AlloCiné
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Votre avis sur The Vigil ?
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Ce film est une petite pépite. La photo est sublime, l´histoire super, le déroulé très bien réalisé et l´acteur principal vraiment très bien.
La montée de l´angoisse est progressive et bien menée.
Regardez le seul pour entrer dedans et je pense que vous aimerez.
Bon visionnage !
La montée de l´angoisse est progressive et bien menée.
Regardez le seul pour entrer dedans et je pense que vous aimerez.
Bon visionnage !
Le résumé m'a donné envie, l'ongle de pied beaucoup moins et m'a amené vers bon nombre de fausses piste, c'est pas un film de possession, juste un sur la confiance en soi et la foi.
Voilà un début d'histoire qui commence de manière originale, puisque qu'elle nous emmène du côté des croyances Juive orthodoxe, avec l'accompagnement d'un défunt vers sa dernière demeure. Bien sûr, la personne qui va se charger de ce travail est en complète rupture avec cette religion, il se cherche suite à un drame dont il n'a pas pu faire face. Point de départ intéressant et pourtant tout cela est bien long, on se retrouve dans cette maison, où il ne se passe pas grand chose, la femme âgée est la seule personne a amené un point d'intrigue et d'inquiétude. Il y a ensuite les phénomènes qui commencent, mais tout cela est trop survolé pour affecté réellement de spectateur. Mis à part quelques scènes bien menées et qui s'avèrent suffisamment effrayantes, le tout est assez long, et n'apporte pas grand chose au genre. Dommage de ne pas avoir poussé le curseur un peu plus loin.
Si le concept de base du film avait l'air emballant, il est clair que "The Vigil" ne montre rien de très intéressant au final. Pourtant, comme je l'ai dit, l'idée pouvait être intéressante. Elle reprend une vraie pratique religieuse, en la détournant, pour en faire quelque chose de parfaitement adaptable au sein d'un film d'horreur de ce genre. Mais malheureusement, j'ai été assez déçu du visionnage, car il est clair que je n'ai vu qu'un long-métrage trop limité et qui manque d'ambition. Pourtant, c'est assez paradoxal, car ce que le film cherche à proposer semble ambitieux, à savoir une ambiance claustrophobe. Le problème est que l'on ressent trop cela comme une sorte d'excuse pour venir cacher un budget potentiellement serré et qui les a empêchés de pousser le concept à fond. Il y a très peu d'éléments horrifiques vraiment intéressants, on tourne toujours autour des clichés basiques remplis de jumpscares. Et on est surtout constamment dans le même décor très étroit, qui ne propose pas grand-chose d'innovant. Donc finalement, on s'ennuie très rapidement face au film, et c'est logique, car il ne peut rien proposer de plus. Le scénario essaie de faire passer une espèce de thématique autour du deuil et de la mort, mais c'est fait de manière beaucoup trop maladroite pour pouvoir fonctionner. Tout cela va tourner autour du personnage principal, sauf que celui-ci n'est jamais développé. Tout ce que l'on va savoir de lui sera très rapidement abordé, ou cela sera montré que dans quelques petits flashbacks. C'est beaucoup trop peu pour réussir à avoir de l'attachement envers lui, ou même pour réussir à parfaitement comprendre ce que le film souhaite faire passer comme message. Du coup, j'ai l'impression d'avoir clairement perdu mon temps, et je ne dis même pas ça méchamment. Je n'ai vraiment rien ressenti de particulier face au film. À part une idée assez intéressante, je ne trouve pas que le film soit vraiment prenant, loin de là. Pour conclure, un échec.
Il est des films qui vous enfonce dans votre fauteuil et accapare toute votre attention. The Vigil, premier essai transformé de Keith Thomas, est de ceux là.
L'histoire prend place au sein de la communauté juive orthodoxe de New-York, ce qui nous change un peu des possesions démoniaques et autres exorcismes catholiques. On y fait la rencontre de Yakov, jeune homme aux poches percées en pleine crise de foie. Très rapidement, celui-ci accepte un "travail" lié à une coutume de la religion hébraïque, celui de Shomer. Durant une nuit, il devra veiller un mort et, pour lui comme pour moi ce fut une longue nuit.
Dès lors que je pénètre avec Yakov dans le quasi-unique lieu de l'intrigue, The Vigil m'enveloppe de son voile funèbre. La présence de ce mort drappé suffit à me mettre en alerte à le recherche du moindre mouvement, du moindre indice de menace immatérielle. C'est finement filmé et la décontraction de Yakov face à la situation ne fera pas long feu.
Keith Thomas installe doucement l'atmosphère lugubre de son film à la faible lueur de la pièce. Il joue avec les sons et les lumières en semant la confusion dans l'esprit de son personnage et dans le notre, liant étroitement et fugacement l'impossible aux événements. Et alors que la peur s'empare doucement de notre Shomeur, Thomas ajoute adroitement à son ambiance morbide quelques jumpscares efficaces sans en abuser. Les choses dérapent en pente douce et même si le réalisateur de Firestarter utilise le répertoire classique de l'horreur, il le fait très habilement pour faire monter la tension. Que ce soit la présence de l'épouse du défunt où les apparitions furtives irrationnelles, les quelques pièges tendus par cette présence hostile, tout contribue à maintenir ce climat oppressant jusqu'au dénouement. Seule petite ombre au tableau pour ma part, le lien inutile avec la Shoah qui n'apporte rien. Heureusement, il est à peine esquissé.
The Vigil est donc une petite réussite, un film d'exorcisme et de possesion qui sait se démarquer de ses prédécesseurs sans pour autant renouveler le genre. Un film d'épouvante en huit-clos qui jongle habilement entre horreur visuelle et suggérée.
Shomer ? Voilà un job que je n'accepterais pour rien au monde.
L'histoire prend place au sein de la communauté juive orthodoxe de New-York, ce qui nous change un peu des possesions démoniaques et autres exorcismes catholiques. On y fait la rencontre de Yakov, jeune homme aux poches percées en pleine crise de foie. Très rapidement, celui-ci accepte un "travail" lié à une coutume de la religion hébraïque, celui de Shomer. Durant une nuit, il devra veiller un mort et, pour lui comme pour moi ce fut une longue nuit.
Dès lors que je pénètre avec Yakov dans le quasi-unique lieu de l'intrigue, The Vigil m'enveloppe de son voile funèbre. La présence de ce mort drappé suffit à me mettre en alerte à le recherche du moindre mouvement, du moindre indice de menace immatérielle. C'est finement filmé et la décontraction de Yakov face à la situation ne fera pas long feu.
Keith Thomas installe doucement l'atmosphère lugubre de son film à la faible lueur de la pièce. Il joue avec les sons et les lumières en semant la confusion dans l'esprit de son personnage et dans le notre, liant étroitement et fugacement l'impossible aux événements. Et alors que la peur s'empare doucement de notre Shomeur, Thomas ajoute adroitement à son ambiance morbide quelques jumpscares efficaces sans en abuser. Les choses dérapent en pente douce et même si le réalisateur de Firestarter utilise le répertoire classique de l'horreur, il le fait très habilement pour faire monter la tension. Que ce soit la présence de l'épouse du défunt où les apparitions furtives irrationnelles, les quelques pièges tendus par cette présence hostile, tout contribue à maintenir ce climat oppressant jusqu'au dénouement. Seule petite ombre au tableau pour ma part, le lien inutile avec la Shoah qui n'apporte rien. Heureusement, il est à peine esquissé.
The Vigil est donc une petite réussite, un film d'exorcisme et de possesion qui sait se démarquer de ses prédécesseurs sans pour autant renouveler le genre. Un film d'épouvante en huit-clos qui jongle habilement entre horreur visuelle et suggérée.
Shomer ? Voilà un job que je n'accepterais pour rien au monde.
Ce film n'est pas effrayant. Il crée très peu de frayeurs. Il est vachement trop court. Le réalisateur aurait aller plus loin dans l'horreur et l'épouvante.
"The vigil"...un jeune américain juif parti de la communauté orthodoxe juive ce voit confier un job de Shomer (ou gardiens des morts) pour pouvoir arrondir ses fins de mois plus que difficile. Il connait car a déjà fait cela sauf que, forcement, tout ne se passera pas comme prévu quand un démon voudra remplacer son hôte décédé par lui...
Ah ben enfin un petit film d'horreur qui fait sursauter!!! Pourtant pas super critique...Pas mal de temps pas arrivé d'avoir film a frisson car beaucoup ce contente de faire du copier/coller. Ok le côté démon, possession etc on connait oui mais ici le lieu ce déroule sur 2-3 pièces dans un appartement vieillot avec comme compagnie, un cadavre, une vieille veuve atteinte d’Alzheimer et donc un démon. Peu de couleur, de l'ombre en veut tu en voilà, on aperçoit quasi pas le démon donc on stress de pas le voir ou juste d'entendre des bruits. S'enfuit ok il tente...mais obliger de revenir...plus son passé qui le hante (ce qui nourrit le "Mazik"!!) rien à rajouter bon film d'épouvante que voilà.
NOTE : 7.5/10
Ah ben enfin un petit film d'horreur qui fait sursauter!!! Pourtant pas super critique...Pas mal de temps pas arrivé d'avoir film a frisson car beaucoup ce contente de faire du copier/coller. Ok le côté démon, possession etc on connait oui mais ici le lieu ce déroule sur 2-3 pièces dans un appartement vieillot avec comme compagnie, un cadavre, une vieille veuve atteinte d’Alzheimer et donc un démon. Peu de couleur, de l'ombre en veut tu en voilà, on aperçoit quasi pas le démon donc on stress de pas le voir ou juste d'entendre des bruits. S'enfuit ok il tente...mais obliger de revenir...plus son passé qui le hante (ce qui nourrit le "Mazik"!!) rien à rajouter bon film d'épouvante que voilà.
NOTE : 7.5/10
Grosse déception The Vigil. Malgré un postulat de départ intéressant, le film de Blum House accumule les clichés et les lieux communs du cinéma horrifique. Les amateurs et connaisseurs du genre vont gentiment s'ennuyer...
Audrey L
On nous avait mis en garde contre un navet, on n'a pas trouvé où il était planté, car The Vigil nous a bien plu. Son scénario qui mêle religion juive (la veillée du corps du défunt pour le protéger des mauvais esprits, les démons qui se nourrissent des sentiments de haine ou de culpabilité des gens...) et effroi sans abuser des sursauts (il n'y en a quasiment pas, ce que l'on préfère). L'ambiance malsaine s'installe d'elle-même dans ce rite funéraire où les objets bougent tout seuls (la lumière qui grésille, les messages sur le téléphone qui ne sont pas forcément ceux d'un ami...) ou sont plus discrets (ils étaient comme ça, les rideaux ? Voyons voir, si je prends des repères sur le draps, attendons quelques scènes après... Oh, damned, y'a un nouveau pli). Le jeune homme qui essaie de faire tant bien que mal sa veillée (avec la veuve qui l'aide à surmonter l'épreuve, une autre bonne idée pour changer de l'ado tout seul coincé dans le noir...), nous a convaincu du scénario qui fait des efforts pour construire un passé au personnage, lui donner plus de profondeur sans alourdir le récit (au contraire, on comprend pourquoi le démon s'attable, il y a de quoi grignoter en sentiments refoulés...). On a bien aimé les scènes démonstratives (le corps au sol avec l'ongle qui se décolle sur le carrelage, assez écœurant pour être mémorable) et moins apprécié la fin déjà plus facile (voire carrément bateau) de la lutte contre le démon, avec toutes les scènes clichées qui vont avec. On aurait aussi pu se passer de la scène de la visio avec l'amie, encore une scène-clichée dont la finalité est connue d'avance (on l'a déjà vue cent fois dans certains films comme Unfriended, Friend Request et Host par exemple). Mais dans l'ensemble, on a vraiment été étonné par le soin apporté au scénario, qui chouchoute le background de son personnage principal, qui s'offre une mise en scène plus intimiste que le jumpscare idiot (habituel), et nous fait partager le côté effrayant qu'il peut y avoir à veiller un défunt toute une nuit (on compatit avec ceux qui la font...).
Yakov est un assez bon personnage contrairement à Mrs Litvak qui est trop cliché et classique. Menashe Lustig joue trop moyennement , Lynn Cohen est flippante à souhaits , Dave Randolph-Mayhem Davis est le point fort du métrage. De très bonnes idées de plans toujours concluantes . Le réalisateur sait nous surprendre malgré le classicisme de "The Vigil" . Scénario se développant au fur et à mesure du film.
Mon dieu !!! L idée de départ est bonne mais le scénario du film perd de sont effet en avançant, le film est au final insipide . Ni un film d horreur ni d action ni divertissant suspense a défaut ... espéreront qu ils fassent mieux la prochaine fois!!!
The Vigil : de « L’exorciste » à « La Malédiction » en passant par « Le dernier exorcisme », « L’exorcisme d’Emily Rose» et autres « Insidious » le Diable, le Malin ou le Mal n’est plus chrétien mais juif. Cela rafraîchit le propos. Les fondations : l’atmosphère, la musique et quelques effets discrets pour ne pas dire un tantinet ridicules mais pas au point d’en rire étaient bien présents. J’étais bien concerné puis peu à peu je suis resté à l’écart. Une promesse de départ qui se révèle légèrement décevante. Car au bout du compte, « The Vigil » s’inscrit dans un classicisme mille fois vu… chez les chrétiens ! Je n’ai rien contre le classicisme mais quand les situations sont trop appuyées et attendues, le film me passe à travers. Des films cités plus haut, seuls « L’exorcisme » «La Malédiction» m’avaient mis mal à l’aise dans ma jeunesse, et dernièrement «Insidious» m’avait scotché. J’attendais beaucoup plus des diableries et autres bondieuseries malsaines juives. A découvrir quand même, c’est loin d’être désagréable.
l'idée de départ était intéressante, avec les traditions juives comme base de travail. Mais voilà, une image pourrie, on n'y voit rien si vous n'avez pas la TV super HD etc. Trop de ficelles jumpscare & musiques fortes archi vues... dommage !
Malgré une ambiance angoissante incontestable, on ne parvient pas à rentré complètement dans l'histoire. Le scénario de départ était pourtant intéressant mais une fois passé les 30 premières minutes, on peine à comprendre ce que le réalisateur veut nous dire...
c'est fou comme dans les films américains et français ce sont les hommes blancs qui sont les agresseurs dans les rues sombres !!! il faudrait faire un sondage pour savoir combien de français ou d'américains ont été agressés dans la rue par des hommes blancs !!! parce que moi j'en connais aucun parmi ma famille, mes collègues de bureau, mes amis... soit je vis dans un monde à part soit les cinéastes français et américains nous prennent pour des c..!! c'est ça la culture Woke pour ceux qui ne l'aurait pas compris !!
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