AlloCiné
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Votre avis sur Le Temps D’Aimer ?
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Une trame historique, l'ambiance de l'époque bien rendue, de bons acteurs/ actrice que ce soit principaux ou seconds rôles, de la sensibilité. Une scène glauque dans une pissotiere, inutile, des brusques sauts dans le temps, dérangeants.La scène finale pour moi est la plus forte en émotion et en symbole.
A voir absolument magnifique film qui se déroule sur un période de vingt après guerre, romanesque et bouleversant de par histoire son liée à l'époque les interprètes sont formidables mention spéciale à Vincent Lacoste
Bon film émouvant et sensible revenant sur 2 moments peu glorieux de notre histoire : la tonte des femmes ayant couché avec des Allemands à la Libération et la traque des homosexuels des années 50 au début des années 80. Rappelons qu'il a fallu attendre 1982 pour que soit abolie la loi vychiste qui permettait de pourchasser les homosexuels.
Les 2 personnages principaux sont attachants, nous vivons leurs difficultés de couple, leurs erreurs, la tendresse qui les unit spoiler: et leur échec nous navre.
. Le personnage de Daniel nous fend le coeur, petit garçon mal aimé, rendu responsable du malheur de sa mère.
Je recommande ce film !
Les 2 personnages principaux sont attachants, nous vivons leurs difficultés de couple, leurs erreurs, la tendresse qui les unit spoiler: et leur échec nous navre.
. Le personnage de Daniel nous fend le coeur, petit garçon mal aimé, rendu responsable du malheur de sa mère.
Je recommande ce film !
Ce film représente le bon cinéma FRANÇAIS selon moi.
Une histoire humaine qui est crédible et prend aux tripes, une histoire qui s'appuie sur le contexte sociale et politique de son époque, une histoire qui pousse à s'interroger à de nombreux égards.
Une histoire humaine qui est crédible et prend aux tripes, une histoire qui s'appuie sur le contexte sociale et politique de son époque, une histoire qui pousse à s'interroger à de nombreux égards.
… et aussi le temps des secrets
Voilà 10 ans que j’ai découvert la réalisatrice Katell Quillévéré avec Suzanne. Ensuite son réparer les vivants de 2016 n’était pas passé inaperçu…et depuis, plus rien. Heureusement, elle revient en force avec ces excellentes 125 minutes d’un mélo classique assumé mais bourré de qualités. 1947. Sur une plage, Madeleine, serveuse dans un hôtel-restaurant, mère d’un petit garçon, fait la connaissance de François, étudiant riche et cultivé. Entre eux, c’est comme une évidence. La providence. Si l’on sait ce qu’elle veut laisser derrière elle en suivant ce jeune homme, on découvre avec le temps ce que François tente de fuir en mêlant le destin de Madeleine au sien... Beaucoup d’émotions différentes, de la justesse dans les sentiments et un sens du rythme qui fait que jamais l’ennui ne pointe à l’horizon de ces deux heures d’excellente facture.
L’idée du film trouve son origine dans l’histoire de la grand-mère de Katell Quillévéré, qui a toujours fait sentir qu'elle avait un secret. Au cœur de cette histoire, le couple et son mystère. Qu’est-ce qui provoque l’alchimie au départ ? Qu’est-ce qui le fait tenir ? Qu’est-ce qui le déchire ? Autant de questions posées dans ce film sans pour autant, sagement, y apporter de réponse définitive. Ici, sur plus de 20 ans, on suit la vie d’un couple de personnes marquées par la vie, sur les épaules desquelles pèse un secret, Leur pulsion de vie sera-t-elle plus forte que tout ? Je n’oublierai pas un autre pan important, du scénario, la quête d’identité du garçon. Alors oui, c’est un mélo avec tout ce qui constitue l’ADN du genre y est présent : des personnages qui s’unissent alors que tout les oppose, un récit romanesque qui oscille entre moments de joie et moments de détresse, la menace constante que la catastrophe arrive… Ajoutons à tout cela, la mise en scène et l’interprétation impeccables et on tient un vrai bon film.
Le couple Anaïs Demoustier / Vincent Lacoste est à son meilleur. Ils s’étaient déjà donné la réplique dans Fumer fait tousser de Dupieux, donc dans un genre pour le moins différent de ce drame. Voilà un acteur et une actrice, jeunes trentenaires, qui ont débuté quasiment la même année, jeunes tous les deux, et dont l’ascension ne s’arrêtent pas. Parfaits tous les deux. Ainsi que Morgan Bailey, - pour un 1er film s’annonce comme un acteur à suivre -, et les jeunes Josse Capet et Paul Beaurepaire, qui campent le jeune Daniel à deux âges différents. En littérature on peut penser à Stefan Zweig, au cinéma, à Douglas Kirk, de sérieuses références pour un des beaux films français de cette fin d’année.
Voilà 10 ans que j’ai découvert la réalisatrice Katell Quillévéré avec Suzanne. Ensuite son réparer les vivants de 2016 n’était pas passé inaperçu…et depuis, plus rien. Heureusement, elle revient en force avec ces excellentes 125 minutes d’un mélo classique assumé mais bourré de qualités. 1947. Sur une plage, Madeleine, serveuse dans un hôtel-restaurant, mère d’un petit garçon, fait la connaissance de François, étudiant riche et cultivé. Entre eux, c’est comme une évidence. La providence. Si l’on sait ce qu’elle veut laisser derrière elle en suivant ce jeune homme, on découvre avec le temps ce que François tente de fuir en mêlant le destin de Madeleine au sien... Beaucoup d’émotions différentes, de la justesse dans les sentiments et un sens du rythme qui fait que jamais l’ennui ne pointe à l’horizon de ces deux heures d’excellente facture.
L’idée du film trouve son origine dans l’histoire de la grand-mère de Katell Quillévéré, qui a toujours fait sentir qu'elle avait un secret. Au cœur de cette histoire, le couple et son mystère. Qu’est-ce qui provoque l’alchimie au départ ? Qu’est-ce qui le fait tenir ? Qu’est-ce qui le déchire ? Autant de questions posées dans ce film sans pour autant, sagement, y apporter de réponse définitive. Ici, sur plus de 20 ans, on suit la vie d’un couple de personnes marquées par la vie, sur les épaules desquelles pèse un secret, Leur pulsion de vie sera-t-elle plus forte que tout ? Je n’oublierai pas un autre pan important, du scénario, la quête d’identité du garçon. Alors oui, c’est un mélo avec tout ce qui constitue l’ADN du genre y est présent : des personnages qui s’unissent alors que tout les oppose, un récit romanesque qui oscille entre moments de joie et moments de détresse, la menace constante que la catastrophe arrive… Ajoutons à tout cela, la mise en scène et l’interprétation impeccables et on tient un vrai bon film.
Le couple Anaïs Demoustier / Vincent Lacoste est à son meilleur. Ils s’étaient déjà donné la réplique dans Fumer fait tousser de Dupieux, donc dans un genre pour le moins différent de ce drame. Voilà un acteur et une actrice, jeunes trentenaires, qui ont débuté quasiment la même année, jeunes tous les deux, et dont l’ascension ne s’arrêtent pas. Parfaits tous les deux. Ainsi que Morgan Bailey, - pour un 1er film s’annonce comme un acteur à suivre -, et les jeunes Josse Capet et Paul Beaurepaire, qui campent le jeune Daniel à deux âges différents. En littérature on peut penser à Stefan Zweig, au cinéma, à Douglas Kirk, de sérieuses références pour un des beaux films français de cette fin d’année.
J'ai aimé ce film, très émouvant. Il met en lumière les faces cachées de tous les aimants du film.
Il y avait quelques longueurs.
A voir absolument.
Il y avait quelques longueurs.
A voir absolument.
Super!
Bien filmé, acteurs parfaits dans leur rôle.
Scénario extra...
Un bel équilibre du début à la fin tenu en haleine.
Au-delà des apparences pourrait aussi bien coller pour le titre.
Vraiment à voir.
Un excellent moment.
Bien filmé, acteurs parfaits dans leur rôle.
Scénario extra...
Un bel équilibre du début à la fin tenu en haleine.
Au-delà des apparences pourrait aussi bien coller pour le titre.
Vraiment à voir.
Un excellent moment.
Ce film nous invite dans un autre monde. Le monde d'avant, celui où la majorité était à 21 ans. En ce temps-là, il n'y avait qu'une seule chaîne de télévision. Le fascisme avait commis son œuvre destructrice dans les têtes et les corps. Tout devait aller mieux et la liberté et l'amour devaient se répandre partout. Que nenni. Le pire n'est pas encore éradiqué. Est-il à venir ?
domi...
domi...
Très beau film, de la difficulté d’aimer un enfant non désiré à une très belle histoire d’amour.
Les acteurs it d’une grande justesse tout comme la reconstitution d’une France d’après guerre juste qu’à la dépénalisation de l’homosexualité.
Une vraie réussite
Les acteurs it d’une grande justesse tout comme la reconstitution d’une France d’après guerre juste qu’à la dépénalisation de l’homosexualité.
Une vraie réussite
Quelle belle histoire d'amour.
Sur fond de l'affreuseté du traitement mysogine des femmes ayant eu une relation avec des soldats allemands pendant la guerre, et de l'affreuseté de l'homophobie de l'époque.
Mention spéciale pour l'acteur qui incarne le soldat américain et qui pour une fois ( bha oui, soulignons le parce que c'est EXTRA rare, la beauté masculine vraiment représentée au cinéma.) La beauté du corps masculin n'est quasi jamais représentée dans le cinéma, puisque majoritairement réalisé par des hommes.
Seules les actrices sont choisies sur des critères esthétiques quand il s'agit de jouer le rôle d'une femme dite " fatale ' ou pire, objetisée, en tout cas censée représenter un personnage très désirable.
Ici le soldat américain est solaire, bien filmé, le charme opère à fond.
Un beau film dont je n'ai pas décroché une seconde, les acteurs sont justes, ça change des histoires d'amour conventionnelles.
Sur fond de l'affreuseté du traitement mysogine des femmes ayant eu une relation avec des soldats allemands pendant la guerre, et de l'affreuseté de l'homophobie de l'époque.
Mention spéciale pour l'acteur qui incarne le soldat américain et qui pour une fois ( bha oui, soulignons le parce que c'est EXTRA rare, la beauté masculine vraiment représentée au cinéma.) La beauté du corps masculin n'est quasi jamais représentée dans le cinéma, puisque majoritairement réalisé par des hommes.
Seules les actrices sont choisies sur des critères esthétiques quand il s'agit de jouer le rôle d'une femme dite " fatale ' ou pire, objetisée, en tout cas censée représenter un personnage très désirable.
Ici le soldat américain est solaire, bien filmé, le charme opère à fond.
Un beau film dont je n'ai pas décroché une seconde, les acteurs sont justes, ça change des histoires d'amour conventionnelles.
Une juxtaposition d'histoires, du lendemain de la seconde guerre mondiale à nos jours. En ligne rouge, un amour infini mais contrarié.
Mais qui embrasse trop étreint mal.
Le film a toutefois du souffle mais peu d'émotions.
C'est parfois long, malgré une interprétation engagée.
J'aurais aimé adorer.
Mais qui embrasse trop étreint mal.
Le film a toutefois du souffle mais peu d'émotions.
C'est parfois long, malgré une interprétation engagée.
J'aurais aimé adorer.
Le film passe en revue une tranche de la vie familiale de français moyens, de la libération en 1945 aux années soixante. J'ai pensé aux films de Diane Kurys, ''Coup de foudre'' surtout, (1983), et quelques autres aussi dans une moindre mesure, dont on retrouve ici toute l'ambiance et l'atmosphère avec ses drames intimistes et familaux qui puisent leur racines dans les circonstances et les évènements collectifs de notre histoire contemporaine. Les thèmes de l'amour filial, de la bisexualité, des secrets de famille humiliants et sclérosants sont ici abordés avec habileté, dans un mélange de pudeur et de dureté où point souvent une émotion d'une intensité incomparable. L'interprétation d'Anaïs Demoustier m'a fait pensé à celle d'une Isabelle Huppert, avec celle de Vincent Lacoste ces interprètes sont bluffants de réalisme. On prend conscience aussi de tout le chemin parcouru pour la libération des mœurs, à une époque où la honte et l'interdit aboutissait à la négation des individus et des libertés, en cela le film a aussi une valeur historique et illustre parfaitement les problèmes auxquels ont pu être confronté nos parents et grands-parents. Un film sur notre histoire contemporaine à retenir pour ne pas oublier les progrès durement acquis en la matière
Un super film une histoire forte un jeu d acteurs de ouf vraiment un film de ouf a voir absolument que d émotions
Une bouteille à la mer .
Je sors du film , j'ai adoré .
Je souhaiterai savoir si quelqu'un pourrait me dire le titre du poème que Madeleine lit au moment de l'enterrement de François svp .
Je sors du film , j'ai adoré .
Je souhaiterai savoir si quelqu'un pourrait me dire le titre du poème que Madeleine lit au moment de l'enterrement de François svp .
Bouleversée par l'histoire , la relation mère/fils , père/fille, l'amour incroyable entre les deux personnages principaux. Vincent Lacoste est un acteur incroyable et Anais Demoustier a un beau rôle également .
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