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    Les Amours d’Anaïs
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    3,0
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    129 critiques spectateurs

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    benitoberlon
    benitoberlon

    59 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2022
    Et bin j'ai trouvé ça très ennuyeux. Les acteurs sont plutôt bons, mais le personnage d'Anais Demoustier est absolument horripilant : Elle est volage, menteuse, égocentrée, sans aucune respect de l'autre, bref, elle ne dégage aucune sympathie. Vous agitez à cela une histoire assez basique et pour moi, ça sera très vite oublié
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    164 abonnés 453 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2022
    Charline Bourgeois-Tacquet mise tout sur le charme et la beauté d'Anaïs Demoustier, le seul effet de mise en scène consiste à la filmer en train de courir sur de la musique. Mis à part le fan-club de cette actrice, qui peut se contenter de ce triangle amoureux banal?
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 septembre 2021
    Le monde se divise en deux catégories : ceux qui aiment Anaïs Demoustier et ceux qui ne la connaissent pas (un petit plus nombreux, peut-être). Pour les premiers, Les amours d'Anaïs, titre parfait, a de quoi les combler puisqu'on ne cesse de la voir à l'écran, courant, galopant, papillonnant et arrivant sans cesse en retard, espiègle et insouciante. Le film, assez gai dans sa première partie, acquiert de la gravité dans la deuxième, se confrontant à un sujet fort sérieux, n'est-il pas ?, à savoir l'amour avec un A majuscule. L'actrice est parfaite dans un rôle qui lui sied et elle est encore meilleure quand elle a du répondant face à elle, soit une Valérie Bruni-Tedeschi sage et sobre (débarrassée d'une certaine tendance à l'hystérie, elle est excellente) et un Bruno Podalydès égal à lui-même mais un peu sacrifié au duo féminin. Dans ce portrait d'une jeune femme qui se cherche mais penche pour le plaisir et le désir, Les amours d'Anaïs s'éloigne vite du triangle amoureux sans perdre de son charme éthéré mais sans non plus atteindre le niveau ludique et très travaillé d'un Emmanuel Mouret, par exemple. Du marivaudage agréable pour ce premier long-métrage de Charline Bourgeois-Tacquet auquel il manque sans doute un peu de coffre et de densité pour pleinement satisfaire.
    Christoblog
    Christoblog

    834 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2021
    Le film commence comme un hommage énamouré à Anaïs Demoustier. L'actrice, dont le personnage s'appelle d'ailleurs Anaïs, virevolte, parle comme une mitraillette, s'agite dans tous les sens, s'exprime comme elle pense, se déshabille en tortillant des fesses, bref, imprime l'écran comme Belmondo jeune savait le faire. Superficielle, ne vivant que dans l'instant, ne construisant rien, elle séduit et énerve à la fois.

    L'enjeu du film se dessine rapidement : contre quoi la vivacité exacerbée d'Anaïs va-t-elle s'écraser ?

    Et la réponse est : contre Valeria Bruni-Tedeschi, ou plutôt contre l'amour qu'Anaïs va concevoir pour cette dernière. Cette seconde partie a gâché pour moi la première. Autant j'ai pu être intrigué par l'ouragan Demoustier, autant la drague lourde chargée d'un gros transfert psychanalytique qu'entreprend Anaïs m'a ennuyé.

    La psychologie de comptoir (l'amante a le même âge que la mère qui se meurt), la scène sensuelle de la plage (filmée comme un porno soft), la pauvreté de l'écriture et la fin qui ne sait pas finir auront eu au final raison de ma patience.

    A ne voir que si vous êtes fan d'Anaïs Demoustier.
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    183 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2021
    Très bon film, j'y ai passé un agréable moment, surtout que je suis fan d'Anaïs Demoustier, que je trouve belle, rayonnante et naturelle dans son jeu dans chacun des films dans lesquels elle a pu jouer. Les amours d'anaïs ne compromet pas ce constat. Avec un personnage un petit peu plus énergique et speed, j'ai adoré la naïveté couplé à la détermination du personnage d'Anaïs. Le duo formé avec Valeria Bruni Tedeschi est d'une grande force et fonctionne parfaitement. Quelle puissance dégagée par les deux actrices, j'y ai personnellement cru tout du long tellement cela semblait authentique et naturel. J'ai aussi beaucoup aimé Denis Podalydès, qui, avec ses mimiques et son jeu, vient apporter une touche d'humour et d'enjeu à l'intrigue dans ce triangle amoureux.
    Les visages et les corps sont bien filmés, et même la scène sur la plage est incroyablement élégante et sensuelle.
    L'amour véritable qui se dégage de ce film est parfaitement retranscrit par les 2 personnages féminins, et surtout par un jeu de regard et de séduction fou ! Aidé par des dialogues qui sont à la fois savoureux et magnifiquement écrit, surtout celles d'Emilie jouée par Valeria Bruni Tedeschi. La tirade finale est d'une grande beauté, et la fin ouverte n'a, pour ma part, rien gâché du plaisir, laissant le dénouement ouvert. En même temps, il aurait été difficile et frustrant de rester sur cette scène finale, à la place d'Anaïs... Un prolongement ? ou un dernier au revoir ? j'aime beaucoup cette fin, qui donne raison aux 2 chemins et raisonnement possibles de façon tout à fait cohérente d'ailleurs.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2021
    Anaïs a trente ans et pas assez d’argent. Elle a un amoureux qu’elle n’est plus sûre d’aimer. Elle rencontre Daniel, à qui tout de suite elle plaît. Mais Daniel vit avec Émilie… qui plaît aussi à Anaïs.

    C’est une réalisation de Charline Bourgeois-Tacquet qui avait fait le court-métrage Pauline asservie avec en actrice Anaïs Demoustier. Les Amours d’Anaïs a été nommé à la Semaine Internationale de la Critique 2021.

    Je n’ai pas été convaincu par cette comédie romantique que j’ai trouvé moyenne.



    Pourtant, les bases sont plutôt solides avec le personnage d’Anaïs. Cette trentenaire, au profil atypique pour une comédie romantique, détonne par son naturel. J’aime ce côté décomplexé. Elle veut vivre l’instant présent sans jamais se prendre la tête et n’aime pas les responsabilités ou les impératifs. Une symbolique de cela, est qu’on la voit souvent courir car elle est en retard. Ça montre bien qu’elle n’arrive pas à rentrer dans les cases. C’est d’ailleurs ce qui en fera son charme et tout son intérêt.



    Anaïs Demoustier est d’ailleurs parfaite dans son interprétation. Elle a une façon de jouer qui colle impeccablement à ce personnage. L’actrice Française donne vie à son homonyme fictif. Elle arrive à la fois à faire transparaitre ce côté irresponsable et peu soucieux des autres, mais aussi les passages où Anaïs doit se remettre en question. Car ce personnage est finalement bien écrit en ne restant pas scotché dans un stéréotype.



    Malheureusement, à part elle, je n’ai pas forcément apprécié cette comédie romantique. Sa présence et son aura ne sont pas suffisante pour élever le niveau. Il y a beaucoup trop de moment mou. Avec une telle vitalité de notre protagoniste principale, on aurait pu s’attendre à un festival ! Ce ne sera pas du tout le cas. D’ailleurs le schéma romantique essaye de sortir aussi de la norme, mais finalement c’est un peu bancal dans la construction. Il y a un truc qui ne colle pas forcément.

    Je pense que le caractère des personnages secondaires n’aide pas. En effet, ils vont paraître tellement transparents à côté d’Anais. Aucun ne va être à la hauteur. Bien que j’apprécie Denis Podalydès en tant qu’acteur, cette fois-ci, il ne m’a pas vendu du rêve. Je pensais que Valeria Bruni Tedeschi arrivera à s’imposer, mais elle aussi est trop timide. À noter, pour un plaisir un peu égoïste, la présence d'Anne Canovas qui joue dans plus belle la vie.
    Cinephille
    Cinephille

    159 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 septembre 2021
    Je suis fan d’Anais Demoustiers et de Denis Podalydes. Tout commençait donc bien. Mais au fond le côté vaudeville est trop présent tout au long du film qui oscille (mal) entre une certaine gravité et des choses plus légères. On reste dans le fil français trop verbeux où le virevoltage ne cache pas un manque de contenu. Le tout dans le sempiternel milieu université / édition et de jolies maisons à la campagne.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    116 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2021
    A vu "Les amours d'Anaïs" premier film de la réalisatrice Charline Bourgeois-Tacquet. Anaïs est comme un petit animal elle court, elle saute, elle virevolte, elle est inconséquente, elle est légère et un brin égoïste... et dès qu'elle se pose : elle pleure quand la réalité la rattrape trop vite. Anaïs est la vie, elle mord le quotidien et ses envies par tous les bouts, quitte à s'emméler dans ses mensonges et ses pulsions. Anaïs Desmoustier EST Anaïs, le spectateur vit le plaisir immense que l'actrice a eu de jouer physiquement (rôle particulièrement athlétique) et émotionnellement ce personnage solaire. Anaïs croise le chemin et le lit de Daniel cinquantenaire fatigué qui tombe irrésistiblement sous le charme de cette toupie qui gravite à toute vitesse et Anaïs, elle, force beaucoup le destin pour rencontrer Emilie l'écrivaine et par la même occasion la femme de Daniel. Ce marivaudage bien dans et de notre époque est léger, juste, drôle et émouvant. Denis Podalydes est très amusant en mari trompeur, lâche et cocu et Valéria Bruni-Tedeschi est toute en émotion et particulièrement bouleversante dans son monologue final. De très jolies idées de mise en scène dont je retiens l'échange épistolaire entre les deux femmes. La caméra est comme ses deux interprètes féminines à fleur de peau et badine. Ce premier film est vif, profond et rempli de vitalité comme un amour d'été.
    Aubert T.
    Aubert T.

    126 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2021
    Marivaudage dans la bourgeoisie intellectuelle, comme si c'était le tropisme du ciné français depuis 50 ans
    C'est vieillot, agaçant, et ça enfile les clichés les uns après les autres en pensant sûrement viser juste. On a donc droit à la scène de danse, à la scène de cul censée être sensuelle, et surtout à des dialogues creux sur ce qu'est la nature véritable de l'amour.
    Pitié.
    Charles R
    Charles R

    52 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 septembre 2021
    « Les Amours d’Anaïs » : une sensualité à fleur de peau

    Anaïs est belle. Délicieusement belle. Encore plus belle quand elle court. Or elle n’arrête pas de courir, et ce pour notre plus grand plaisir. Anaïs, c’est bien sûr Anaïs Demoustier que l’on parvient sans peine à identifier au personnage qu’elle incarne même si elle s’en défend. Mais le fait d’avoir retenu son prénom dès l’annonce du titre ne peut qu’autoriser une possible identification.
    Anaïs – celle de la fiction (essayons de la distinguer de la vie « réelle ») – ne cesse de courir : nous l’avons dit, mais il s’agit bien d’un leitmotiv chorégraphique qui donne à son personnage une légèreté permanente, tant d’un point de vue physique que psychologique. Anaïs revendique l’inconstance : elle ne saurait se fixer avec les êtres qu’elle aime. Elle a la grâce du papillon qui vole de fleur en fleur après en avoir épuisé le suc. Nous la voyons d’abord en compagnie d’un jeune garçon qui l’aime et dont elle est enceinte. Mais Anaïs est fatiguée de cette liaison et ne saurait devenir mère.
    Elle succombe alors aux charmes de Daniel (Denis Podalydès), un homme d’âge mûr qui ne dispose pas toujours des ressources nécessaires à un acte sexuel en bonne et due forme. Qu’à cela ne tienne : il a au moins l’avantage d’avoir une compagne, Emilie (Valeria Bruni Tedeschi), qui va rapidement intéresser notre Anaïs. Celle-ci s’initie alors aux joies du saphisme – ce qui nous vaut une jolie scène intimiste sur une petite plage perdue des Côtes d’Armor.
    Il y a quelque chose de libertin dans le film de Charline Bourgeois-Tacquet – et ce n’est pas la scène nocturne dans le cabinet secret où abondent les gravures érotiques qui nous fera penser le contraire. Anaïs – celle de la fiction – prépare une thèse de doctorat sur l’écriture de la passion au XVIIe siècle. Comme on l’eût plutôt attendue sur le même sujet… au XVIIIe ! Ce qui est certain, c’est que le personnage baigne dans la littérature : Anaïs lit beaucoup et ce n’est pas un hasard si elle s’éprend d’une écrivaine qui trouve aussi de son côté un beau moyen d’expérimenter ainsi de nouvelles aventures romanesques.
    Le film est sans conteste une comédie : on y trouve la légèreté, l’humour et le cynisme d’un Philippe Le Guay, mais aussi l’art du développement et du rythme cher à Claude Sautet. Un film de cinéphile sans nul doute, mais aussi d’une amoureuse de la littérature et du théâtre que l’on devine éprise de la dramaturgie d’un Marivaux ou des contes libertins de Crébillon.
    Inutile de dire combien la distribution a de quoi ravir, depuis la tourbillonnante Anaïs Demoustier, si sensible et si intelligente, jusqu’à Anne Canovas qui, incarnant la mère d’Anaïs, confère une part de gravité non négligeable à ce film qui est tout sauf une banale comédie, en passant par Denis Podalydès, toujours aussi drôle quand son rôle l’exige, et Valeria Bruni Tedeschi, affichant sans complexe ses 56 ans (l’âge d’Emilie…) et donnant à son personnage une réelle intensité dans l’expression de l’amour.
    Oui, le film de Charline Bourgeois-Tacquet est une célébration de l’amour sans complexe, une ode au désir qui ne se connaît pas de limites, mais aussi le succulent portrait d’une jeune femme d’aujourd’hui, d’une trentenaire que l’on devine soucieuse de repousser le plus longtemps possible l’entrée dans ce qu’il convient d’appeler la vie d’adulte.
    William Dardeau
    William Dardeau

    33 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 octobre 2021
    Charline Bourgeois-Tacquet perpétue une (mauvaise) tradition du cinéma français récent : la comédie sentimentale dans le milieu de l’édition. J’ai franchement du mal à comprendre comment l’avance sur recette continue de financer cet entre-soi grossier. On dirait que certains scénaristes ne connaissent que 5 professions : éditeur, écrivain, avocat, artiste ( ?) et plus récemment cuisinier. Ils ou elles doivent penser que tout un chacun est pétrifié d’inquiétude en attendant la nomination du prochain Renaudot. Cette fois nous avons droit à une jeune femme survoltée et agitée (elle court tout le temps !) qui s’entiche d’une écrivaine ( ?) , après avoir eu une relation plutôt improbable avec le mari de cette dernière. L’ensemble sonne évidemment faux, et c’est surtout strictement sans intérêt. Il faudrait que Anais Demoustier change de registre, car elle pourrait rapidement devenir agaçante.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    105 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2021
    J'aime beaucoup Anais Demoustier et ce film dont le propos est intéressant m'a paru survolé. À être partout on est parfois nulle part. Les comédiens sont bons c'est le sujet que je trouvé inabouti .
    Serge K
    Serge K

    14 abonnés 349 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 décembre 2021
    des poncifs vus et revus, de la Femme toute puissante, que tous convoitent, hommes; femmes, méprisante envers les personnages pathétique qu'elle a en face d 'elle, et qui acceptent de se faire humilier...
    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    142 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2021
    On suit Anaïs tout au long de ce film... Anaïs, vive et affectueuse, qui court, qui galope, qui grimpe les escaliers... Anais surtout prête à tout pour être aimée sans tiédeur ...! Le début est un peu laborieux puis tout se pose et s'illumine avec l'entrée en scène de V B-Tesdeschi... le duo des actrices fonctionne bien avec même spoiler: [[spoiler]/spoiler]une jolie scène d'amour ...
    spoiler:
    et une fin très réussie !
    PLR
    PLR

    471 abonnés 1 568 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 septembre 2021
    Une jeune femme extravertie, fougueuse et frivole, telle est la mise en situation de départ. Même si la scénariste et réalisatrice soutient mordicus le contraire dans les secrets de tournage, il y a du personnage féminin typique de ce qu’Eric Rohmer affectionnait. C’est nié. Bon ! Peut-être que ça vaut mieux finalement car le jeu des amours et du hasard ne sera pas aussi poussé que ce que le maître du genre aurait affectionné et certainement davantage travaillé. Le déroulement est somme toute assez prévisible. Exit donc le plaisir des retournements de situation au gré de rencontres croisées et autres aléas. Des dialogues et des situations assez littéraires alors que le scénario n’est pas l’adaptation d’un roman, c’est toujours un écueil. Ça ne plaira sans doute pas à un très large public. C’est une coproduction Arte, ce qui signe un style s’apparentant à ce qu’on nomme le cinéma d’auteur.
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