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    Entre la vie et la mort
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    85 critiques spectateurs

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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    762 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    Un préambule intrigant avec un drôle de suicidé dans le métro de Bruxelles, conduit par un espagnol ténébreux et troublant, semblant porter un lourd passé.
    Et puis, plus rien ou presque : l'ennui !
    Ce polar sombre "à l'ancienne" donnait pourtant envie sur le papier, mais je me suis finalement retrouvé devant un thriller mou et paresseux, malgré 2 ou 3 bonnes idées mal exploitées.
    J'ai senti du soin dans la photographie afin de rendre ce film visuellement dramatique et tendu, mais finalement non, même cette minutie n'aura pas suffit à me tirer de ma léthargie.
    Insuffisant !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Pascal
    Pascal

    156 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    Recommandé par certains chroniqueurs du masque et la plume, je me suis rendu en salle pour voir ce "polar de l'été ".

    Le réalisateur est le scénariste de " les misérables " de L Ly dont j'avais apprécié les nombreuses qualités.

    Malheureusement son passage à la réalisation, ne m'a pas du tout semblé convaincant dans "entre la vie et la mort".

    Il y a presque deux décennies, son premier film n'avait pas retenu l'attention pour ses qualités ( même au contraire, si j'en crois les notes obtenues sur le site).

    Si la photo est réussie, le casting de choix, le film pêche par son absence presque totale de dialogues qui, lorsqu'il y en a, sont d'une pauvreté confondante.

    Le scénario ( c'est le comble) est mal amené, les personnages restent superficiels ( je ne parle même pas des seconds rôles ), les acteurs n'ayant pas de texte ne peuvent même pas justifier leur présence.

    Antonio de La Torre, pourtant excellent acteur espagnol, ne peut pas faire grand-chose pour éviter le naufrage de ce film raté.

    "Entre la vie et la mort" n'a pas rencontré de succès public en salles : ça me semble mérité.

    Un film que je ne recommande pas.
    Simon R
    Simon R

    52 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Un polar à l'ancienne : avec un casting international, une sombre histoire de vengeance et de la castagne.
    Un vrai bon moment, sans fioriture. On sait ce qu'on va voir, et on ressort avec un grand sourire benêt sur le visage : ça fait du bien !!!
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    72 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Bruxelles comme on l'a rarement vue, un acteur principal très bien (mais sans charisme non plus) et un début intrigant. Et puis c'est tout... J'ai dû trop attendre de ce film qui sent la coprod' internationale à l'ancienne. Y a Gourmet pour le financement belge, en service minimum, Vacth qui donne ce qu'elle peut, c'est à dire pas grand chose. Tout ça dans une histoire vraiment pas passionnante et assez mal ficelée.
    Romain P
    Romain P

    28 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Un polar au cordeau, ultra bien ficelé et maitrisé. Un film tendu, qui ne souffre d'aucun temps mort. Ne le loupez pas !
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    170 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2022
    Dans un film noir, il faut des personnages très incarnés Le polar est plus intéressant quand les personnages ne sont pas seulement des stéréotypes de flics et de gangsters. J’ai essayé de faire en sorte qu’ils ne soient pas réduits à une fonction mais qu’ils aient quelque chose à défendre Bruxelles est une ville à la fois très cinématographique et anglo-saxonne, avec des immeubles en briques, des quartiers abandonnés Giordano Gederlini a participé à l'écriture du scénario du film choc sur la banlieue Les Misérables de Ladj Ly Entre la vie et la mort, des clins d’œil au cinéma décomplexé des années 1980
    Dans le film, elle est à la fois dure et émouvante. Et elle a une voix de théâtre, une voix extrêmement présente, qui porte
    J’ai été marqué par Little Odessa de James Gray Le film était déjà bien construit au tournage ce qui nous a permis de prendre un peu de distance au montage et d’expérimenter un peu, de tenter des choses avec le hors champ un trés bon polar un film puissant
    jean l.
    jean l.

    157 abonnés 230 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2022
    Super thriller qui a l’avantage énorme d’entraîner le plus grand acteur espagnol, découvert dans les films du génial Ridrigo Sorogoyen !!!!!antonio della Torre dont c’est le premier rôle dans une autre langue que l’espagnol
    Mr cinetok
    Mr cinetok

    257 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2022
    Film sombre et intrigant le premier quart d'heure, puis s'enlise très très lentement dans un scénario de film noir très classique, trop classique, trop colmaté d'incohérentes grosses ficelles et de scènes molles comme l'effet d'un somnifère. Les combats du pauvre Antonio de la Torre sont à des années lumières d'un "Taken " ( très mal chorégraphié et risibles) auquel certains le comparent. le grand désastre, c'est d'avoir le sentiment au final, d'avoir assisté à un polar pas très intéressant, ni amusant dans ses rares scènes d'actions. Plus un film dramatique (les acteurs donnent le ton à l'excès) comme le titre "entre la vie et la mort" (pas grand chose) qu'un grand polar d'action ou thriller que j'espérais voir.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 132 abonnés 7 479 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2022
    Leo Castaneda est conducteur de métro à Bruxelles. Un soir, il croise le regard d’un homme qui se jette sur les voies. Dès lors, Leo va devoir jongler entre la police et des criminels, tout en essayant de faire la lumière sur cette histoire…

    Qui aurait pu imaginer que le réalisateur Giordano Gederlini, responsable de l’un de pires navets français du début des années 2000 (Samouraïs - 2001) serait aux commandes de ce polar musclé et haletant ? Comment ne pas repenser au film A bout portant (2010) de Fred Cavayé en voyant de quelle façon le réalisateur parvient à nous entraîner dans sa folle course poursuite effrénée, avec d’un côté, un conducteur de métro, de l’autre des criminels et en embuscade, des flics.

    Pendant 90min, on ne voit pas le temps passer et on prend beaucoup de plaisir à voir évoluer ce casting aussi éclectique que réussit. Antonio de la Torre (son 1er film français) dans le rôle-titre est brillant, il a une vraie présence, face à Marine Vacth. Seul regret, la présence d’Olivier Gourmet sous exploitée. A noter enfin que la B.O. a été confiée à Laurent Garnier.

    Alors certes, le film ne révolutionne pas le genre du revenge-movie, mais il s’avère suffisamment prenant et porté par d’excellents acteurs pour que l’on se laisse aisément prendre au jeu.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Yves G.
    Yves G.

    1 448 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 août 2022
    Leo Castaneda (Antonio de la Torre) est espagnol. Il vit à Bruxelles. Il est conducteur de métro. Sa vie banale cache en fait un lourd secret que la mort brutale de son fils, après un braquage, va l'obliger à révéler à Virginie (Marine Vacth), l'inspectrice de police chargée de l'enquête.

    "Entre la vie et la mort" est un polar fiévreux et cosmopolite. Son action se déroule à Bruxelles. Son réalisateur est chilien. Ses trois acteurs principaux sont espagnol, français et belge. Comme avec ces mauvais vins vendus à vil prix, réalisés à partir de "cépages de la CEE", on aurait pu redouter le pire. "Entre la vie et la mort" charrie son lot de clichés, à commencer par son titre grandiloquent, son personnage principal de héros taiseux, consumé de l'intérieur par le drame qui le frappe et par son scénario pépère qui nous mène gentiment vers le défouraillage final.

    "Entre la vie et la mort" est sauvé de justesse par un montage intelligent d'une histoire passablement emberlificotée dont les pièces du puzzle s'agencent patiemment. Il est surtout transcendé par l'interprétation fiévreuse d'Antonio de la Torre. On connaissait l'acteur espagnol pour ses rôles chez Rodrigo Sorogoyen ("Que Dios nos perdone", "El Reino"). Revers de la médaille : sa prestation éclipse celles de Marine Vacth, bien falote dans un personnage trop grand pour elle, et d'Olivier Gourmet qui cachetonne sans conviction dans un rôle dispensable.
    Ciné-13
    Ciné-13

    116 abonnés 1 057 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Un polar trop classique à la Olivier MARCHAL avec un ténébreux taiseux et une intrigue qui se veut manipulatrice : pourquoi ce préambule de suicide sur la plage, et pourquoi nous cacher pendant les 4/5 du film le twist final...
    2 duos père et enfant qui rapprochent les protagonistes dans un jeu de pistes un peu capillotracté.
    Vacth est peu charismatique comme inspecteur principal et Gourmet est un commissaire un peu tourmenté artificiellement.
    Bof Bof!
    Michel C.
    Michel C.

    268 abonnés 1 454 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2022
    Voici un très bon polar, noir et Belge. Pas très sophistiqué, mais nous plonge rapidement dans la recherche de la v,érité à partir du moment où le personnage principal Léo (Antonio de la Torre), conducteur de métro heurte un individu se jetant sur les rails : son propre fils.... L'intrigue prend forme et ne déçoit pas. Il se trouve que Léo est un ex-flic..... Beaucoup d'actions et de nuit, Interprétation au cordeau. Olivier Gourmet apporte également sa touche précise et forte, mais limitée - pourquoi ? Très efficace, avec la touche colorée de "Marine Vacht" (Virginie) en prime, ce thriller est convaincant ..!!**
    Christ77
    Christ77

    12 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    Polar original, particulier mais prenant. L'axe pris par le réalisateur est assez inattendu mais je trouve que ça manquait de quelque chose, d'un peu plus de rythme peut-être ? Scénario bien ficelé, interprétation impeccable. J'ai passé un bon moment…allez-y !!
    Daniele
    Daniele

    14 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    Un téléfilm policier à la TF1 bourré de clichés et de ressorts convenus. On s'ennuie vite donc on peut éviter.
    Cinememories
    Cinememories

    479 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2022
    Près de 20 ans après son premier long « Samouraïs », Giordano Gederlini a souvent passé du temps à la co-scénarisation (L’Envahisseur, Tueurs, Duelles, Les Misérables). Mais c’est avec une intime conviction qu’il revient à la barre d’un projet bien bâti et suffisamment ambitieux, afin qu’il apporte un vent de fraîcheur, à l’ouverture du festival Reims Polar. Le cinéaste offre alors des moments de pur thriller dans la lignée du précieux « Taken », avant qu’il ne revienne sur une base plus académique, prouvant qu’il est encore en rodage. Sa première partie a beau ne pas laisser retomber la tension, il n’échappe pas à un auto-sabotage, là où l’écriture dévoile autant ses coutures que ses fissures. Son récit de vengeance a donc de quoi plaire, dans la mesure où il accepte de ne pas greffer des enjeux secondaires fantômes, qui ne font que tordre l’intrigue et saccader le rythme.

    Une balle se perd chez Leo Castaneda (Antonio de la Torre) et les drames s’enchaînent. C’est dans une double lecture du personnage et de la ville de Bruxelles qui l’a récemment accueilli que nous découvrons son passé, meurtri et habité par des larmes de sang. Le conducteur de métro n’aura évidemment plus rien de lambda dès qu’il s’agira de recoller les fragments d’une mémoire, qu’on aura habilement étouffée dans les premières minutes. Il est alors séduisant de se laisser balader « Entre la vie et la mort », en ramenant sur les rails un enfant perdu et en même temps loyal envers son paternel, tous deux éloignés depuis deux ans. Les visites impromptues et les quelques révélations flash donnent le ton et nous finissons par nous accrocher à des enjeux que le réalisateur ne semble pas savoir renouveler. Malgré quelques escales notamment dans la capitale belge, il ne restera que des os et si peu d’interrogations à se mettre sous la dent, une fois sorti de l’exposition.

    Une narration se superpose alors à la quête de vengeance, mais elle ne fait qu’effleurer le propos. L’enquêtrice Virginie (Marine Vacth) épouse davantage l’aspect embarrassant du récit au lieu d’investir son âme torturée. Les contradictions avec son père ne mènent nulle part et feignent de contraster avec l’échec du héros déchu. Ce sont autant de maladresses qui ne permettent pas à Leo de prendre l’ascendant dans le voyage qu’il entreprend. Et les rares instants où la tension est captée avec une grande sobriété, elle disparaît aussitôt dans un flot d’incohérences ou de désillusions. Difficile donc d’évaluer avec précision la relation père-fils, qui s’embourbe dans une chasse à l’homme, où les forces de l’ordre locales n’auront jamais un coup d’avance sur Leo et sa détermination. Pour eux, il ne s’agira que d’une longue filature, que le protagoniste prolongera dans des confrontations parfois maîtrisées, mais jamais transcendantes. Chaque coup qu’il renvoie détonne, sans pour autant heurter le spectateur actif et attentif, que l’on tente de persuader par surprise et non par la chirurgie de la mise en scène.

    Seul le segment du père nous interpelle, lui qui suffoque à l’idée de ne pas avoir pu offrir l’éternité à son fils. La seconde chance qu’on lui offre est brisée et il ne reste plus qu’à rempiler pour un ultime rodéo urbain, où les chantiers et autres structures empoisonnent la jeunesse triomphante. Tout n’est pas à jeter et voir l’interprète principal évoluer sur ce terrain inconfortable et réussir son ascension est déjà un luxe dont profite bien Gederlini. Et malgré le balisage du récit, ainsi que les caractérisations forcées des personnages secondaires, cette œuvre ne manque pas l’occasion de dégoupiller ses décharges d’adrénaline. Malheureusement, aucune chance pour qu’on en traîne des séquelles une fois sorti de la salle.
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