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« La Troisième Guerre » est un film politique captivant qui nous plonge au cœur d'une mission de sentinelles. Le protagoniste, Léo, incarne la tension croissante et la méfiance qui règnent dans la société. Le réalisateur parvient à transformer Paris en une ville étrangère, hostile et dangereuse, à travers les yeux de Léo. Les apparences deviennent trompeuses, et chaque coin de rue semble dissimuler une menace potentielle. Lorsque Léo se retrouve au milieu d'une violente manifestation, la guerre se manifeste telle qu'il l'imagine, avec des explosions, des ennemis multiples et des bâtiments noyés dans la fumée. Les images qui en résultent rappellent les guerres qui ont nourri l'imaginaire collectif. Le film nous pousse à réfléchir sur la folie qui nous entoure et à accepter, sans nous en rendre compte, de nous laisser emporter par cette folie. "" offre un regard fascinant sur la société actuelle et met en lumière les désagréments profonds auxquels les sentinelles sont confrontées au quotidien. Un film brillant et captivant qui se distingue en tant que documentaire cinématographique sur la mission des forces de sécurité. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Petit film totalement méconnu vu par hasard qui fut une bonne surprise. On reste maintenu en haleine du début à la fin, par une réalisation assez nerveuse et des acteurs juste ! De plus l'histoire nous enrichit car elle nous fait découvrir un milieu peu connu. A revoir ! ----Septembre 2022----
Immersion dans le quotidien morne d’une brigade de militaires lors de l’opération Sentinelle, avec quelques scènes percutantes mais au final un film sans enjeux et trop artificiel. 2,25
sebou36
Vu les critiques négatives, je ne m'attendais pas à grand'chose de ce petit film. Finalement c'est une bonne surprise. Les personnages et les situations paraissent assez réalistes . Je considère le patriotisme comme parfaitement archaïque, aussi je suis assez ouvert à la critique des institutions que sont l'armée, l'état ou la police . Le film n'est pas provocateur, il dit juste que le risque de paranoïa collective est auto-induit par les autorités elles-mêmes. Manque de formation, manque de travail psychologique, les jeunes recrues peinent à trouver leur raison d'être et leur utilité, au risque du dérapage. C'est plutôt bien vu, même si je comprends que cela puisse heurter les sensibilités les plus réactionnaires.
Dommage que cette fin expéditive et bâclée annihile l'excellence de ce film qui aurait mérité 5/5. Une très bonne découverte néanmoins
Je ne comprend pas que ce film ai pu être diffusé... Rien ne va ... Il faudrait peut être se renseigner sur la tenue, la gestuelle, les traditions et ce qu'on le droit ou non de faire les militaires lors de patrouilles ...
L'idée de départ était bonne, la réalisation beaucoup moins. On ne sait pas du tout où va le film, quelle est la dynamique des personnages. L'armée est dépeinte comme étant triste, dure et impuissante, pas hyper reluisante, bref faut pas employer ce film pour une propagande de recrutement. Il n'y a guère que les 10 dernières minutes du film qui sont intéressantes. Bref, je n'ai peut-être pas su décrypter ce qu'il fallait voir...
pierrre s.
L'archétype du mauvais film français. C'est mou, ca veut faire dans le social, les acteurs chuchotent et n'articulent pas (sans doute pour faire plus vrai). Bref, un long moment d'ennui.
gimliamideselfes
La qualité de La Troisième Guerre c'est avant tout ses scènes de patrouilles, où il ne se passe rien, où les légionnaires s'ennuient, demandent 150 autorisations pour faire le moindre truc, sont finalement totalement impuissants face au mal qui les entoure parce qu'ils n'ont pas le droit d'agir. Impuissance qui les conduit forcément à être un peu houspillés par la population qui ne comprend pas à quoi peuvent bien servir ces militaires affectés au plan vigipirate.
Par contre j'avoue que toute l'introspection du personnage principal parlant en voix off sur le répondeur une fille qu'il ne connait je trouve juste que ça ne fonctionne pas, c'est lourd. Et c'est dommage parce qu'on avait là quelque part le Jarhead français, un film sur l'ennui des militaires, des mecs qui ont signé pour de l'action et qui se retrouvent dans l'inverse de l'action : la routine... le néant... déambuler pendant des heures dans Paris, inutiles.
De la même manière que la voix off est un peu lourdingue, sa perte de contrôle progressive aurait également pu être plus subtile, histoire que l'on ait moins l'impression de voir un scénario défiler sous nos yeux avec les différents passages obligés.
Néanmoins la scène de boîte de nuit, où le héros essaye de draguer en se vantant et en expliquant à quel point il est essentiel, alors qu'on a bien vu qu'il ne sert à rien et que lui même a pu constater son inutilité arrive à être plutôt bien amenée et parvient à montrer un mec qui finit par croire à ses propres mensonges.
Disons que l'idée est là, mais que l'exécution peine la faute à une mise en scène qui aurait pu être plus inspirée, mais surtout à scénario qui n'a pas conscience de sa force.
Par contre j'avoue que toute l'introspection du personnage principal parlant en voix off sur le répondeur une fille qu'il ne connait je trouve juste que ça ne fonctionne pas, c'est lourd. Et c'est dommage parce qu'on avait là quelque part le Jarhead français, un film sur l'ennui des militaires, des mecs qui ont signé pour de l'action et qui se retrouvent dans l'inverse de l'action : la routine... le néant... déambuler pendant des heures dans Paris, inutiles.
De la même manière que la voix off est un peu lourdingue, sa perte de contrôle progressive aurait également pu être plus subtile, histoire que l'on ait moins l'impression de voir un scénario défiler sous nos yeux avec les différents passages obligés.
Néanmoins la scène de boîte de nuit, où le héros essaye de draguer en se vantant et en expliquant à quel point il est essentiel, alors qu'on a bien vu qu'il ne sert à rien et que lui même a pu constater son inutilité arrive à être plutôt bien amenée et parvient à montrer un mec qui finit par croire à ses propres mensonges.
Disons que l'idée est là, mais que l'exécution peine la faute à une mise en scène qui aurait pu être plus inspirée, mais surtout à scénario qui n'a pas conscience de sa force.
Mais quelle daube ce film.
Beaucoup trop de faux raccord au niveau des costumes par rapport a ceux actuels ou d'il y as 2/3 ans. Par rapport aux protocoles appliqués aussi en mission. A croire qu'ils ont redigé le scénario sans consulter des réels hommes au sein de sentinelle et l'armée plus généralement.
Enfin au niveau des dialogues, et de l'histoire en soit, circulez y'as rien a voir.
Beaucoup trop de faux raccord au niveau des costumes par rapport a ceux actuels ou d'il y as 2/3 ans. Par rapport aux protocoles appliqués aussi en mission. A croire qu'ils ont redigé le scénario sans consulter des réels hommes au sein de sentinelle et l'armée plus généralement.
Enfin au niveau des dialogues, et de l'histoire en soit, circulez y'as rien a voir.
Ne reflète pas la vie militaire
La banlieu plutôt quand tu vois le comportement des militaires ensemble
La banlieu plutôt quand tu vois le comportement des militaires ensemble
Excellent premier coup pour Giovanni Aloi. Un film parfaitement maîtrisé, sur un sujet peu médiatisé, qui montre et l’absurdité de la mission Sentinelle et la charge psychologique sur des jeunes bien mal préparées à une mission de police au rabais et dévoyée : on se montre, on redoute tout et on n’agit en aucune façon. L’absurde mènera un jeune plein d’idéalisme et peu gâté par la vie à péter les plombs et à succomber à la bêtise humaine. L’armée y est bien décrite, déchirée entre vraies valeurs et bêtise crasse – surtout chez les offficiers, phalocrate incurable mais formidable intégrateur pour une société larguée. Palpitant sans action, drôle et dramatique à la fois, très humain, superbement joué par les trois patrouilleurs, réaliste et sans dialogues bidons, voilà àn bien beau film.
On avait davantage l'habitude de voir les militaires représentés comme des fascistes, la magie du wokisme les a fait devenir de vulgaires racailles ne sachant ni s'exprimer correctement, ni même articuler. Si on aurait pu comprendre une critique constructive de l'armée et des missions vigipirates dans notre société, ce film présente essentiellement des personnages alcooliques, drogués et frustrés. Ni patriotisme, ni discipline, ni rigueur qui, que l'on apprécie ou pas, restent des valeurs chères à l'armée. On retrouve ainsi parmi les personnages principaux un déserteur, un dealeur, un paranoïaque mythomane, un paranoïaque alcoolique et j'en passe. Même Leïla Bekhti qui pourrait être un reflet un peu plus fidèle de nos militaires que ses camarades n'est en fait qu'un soldat attentiste, complètement soumis aux ordres et obligé de mentir pour évoluer dans la hiérarchie.
Si ce film n'était pas suffisamment idéologiquement engagé, cette phrase pourrait rester graver dans les annales du wokisme : "Moi j'suis un renoi tu vois la France elle veut pas d'moi"... Un courant de pensée bien évidemment très répandu dans l'armée, puisque lorsque on s'engage c'est bien parce que la nation dans laquelle on se trouve ne veut pas de nous.
Les scènes de manifestations sont plus ridicules les unes que les autres avec des figurants perdus dans le décor. On passera la bagarre entre les deux soldats digne d'un pugilat de récréation. Enfin, on gardera un goût amer quant à la radicalisation si rapide et étonnante de Corvard.
Finalement, les policiers en deviennent presque sympathiques jusqu'à la scène finale qui finit de discréditer toute forme d'autorité.
Une étoile tout de même parce que sans trop savoir pourquoi, on arrive à s'attacher aux personnages. La moitié d'une seconde pour les scènes dans les rues de Paris qui apportent une certaine ambiance qui aurait très certainement dû être celle de l'ensemble du film.
Si ce film n'était pas suffisamment idéologiquement engagé, cette phrase pourrait rester graver dans les annales du wokisme : "Moi j'suis un renoi tu vois la France elle veut pas d'moi"... Un courant de pensée bien évidemment très répandu dans l'armée, puisque lorsque on s'engage c'est bien parce que la nation dans laquelle on se trouve ne veut pas de nous.
Les scènes de manifestations sont plus ridicules les unes que les autres avec des figurants perdus dans le décor. On passera la bagarre entre les deux soldats digne d'un pugilat de récréation. Enfin, on gardera un goût amer quant à la radicalisation si rapide et étonnante de Corvard.
Finalement, les policiers en deviennent presque sympathiques jusqu'à la scène finale qui finit de discréditer toute forme d'autorité.
Une étoile tout de même parce que sans trop savoir pourquoi, on arrive à s'attacher aux personnages. La moitié d'une seconde pour les scènes dans les rues de Paris qui apportent une certaine ambiance qui aurait très certainement dû être celle de l'ensemble du film.
Grosse déception sur ce film intitulé "La troisième guerre" de Giovanni Aloi !!
La seule chose a sauvé de ce long métrage, c'est la fin qui est intense mais arrivant trop tard car le reste du film avait de bonnes intensions sur le milieu de soldats anti terroristes mais alors qu'est-ce qu'on s'ennuie la plupart du temps. Le casting en est la cause avec Anthony bajon que j'ai trouvé trop immature pour jouer son personnage, trop jeune, je trouvais qu'il y collait pas. Mème chose pour Liela Bekhti auquel je me demandais ce qu'elle fait là auquel elle manque de crédibilité pour le role de soldat supérieur. Karim Leklou, lui ça va, il a la gueule de l'emploi. Autre chose, les soldats sont tous des mecs de banlieue dans "La troisième guerre" avec des dialogues pas très recherché comme "Vas y, bouffon, lache moi" (enfin des mots comme ça), pour ma part, c'est du trop lourd et des maladresses de scénario. Le film a fait un gros bide lors de sa sortie en sales, on comprend pourquoi.
La seule chose a sauvé de ce long métrage, c'est la fin qui est intense mais arrivant trop tard car le reste du film avait de bonnes intensions sur le milieu de soldats anti terroristes mais alors qu'est-ce qu'on s'ennuie la plupart du temps. Le casting en est la cause avec Anthony bajon que j'ai trouvé trop immature pour jouer son personnage, trop jeune, je trouvais qu'il y collait pas. Mème chose pour Liela Bekhti auquel je me demandais ce qu'elle fait là auquel elle manque de crédibilité pour le role de soldat supérieur. Karim Leklou, lui ça va, il a la gueule de l'emploi. Autre chose, les soldats sont tous des mecs de banlieue dans "La troisième guerre" avec des dialogues pas très recherché comme "Vas y, bouffon, lache moi" (enfin des mots comme ça), pour ma part, c'est du trop lourd et des maladresses de scénario. Le film a fait un gros bide lors de sa sortie en sales, on comprend pourquoi.
Tout est mauvais dans ce film: un réalisateur et des acteurs qui n'ont jamais mis leurs pieds dans un environnement militaire (qu'est ce que ça coûte d'au moins leur donner une allure compatible avec celle d'un militaire, même les grades ne sont pas corrects), des clichés absolus sur l'armée, des personnages englués dans ces clichés, une histoire sans crédibilité... Pourquoi les américains arrivent ils à faire des films de guerre alors que nous sombrons systématiquement dans la caricature ridicule ?
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