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selenie
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2,0
Publiée le 31 juillet 2020
Il semble que les recherches du cinéaste n'est pas permis de trouver des démons "juifs" à la mesure de l'enjeu. Le début est par ailleurs très intéressante, ouvrant sur une sorte de psychothérapie de foi qui ouvre des perspectives évidentes pour la suite. Mais très vite le rythme repose sur des flash-backs trop explicatifs et trop éloignés de l'intrigue principale. Le huis clos anxiogène est bien mis en place mais n'est pas exploité à fond, après les 35-40 premières minutes le scénario reste redondant avec des jumpscares plus ou moins efficaces mais souvent attendus. Le film est trop hyper référencé et ne surprend jamais. Le pire arrive à la fin avec un dénouement trop facile, sans punch ni tension. Keith Thomas signe donc un film trop scolaire et trop sage pour convaincre. Site : Selenie
Jason Blum reste égal à lui-même et continue de nous produire ses bousǝs à la pelle (ok, soyons honnête, une prod’ sur trois sort du lot, pour le reste, c’est de la mǝrdǝ prémâchée pour adolescents).
The Vigil (2020) ne se démarque absolument pas de ce qui se fait en matière de film d’épouvante ces dernières années et ne cherche pas non plus à sortir du lot, en dehors de centrer l’histoire au cœur de la communauté juive orthodoxe (seule originalité à signaler).
Le film met en scène Yadov, un quadra de Brooklyn ayant perdu la foi et qui vient tout juste de quitter sa communauté. Ayant des difficultés financières, il accepte le job d’un soir, celui de "shomer", qui consiste (dans la culture juive) à veiller sur un mort la veille de ses funérailles.
On imagine aisément ce qu’il va se produire durant cette fameuse "nuit", pas besoin d’être devin pour flairer ce que va nous réserver le film.
Keith Thomas a ouvert en grand sa boite à malices et à nous servit sur un plateau d’argent tous les ingrédients (poncifs) du genre, entre les inépuisables jumpscares, le parquet qui grince, les lumières qui grésillent, les hallucinations, les tressaillements sous le linceul, … bref de quoi faire frémir n’importe quel ado en manque de sensation forte.
Sauf qu’il en faut bien plus pour nous tenir en haleine que de simplement jouer avec les interrupteurs… D’ailleurs, cela ne semble choquer personne que dans la maison de la vieille dame, personne ne soit foutu d’allumer les lumières ? Elle ne s’éclaire qu’à la bougie ou avec des veilleuses. Vous n’en avez pas marre de ces films d’épouvante où l’éclairage ne semble pas exister ?
Le film se repose essentiellement sur les effets cités plus haut, et s’enlise dans un huis-clos mollasson, porté par une intrigue aussi lénifiante qu’inintéressante.
Sans plus. A voir une seule et unique fois au ciné surtout quand il fait chaud (clim oblige). UN peu trop de longueurs dans cette interminable obscurité. Le peu d'acteur fait le job. Les réalisateurs américains nous ont quand même habitués A mieux! Un bon suspens par moment qui retombe malheureusement trop vite et ainsi de suite, en faites. C'est vrai qu'une sortie cinéma est un peu limite.
petit film sympathique avec pas mal de bons points (une musique angoissante, quelques jumpscares bien placés, de bons acteurs) et quelques points négatifs (suspense parfois trop long, conclusion trop facile et pas très originale) à regarder pour se divertir sans prise de tête quand on aime les films d'horreur.
Un très bon film d'horreur avec une intrigue assez intéressante et terrifiante. Le film n'est pas long donc les événements paranormaux s'enchaînent très vite ce qui m'a beaucoup plu. Je vous le conseille fortement si vous voulez vous faire peur...
Le Film n'a aucun effort d'horreur, il serais mieux catégoriser en tant que film à suspense et encore. Les liens de l'intrigues sont quasiment inexistant tel spoiler: que la vidéo de la grand-mére qui est bienveillante
Pas mal du tout. Le film est anxiogène et la tension est omniprésente. Il évoque la difficulté de se détacher d'une secte religieuse et le traumatisme des événements qui peuvent arriver dans une vie. Une bonne surprise !
The Vigil de Keith Thomas joue avec des ressorts de la peur que l'on connait déjà, seulement ce film de possession se veut un minimum novateur et dans sa psychologie et sur son fond. On est habitué aux possessions et aux exorcismes catholiques, ce sont fréquemment les mêmes démons que l'on met en lumière, The Vigil puise son scénario quant à lui dans les croyances juives orthodoxes, et nous, spectateurs, partons de ce fait sur des codes assez vierges (The Possession avait déjà tenté et réussi ce pari). La mise en scène est plutôt efficace, quelques jumpscares passent bien et l'on est pas mal happé par la psychologie du personnage principal, les nombreux plans très serrés aidant en ce sens. La réalisation n'est pas mauvaise non plus, c'est plutôt bien joué et le huit-clos est assez oppressant. Finalement, après un point de départ intéressant, c'est surtout la lenteur de l'ensemble et cette impression de rapidement tourner en rond qui vont quelque peu plomber The Vigil. L'idée est bonne, l'ensemble correct et malgré une certaine redondance, ça se laisse voir sans non plus révolutionner le genre.
Le début du film est bon et la tension est bonne Puis à la moitié j'ai décroché ça tourne en rond Dommage l'idée de base est bonne. Point positif j'ai sursauté quelques fois