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    Mémoires d'une geisha
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    Patricia P.
    Patricia P.

    5 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2014
    Mémoire d'une geisha est un véritable coup de cœur . . On ce laisse transporter par l'histoire de Chiyo , cette petite fille pauvre devenu la légendaire geisha Sayuri . Tout dans ce film n'est que beauté , délicatesse et poésie Un voyage merveilleux au pays du soleil levant .
    ferdinand75
    ferdinand75

    547 abonnés 3 866 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2014
    Une mise en scène bien fade pour l' adaptation d'un roman à succès. Le livre avait une certaine élégance. Mais l'adaptation est trop classique , On s'ennuie beaucoup même si l'image est soignée, cela ne suffit pas. Un scénario pas assez étoffé.
    angela B
    angela B

    24 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2014
    Gros coup de coeur, l'affiche est belle, à la fois ça fait un peu manga banal et à la fois inattendue pour un film. J'ai eu un attachement pour le personnage féminin que nous allons explorer tout au long du film. La qualité du cinéma, l'art de filmer et de monter les scènes entre elles m'a plu. Des paysages et décors sont très beaux et ça ouvre vers une autre culture & l'abord de la féminité, des droits de la femme et de son statut. Par moments, ça peine et donne des frissons d'horreur, à d'autres c'est attendrissant. la note de la fin n'est pas très réjouissante. Beau film je vous le conseille, c'est à ébruiter et diffuser. à classer au patrimoine entre maiko et geisha, spoiler: (spoiler) elles ne sont pas toutes des femmes libres, plutôt tout le contraire, dans un climat d'une aliénation dont elles ne sortent jamais. Une geisha et son vécu l'empêchent d'être une femme.
    Norah212
    Norah212

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2014
    Bon film mais sans plus...les décors, maquillages et costumes sont sublimes. On en apprend plus sur le parcours d'une Geisha. On peut décrocher à certains moments.
    Blog Be French
    Blog Be French

    39 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2014
    Même si on a parfois l'impression de se balader dans un Japon d'une comédie de Broadway, "Mémoires d'une geisha" a le mérite de nous proposer une histoire délicate avec une véritable évolution des moeurs et des coutumes. Sur la longueur, quelques séquences semblent un peu inégale, mais il faut reconnaître que le duo Rob Marshall-Dion Beebe nous offrent quelques fois des moments remarquables. Un film original et charmant !

    Retrouvez nos critiques et actus ciné sur notre blog Be French !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    Poussés par le vent, les épais nuages gris-noirs filent à toute allure. Les vagues orageuses se renforcent. La nuit avance, l’obscurité s’épaissit. Les pêcheurs s'affairent à ranger le matériel. Les derniers rayons de lumière tamisée nous laisse percevoir la silhouette d’une maisonnette nichée sur une arrête rocheuse. Surplombant légèrement la mer, cette modeste construction semble abriter une famille de pêcheur. On bascule à l’intérieure. Un léger voilage est écartée progressivement par une main, celle, apparemment d’une jeune fille. Apparaît alors un feu de foyer dont le flamboiement éclaire la pièce. Deux hommes sont à genoux, de part et d’autre du feu. Légèrement cambré et d’un air accablé, le premier parle péniblement. Un visage usé et ridé. L’autre, dont le contour est plus imposant, l’écoute. Le dialogue est en japonais mais nul besoin de comprendre. Le sujet est grave. Une femme est allongée en arrière plan, très proche. Elle dort ? Elle est malade ? La caméra revient vers la propriétaire de la main. Gros plan. C’est une fillette aux regards fureteurs qui essaie de comprendre, tout comme nous. Elle s’appelle Chiyo et a 9 ans. Apparaît très rapidement derrière elle, sa grande soeur, Satsu. De nouveau gros plan. Cette fois, c’est la mère. Elle entrouvre les yeux. Son regard vide confirme l’instant angoissant auquel on assiste. Elle bouge légèrement la tête, nous laissant apercevoir très furtivement une larme. Une seconde à peine pour chaque plan. Tout va très vite. Les deux filles sont, apparemment, vendues. Elles vont être contraintes de partir avec l’autre homme, à bord d’une charrette, malgré elle, pour ne plus revenir. Le noir est plus dense. La charrette se met en marche. Du seuil de la maison, le père regarde une dernière fois ses filles, une lanterne à la main. Les larmes et la pluie se confondent. Cette introduction en la matière détonne. Le réalisme esthétique qui s’en dégage impressionne. Mais ceci n’est qu’une formidable mise en bouche dont le goût va s’estomper au fil de l’histoire qui va prendre corps. On connaît le point de départ, mais la destination nous est inconnue. Et le restera jusqu’au bout. Le scénario nous ballade entre geisha, okiya, hanamachi, danna, sunagawa, kimono, maiko, mizuage à l’aide d’une boussole déréglée. Fort heureusement, quelques scènes cartes postales aux épices du Soleil Levant apportent quelques moments de fraîcheurs, mais c’est tout. Les actrices ne font qu’accroître la déception. Pas de chance, le film repose complètement sur leurs épaules. Comment est-il possible qu’un film d’une telle ambition puisse manquer autant de densité ? Quasiment aucune des actrices de première ligne ne parvient à nous convaincre, en premier Zhang Yimou (Chiyo adulte). Sa nomination au Golden Globe comme meilleure actrice est forcément une énigme. Kaori Momoi (mère) et Gong Li (Hatsumomo) frôlent, par moment, le ridicule. Youki Kudoh (Pumpkin adulte) incompréhensible. Il ne reste que Michelle Yeoh (Mameha) pour sauver les meubles. Dommage.
    Kivodulh
    Kivodulh

    36 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    Un film intéressant. Il surf sur la vague japonnaise du cinéma des années 2000 sans pour autant succomber à l'action bon marché.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    Le roman de l'écrivain américain contemporain Arthur Golden à propos d'une geisha japonaise des années 1930 avait déjà tout du non-sens artistique. Comment un homme pourrait-il saisir les errements intimes d'une femme avec précision quand ces errements sont si liés à un rapport à la chair qu'un homme ne connaîtra jamais, a fortiori quand cette femme vient d'une époque et d'une culture étrangère à la sienne ? D'ailleurs, si on pourrait rétorquer que "Geisha" fut écrit à partir du témoignage d'une réelle geiko, celle-ci préféra réécrire ses mémoires pour sanctionner les infidélités de Golden vis à vis de la réalité de sa profession. Voilà qui en dit long sur l'incohérence du projet, ou plutôt sur sa vocation purement occidentale, les lecteurs américains l'ayant d'ailleurs consacré en best-seller. Nécessairement, devait donc suivre une adaptation, mais même le nom du grand Spielberg, qui s'intéressa au sujet avant de laisser la réalisation à son ami Rob Marshall, ne pouvait totalement rallumer la flamme. Le pire est que le film creuse encore la tombe déjà bien déblayée par le roman en castant trois actrices chinoises dans les rôles principaux, ce qui lui vaudra la censure pure et simple en Chine et un boy-cott général dans les salles nippones. Heureusement, je ne connais pas suffisamment les cultures orientales pour en avoir été dégoûté, et les trois noms choisis ont la chance de désigner trois actrices talentueuses et d'une sensualité débordante (Gong Li, Michelle Yeoh, et surtout Zhang Ziyi, ensorcelante). Malheureusement, on sent malgré tout le côté bâtard de cette oeuvre qui manque de pureté véritable, d'aisance et de précision au moment de décanter la substance émotionnelle du sujet. Certes, l'amour est un sentiment universel, mais alors pourquoi choisir pour son étude un sujet si ancré dans un mode de vie spécifique ? Ou plutôt, pourquoi ne pas laisser le faire ceux qui ont en main toutes les données de l'algorithme, toutes les pièces du puzzle, toute la sensibilité d'esprit dessinée pour s'approprier le propos ? Voilà ce que je regrette quelque peu, ne pas avoir vu un réalisateur japonais s'emparer de ce thème. D'autant plus que le cinéma américain, en constante recherche d'ampleur, ne semble pas miscible de façon évidente avec la retenue et l'étiquette propre aux cultures sino-japonaises. Certes, ça marchait dans Le dernier samouraï, encore aujourd'hui mon film préféré (oui oui !) mais surtout parce que la raison d'être du film de Zwick se trouvait justement être la découverte de l'univers des samouraïs par un occidental. Ici, on aurait au moins pu espérer que le sens du romanesque d'Hollywood compense cette balle tirée dans le pied. C'est le cas, mais pas totalement, car le souffle si bien développé par le cinéma d'outre-atlantique ne peut prendre à cent pour cent sur cette histoire un peu lisse, dont on sent que les thèmes, pas vraiment maîtrisés, ne peuvent être creusés davantage. Bien sûr, la beauté plastique de Memoirs of a Geisha ne laisse pas place au doute (trois oscars à la clé, quand même !), mais l'achèvement photographique du produit manque lui aussi d'une vraie raison d'être, d'une substance sur laquelle se poser. Les rues de Kyoto, rendues plaisantes, oniriques, ne semblent pourtant que servir d'accroche aux yeux du spectateur occidental. Si je ne nuançais pas mon constat, je vous dirais ceci : Memoirs of a geisha est un joli tableau ; soulevez-le et il n'y a rien. Mais monsieur Rob Marshall, ceci n'est pas de la peinture, c'est du cinéma. Un peu creux, pas assez brut, trop poli et trop mensonger, Memoirs of a geisha manque aussi de mystère. Mais il reste, en dépit de ces nombreux reproches, un divertissement qui jouit de la maîtrise d'une industrie rodée comme pas deux, ainsi que du talent de ses actrices et quelques grammes de beauté évanescente. Des mémoires quand même pas tout à fait mémorables (cette conclusion non plus, je sais).
    mistermyster
    mistermyster

    56 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 août 2014
    Ce film est admirable, de part sa reconstitution, ses costumes, ses décors, son histoire qui nous plonge dans un monde inconnu pour nous, occidentaux. La photographie est sombre, tout n’est que nuance, ombre et illusion, même les couleurs chatoyantes des kimonos ont du mal à percer le voile des jours sombres. C’est un poème écrit dans un jardin Japonais, dramatique et mélancolique, la geisha représente un art de vivre, où l’on doit se plier avec rigueur à une vie sans espoir, sans liberté. Le film nous transporte loin, loin du un pays de traditions et d’honneur. Un très beau film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 juillet 2014
    Le réalisateur arrive à nous emmener au Japon avec délicatesse. Le film est très esthétique et tous les plans sont travaillés en ce sens. Zhang Zihi capture l'écran comme à l'accoutumée. Il y a quelques longueurs et l'histoire n'a rien d'original mais nous apprenons les coutumes des geishas pendant ces 2h30 à travers une romance touchante. La bande son est en harmonie avec les images et les scènes de danses nous laissent sans voix.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juin 2014
    Il y a longtemps que je n'avais pas pris autant de plaisir à regarder un film. Étant amatrice de culture nipponne j'ai apprécié que celle-ci soit respecté sans être caricaturée. L'exactitude des coutumes et des termes est plus qu'appréciable. N'ayant pas lu le livre (ce que je vais m'empresser de corriger) d'où le film est tiré je ne peux pas dire si l'histoire est conforme ou non à celle d'origine. Cela n'empêche en rien d'apprécier la beauté du film. Beauté du fond comme de la forme. Les plans ne sont pas innovants et la façon de filmer n'apporte pas d'éléments de surprise mais ce n'est pas ce qu'on demande à un film de ce genre. Ce qui ajoute à la beauté du film est sa bande son, composée par le maître du genre John Williams (je pense ne pas avoir à préciser qui est cet homme et quelle est son œuvre). C'est un film extrêmement émouvant et à la narration apaisante. On ne voit absolument pas passé les 2h25 mais on en ressort avec une petite larme à l’œil pour les plus sensibles.
    Enfin bref, c'est un très beau film qui je l'espère me rendra la lecture du roman encore plus agréable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2014
    Que dire à propos de ce chef d'oeuvre ? Il est tout simplement magique que ce soit les musiques qu'il y a, les acteurs, les lieux, la culture du Japon, la sagesse tout est magnifique.

    Je ne me lasse jamais de regardé ce film encore et encore il est si beau. Je suis à chaque fois bluffer des prestations, du maquillage, le rôles si bien joués des acteurs.

    Je vous le conseille vraiment ! C'est un film à voir et à revoir plusieurs fois même.
    Vous resterez sans voix du début jusqu'à la fin ! Je m'est la note de 5/5 car Mémoires d'une geisha en vaut là peine !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 février 2014
    Tres beau film, jamais vulgaire, et tres instructif culturellement.
    Truman.
    Truman.

    227 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2014
    Typique du film a Oscar aussi creux que vide avec un pseudo fond moralisateur et larmoyant . Jamais touchant, jamais beau et encore moins profond dans ses quelques propos digne de Roger pilier de bar du PMU au coin de la rue .
    Entre des méchants vraiment pas gentils aussi charismatiques qu'un bout de bambou, des musiques de violons et des larmes cette pauvre histoire n'est au final qu'un long bout de tissu qui patauge dans la boue .
    85 millions de dollars pour un film vide, profondément agaçant . "Mémoire d'une chouineuse" est aussi long trèèèès long et ennuyeux, trèèès ennuyeux . 2h30 que l'on sent bien passer .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 janvier 2014
    Esthétiquement ? 5 étoiles, sans hésiter. Les oscars ne m'étonnent pas et sont mérités. Dommage qu'on ne puisse pas en dire autant de la profondeur du film et de l'intérêt du scénario... Autant la poésie visuelle est parfaite, autant la poésie narrative est un chouilla too much (voire un peu mièvre). De plus, ce film américain réussit quand même le tour de force de traiter du Japon au temps de la Seconde Guerre mondiale sans se préoccuper outre mesure de la question déplaisante des bombes atomiques ni du bombardement de Tokyo au napalm ... Loin de moi le désir de sacrifier le romanesque à la précision et à la rigueur historique mais enfin... quand même... Voir ces geishas s'apprêter à accueillir joyeusement des soldats américains quand Nagazaki, Hiroshima et Tokyo sont à peine évoqués...
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