Déjà, tourner un film sur les geishas, particularité culturelle japonaise particulièrement malaisée à appréhender pour nous Occidentaux, en anglais, avec des actrices chinoises, ça partait mal. Confier le truc à un réalisateur américain qui essaie de copier l'esthétique des films asiatiques, ce n'était probablement pas la meilleure idée non plus. Quand en plus lesdites actrices surjouent/n'expriment rien selon les cas, on tient un bon navet. La soupe musicale qui accompagne le tout, c'est comme le verre d'eau qu'on avale avec un somnifère. Et la sieste va durer 2h30!