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selenie
6 256 abonnés
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2,0
Publiée le 25 août 2021
L'écueil du film à sketchs est toujours la différence de niveau entre chaque segment. C'est un écueil plutôt bien évité parle duo de cinéastes chaque partie ne sortant pas particulièrement du lot. Par contre, le soucis est qu'aucune non plus ne se distingue par une quelconque originalité et/ou coup de génie. Résultat, on n'est rarement surpris ou même bousculé, tout est assez convenu et sage. Un tel sujet aurait demandé plus d'audace, et notamment on aurait pu imaginé un genre pour chaque segment. Un film qui aurait dû pousser à la réflexion, bousculer les certitudes, aborder le libre arbitre ou pas, pousser à oser l'intimité sous toutes ses formes, faire rire et faire pleurer,... etc... Mais on ressort du film avec la frustration d'avoir vu que des clichés et surtout, des banalités. Il y a bien quelques passages savoureux mais ils se comptent sur le bout des doigts avec un temps maxi de quelques minutes. Site : Selenie
Une suite de mini-sketchs assemblés sur un seul et même thème. Les histoires sont intéressantes, divertissantes, mais très peu comiques. On passe un moment cool mais sans plus.
C’est très drôle, déluré, satirique et caustique à souhait, et d’une authenticité flagrante. Le casting est parfait avec une mention spéciale pour Karin Viard et le couple Carole Bouquet/ Monica Bellucci. Une comédie noire qui régale !
Comédie romantique réalisée par les frères Foenkinos, Les Fantasmes est un long-métrage qui ne paie pas de mine et qui pourtant s'avère plaisant. L'histoire nous en fait suivre plusieurs car il s'agit d'un film à sketchs qui comporte donc six petites aventures, toutes portées sur la sexualité, ce que son titre explicite laisse deviner facilement. On y accompagne plusieurs couples qui explorent des pratiques et des plaisirs particuliers. Tout cela est fait de façon ludique pour les non-initiés, en expliquant à chaque fois en guise d'introduction le terme qui se cache derrière ces pratiques. On prend donc du plaisir pendant environ une heure et demie car ces courts récits liés entre eux de façon judicieuse, sont tous plus surprenants les uns que les autres et surtout très bien pensés, créant des situations savoureuses et des chutes toujours très drôles. L'humour noir est de rigueur et provoque quelques éclats de rires car cela traite de la sexualité de façon décomplexé et maîtrise bien son sujet. Cependant, il aurait pu aller encore un peu plus loin pour être totalement jubilatoire. Car malgré le thème, il reste gentil dans ce qu'il montre. On voit peu de peau à l'image. Et c'est dommage car le casting comporte de beaux noms et de beaux visages entre Monica Bellucci, Karin Viard, Denis Podalydès, Nicolas Bedos, Joséphine Japy, Ramzy Bedia ou encore Jean-Paul Rouve pour ne citer qu'eux. En effet la distribution comporte de nombreux comédiens qui jouent des rôles franchement appréciables. Les duos fonctionnent à chaque fois très bien et sont entourés par d'autres personnages tout aussi agréables. Leurs échangent sont amusants, notamment grâce aux dialogues bien écrits. Malheureusement, si le film est alléchant dans son propos, il n'est pas du tout attirant et subversif sur sa forme. Malgré la présence de deux réalisateurs, la mise en scène est très plate, elle manque de panache et d'ambiance. Cela est d'autant plus frustrant que les transitions entre les différents sketchs sont franchement géniales et bien trouvées. Hélas, ce sont de trop rares éclaircies dans un brouillard visuel. La photographie est fade, pas aidées par des décors sans charme. Cette absence d'esthétique fait qu'on passe à côté de l'aspect charnel du sujet. La b.o. pour sa part est presque insignifiante tant elle se fait peu entendre malgré des morceaux présentables. Là encore elle aurait pu d'avantage et mieux être considérée. Reste une fin sympathique venant clore Les Fantasmes, qui au final est une curiosité affriolante méritant d'être découverte malgré un physique peu séduisant.
Plusieurs sketchs nous proposant différents fantasme de couples. Ce n'est pas nul car on ne s'ennuie pas mais ça n'apporte pas grand chose malgré qqs chutes amusantes Le but n'est pas de divertir mais de créer des mètres de pellicules, un film de plus. À voir seulement si le sujet intéresse en seconde partie de soirée 2,6/5
Une comédie à sketchs ratée et inégale, tantôt gênante, tantôt glauque, faisant parfois sourire en dépit de soi. La critique complète sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com
Qui dit film à sketch, dit...film bancal. Parce que inégal. C'est une loi quasi immuable qui rend le tout légèrement soporifique. Dans un cadre bobos parisiens toujours poussé à l'extrême du cliché, on ne retient pas vraiment grand chose après quelques semaines passées depuis le visionnage. Le plus amusant, celui du jeu de rôle entre Denis Podalydès et Suzanne Clément. Le plus consternant celui entre Céline Sallette et Nicolas Bedos (qui devrait mieux, et pour le bien de tous, rester derrière la caméra).
Le film dont est tiré "les fantasmes" qui s'appelle "if you love me" était drôle, inventif, un brun coquin, bien joué et on ne s'ennuyait jamais ! Là c'est tout le contraire : c'est poussif, parfois pathétique dans le jeu et personne n'y croit en plus de ne pas être drôle. Alors grande question : pourquoi laisser adapter un bon film par un bon auteur pour faire pire, mais vraiment pire jusqu'au pathétique et au mauvais ? à n'y rien comprendre. Les producteurs ont du se dire : oh les foenikinos ont fait leurs preuves alors on ne va pas relire le scénario et avec ce beau panier d'acteurs le résultat sera bien. Oh l'erreur. Grave erreur des producteurs. Et encore une fois l'adaptation est une catastrophe. Un énorme gachis, c'est mauvais et possuf. Regardez l'original.
Tous les films à sketch ont un défaut majeur : l’inégal ! « Les Fantasmes » des frères Foenkinos n’y échappe pas, malheureusement. Très inégal car je n’ai retenu que deux sketches sur 6. Toutefois c’est une déception instructive dans la mesure où j’ai appris des mots avec leur définition. Je connaissais quelques fantasmes comme « excité d’être regardé en faisant l’amour » que je réduisais simplement par exhibitionniste ; comme excité de ne pas faire l’amour que je confondais à tort avec le tantrisme ! Respectivement « L’autagonistophilie » pour l’un et « La hypophilie » pour l’autre. Deux mots à coucher dehors pratiquement imprononçables et oubliés aussitôt écrit ! « La ludophilie » est plus explicite, par contre. Pour en revenir aux deux seuls sketches retenus, j’ignorais non seulement les mots mais que ça pouvait être des fantasmes : « La sorophilie », être excité par la sœur de l’être aimé, mené par Ramzy Bedia (Jean) ; et « La dacryphilie », être excité par les larmes, menés par un Nicolas Bedos (Romain) au jeu volontairement forcé et par une Céline Salette (Lisa) espiègle. L’énergie qu’elle emploie pour jouir de ce fantasme est assez cocasse. Je comprends que c’est un thème sensible et qu’il est facile de virer dans le graveleux. Cependant, j’ai trouvé que ça manquait d’audace et dans le langage et dans la chair. J’imagine qu’un Gaspard Noé aurait eu matière à me bousculer. « Les Fantasmes »: instructif mais trop sage.
Un fantasme est-il transférable sur Grand Ecran ? Les réalisateurs n'apportent pas une réponse bien convaincante à cette question mais délivrent un film à sketches globalement agréable et souvent drôle. A noter un casting engagé qui réunit la fine fleur des vedettes actuelles, avec un coup de chapeau à Carole Bouquet, Karin Viard et Monica Belluci. Il manque à l'oeuvre un grain de folie dans sa réalisation qui l'aurait fait basculer dans la catégorie des films à ne pas manquer.
L'idée était vraiment très bonne et originale ! Mais même le casting 5 étoiles n'aura pas suffi à faire de ce film une réussite. On s'ennuie un peu, on est moyennement surpris, on sourit sans rire, bref, c'est décevant.
La nullité quasi intégrale des Fantasmes, que sauvent de temps à autres des comédiens somme toute talentueux, tient à sa mise en scène de téléfilm pour heure de grande écoute et à son incapacité à dépasser son point de vue de spectateur curieux et moralisateur des différentes pulsions référencées comme dans un guide pour néophytes. Dès lors, la clausule, qui prône l’innovation dont fait preuve le couple formé par Viard et Rouve prétend étendre, par un phénomène d’échos depuis le sketch vers l’œuvre entière, cette audace à la démarche des réalisateurs alors qu’ils ne brisent aucun tabou, qu’ils ne bousculent aucun code déjà existant, occupés seulement à étiqueter leurs flacons expérimentaux sans jamais les agiter. Nous ne ressentons rien, ni excitation ni dégoût, devant ces confessions illustrées qui tombent souvent dans un mauvais goût stérile – le pire étant le prétexte du cancer pour créer une excitation sexuelle, sommet d’indécence inutile – pour ne rien dire de notre société, pour ne jamais sonder ni interroger ses zones d’ombre, ses frustrations et ses désirs.
Comme quoi, un casting de rêve ne suffit pas forcément à faire un bon film. Les frères Foenkinos mettent en scène six couples avec une pathologie sexuelle différente. Ces six sketchs sont d'un niveau très inégal, parfois navrant comme le duo Bouquet /Belluci ou parfois plus drôle avec Viard/Rouve. Le film censé faire rire n'est qu'une succession de saynètes explorant le désir sexuel à travers des thèmes assez barbares. Bref, c'est une déception à quelques exception prêt. Il n'est pas donné à tout le monde de divertir les français sur leur sexualité. Certains spectacles de comiques sont plus aboutis sur ce sujet.
Largement inspiré - sinon partiellement plagié - sur la comédie australienne "If you love me", "Les fantasmes" n'en est pas moins une comédie très plaisante.
Une comédie qui fait rire, n'est-ce pas là le plus important.
"Les fantasmes", 6 couples et donc 6 fantasmes. Chacun et chacune tentent de les assouvir avec plus ou moins de réussite. Bon le concept est marrant à savoir voir comment ces couples tentent d'avoir une relation sexuelle aboutie selon leur fantasme et limite sortent de maladie. Parce que honnêtement quand je vois la Thanatophile (merci Thanatos et Saint Seiya car tout de suite compris) être excité par la mort!(!!!!!!) , La hypophilie : être excité de ne plus faire l’amour (euh pardon???) perso vivent les zinszins!! près il y a la sorophilie excité par la soeur.. l’autagonistophilie : être excité d’être regardé en faisant l’amour (oui ben exhibo quoi),La ludophilie : être excité par l’idée de jouer un rôle (cas assez connu hein) et ma préféré niveau zarbi est la dacryphilie : être excité par les larmes!! Celle-ci waouh fallait trouver enfin cela existe en vrai! Casting sympa entre Viard, Rouvre,Bouquet,Bellucci...même si Ramzy ici piou comment il peut encore faire des films!!!! Alors au vu de la bande annonce ce promettait d'être plutôt drôle mais sur les 6 , 3 étaient marrantes celle des déguisements ou le mec en fait trop, celle des larmes car fait tout pour que son mec pleure et cela paye et celle d'être mater mais le reste...con-con au mieux, navrant au pire et du temps perdu même si j'ai appris des mots nouveaux! Et puis l'actrice Joséphine Jaby dans son couple d'être excité sans le faire a mais non trop mignonne là, du gâchis .😉🤣Donc devait être une comédie mais plus un regard sur ces genres qu'autres choses. Ce qui donne un film inégale et juste moyen dans son ensemble, dommage... enfin l'être humain est aussi inventif que tordu... NOTE : 4.75/10