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Votre avis sur Phone Game ?
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Classique du début des années 2000, Phone Game est un thriller en quasi huis clos. S'appuyant sur un concept original, le film parvient à y rester fidèle tout du long sans incohérence (mais avec quelques facilités d'écriture). Le personnage principal (insupportable) est archétypal et sa trajectoire un peu simpliste. Mais on se laisse prendre par l'intrigue et le film se regarde sans déplaisir.
L un des pires films qu'il m ait été donné de voir... toute la grossierté et la morale puritaine dégueulasse de Schumacher réunie en moins de 90 min chrono.
Quand on pense que le film entier se passe dans une cabine téléphonique, il fallait vraiment osé, le scénario est excellent on ne s'ennuie a aucun moment.
Colin Farrell a été parfait pour ce rôle , se fut un très bon film.
Colin Farrell a été parfait pour ce rôle , se fut un très bon film.
Un concept simple, et une ligne directrice efficace ! 1h20 de suspens réussi avec un beau casting ! Avec ces bonnes idée de mises en scènes, et un scénario solide, Joel Schumacher nous tient en haleine ! Concept génial !
Un Thriller Haletant
"Phone Game", réalisé par Joel Schumacher, est un thriller compact qui capture l'essence de l'angoisse en un seul lieu : une cabine téléphonique à New York. Colin Farrell incarne Stuart Shepard, un attaché de presse au cœur de ce piège oppressant, dont la performance intense maintient le spectateur en haleine. Le scénario, écrit par Larry Cohen, est ingénieux par sa simplicité, plaçant Stuart face à un mystérieux sniper, joué vocalement par Kiefer Sutherland. Ce dernier orchestre un jeu de chat et de souris pervers, où chaque seconde écoulée pourrait être la dernière pour Stuart.
Les Points Forts
La réalisation de Schumacher, bien que classique, utilise efficacement l'espace restreint pour amplifier la tension. Le spectateur est plongé dans cette cabine, ressentant l'étouffement et la panique de Stuart. La caméra de Matthew Libatique, avec ses angles dynamiques et ses prises de vue rapprochées, renforce ce sentiment d'urgence et d'isolation. Le montage serré de Mark Stevens maintient un rythme frénétique, tandis que la musique de Harry Gregson-Williams ajoute une couche supplémentaire de suspense.
Des Performances Mémorables
Colin Farrell, avec son charisme brut, porte le film sur ses épaules. Sa transformation, d'un attaché de presse arrogant à un homme désespéré, est captivante. Kiefer Sutherland, bien que principalement une voix, impose une présence menaçante qui plane sur tout le film. Forest Whitaker, dans le rôle du capitaine Ed Ramey, ajoute une profondeur émotionnelle, humanisant les forces de l'ordre souvent perçues comme antagonistes.
Les Limites du Concept
Cependant, le film n'est pas sans défauts. Le concept, bien que novateur, finit par montrer ses limites. La tension initiale tend à s’essouffler vers le milieu du film, et certaines scènes semblent répétitives. Le scénario, malgré sa force, aurait bénéficié de quelques diversions supplémentaires pour éviter la monotonie. La fin, bien qu'efficace, laisse une impression mitigée, manquant de l'impact que le film avait soigneusement construit.
Une Production Efficace mais Limité
La production de "Phone Game" est remarquable par sa rapidité. Tourné en seulement douze jours, le film parvient à capturer l'énergie brute et l'immédiateté d'une situation en temps réel. Les choix de localisation, bien que se déroulant à Los Angeles pour représenter Manhattan, sont crédibles. Les contraintes de production, comme l'utilisation de French hours et le tournage chronologique, ont permis de conserver une continuité et une authenticité rarement vues dans des productions de cette envergure.
Conclusion
"Phone Game" est un thriller efficace qui excelle dans sa capacité à maintenir le suspense dans un cadre minimaliste. Bien qu'il présente quelques faiblesses structurelles, la performance de Colin Farrell et la direction sûre de Joel Schumacher en font une expérience mémorable. C’est un film qui, sans révolutionner le genre, parvient à captiver par son intensité et son originalité. "Phone Game" mérite d'être vu, ne serait-ce que pour apprécier la tension palpable qui émane de cette cabine téléphonique, véritable personnage à part entière du récit.
"Phone Game", réalisé par Joel Schumacher, est un thriller compact qui capture l'essence de l'angoisse en un seul lieu : une cabine téléphonique à New York. Colin Farrell incarne Stuart Shepard, un attaché de presse au cœur de ce piège oppressant, dont la performance intense maintient le spectateur en haleine. Le scénario, écrit par Larry Cohen, est ingénieux par sa simplicité, plaçant Stuart face à un mystérieux sniper, joué vocalement par Kiefer Sutherland. Ce dernier orchestre un jeu de chat et de souris pervers, où chaque seconde écoulée pourrait être la dernière pour Stuart.
Les Points Forts
La réalisation de Schumacher, bien que classique, utilise efficacement l'espace restreint pour amplifier la tension. Le spectateur est plongé dans cette cabine, ressentant l'étouffement et la panique de Stuart. La caméra de Matthew Libatique, avec ses angles dynamiques et ses prises de vue rapprochées, renforce ce sentiment d'urgence et d'isolation. Le montage serré de Mark Stevens maintient un rythme frénétique, tandis que la musique de Harry Gregson-Williams ajoute une couche supplémentaire de suspense.
Des Performances Mémorables
Colin Farrell, avec son charisme brut, porte le film sur ses épaules. Sa transformation, d'un attaché de presse arrogant à un homme désespéré, est captivante. Kiefer Sutherland, bien que principalement une voix, impose une présence menaçante qui plane sur tout le film. Forest Whitaker, dans le rôle du capitaine Ed Ramey, ajoute une profondeur émotionnelle, humanisant les forces de l'ordre souvent perçues comme antagonistes.
Les Limites du Concept
Cependant, le film n'est pas sans défauts. Le concept, bien que novateur, finit par montrer ses limites. La tension initiale tend à s’essouffler vers le milieu du film, et certaines scènes semblent répétitives. Le scénario, malgré sa force, aurait bénéficié de quelques diversions supplémentaires pour éviter la monotonie. La fin, bien qu'efficace, laisse une impression mitigée, manquant de l'impact que le film avait soigneusement construit.
Une Production Efficace mais Limité
La production de "Phone Game" est remarquable par sa rapidité. Tourné en seulement douze jours, le film parvient à capturer l'énergie brute et l'immédiateté d'une situation en temps réel. Les choix de localisation, bien que se déroulant à Los Angeles pour représenter Manhattan, sont crédibles. Les contraintes de production, comme l'utilisation de French hours et le tournage chronologique, ont permis de conserver une continuité et une authenticité rarement vues dans des productions de cette envergure.
Conclusion
"Phone Game" est un thriller efficace qui excelle dans sa capacité à maintenir le suspense dans un cadre minimaliste. Bien qu'il présente quelques faiblesses structurelles, la performance de Colin Farrell et la direction sûre de Joel Schumacher en font une expérience mémorable. C’est un film qui, sans révolutionner le genre, parvient à captiver par son intensité et son originalité. "Phone Game" mérite d'être vu, ne serait-ce que pour apprécier la tension palpable qui émane de cette cabine téléphonique, véritable personnage à part entière du récit.
Film concept dont le suspens dure environ cinq minutes, Phone Game se tire une balle dans le pied en s'imposant une réalisation serrée, la majeure partie dans une cabine téléphonique, en pleine rue. L'idée de départ tient vaguement la route pour, au mieux, un moyen-métrage, mais elle requiert une grande créativité dans la variation des plans, ou une excellente écriture pour un long-métrage. Or, dans le cas présent, ce n'est ni l'un ni l'autre.
Les quelques idées de réalisation originales semblent tout droit sorties de la sphère publicitaire. On pensera aux discussions interposées en fenêtrage, style sketch d'Omar et Fred, qu'on pardonnerait volontiers à un film amateur, mais pas à une production de cette envergure.
Enfin, un monologue flagellateur où l'amoral antihéros nous administre son sermon. Trop de boursouflures pour être apprécié.
Les quelques idées de réalisation originales semblent tout droit sorties de la sphère publicitaire. On pensera aux discussions interposées en fenêtrage, style sketch d'Omar et Fred, qu'on pardonnerait volontiers à un film amateur, mais pas à une production de cette envergure.
Enfin, un monologue flagellateur où l'amoral antihéros nous administre son sermon. Trop de boursouflures pour être apprécié.
Pour être honnête j'étais très sceptique en me mettant devant ce film car j'étais quasi sûre de pas adhérer... la première scène m'a paru kitsch, un peu daté et je me suis dit que ça allait être du grand n'importe quoi mais je me suis trompée... bah oui car en fait c'est super prenant... à partir du moment ou Colin Farrell est coincé au téléphone, on ne voit pas le temps passer... le chantage est bon, la tension permanente et moi j'ai adoré ça ! Comme quoi, il ne faut pas toujours se fier aux dix premières minutes d'un film...
Le film est assez court mais efficace. La tension est présente jusqu'à la fin et l'acting est bon. Tout le film se passe au même endroit mais ça marche bien on s'ennuit pas. Un bon film, simple mais sympa.
20 ans après, le suspense est toujours aussi captivant dans ce Huit clos.
Colin Farell livre probablement sa meilleure interprétation dans un rôle particulièrement difficile
La mise en scène est excellente avec beaucoup de rythme. On oubli que c est un huit clos captivé par l'intrigue
Colin Farell livre probablement sa meilleure interprétation dans un rôle particulièrement difficile
La mise en scène est excellente avec beaucoup de rythme. On oubli que c est un huit clos captivé par l'intrigue
Bha c'est bien sympa. Ce genre de thriller ça existe déjà mais la le cadre est un peu plus original, puis c'est cours donc ça va. Farrel est toujours aussi bon. L'histoire ne vole pas très haut et peut même être considéré comme un peu décevante, mais c'est pas ce qu'on demande à ce genre de film. Disons que dans le type thriller bien US, celui là est dans le haut du panier. j'ai passé un bon moment
Ce huis clos en mode cabine téléphonique est une petite merveille qui mérite d'être vu. Colin Farrel y est prodigieux!
En 2002, Joel Schumacher signe un petit thriller super efficace. L’idée d’un huis clos dans une cabine téléphonique au cœur de New York et en temps réel semble un pari risqué. Pourtant, le résultat est concluant en raison d’une mise en scène musclée (parfois proche du clip vidéo) et d’une intrigue menée sans temps mort. Colin Farrell reste crédible dans le rôle de cet homme pris au piège par un inconnu. Il n’y a pas besoin de réfléchir et cela fait du bien. Bref, un bon divertissement au suspense haletant.
SYNOPSIS :
Un gars est retenu pendant des heures dans une cabine téléphonique sans pouvoir raccrocher , et le spectateur regarde ça pendant 1H30
ça ne vous donne pas envie ??
ET POURTANT !!!!
Ce film et son intrigue sont tellement bien réalisé , que vous ne verrez pas le temps passer .
Un Colin Farrell dans la meilleure époque de son jeux d'acteur.
Un film très réussi
A consommer sans modération
Un gars est retenu pendant des heures dans une cabine téléphonique sans pouvoir raccrocher , et le spectateur regarde ça pendant 1H30
ça ne vous donne pas envie ??
ET POURTANT !!!!
Ce film et son intrigue sont tellement bien réalisé , que vous ne verrez pas le temps passer .
Un Colin Farrell dans la meilleure époque de son jeux d'acteur.
Un film très réussi
A consommer sans modération
C'est un très bon film suspense et imprévu tout est prenant excellent et colin farrell est un des meilleurs acteurs de sa génération j'adore son style et son incroyable talent
Trés bon film de suspens , qui se passe uniquement , pendant tout le film autour d'une cabine téléphonique .
Le suspens nous tient en haleine , pratiquement du début du film ( Environ 5 ou 6 minutes , aprés le début du film ) jusqu'à la fin du film , jusqu'au dénouement final .
Mais le film est un peu court : 1H17 .
Dix minutes de plus , ça aurait été impeccable .
Le suspens nous tient en haleine , pratiquement du début du film ( Environ 5 ou 6 minutes , aprés le début du film ) jusqu'à la fin du film , jusqu'au dénouement final .
Mais le film est un peu court : 1H17 .
Dix minutes de plus , ça aurait été impeccable .
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