AlloCiné
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Votre avis sur Animal ?
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Je ne peux que donner la meilleure note pour ce magnifique documentaire. Ni donneur de leçon, ni culpabilité. Juste le regard bienveillant d'un beau duo Bella et Vipulan qui forcément nous interroge sur cette course à la consommation. L'avenir de leur génération est menacé et à travers eux nous ne pouvons que ressentir une envie de se ranger à leurs côtés .
Encore ému des 2h que j'ai passé à regarder ce documentaire. Je suis autant enthousiasmé qu'après avoir vu Demain.
De bonnes réflexions à apporter aux téléspectateurs "étrangers ou non intéressés" par la cause animale. Il faut comprendre que tout est lié, et Cyril Dion nous apporte cette manière de voir les choses.
Mais maintenant comment transmettre et répandre ce message aux autres autour de nous ?
J'ai 3 enfants (9ans, 6 ans, et 1an) et j'aurais aimé que la version française le soit intégralement (sans sous titre) pour emmener les 2 plus grands le voir avec moi.
Il y a un gros changement de mentalité à apporter à notre société pour amorcer le changement qu'on attend. Ne misons pas tout sur la jeune génération pour faire les choses, ils ont besoin de nous (parents, grands parents) pour déclencher les premières actions.
Un film à voir, faire voir, et transmette autour de nous.
Merci Cyril Dion
De bonnes réflexions à apporter aux téléspectateurs "étrangers ou non intéressés" par la cause animale. Il faut comprendre que tout est lié, et Cyril Dion nous apporte cette manière de voir les choses.
Mais maintenant comment transmettre et répandre ce message aux autres autour de nous ?
J'ai 3 enfants (9ans, 6 ans, et 1an) et j'aurais aimé que la version française le soit intégralement (sans sous titre) pour emmener les 2 plus grands le voir avec moi.
Il y a un gros changement de mentalité à apporter à notre société pour amorcer le changement qu'on attend. Ne misons pas tout sur la jeune génération pour faire les choses, ils ont besoin de nous (parents, grands parents) pour déclencher les premières actions.
Un film à voir, faire voir, et transmette autour de nous.
Merci Cyril Dion
Splendide. Indispensable.
Cyril Dion continue son oeuvre de salubrité publique avec talent.
Merci infiniment de nous ouvrir les yeux et d'incarner l'espoir.
Cyril Dion continue son oeuvre de salubrité publique avec talent.
Merci infiniment de nous ouvrir les yeux et d'incarner l'espoir.
Plus de 5 000 "citoyens" ont participé au financement de ce film, j'espère vivement que plus de 500 000 iront le voir. Surtout les jeunes. Je craignais d'être trop touchée par ce doc. au point de ne pas l'apprécier, or, oui j'ai été touchée, mais suis ressortie avec un sourire dans la tête. Merci Cyril (and Cie). Les choses commencent à s'équilibrer...
Les deux jeunes suivis par la caméra dans leurs diverses rencontres sont touchants, naturels, vrais - et "Dieu" que la nature est belle (et bien filmée), et bien faite !
Les deux jeunes suivis par la caméra dans leurs diverses rencontres sont touchants, naturels, vrais - et "Dieu" que la nature est belle (et bien filmée), et bien faite !
Le film est aussi bouleversant qu'utile, pour susciter une prise de conscience, la conforter ou réaffirmer des choix et engagements. Il faut aller le voir ! C'est un bijou à diffuser et partager partout
Ufuk K
" Animal" est un documentaire instructif . En effet même si j'ai préféré la précédente réalisation de Cyril Dion " Demain" et que l'ensemble n'a rien de transcendant , le réalisateur nous propose un documentaire utile décrivant les causes, les conséquences et les solutions pouvant être proposés à la destruction de l'éco système par l'être humain à travers le regard de deux jeunes adolescents Bella et Vipulan dans un combat engagé avec au passages de sublimes images
Bien ce film, ce duo d’ados, à qui l’on peut dire "heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage" —ces ados peuvent être heureux d’avoir pu voyager et, en prime, comprendre (la majorité des adultes de plus de cinquante ans aujourd’hui n’ont pas eu cette chance, ou n'ont pas fait cet effort). Rencontrer le zèbre impérial (qui est en voie de disparition), ou comprendre le président du Costa Rica, n’est pas donné à tout le monde. Mais on ne peut quand même pas dire du film que c’est plus que "bien" —même si plusieurs fois l’émotion est à son comble. Après un démarrage de film d’horreur, à vous faire quitter la salle, un optimisme s’installe petit à petit, qui aura le mot de la fin —la haine de l’humain (à l’origine d’une extinction de masse) n’est pas la bonne solution —c’est quand même un bon message, sauf que le message semble être là pour faire taire les ados trop turbulents dans les manifs. Démarrage et fin ont ainsi un arrière-goût politique —on fait peur d’abord (avec des images qu’on a tous déjà vues quelque part), on rassure ensuite (avec des discours sur la compréhension, la coopération). En fait, on préfèrerait (peut-être) un documentaire en cinq épisodes, sur les cinq causes des problèmes (tel que résumé au début du film). Et sans dramatisation, ni dédramatisation (telles que vécues par notre duo d’ados, avec qui l’on pleure parfois). Car c’est un film difficile et complexe. La volonté quasi-universelle de croissance économique rend invisible le malheur, pourtant visible partout —des océans et des plages de Bombay saturés de plastiques, aux cœurs des californiens voyant que tout va mal chez eux malgré leur croissance économique. Et ce n’est pas facile à démontrer ni à comprendre. Mais, même si l’on ne capte pas tout comme on le voudrait, le film sera quand même utile pour beaucoup (jeunes ou pas) —montrer qu’on ne peut pas agir sans avoir compris est utile ; montrer qu’agir ensuite est utile ; rappeler qu’un insecte porte un nom est utile (au moins autant que savoir nommer une marque de sneakers). A.G.
A voir absolument, comment le regard de deux enfants pré adolescent face au bouleversement des écosystèmes en court peu peut être nous amener a changer.
Vu lors de la campagne de promotion au festival du grand bivouac à Albertville.
Un torrent d'eau tiède plein de bonnes intentions. Les images chocs sont très furtives, l'aspect militant est gommé avec soin. Puisque l'audience est acquise à la cause, le coté informatif est extrêmement limité. Le message est que l'homme ne peut survivre qu'en symbiose avec la nature, avec le monde animal qui détient les clés de sa survie. Rien de neuf donc.
Le parti-pris de voir le problème sous l'angle de vue de deux adolescents est une belle idée pour donner une perspective au constat funeste. Un film nécessaire, voire indispensable pour accélérer une prise de conscience salvatrice.
Un torrent d'eau tiède plein de bonnes intentions. Les images chocs sont très furtives, l'aspect militant est gommé avec soin. Puisque l'audience est acquise à la cause, le coté informatif est extrêmement limité. Le message est que l'homme ne peut survivre qu'en symbiose avec la nature, avec le monde animal qui détient les clés de sa survie. Rien de neuf donc.
Le parti-pris de voir le problème sous l'angle de vue de deux adolescents est une belle idée pour donner une perspective au constat funeste. Un film nécessaire, voire indispensable pour accélérer une prise de conscience salvatrice.
J'ai versé quelques larmes durant le film mais quand il s'est fini, j'avais un grand sourire. Un très grand film, à montrer dans toutes les écoles, toutes les entreprises.
Très beau film ! J'y ai amené une amie n'étant pas une habituée des documentaires écologistes et qui craignait que ce soit triste et elle a beaucoup aimé ! Je recommande chaudement ce film !!
J'ai trouvé ça mauvais, pas sur le fond car le propos est en toute logique honorable et évident mais pour la forme. En effet, j'ai trouvé que le tier des intervenants n'était pas pertinent et le fait de choisir des enfant comme protagoniste a à première vue du bon mais beaucoup de mauvais. Je trouve même ça malsain parce qu'évidemment les intervenants vont leur parler d'un air candide et simple mais pour un tel sujet, il est difficile de ne pas évoquer les sujets sensibles (je pense à l'éleveur nantais qui se retrouve embarrassé par les questions des enfants car il ne peut pas leur expliquer la dure réalité économique et politique de ce genre d'élevage). D'ailleurs les enfants ont quand même 16 ans mais non pas un recul mature sur l'ensemble des points de vue : selon eux le véganisme est l'alimentation suprême (j'exagère mais l'idée y est), et ne pense pas aux petits métiers derrière tout le "mal" engendré de la surpêche notamment.
Je le conseille quand même mais le réalisateur aurait dû choisir des enfants avec plus de recul. Et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, c'est une bonne chose que ces jeunes agissent comme tel mais faut-il encore penser à toute la complexité de notre société dans toute son évolution et sa modernité.
Je le conseille quand même mais le réalisateur aurait dû choisir des enfants avec plus de recul. Et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, c'est une bonne chose que ces jeunes agissent comme tel mais faut-il encore penser à toute la complexité de notre société dans toute son évolution et sa modernité.
Vu en AP, le film a le mérite de mettre l'humain au centre des débats et de sortir du manichéisme gentils écolos méchants tous les autres. Sans pour autant nier les dangers que nous créons évidemment.
Une bonne source de réflexion et d'inspiration dans une époque qui préfère designer des coupables plutôt qu'agir.
Une bonne source de réflexion et d'inspiration dans une époque qui préfère designer des coupables plutôt qu'agir.
🎬 RENGER 📼
Après le documentaire Demain (2015) qui revenait sur des solutions mises en place pour faire face à la crise climatique, le réalisateur Cyril Dion est de retour avec un nouveau documentaire, qui s’intéresse cette fois-ci, à la 6ème extinction de masse des espèces qui pourrait survenir d’ici 50ans.
Avec Animal (2021), le réalisateur s’intéresse à l’impact de l’Homme sur la nature et les espèces vivantes. Un road-trip à travers les quatre coins du globe, il analyse les problèmes environnementaux et part à la rencontre d’hommes et de femmes qui se battent pour un avenir meilleur. Mais il ne voyage pas seul, il a choisi de raconter son histoire par le biais de deux adolescents déjà bien engagés dans la lutte écologique. Bella & Vipulan ont tous les deux 16ans, la première est londonienne et milite pour les droits des animaux, quant au second, il est parisien et militant écologiste.
A travers ce voyage très enrichissant (aussi bien pour eux que pour nous), ces derniers apprennent à quel point nous sommes intimement liés à toutes les espèces, que l’extinction, aussi des abeilles que des fourmis, peut avoir un impact avec de graves conséquences pour la survie humaine.
« On a déjà perdu 50% des espèces animales en 50ans, que restera-t-il dans 50ans ? Rien. » La pollution de la planète, la destruction de l’habitat des animaux ou encore la surexploitation des ressources, pendant près de 110min, le réalisateur nous fait découvrir bon nombre de protagonistes qui interviennent de près ou de loin pour le bien-être animal. Le film nous emmène en Inde où l’on découvre les initiatives d'Afroz qui participe au ramassage et au recyclage des déchets qui pullulent sur les plages, la militante écologiste Claire Nouvian qui se bat contre la surpêche, celle que l’on ne présente plus, la célèbre éthologue Jane Goodall, Carlos Alvarado le président du Costa Rica (qui a réussi le tour de force de réenforester une bonne partie du pays, passant de 20 à 50% de surface forestière et mise sur une énergie presque 100% verte), Dino Martins, un biologiste au Kenya, un docteur de biologie, un philosophe et naturaliste ou encore un ethnologue et spécialiste du loup (ces derniers viennent rappeler à quel point le loup n’est pas un nuisible aussi bien pour les moutons que pour les éleveurs). Le réalisateur donne aussi la parole à un éleveur intensif de lapins en cages (son exploitation compte 1000 lapins et 6000 lapereaux en cages) qui (sur)vivent dans des cages dont la dimension n’excède pas… une feuille A4 !
Le film alternent avec des passages parfois très crus (de douleurs animales, comme ces koalas pris au piège dans une forêt en feu, des brebis sauvagement attaquées, diverses formes de violences dans des élevages, des scènes de pêches sanguinolentes sur des dauphins, …), les images sont horribles mais viennent nous rappeler à quel point l’Homme est un danger pour la planète et le monde animal (entre la déforestation en Amazonie ou en Indonésie, les mines de charbons à ciel ouvert en Allemagne, les mines de cuivre en Roumanie, les montagnes de déchets en Inde ou encore les élevages intensif de bovins aux USA). Et heureusement, le film n’est pas qu’une accumulation d’horreur, il vient aussi nous offrir de temps à autres, de beaux moments, tendre et émouvants, comme cet échange entre les ados et un éleveur suisse qui s’émeut de voir partir ses bêtes à l'abattoir.
Si le film ne se prive pas de nous rappeler certaines de ces atrocités, il ne se prive pas non plus pour nous faire part des avancées et des solutions qui peuvent être prises par tout un chacun. On est tous concernés par ce qu’il est en train d’advenir de la Terre, si l’on ne prend pas les devants pour protéger ce qui nous entoure, le monde court à perte. Un documentaire nécessaire pour rappeler à quel point l’être humain est incontestablement lié à l’espèce animale.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Avec Animal (2021), le réalisateur s’intéresse à l’impact de l’Homme sur la nature et les espèces vivantes. Un road-trip à travers les quatre coins du globe, il analyse les problèmes environnementaux et part à la rencontre d’hommes et de femmes qui se battent pour un avenir meilleur. Mais il ne voyage pas seul, il a choisi de raconter son histoire par le biais de deux adolescents déjà bien engagés dans la lutte écologique. Bella & Vipulan ont tous les deux 16ans, la première est londonienne et milite pour les droits des animaux, quant au second, il est parisien et militant écologiste.
A travers ce voyage très enrichissant (aussi bien pour eux que pour nous), ces derniers apprennent à quel point nous sommes intimement liés à toutes les espèces, que l’extinction, aussi des abeilles que des fourmis, peut avoir un impact avec de graves conséquences pour la survie humaine.
« On a déjà perdu 50% des espèces animales en 50ans, que restera-t-il dans 50ans ? Rien. » La pollution de la planète, la destruction de l’habitat des animaux ou encore la surexploitation des ressources, pendant près de 110min, le réalisateur nous fait découvrir bon nombre de protagonistes qui interviennent de près ou de loin pour le bien-être animal. Le film nous emmène en Inde où l’on découvre les initiatives d'Afroz qui participe au ramassage et au recyclage des déchets qui pullulent sur les plages, la militante écologiste Claire Nouvian qui se bat contre la surpêche, celle que l’on ne présente plus, la célèbre éthologue Jane Goodall, Carlos Alvarado le président du Costa Rica (qui a réussi le tour de force de réenforester une bonne partie du pays, passant de 20 à 50% de surface forestière et mise sur une énergie presque 100% verte), Dino Martins, un biologiste au Kenya, un docteur de biologie, un philosophe et naturaliste ou encore un ethnologue et spécialiste du loup (ces derniers viennent rappeler à quel point le loup n’est pas un nuisible aussi bien pour les moutons que pour les éleveurs). Le réalisateur donne aussi la parole à un éleveur intensif de lapins en cages (son exploitation compte 1000 lapins et 6000 lapereaux en cages) qui (sur)vivent dans des cages dont la dimension n’excède pas… une feuille A4 !
Le film alternent avec des passages parfois très crus (de douleurs animales, comme ces koalas pris au piège dans une forêt en feu, des brebis sauvagement attaquées, diverses formes de violences dans des élevages, des scènes de pêches sanguinolentes sur des dauphins, …), les images sont horribles mais viennent nous rappeler à quel point l’Homme est un danger pour la planète et le monde animal (entre la déforestation en Amazonie ou en Indonésie, les mines de charbons à ciel ouvert en Allemagne, les mines de cuivre en Roumanie, les montagnes de déchets en Inde ou encore les élevages intensif de bovins aux USA). Et heureusement, le film n’est pas qu’une accumulation d’horreur, il vient aussi nous offrir de temps à autres, de beaux moments, tendre et émouvants, comme cet échange entre les ados et un éleveur suisse qui s’émeut de voir partir ses bêtes à l'abattoir.
Si le film ne se prive pas de nous rappeler certaines de ces atrocités, il ne se prive pas non plus pour nous faire part des avancées et des solutions qui peuvent être prises par tout un chacun. On est tous concernés par ce qu’il est en train d’advenir de la Terre, si l’on ne prend pas les devants pour protéger ce qui nous entoure, le monde court à perte. Un documentaire nécessaire pour rappeler à quel point l’être humain est incontestablement lié à l’espèce animale.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
PLR
Entendu de la part de spectateurs sortant en famille de la séance précédente : « C’est super comme film ». Voilà qui est de bon augure. Et, à la fin de ma séance, des applaudissements. Entre les deux, quoi ? Un documentaire, un genre qui ne déplace pas trop les foules de spectateurs et qui s’adresse plutôt à un public déjà convaincu et partisan de la cause défendue ou vulgarisée, ceci expliquant les bonnes réactions et appréciations. Un ton très bobo au travers de deux pré-ados, Bella et Vipulan, variants de Greta Thunberg. Ce n’est pas bien de mettre en scène ainsi des enfants ! Il est probable que des conséquences matérielles et humaines des dérèglements en cours ces jeunes-là, logés, nourris, éduqués, soignés, ne connaissent pas grand-chose dans leur vie quotidienne, restant dans une approche livresque. Leur scénariste et réalisateur les mettra d’ailleurs en mauvaise posture, pas à une contradiction près, quand il leur fera prendre l’avion pour aller rencontrer aux quatre coins du monde, tel ou tel scientifique ou spécialiste reconnu. Ont-ils remarqué les bidonvilles en survolant la capitale du Costa-Rica, malgré la politique vantée ? Quand ils vont ramasser les crottes de loups dans les alpages, aux fins d’analyse du peuplement et des déplacements de la meute, c’est dans un sac plastique de congélation qu’ils emportent leur récolte. Ceci après que le documentaire ait commencé par montrer les dégâts écologiques des matières plastiques se retrouvant dans les océans puis dans le système digestif des animaux marins et qu’il faudrait donc interdire sans plus attendre à la source de la production de cette pollution. Les lobbys l’empêchent ! Y en aurait-il un qui ait réussi à faire du placement de produit ? Et puis cette leçon / recommandation du scientifique qui va bien : grossière erreur de continuer à viser la croissance, même davantage écologique (ou sa variante édulcorée de développement durable), ce qui compte c’est la santé ! Sauf qu’une population en bonne santé, c’est aussi une population qui vit plus longtemps et qui, même contrainte à devoir se satisfaire de ses besoins élémentaires (si acceptation sociale) prélève donc davantage dans la durée sur les ressources disponibles de la Planète. Voilà qui demanderait a minima une vision plus globale, économique et sociale (ce qui en soi est aussi de l’écologie). Or, ce n’est pas le documentaire pour avoir ne serait-ce qu’un embryon de réponse globale. D’autres sont déjà allés plus loin dans l’exposé et le plaidoyer. Ne serait-ce que le récent « Une fois que tu sais» (2022), sur le même registre mais davantage démonstratif.
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