très bon client, soit pas du tout.
    M'attendant à une comédie horrifique, le film est peut-être un peu trop sage.
    Ca fonctionne, beaucoup de réactions dans la salle, un 'feel good movie' déjanté avec une bonne dose d'humour noir et de scènes bien gores sur-actées.
    Se perd parfois dans ses ramifications, mais les personnages ont la qualité d'être charismatiques.

    Si le synopsis/la bande annonce vous attire, c'est que l'expérience est faite pour vous.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2023
    Ainsi, même si c’est globalement attachant, et que trois scènes totalement décérébrées surnagent par rapport au reste, Crazy Bear est paradoxalement trop sage et trop bavard pour totalement convaincre. Dommage, parce que le postulat de départ proposait un concept des plus délirants…

    https://www.justfocus.fr/cinema/crazy-bear-une-proposition-attachante-mais-beaucoup-trop-sage.html
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2023
    Il y a certains pitchs de films qui nous font nous demander si leurs auteurs n’avaient pas pris des stupéfiants avant de les pondre (et ce serait de rigueur ici!) et comment ils ont pu réussir à voir le jour tellement ils sont saugrenus et azimutés sur le papier. Pourtant, on ne parle pas ici d’un film de la famille Cronenberg ou même d’un film de science-fiction. Jugez plutôt par vous-même : dans les années 80, un ours va par accident absorber des kilos de cocaïne lâchés par un trafiquant dans les airs alors que son avion s’est écrasé. Ce qui va amener l’animal sauvage à devenir particulièrement violent, agressif et fou et ainsi terroriser les différents visiteurs du parc national où il se trouve. Vous avez dit perché ? Sauf que, et tenez-vous bien, cette histoire s’inspire d’un fait divers ayant vraiment eu lieu. Oui vous avez bien lu. Alors vous pouviez peut-être trouver les requins génétiquement modifiés de « Peur bleue », le crocodile géant ami d’une vieille dame dans « Lake Placid » ou les reptiles dans les airs de « Des serpents dans l’avion » quelque peu décalés, grotesques ou improbables, on a trouvé pire ou tout du moins tout aussi énorme mais c’est ici inspiré d’événements réels. Alors bien sûr, seul le point de départ l’est, surtout quand on voit la direction (salutaire) prise par le « Cocaïne Bear » de verser dans la comédie gore et presque absurde.

    Avec un postulat pareil, faire un film sérieux de terreur animale comme le récent « Beast » et son lion enragé aurait été quelque peu risqué. L’actrice Elizabeth Banks, qui commence décidément apprécier à se retrouver derrière la caméra (on lui doit le remake sympa de « Charlie’s Angels »), fait le choix de la gaudriole et de la série B qui tire même parfois vers le Z. Mais c’est totalement assumé donc on ne lui reprochera pas ses envolées tirant vers le bis qui sont d’ailleurs peut-être parfois les meilleurs moments du long-métrage. On pense notamment à la scène déjà culte et qui, à elle seule, pourrait justifier la vision de « Cocaïne Bear » : celle de l’ambulance. Scénaristes, réalisatrice et acteurs y osent tout dans un délire d’action, de gore et de rires parfaitement orchestrés. Le moment le plus jubilatoire du film, sans conteste, et la palme du second degré foufou le mieux digéré depuis des lustres avec une Margot Martindale impayable en garde forestière qui ne sait pas viser. Un grand moment parodique et débile parfaitement négocié et dont on rit encore après la projection.

    Après il faut avouer que le film est loin d’être de cet acabit sur toute l’heure et demie qu’il dure. Les moments gores sont plutôt nombreux mais on aurait aimé que cela aille encore plus loin. Pareillement, les séquences réellement drôles sont présentes, on en compte trois ou quatre qui font vraiment marrer, mais on aurait aimé en avoir plus. Comme si Banks se retenait la plupart du temps au lieu de lâcher totalement la bride, comme dans un « Kick-Ass » par exemple. Entre ces scènes les plus stimulantes, le reste s’apparente à du remplissage, entre comique décalé qui fonctionne à moitié et histoires personnelles de personnages la plupart inintéressants et ressemblant à des vignettes. Et il faut avouer que Banks filme son histoire sans grande inspiration visuelle hormis la scène précitée et quelques plans par-ci par-là. C’est sympa et fun pour un samedi soir sans se prendre la tête mais il aurait fallu aller au bout du délire pour obtenir un film complètement culte. A noter cependant, l’excellence des effets spéciaux concernant l’ours, très impressionnants.

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    2985
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    260 abonnés 1 051 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2023
    Ca lassait laissait présager quelques choses d'un peu plus décalé. Long a se mettre en place, une réalisation fleurant l'amateurisme et des dialogues d'une stupidité sans nom transforme le delire annoncé en navet inconsistant, ne savant pas comment tirer profit d'un postulat pourtant simple. Rajouté à çela des effets visuels pas toujours réussis et l'on se retrouve face au téléfilm de deuxième partie de soirée sur Nrj12. Ray Liotta méritait sûrement mieux comme hommage.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mars 2023
    Cocaine Bear offre à l’industrie hollywoodienne une déclinaison supplémentaire du grand n’importe quoi régressif, d’autant plus lucrative qu’elle s’exporte avec succès dans le monde entier. Soit l’histoire d’une importante cargaison de drogue qui disparaît dans les airs avant de retomber dans une forêt ; sa rencontre avec un ours noir rend ce dernier addicte et agressif à l’encontre des randonneurs, mafieux et forces de l’ordre qui croisent son chemin. La réalisatrice fonce tête baissée dans la bêtise prétendument cool à grand renfort de chansons rétro, de musique rock et électro (signée Mark Mothersbaugh, habitué des films de Phil Lord et Christopher Miller ici producteurs) et de violence gore, cahier-décharge du divertissement contemporain.
    Ce qui surprend est l’absence d’enjeux narratifs et symboliques : la multiplication initiale des trajectoires individuelles vise à la convergence d’acteurs en direction de l’ours tueur, sans que ce carrefour n’occasionne une quelconque folie visuelle ou scénique ; en lieu et place, un pénible saut de puces entre des partis qui peinent à interagir ensemble. Nous sommes loin de la satire proposée par les excellents The Dead Don’t Die (Jim Jarmusch, 2019) et Mars Attacks ! (Tim Burton, 1996), dont nous entendons quelques secondes de la chanson. L’idée saugrenue d’un animal accro n’évolue jamais, cultivée encore et encore par un long métrage creux qui se plaît à composer des images susceptibles de paraître immorales mais incapables d’incarner un quelconque malaise – en témoignent ces enfants qui consomment de la cocaïne à la petite cuiller ! Dit autrement, le film est aussi inoffensif que son animal de synthèse, aux effets numériques inégaux.
    Voilà donc une pochade peu drôle et dépourvue de cinéma qui, compte tenu du raz-de-marée populaire et académique produit par le médiocre Everything Everywhere All at Once (Dan Kwan et Daniel Scheinert), se donne comme favori des prochains Oscars, toutes catégories confondues !
    James Ford
    James Ford

    211 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2023
    Cocaine Bear est un nanar/téléfilm de luxe.
    Le côté nanar a bien marché sur moi, notamment la 1er partie. Avec des perso assez barré et qui joue tous le jeu. La dernière partie en revanche a des gros soucis (trop sérieux, longs ... Alors qu'il dure que 1h35 hein).

    C'est la partie "téléfilm" pour moi. Qu'on voie a la tv l'après-midi. Avec la maman et sa fille qui n'écoute pas. Un mafieux qui débarque (Rip Ray Liotta).
    Le concept ne tient plus, vu qu'il s'en détourne. Et c'est un petit gâchis.
    Le Casting reste bon (notamment Alden Ehrenreich, Margo Martindale ou Jesse Tyler Ferguson). Amusant mais lassant.

    ps : LA scène avec l'ambulance, et extra. La réalisatrice aurait dû tabler quelque chose dans ce gout-là tout au long du métrage.
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    145 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2023
    Une histoire originale mais peu crédible, mais qui reste efficace pour son ambiance avec pas mal de rebondissements. Le rythme est bon ainsi que les effets spéciaux. Les personnages par contre sont creux! Et le jeu d'acteur est assez moyen. Elizabeth Banks démarre avec quelques qualités concernant la mise en scène, mais de gros défaut sur le reste… Violent et drôle, deux catégories que je n'aime pas quand elle fonctionne ensemble de règles générales, mais dans ce film ça fonctionne plutôt bien, et ne m'a pas spécialement gêné.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 351 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mars 2023
    Géorgie, en 1985, un avion se crash avec à son bord, une cargaison de cocaïne. Flics & voyous se retrouvent tous en pleine forêt pour la même raison, sans savoir qu’un ours a ingéré une importante partie du chargement et qu’il compte bien sniffer le reste de la marchandise…

    On fera abstraction du titre français totalement ɔon en comparaison à son titre d’origine qui se suffisait à lui seul ("Cocaine Bear"), à ce niveau de connerie, autant traduire le titre comme l’ont fait nos cousins québécois ("Ours sous cocaïne"). Cette comédie noire signée Elizabeth Banks est basée (et encore, c’est bien un grand mot) sur un fait divers réel, à savoir qu’un ours brun s’est gavé de cocaïne après qu’un trafiquant se soit débarrassé d’une partie de sa cargaison. Le plantigrade est mort d’overdose (on y trouvera près de 15kg de poudre blanche ou du moins, ce qu’il en reste, dans son estomac). Voilà sur quoi s’est basé sur le scénariste pour écrire son histoire joyeusement foutraque.

    En effet, si le pitch de départ peut prêter à sourire, tout le reste ne sera qu’un pétard mouillé. Cette histoire d’ours cocaïnomane n’est qu’un prétexte pour mettre en boite une comédie horrifique où le rire se fait attendre. Le trop grand nombre de protagonistes pour le peu qu’il y a à raconter (un couple de randonneur, des trafiquants, des enfants qui font l’école buissonnière, les caïds du coin, des flics et un ranger, …) n’aide en rien la structure même de l’histoire et son déroulement. D’ailleurs, l’ours passe clairement en second plan au profit d’une bande de bras cassé et des trafiquants. Les répliques font peine à voir et les séquences sont tellement prévisibles qu’elles rendent l'ensemble ennuyant et horriblement long.

    La réalisatrice se démène pour tenter de faire rire avec son jeu de massacre mais même les rares scènes gores s’avèrent ridicules et dénuées de la moindre conviction. A défaut de frissonner, si vous vous attendiez à rire, là aussi c’est peine perdue, spoiler: les gamins qui sèchent l’école et qui s’empiffrent de cocaïne
    ne parviennent même pas à nous faire esquisser ne serait-ce qu’un rictus, quant à l’ours drogué, son rendu en CGI donne l’impression d’être devant une prod’ Asylum et décrédibilise toute tentative de le rendre crédible. En dehors de la séquence avec l’ambulance, aucune autre scène ne viendra retenir notre attention, c’est clairement le néant.

    Crazy Bear (2023) est l’exemple même du film qui surf sur son "high-concept" sans avoir le talent, jouant à fond la carte décomplexée et supposément cool alors qu’il ne fera que se vautrer dans sa propre stupidité. Voir Ray Liotta (décédé en mai 2022) dans l’un de ses derniers films fait plus de mal qu’autre chose, il aurait mérité mieux.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    defleppard
    defleppard

    389 abonnés 3 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Crazy Bear. Inspiré vaguement d'une histoire vraie, ce film donne lieu à un scénario complètement déjanté du début à la fin réussi. Trois étoiles et demie.
    nokidoki
    nokidoki

    81 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2023
    Film Gore ou Comédie burlesque ? ou bien les deux ?
    L'essentiel est que l'on passe un moment agréable de pure folie, folie qui va dans tous les sens. On reconnaît la pâte de Elizabeth Banks, elle a su y mettre toute sa folie dans ce film.
    Moi qui n'aime pas les films gores, j'ai bien aimé celui-là. J'ai même beaucoup rit, et pourtant je ne suis pas un sado-maso.
    Le film est tellement drôle qu'on n'est pas choqué par les scènes sanglantes. Ca passe crème, comme dirait l'autre.
    toinou
    toinou

    47 abonnés 706 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2023
    Un film qui n'a pas la prétention d'être un chef d'œuvre et qui ne prend pas le spectateur pour un débile. Effectivement, c'est basé sur une histoire vraie, sauf que l'ours est mort après avoir ingéré la cocaïne, et le concept est vraiment excellent. Le film met peut être un peu de temps a mettre en place l'histoire et les personnages mais ils sont tous plutôt attachants L'ours est pas forcément très bien fait mais il est acceptable. On a ici du gore, de la violence et du sang, et tout ça tourne au sens de l'humour, parce que oui le film est très drôle, notamment dans les scènes d'action ou l'ours tue tout le monde. L'acting n'est pas forcément très mauvais pour la plupart et la présence de Ray Liotta est sympa. Une Bo excellente, une réalisation plutôt simple mais de bonne idée de mise en scène, et un scénario bien écrit, bref un délire complètement assumé et vraiment cool. Tout est tout le temps éclairé et la photographie n’est pas incroyable.
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Crazy Barbant. Elizabeth Banks, après son remake de Charlie's Angel pas franchement réjouissant, remet le couvert avec un film qui aimerait bien être le délire de l'année, mais qui n'y arrive jamais. Si Elizabeth Banks nous enfume bien au départ (avec son scénario déjanté), on n'a aucun effet secondaire (à part la somnolence). Visiblement, la dame n'a toujours pas trouvé de rythme de croisière dans ses films d'action, recommençant à nous pondre un film bavard, dont les scènes d'attaque nous réveillent presque en sursaut, et dont le spectacle promis n'est jamais au rendez-vous. L'ours est laid, c'est un fait. Les effets spéciaux numériques ne nous font jamais y croire, on se rappelle même du chien dans L'Appel de la Forêt (2020) et on se demande jusqu'à quel point il n'aurait pas été bon de jouer franchement la carte de la parodie humoristique assumée, avec un ours en animatronique laid, mais volontairement laid, brillamment laid, même. Ou bien fait, sinon, c'est une option. Les attaques gores sont en revanche bien là, étant les seuls moments où l'on ouvre une paupière, la renfermant ensuite devant des groupes de personnages trop nombreux (qui expliquent tous leur raison d'être là, d'où le blabla infernal), un Ray Liotta qui nous brise le cœur en pensant que ce navet est son dernier rôle, un Mitch de Modern Family (Jesse Tyler Ferguson) qui nous fait regretter sa composition dans la (drôlatique) série comique, des incohérences (les gamins sniffent mais ne sont pas stones, la flic tire les yeux fermés juste pour le besoin d'un gag...), des personnages qui ne sont jamais attachants (on se fiche de leur sort), des ralentis fatigants, une BO qui nous drague ouvertement (playlist de tubes "cools" - et un peu rétro, pour les quadra du fond de la salle - balancés à fond à la moindre scène qui manque de fun...), et une fin qui n'est pas le feu d'artifice attendu. Crazy Bear est un beau ratage, qui nous donne envie de foncer voir des nanars flamboyants, des vrais moments de fun et d'énergie folle, car ici on s'endort aussi vite que l'ours ultra-mal fait, dès que la coke retombe.
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