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fandecaoch
1 052 abonnés
2 232 critiques
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4,0
Publiée le 3 septembre 2015
Cœur perdu en Atlantide : C’est ce genre de film ou on en perd pas une miette car c’est comme si on nous conté le film, et comme si on l’écouté avec la plus grande attention. Car en plus, c’est basé sur un œuvre de Stephen King donc c’est une plus valu et ça ce voit que ça vient de lieux. Car, il y a ce coté mystérieux, fantastique dans le scénario, et le film parle d’un enfant qui passe mentalement à l’âge adulte, Stephen King aimée beaucoup parler de cette période de la vie. Bon après, je sens quand même dans ce film une richesse des personnages et du scénario mais je sens aussi que il manque de détail et j’en suis sur que je l’ai trouverai dans le livre que je vais lire bientôt car c’est dur de faire une parfaite adaptation, surtout avec un film 1H30. Mais sinon, l’histoire est envoutante, surtout grâce aux personnages qui son de suite attachants ou pas, car il y a toujours du relief. Puisque c’est un petit garçon qui est oublier par sa mère a cause de son travail pas très catholique et il va prendre d’amitié avec un nouveau locataire, un vieux monsieur qui va lui ouvrir les yeux mais il y a du mystère dans cette homme qui est rechercher par des hommes en noirs. Donc voila, une histoire remplit d’amitié, d’amour avec une pointe de fantastique appréciable. Et que dire des acteurs qui sont justes impeccables, que ce soit les enfants ou Anthony Hopkins qui est d’une justesse et d’un charisme qui fait de lui un vrai acteur. Et pour finir, la réalisation est classique, bien cadré et soignée, tous ce que j’aime. Donc voila, un film qui ma bien plus.
Dans cette comédie dramatique réalisée par Scott Hicks, pas d’effets spéciaux ni d’actions spectaculaires ; tout se passe en douceur et en suggestion dans ce scénario adapté du roman de Stephen King. Une histoire contant le très grand bonheur de l’enfance, un monde magique comme l’était l’Atlantide. Une excellente prestation d’acteur d’Anthony Hopkins pour ce rôle sur mesure de Ted Brautigan. Les enfants sont également superbement joués par Anton Yelchin (Bobby) et Mika Boorem (Carol). La BOF nous délivre de superbes incrustations musicales des années 60 : Le king Elvis, Sinatra, Chuck Berry… « Cœurs perdus en Atlantide » est une des bonnes adaptations d’histoires écrites par Stephen King : avec La Ligne verte (5*), Dolores Claiborne (4.5*), Ça (4*), Misery (4*), Les Langoliers (4*), La Tempête Du Siècle (4*), Shining (3.5*), Les Tommyknockers (3.5*), La peau sur les Os (3*), Stand By Me (3*) … Le pitch : Ambiance trouble chez le petit Bobby : Mr Ted Brautigan, le nouveau colocataire de la maison, lui confie un job : surveiller le quartier. Ted est un homme étrange spoiler: qui devine ou plutôt ressent les choses .
Très beau film de Scott Hicks, adapté d’une nouvelle du recueil du même nom, écrit par Stephen King. Dans le film, le photographe Bobby Garfield apprend la mort de son ami Sully, il se remémore de sa jeunesse durant l’été 1960 lorsqu’il avait 11 ans, de son amour de jeunesse Carol Gerber et de sa rencontre avec Ted Brautigan, un vieil homme mystérieux qui se dit pourchassé par des « hommes de l’ombre ». Je n’ai pas (encore) lu ce recueil de nouvelles, mais je sais que l’œuvre de Stephen King est beaucoup plus fantastique, alors que le film reste assez ambigu notamment en ce qui concerne le pouvoir de Ted Brautigan qu’on peut attribué comme étant de l’instinct. Ainsi le film est plus vu comme une aventure humaine que fantastique, où Bobby va beaucoup apprendre de Ted le considérant comme un ami voire comme une figure paternelle. Le réalisateur a pris quelque liberté dans ce film en changeant certains détails de l’œuvre original (par exemple, dans le film le personnage de Carol meurt au cours de sa vie, alors que dans la nouvelle elle vit toujours). Mais cela n’altère en rien la beauté de l’œuvre mais au contraire la rend plus intense et donne davantage de sens au message de ce film, où il faut consacrer de l’importance à chaque minutes de sa vie, et où l’enfance reste une étape importante de la vie. Le film s’intéresse au thème de l’enfance, de l’innocence qui est comparé à une sorte d’Atlantide: un paradis sur Terre vécu pendant l’enfance mais qui s’écroule à l’âge adulte, synonyme de cœur brisé. Les acteurs sont excellent, Anthony Hopkins exprime toujours un véritable talent d’acteur. J’ai passé un bon moment en visionnant ce film, où j’ai ressentie beaucoup d’émotions et d’intérets.
Une excellente surprise qui rappelle les grands films émotions qu'ont vus naître les années 90. Adapté d'une histoire de Stephen King, "Cœurs perdus en Atlantide" fait parti de ces rares longs-métrages qui parviennent à nous faire revivre cette période unique de notre vie : L'enfance. C'est donc avec étonnement et beaucoup de plaisir que l'on retrouve Anthony Hopkins dans un rôle qu'on ne lui connaissait pas. Jouant sur son calme habituel, l'interprète du Dr. Hannibal Lecter se montre attachant et remarquable dans la relation qu'il noue avec un petit garçon nommé Bobby et campé par Anton Yelchin. Narrateur du récit, le jeune acteur, âgé 13 ans à l'époque, réussit merveilleusement bien à attendrir et immerger le spectateur dans son univers. Accompagné d'une jeune actrice malheureusement perdue de vue aujourd'hui en la personne de Mika Boorem, le jeune garçon nous enchante dans ce qui se révèle être l'une des meilleures complicité d'enfants vu au cinéma depuis des années. N'évitant pas les clichés mais parvenant à les utiliser à bon escient, Scott Hicks joue habilement de son art pour y joindre une bande originale qui laisse parler l'imagination du spectateur. En résumé, "Cœurs perdus en Atlantide" donne une leçon de cinéma à toute les productions spielbergiennes actuelles qui ratent bien trop souvent le travail des jeunes personnages. Conservant un aspect fantastique caché ainsi qu'une touche de sérieux nécessaire à l'équilibre des évènements, ce drame tout public vous ramène des années en arrière où tout vous semblait possible.
Coeurs perdus en Atlantide n'est pas le plus connu des films joués par Anthony Hopkins. Pourtant ce film tiré d'un roman de Stephen King m'a laissé une impression durable, au point que je l'ai revu récemment 10 ans après la première fois et je continue de penser qu'il comptera toujours parmi mes films favoris. Ce film raconte l'histoire de bobby Garfield, un jeune garçon droit et intelligent qui souffre de l'absence d'un père et de l'égoïsme de sa mère qui passe son temps au travail et dans les futilités plutôt que de s'occuper de son fils. Elle dépense tout son argent pour elle et n'a même pas l'idée d'offrir un cadeau digne de ce nom à son enfant pour son anniversaire. Bobby devient rapidement une victime de cette société égoïste et cruelle. Heureusement il se réfugie dans son jardin secret avec ses deux amis dont Carol qui a pour lui un amour sincère. Survient un vieil homme, Ted qui emménage dans l'appartement voisin de Bobby. Très rapidement Bobby et Ted se lient d'une amitié profonde et complice. Ces deux êtres profonds essaient vainement de fuir la réalité d'un monde qui ne leur ressemble pas. Ted est un être mystérieux qui possède des dons surnaturels, raison pour laquelle il se cache car des organisations le recherchent pour pouvoir exploiter ses dons à des fins inhumaines. Ces organisations sont dirigées par des hommes sombres dans des voitures sombres. On ne les voit pas clairement, telles des ombres, mais qui pourtant semblent peupler la terre et la diriger... Ted ne fait qu'un bref passage dans la vie de Bobby car son destin semble inéluctable mais il apporte à Bobby l'essentiel qui lui manquait, l'amour désintéressé d'un grand père ou même d'un père. Il lui transmet ses dons, sa force intérieure qui permettront à Bobby de devenir un homme et de savoir se défendre contre l'adversité. Peut être même, ce qui est magnifique, on peut lire dans le dernier sourire de Ted alors qu'il est emmené, un espoir qui va au delà de cette réalité terrestre. La rencontre de Ted marquera Bobby à jamais et le passage plein de nostalgie ou une fois adulte Bobby revient sur son passé est empreint d'une rare émotion. Je dois dire qu'au delà de cette histoire étrange, ce film m'a impressionné par le message d'amour et d'espérance qu'il transporte pour des êtres en détresse, par ces magnifiques images pleines de nostalgie et avant tout par la prestation unique d'un géant du cinéma en la personne d'Anthony Hopkins. Certains auteurs pensent qu'il est nécessaire de faire des héros capables de traverser le grand nord dans la faim, le froid et à moitié déchiquetés par un grizzli pour assouvir leur vengeance. D'autres auteurs pensent que leurs héros seront capables de donner de leur personne à des êtres en souffrance, voire de se sacrifier pour imprimer de façon indélébile, un sillage d'amour dans cette humanité dans l'errance. Les premiers font du business mais les seconds donnent vraiment au cinéma la place qui lui revient.
Aux coeurs des mystères qui sort des frontières. N'ayant pas lu la nouvelle de King, cette adaptation m'a bien secouer quand même. Anthony Hopkins avec personnage sacrément intriguant et attachant, dès son apparition je suis subjuguer d'intrigue et dans la hâte de savoir ou l'histoire nous embarque. Cette homme est pourchasse par des hommes de l'ombre dans une voiture noire, il va rencontrer un jeune garçon et les liens se nouent. A voir pour le voyage de la perception du monde, Coeurs perdus en Atlantide tient aussi par des scènes assez fortes avec un peu ce coté léger si je puis dire à la Malick.
Je n'ai pas lu le livre (d'après les critiques "une étoile", les lecteurs ont été déçu) et je parlerai donc objectivement simplement sur le film. J'ai beaucoup apprécié le rôle d'Anthony Hopkins, comme toujours, avec son excellent charisme, et aussi la sincérité avec laquelle jouent les enfants.Le scénario est assez recherché, l'ambiance et le suspens nous tenant en haleine. Ces "hommes aux chapeaux gris" dont ont doute de l'existence presque jusqu'à la fin retournent la situation. Ce film m'a beaucoup ému, raconte de belles histoire sur la vie... En trois mot, allez le voir. Cela vaut le coup d'un détour.
Bon film sur la première partie du roman de Stephen King. Anthony Hopkins est génial et le film, même lent, est intense. Malgré tout, il ne laisse pas un profond souvenir et certaines scènes ont été modifiées du livre au film. Bien tout de même.
Quelle histoire triste...On y voit jouer Anthony Hopkins jouer avec des enfants, mais pas DU TOUT au sens enfantin du verbe "jouer". Ils tournent plutôt un drame qui puise directement dans les affres de l'enfance, bien que ce qu'on voit de cette enfance dans le film est au final assez positif. Il y a un côté fantastique dont la révélation progressive est plutôt bien gérée et les enfants jouent bien...mais Dieu que c'est triste !
Vu il y a quelques mois, ce film m'avait fait une jolie impression, mélange de belles images et faisant passer également une certaine émotion, notamment à travers le personnage d'Anthony Hopkins. Toutefois, l'ensemble m'avait tout de même paru un peu figé, laissant parfois le spectateur sur sa fin, et même laissant place de temps en temps. Néanmoins, c'est un film tout à fait honorable, d'autant plus que c'est tout de même une adaptation du grand Stephen King. Agréable.
Ce film est purement et simplement "beau". Scott Hicks dépend d'après une nouvelle de Stephen King la perte de l'innocence, l'amour paternel retrouvé et l'amitié. Un chef d’œuvre qui nous rappelle "Stand By Me". A ne pas louper. Magistral.
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2,5
Publiée le 18 février 2016
« Nous sommes tous prisonnier du temps, des otages pour l'èternitè ! » Une adaptation honorable de l'univers de Stephen King avec Anthony Hopkins en tête d'affiche! Deux bonnes raisons pour cette production qui pourrait s'appeler « Retour vers le passè » . Après "Misery" et "The Green Mile", deux romans qui ont bien marchès, il ètait impossible que les producteurs ne s'emparent pas de "Hearts in Atlantis", rècit publiè par King en 1999! L'histoire raconte l'amitiè d'un jeune garçon pour un mystèrieux ètranger qui va changer sa façon de voir le monde et donc le cours de sa vie!spoiler: Le film commence lorsque le hèros revient sur les lieux de sa jeunesse pour assister aux funèrailles d'un ami d'enfance! Les souvenirs de son adolescence remontent alors à la surface, et Bobby se souvient du rôle que Ted a jouè en lui ouvrant les portes d'un nouvel avenir! C'est le rèalisateur de "Shine", Scott Hicks, qui est derrière la camèra! Le rôle de Ted est interprètè par Hopkins tandis que David Morse joue Bobby! L'autre personnage clef de ce drame intimiste est celui de la mère, interprètèe par Hope Davis! Mais ce sont les jeunes Anton Yelchin et Mika Boorem qui se taillent la part du lion avec une belle scène entre les deux acteurs en herbe, celui du premier baiser en haut d'une grande roue! spoiler: La fin du film est en revanche tirè par les cheveux où Bobby adulte rencontre (un peu par hasard) la fille de Carol qui passait par là! A noter l'excellente B.O avec des tubes d'antan (« Sleepwalk » - Santo & Johnny ; « Smoke Gets In Your Eyes » - The Platters...).