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lionelb30
439 abonnés
2 595 critiques
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2,5
Publiée le 20 août 2021
Film a sketch sans grand intérêt au final. Malgres de bons comédiens et quelques moments amusant , c'est quand même très léger et un film pour ça vraiment pas indispensable.
Quelle déception ! La bande annonce est top et je pensais rigoler. On s'ennuie clairement les blagues sont too much et ça devient presque ridicule. Ce n'est pas un bon film. Non seulement on s'endort mais en plus le sujet est très mal exploité ( a part la première scène éventuellement...) Mais après il y a des fantasmes ridicule que personne n'a finalement. C'est tiré par les cheveux ... On a du sourire 3x grand max.
"Tout ça pour ça", je serais tenté de dire !!! Vous avez dit "original" ? Passez votre route, si le titre vous a alléché, car la contenu est bien pauvre. Ces 6 histoires simples, ordinaires, sont même assez mal construites et mal enchainées. Certains acteurs semblent vouloir faire le mieux possible (?) Suzanne Clément ou Joséphine Japy sans doute, mais Alice ou Karin, Carole ou Monica ....on a l'impression qu'elles passaient par là, vraiment pas concentrées sur le sujet. Pour les garçons, c'est pire, même Nicolas Bedos complètement à l'ouest. Je pense qu'ils étaient tous concernés par d'autres prestations .... !!**
Un titre prometteur qui cache un film plus que quelconque. La distribution n'est guère à la hauteur d'une telle histoire. Difficile d'apporter une quelconque tension sexuelle quand on voit des noms comme ceux de Ramzi, Denis Podalydès ou Jean-Paul Rouve... Heureusement, le casting féminin sauve les meubles mais les couples formés à l'écran ne sont pas crédibles pour un sou. Les metteurs en scène qui se succèdent ne semble jamais croire en leur sujet et le long-métrage se caractérise finalement par un manque de dynamisme et l'absence de fantaisie nécessaire à ce genre de thématique. Bref, on s'ennuie et...on oublie.
Un roman c’est difficile. Un recueil de nouvelles c’est encore plus difficile. Le film à sketches obéit aux mêmes contraintes. Il faut que tout soit bon (et lié) pour produire un bon résultat. Les fantasmes c’est tout le contraire. Tout est mauvais ou presque et ceci malgré le casting. Je pensais passer une soirée drôle… quel ennui… vraiment. Je ne vais pas même retenir le nom tarabiscoté des fantasmes choisis tellement j’ai trouvé l’écriture du film insipide… Car la performance des acteurs n’y est pour rien ou presque … c’est bien du côté de la conception que tout est de guingois. Bref c’est super nul. Allez, un demi point en plus pour le morceau sur les larmes pour n’être pas tout à fait vache. Dommage.
Des fantasmes, on en a tous et toutes ! si, si, ne rougissez pas ! Mais ceux évoqués dans ce film drôlissime des frères Foenkinos ne sont pas communs, loin s'en faut ! Ce film est totalement amoral mais tellement drôle et nos désirs refoulés tellement bien analysés ! J'y ajoute un vrai coup de coeur pour les duos d'acteur : Carole Bouquet/Minica Belluci et Karine Viard/Jean Paul Rouve ! Pas prête d'oublier leur jeu ! A noter - et c'est suffisamment rare pour le mentionner - aucune vulgarité visuelle ou auditive !
Ce n'est pas le film du mois ... mais un bon moment de détente . Le fait que Les fantasmes soit un film à sketchs évite l'ennui . Plutôt plaisant à regarder....quelques moments d'humour......mais sans plus. ...sans aucune prétention .Pourtant avec cette kyrielle d'acteurs à l'affiche , on aurait pu s'attendre à mieux ....
A une époque où tout semble être grave, où l'humour des uns ne rencontre pas l'humour des autres, où les points de vus dérangent, et pourtant tout le monde en a un (la preuve), je trouve que les frères Foenkinos on réussi à trouver un équilibre fort plaisant dans LES FANTASMES. On rit (parfois), on sourit (souvent), et on s'amuse (surtout). La forme du film est différente, elle n'est pas classique, ni celle de la facilité. Le film ne choque pas, il est pourtant parfois sombre, mais l'humour est toujours là. Un équilibre bien rare et délicat en ces temps complexes, pour une comédie française plus maligne que ce à quoi on pouvait s'attendre. Chaque sketch a sa particularité, mais j'avoue mon grand faible pour le couple Karin Viard / JP Rouve, qui mérite à lui seul, un long métrage !
Je n'ai pas du tout aime ce film, terriblement décevant. La bande annonce est vraiment trompeuse. Glauque. Même au second degré ,j'ai vraiment passé un très mauvais moment.
une brochette de bons acteurs qui se sont visiblement amusés, ne suffit pas à sauver du naufrage ce film qui est au final un navet insipide qui alterne le mauvais goût total, le grotesque et au mieux le passable. Je n'ai pas décroché un sourire de la séance et je me suis ennuyé ferme, de même que visiblement les autres spectateurs (ambiance glaciale dans la salle et certains sont même parti au milieu du film).
On a une série de plusieurs scènes jouées par des acteurs différents. Le souci c'est que c'est très irrégulier. Pour moi, certaine sont réussis (Podalydes/Clément ou Viard/Rouve) mais pour d'autres on s'ennuie presque (surtout Taglioni/Ramzy). Plutôt une déception, comme si le sujet n'était pas assez bien exploité avec un casting d'une telle qualité.
Comme beaucoup le savent, le film à sketches est un exercice hautement périlleux dont le principal obstacle est de parvenir à fournir un tout cohérent et surtout que les différents segments soient de qualité et d’intérêt à peu près similaires. Paradoxalement, « Les Fantasmes » parvient à l’être mais dans le mauvais sens du terme. En effet, c’est raté de bout en bout et donc si ces courts-métrages (plus que des sketches) sur nos fantasmes sont qualité sensiblement équivalente, celle-ci est plutôt mauvaise. Et avec un tel casting, royal et impressionnant, la déception est à la hauteur de nos attentes. La plupart des comédiens semble à côté de la plaque et la plupart des associations de couple ne prend pas. Heureusement, le dernier segment avec Karin Viard et Jean-Paul Rouve, de loin le meilleur, rattrape un peu tout cela. La comédienne s’accaparant les seuls fous rires du film.
En fait, les deux problèmes majeurs du long-métrage sont le choix des fantasmes pour illustrer leur propos et le fait que ce soit une comédie pas drôle. Quelle idée a piqué les frères Foenkinos d’aller dénicher des pathologies sexuelles aussi rares, méconnues et bizarres ? Certes, cela nous permet de découvrir certains fantasmes iconoclastes et vraiment particuliers mais certains sont à la limite de mettre mal à l’aise... Ils auraient inséré la nécrophilie ou la scatophilie que cela ne nous aurait pas étonné. Bizarre et malsain! On a donc Podalydès et Clément pour la ludophilie (aimer jouer des rôles) dans un morceau relativement amusant mais vieillot. Puis Salette et Bedos avec la dacryphilie (être excité par les larmes) pour un segment tordu. Taglioni, De Meaux et Bedia avec la sorophilie (fantasmer sur la sœur de l’être aimé) pour un sketch ridicule et improbable. Bellucci et Bouquet pour la thanatophilie (le court-métrage le plus malaisant et osé). Legbhil et Japy pour l’hypophilie (aimer l’abstinence) pour celui dans l’air du temps mais anodin et enfin Viard et Rouve dans le plus sympathique avec l’autagonistophilie (qui est le plaisir du sexe filmé et regardé). Un vrai catalogue de bizarreries sexuelles en plus d’un cours de sexologie déviant...
Vous l’aurez compris, le film et le duo de réalisateurs se tirent une balle dans le pied avec ces choix hasardeux. En plus d’être chiche en gags, ces chemins narratifs limitent le potentiel comique, alors que par exemple le sadomasochisme, la bisexualité ou le fétichisme, un tantinet plus consensuels auraient peut-être permis davantage de rires. Cela rend « Les Fantasmes » plus triste que drôle et le film a une esthétique bizarre, entre film vieillot et sitcom d’AB productions. Si l’on ne s’ennuie pas grâce à des segments qui s’enchaînent vite, ce n’est vraiment pas une réussite. On est loin de « Les Infidèles » dans le même genre qui s’avérait bien plus drôle et mordant ou du film argentin « Les Nouveaux Sauvages » étalon maître contemporain de ce type de films à sketches. A éviter!
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Voir ces "drôles de dames" que sont Monica Belucci et Carole Bouquet, sur la Danse des Chevaliers de Prokofiev aller porter une galette (peut être empoisonnée?) au grand père d'à côté et qui plus est habillée d'une cape rouge, quel joli conte de fées! Des histoire plus proches de la psychanalyse que du burlesque et loin d'être sottes ou racoleuses. Voir Nicolas Bedos délaisser sa femme pour décrocher son portable ou pour s'occuper de sa petite chienne courte sur pattes, c'est irrésistible. Car ce ne sont pas les fantasmes qui font rire, au contraire. C'est plutôt la bêtise et le ridicule du comportement de nos frères humains (dont je fais partie) remarquablement joués par des actrices et acteurs de grand talent. Un fantasme perso: chaque fois que je vois une femme attablée à la terrasse d'un café face à son compagnon suspendu à son portable, je rêve qu'elle se lève et embrasse le premier homme qui la regarde! On ménagera un traitement d'exception et on fera preuve d'indulgence si l'indélicat consulte le site "allo-ciné" pour inviter sa compagne à se faire une toile.
Le film à sketches est plutot une spécialité italienne que française. Et le traitement grand-public d'un thème nécessairement scabreux est un gageure.
Malgré quelques bonnes prestations d'acteurs chevronnés comme Carole Bouquet, Monica Belluci, Denis Podalydès ou Karine Viard, le film ne va guère au-delà de la gentille plaisanterie sur l'alchimie du désir, du plaisir et des déviances...
On rit parfois, on sourit un peu, on n'est guère emballé...
Pas mal du tout, ces sketches coquins avec comme bouquet final Karin, normal elle le méritait avec tous ses rôles de coquinette, trois étoiles et demie !